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Dessins et plans, Chevalets de peintre, Humour, Fillettes, Peintres allemands, Allemand (langue), Autoportraits, Coloriages, Dessin en noir et blanc, Raillerie, Dérision, Rudolf Heinrich Zille (1858-1929)
Autoportait de Heinrich Zille au travail : "Frohe Arbeit - ernster Wille! Mal en Schluck in de Destille! Und een bißken Kille Kille - Det hält munter! Heinrich Zille"
Photographie, Musique, Cithare, Musique de, Cithare, Instruments à cordes, Instruments à cordes frappées, Cimbalom, Cymbalum, Czimbalum, Tambal, Tympanon, Tympanon, Musique de, Hongrie -- Ethnologie
Le cymbalum, czimbalum, cimbal (Slovaquie), cimbalom (Hongrie), țambal (Roumanie et Moldavie), ou tsymbaly (Biélorussie, Pologne et Ukraine), cimbole (Lettonie), cimbolai (Lituanie) est un instrument à cordes frappées faisant partie de la famille des cithares sur table. On l'appelle aussi le piano tsigane. Formé d'une caisse de résonance en bois en forme de trapèze, sur laquelle reposent des séries de chevalets (soudés généralement), il est serti d'une centaine de cordes métalliques, frappées à l'aide de petits marteaux ou mailloches tenus entre les doigts. L'accord est le plus souvent, chromatique. Il se rencontre en deux variétés : portable et de concert. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cymbalum.
Coupe d'un piano à queue : 1 et 14) Cadre métallique, 2) Abattant du couvercle, 3) Capo d'astro ou barre harmonique, 4) Tête d'étouffoir, 5) Couvercle, 6) Chevalet d'étouffoir (ou pivot des étouffoirs ?), 7) Rail des chevalets d'étouffoir (ou barre de forte ?), 8) Barre de transmission de la pédale forte, 9) Levier de la transmission du forte, 10) Tige de Lyre, 11) Pédale, droite (forte), gauche (piano), 12) Chevalet, 13) Cheville d'accord (pointe d'accroche), 15) Table d'harmonie, 16) Corde. Le piano à queue est constitué : d'un clavier, généralement à 88 touches (7 octaves 1/4), muni d'un couvercle ; d'un barrage, structure en poutres ; d'une table d'harmonie, mise en vibration par les cordes par l'intermédiaire de chevalets ; de cordes : une par note dans les graves, deux dans les notes intermédiaires, trois dans les aiguës. Les cordes d'aigus sont nues, les cordes de graves sont filées ; d'un cadre métallique au-dessus de la table d'harmonie (sur les pianos modernes) ; d'une ceinture, coffrage entourant la table d'harmonie ; d'un couvercle s'ouvrant à 45° ; d'une mécanique de percussion ; d'un pédalier (lyre) ; d'un pupitre.
Photographie, Enfants, Chevalets de peintre, Conteurs, Position assise, Photographies en noir et blanc, Rouleaux (manuscrits), Manivelle, Navajo (Indiens) -- Adolescents, Navajo (Indiens) -- Art, Navajo (Indiens) -- Enfants, Navajos (Indiens), Peinture sur rouleau, Rouleaux peints
Jeune conteur navajo contant une histoire illustrée sur un chevalet formé de deux rouleaux à manivelle, à deux enfants assis.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Cithare, Instruments à cordes pincées, Instruments à cordes, Cordes pincées (instruments de musique), Instruments de musique -- Corée, Kayagum, Kayagum, Musique de
Le kayagum est un instrument de musique traditionnel de Corée de la famille des cithares, avec douze cordes de soie. Il remonte au VIe siècle et est probablement le plus connu des instruments de musique coréen. Son usage a été développé par Ureuk, musicien à la cour de Gaya. C'est un proche cousin du koto japonais et du guzhen chinois. La caisse de résonance en paulownia mesure 160cm de long, 30cm de large et 10cm de hauteur. Les éclisses sont parfois en noyer. Il dispose de 12 cordes de soie, mais les instruments récents peuvent avoir jusqu'à 25 cordes en nylon, passant sur des hauts chevalets amovibles. Il se joue assis par terre, l'instrument posé sur soi ; on pince les cordes avec les doigts d'une main et avec les doigts de l'autre, on appuie sur les cordes afin d'obtenir la hauteur de son voulue (ou on déplace le chevalet). On en joue en solo, duo ou trio. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Kayagum
Photographie, Musique, Instruments de musique, Cithare, Instruments à cordes pincées, Instruments à cordes, Musique japonaise, Cithare chinoise, Cithare koto, Koto (instrument de musique), Koto (le mot japonais), Koto, Musique de
Le koto (箏 en japonais, ou 琴 en japonais classique) est un instrument de musique à cordes pincées utilisé en musique japonaise traditionnelle, notamment dans le kabuki et le bunraku. Originaire de Chine (gŭzhēng), il fut introduit au Japon entre le VIIe siècle et le VIIIe siècle et était joué principalement à la Cour impériale ; l'usage s'en est ensuite démocratisé. Le koto est une longue cithare (en forme de dragon tapi), mesurant environ 1,80 m de long et comptant 13 cordes. La caisse est traditionnellement fabriquée en bois de paulownia évidé, et les hauts chevalets amovibles, en ivoire. Ses cordes sont en fil de soie que l'on pince avec des grattoirs en ivoire. Le koto produit un son lyrique, comparable à celui d'une harpe, ce qui peut expliquer le terme souvent rencontré de « harpe japonaise ». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Koto.
Dessins et plans, Chevalets de peintre, Matériel d'artistes, Caricatures et dessins humoristiques, Peinture de portraits, Albums pour enfants, Humour en éducation, Trous, Peter Newell (1862-1924), Peintres (artistes)
Illustration de l'album The Hole Book, 1908, par Peter Newell (1862-1924), téléversée par Cyrille Largillier.
Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant un peintre assis devant son chevalet terminant une toile.
Peinture, Chevalets de peintre, Wissant (Pas-de-Calais. - région), Femmes peintres, Virginie Demont-Breton (1859-1935)
Marie DUHEM à son chevalet, 1889, par Virginie Demont-Breton, musée de la Chartreuse de Douai. Marie Duhem (1871-1918) a lancé avec son mari l'atelier de Wissant.
Dessins et plans, Peinture à l'huile, Chevalets de peintre, Matériel d'artistes, Tabourets, Peintres, Coloriages, Dessin en noir et blanc, Artistes amateurs
Peintre avec palette et pinceau, devant son chevalet. Son matériel est posé sur un tabouret pliant.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Cithare, Instruments à cordes, Instruments à cordes frappées, Cordes (instruments de musique), Instruments de musique -- Grèce, Sandouri, Santour, Santouri
Santouri grec datant de 1940-1960. Le santouri est un instrument de musique iranien, diffusé par tout le Moyen-Orient appartenant à la famille des cithares sur table. On en joue à l'aide de deux petits marteaux placés entre les doigts. Il est imposant par sa taille (100 cm × 60 cm × 10 cm avec angle à 70°) et par la disposition des cordes offrant six sections de jeu. La caisse de résonance est en érable, en hêtre ou en bois de rose laminé ; les côtés sont coupés en deux et recollés en inversant le fil du bois afin d'assurer une meilleure stabilité. La table d'harmonie en épicéa ou en sapin est percée de deux grosses ouïes hexagonales avec sept trous ronds (ou deux grosses rosaces rondes) placées au centre et à gauche de la série de chevalets médians. Il a environ 115 cordes (en acier, en bronze et en cuivre fileté) disposées en chœurs de 2, 3, 4 ou 5 sur cinq séries de chevalets (non amovibles, reliés par des sillets en métal) composés de barres de soutien creusées pour permettre leurs passages. L'accord est complexe et rend le jeu difficile du fait des croisements lors des changements de série de chevalets. Les chevilles filetées sont placées sur le dessus, à droite, à côté de la table d'harmonie, et non pas sur le côté de la caisse de résonance. Là aussi il faut des calibres de cordes différents pour assurer le rendu correct des harmoniques de l'échelle chromatique. Les mailloches sont imposantes (25 cm), lourdes, toujours entourées d'étoupe à l'extrémité, afin de feutrer le son, et jouées avec les poignets, bien que tenues penchées, entre deux ou trois doigts (autrefois on en jouait aussi avec les avant-bras, d'un peu plus loin, avec les baguettes tenues droites, dans lesquelles étaient creusés des trous pour les index). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Santour