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Nuage de mots clés

Photographie | Toits | Dessins et plans | Architecture | Gravure | Peinture | Toits en chaume | RyXéo | Dix-neuvième siècle | Cheminées d'habitation | Architecture vernaculaire | Architecture domestique | Père Noël | Dessin en noir et blanc | Girouettes | Noir de carbone | Toiture en chaume | Humour | Statues | Construction en tuiles | ...
toit. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d610bf-toit

toit

Toit, toiture de maison

Architecture végétale au Bangladesh. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ff51fe-architecture-vegetale-au-bangladesh

Architecture végétale au Bangladesh

Résidence Meghna, au Bangladesh, par l'architecte Rafiq Azam (1963-). Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Rafiq_Azam

Audience au Palais de Topkapi. Source : http://data.abuledu.org/URI/5113944b-audience-au-palais-de-topkapi

Audience au Palais de Topkapi

Ahmed III, Sultan de l'empire Ottoman, reçoit l'ambassadeur des Pays-Bas Cornelis Calkoen au Palais de Topkapi à Istanbul en 1727. Tableau de Jean Baptiste van Mour (1671-1737). Les cérémonies les plus élaborées dans ce bâtiment concernaient la réception des ambassadeurs qui venaient, escortés par des officiels, embrasser le bord de la robe du sultan. Le trône était alors richement décoré. La salle des audiences, dite aussi hall d'audience ou chambre des pétitions (Arz Odası), se situe juste derrière la porte de la Félicité, de manière à cacher la vue de la troisième cour. Cet immeuble carré est un kiosque ottoman, entouré de vingt-deux colonnes, qui supporte un large toit avec des gouttières pendantes. À l'intérieur se trouvent la salle du trône et deux petites pièces. Ce bâtiment était aussi nommé salle du Conseil intérieure, pour le différencier de la salle du Conseil de la seconde cour. C'est un bâtiment ancien, datant du XVe siècle, et décoré ensuite par Soliman. Le sultan y était assis sur un trône à baldaquin, et recevait personnellement les vizirs, les officiels et les ambassadeurs qui venaient se présenter. Selon un récit de Cornelius Duplicius en 1533 : « L'empereur était assis sur un trône légèrement surélevé entièrement couvert de drap d'or, cousu de nombreuses pierres précieuses et, de tous côtés, on voyait des coussins de valeur inestimable ; les murs de la pièce étaient recouverts de mosaïque d'azur et d'or ; le manteau de la cheminée était d'argent massif recouvert d'or et, sur un côté de la pièce, l'eau coulait dans une fontaine. »

Bâteau à rame en cale sèche. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf2f9d-bateau-a-rame-en-cale-seche

Bâteau à rame en cale sèche

Bâteau à rame en cale sèche sur le toit-terrasse d'une maison, Fira, Santorin, Grèce.

Caméra. Source : http://data.abuledu.org/URI/52905b54-camera

Caméra

Écorché d'un appareil reflex mono-objectif. On distingue l'objectif, le film qui peut bien sûr être remplacé par un capteur dans le cas des appareils numériques, le miroir, le prisme de visée et l'oculaire, qui peut être muni d'une lentille correctrice. L'auteur du dessin a représenté à tort un pentaprisme et non un prisme en toit. Avec un pentaprisme l'image de visée serait inversée droite-gauche.

Case ronde en terre, au nord du Cameroun. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e51dd4-case-ronde-en-terre-au-nord-du-cameroun

Case ronde en terre, au nord du Cameroun

Photo d'une case comme on peut en trouver dans l'extrême nord du Cameroun. Une case est un type de construction éphémère en bois ou en pierre bâtie dans des champs en jachère ou dans des paturâges, dans les domaines vacants et les pâturages, notamment utilisée par les bergers et chevriers pour y passer une nuit. En Afrique, une case est un bâtiment le plus souvent destiné à l'habitation, traditionnellement couvert de chaume, parfois de tôles. Suivant les régions, elle peut être de forme ronde, carrée ou rectangulaire.

Chapeau chinois de musique militaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347eff5-chapeau-chinois

Chapeau chinois de musique militaire

Le chapeau chinois est un instrument de musique militaire, à percussion, également appelé bonnet chinois ou pavillon chinois. Il est décrit dans le "Dictionnaire pratique et raisonné des instruments de musique anciens et modernes de A. Jacquot" de 1886 comme un instrument à percussion en cuivre, inventé par les Chinois. Le chapeau proprement dit, a la forme du toit d’une petite pagode, les grelots et les sonnettes sont suspendus au bord et à l’extrémité de différentes tiges de métal. Ce qui lui fait donner le nom de "demi-lune" c’est qu’au-dessous du chapeau se trouve aussi un croissant ou demi-lune garnie de sonnettes. Le tout est supporté par un bâton tenu et agité en mesure, de bas en haut, par l’exécutant. On s’en sert dans les musiques d’Orient, et il fut en usage dans celles de France pendant un certain temps. Il ne figure plus dans notre pays que parmi les instruments de musées ou dans les collections d’amateurs de musique. Au Moyen Âge, on l’appelait "tymbe-cembel", et, dès le XIIe siècle, Bombulum. Il est utilisé par les musiques militaires suivantes et décrit comme suit : 1) La musique des régiments sous Napoléon Bonaparte ; 2) La musique de la légion étrangère ; 3) Le 1er régiment de tirailleurs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chapeau_chinois_%28musique%29

Château-fort gris. Source : http://data.abuledu.org/URI/504a63cf-chateau-fort-gris

Château-fort gris

Dessin de château-fort gris avec 4 toits rouges.

Cheminée. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d71039-cheminee

Cheminée

Cheminée de briques sur le toit en tuile d'une maison.

Cigogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d717f8-cigogne-

Cigogne

Cigogne.

Cigogne sur le toit de la pagode. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b73b34-cigogne-sur-le-toit-de-la-pagode

Cigogne sur le toit de la pagode

Girouette de cigogne sur le toit de la pagode du jardin chinois de Bochum en Allemagne.

Cottage au Danemark. Source : http://data.abuledu.org/URI/564cd5d2-cottage-au-danemark

Cottage au Danemark

Cottage au toit de chaume dans les dunes, Danemark.

Dessin de maison de nuit à Noël. Source : http://data.abuledu.org/URI/566b1f01-dessin-de-maison-de-nuit-a-noel

Dessin de maison de nuit à Noël

Dessin de Père Noël sur le toit d'une maison enneigée.

Dessous de toit et liteaux dans les Pyrénées. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a9f972-dessous-de-toit-et-liteaux-dans-les-pyrenees

Dessous de toit et liteaux dans les Pyrénées

Dessous de toit et liteaux dans les Pyrénées, à Mauléon-Licharre (Pyrénées-Atlantiques).

Détail du système d'accorage d'un conteneur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51166f47-detail-du-systeme-d-accorage-d-un-conteneur

Détail du système d'accorage d'un conteneur

Détail du système d'accorage (amarrage) d'un conteneur sur un porte-conteneur maritime. Le principe du conteneur a été inventé en 1956 par Malcom McLean (en), un transporteur routier américain qui trouvait que le transbordement en vrac des marchandises était trop long. Il charge d'abord directement le camion dans le bateau, puis perfectionne cette idée en rendant la caisse du camion mobile. Son invention restera confinée à la côte est des États-Unis pendant 10 ans, puis franchira l'Atlantique en 1966 et connaîtra ensuite une croissance fulgurante. Si le conteneur « de base » (et le plus répandu) reste une simple boîte, il existe des conteneurs spécialisés : réfrigérés, ventilés, déshumidifiés, avec un réservoir de carburant, à munitions, à vêtements, sans toit, pliants, à bétail, à voitures, plats, citernes, etc. En revanche, ils partagent le même système de fixation, par pièces de coin présentes sur les huit sommets du parallélépipède et verrous tournants fixés sur les châssis des véhicules ou les engins de manutention.

Distribution des cadeaux la nuit de Noël. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b4d8a2-distribution-des-cadeaux-la-nuit-de-noel

Distribution des cadeaux la nuit de Noël

Distribution des cadeaux la nuit de Noël par le père Noël grimpé sur le toit d'une maison, reprenant l'imagerie traditionnelle de Noël, dessin noir et blanc d'Yvain Coudert (Ryxéo, décembre 2013).

Fabrication de Noir de fumée. Source : http://data.abuledu.org/URI/513af8ac-fabrication-de-noir-de-fumee

Fabrication de Noir de fumée

Fabrication industrielle du noir de fumée, image scannée dans : "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906 page 39. « Dans l’industrie, on prépare le noir de fumée en brûlant des résines dans un espace restreint. La fumée épaisse qui se dégage passe dans une vaste chambre cylindrique tendue de toile, et dont le toit, de forme conique présente une ouverture pour la sortie des gaz dus à la combustion. Le noir de fumée se dépose sur les toiles et on le fait tomber au moyen d’un cône mobile engagé dans la toiture et dont le bord inférieur s’applique exactement contre la paroi de la chambre. »

Fabrication du noir de fumée en 1906. Source : http://data.abuledu.org/URI/53caa5cb-fabrication-du-noir-de-fumee-en-1906

Fabrication du noir de fumée en 1906

Fabrication du noir de fumée, "Leçons élémentaires de chimie" (B.Bussard, H.Dubois) 1906 page 39 : Dans l’industrie, on prépare le noir de fumée en brûlant des résines dans un espace restreint. La fumée épaisse qui se dégage passe dans une vaste chambre cylindrique tendue de toile, et dont le toit, de forme conique présente une ouverture pour la sortie des gaz dus à la combustion. Le noir de fumée se dépose sur les toiles et on le fait tomber au moyen d’un cône mobile engagé dans la toiture et dont le bord inférieur s’applique exactement contre la paroi de la chambre. (p.38-40)

Façade d'une maison du XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53619059-facade-d-une-maison-du-xixeme-siecle

Façade d'une maison du XIXème siècle

Maison bourgeoise à étage avec combles, à Champigny-sur-Veude (Indre-et-Loire).

Gare de King Cross. Source : http://data.abuledu.org/URI/501e2b01-gare-de-king-cross

Gare de King Cross

À l'origine, King's Cross était un monument à la gloire de George IV. La gare qui porte ce nom aujourd'hui était initialement la gare de correspondance londonienne de la compagnie Great Northern Railway ainsi que le terminus de la East Coast Main Line. Cette gare fut dessinée par Lewis Cubitt et construite en deux ans de 1851 à 1852 sur le site d'un ancien hôpital. Le bâtiment principal, comprenant les quais 1 à 8 fut ouvert au public le 14 octobre 1852. Son toit, le plus vaste à l'époque, serait la réplique de celui de l'école de cavalerie des Tsars de Moscou.

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Girouette moderne. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d61461-girouette-moderne

Girouette moderne

Une girouette est un dispositif généralement métallique, la plupart du temps installé sur un toit, constitué d'un élément rotatif monté sur un axe vertical fixe. Sa fonction est de montrer la provenance du vent ainsi que, contrairement à la manche à air, son origine cardinale.

Gouttière en zinc d'un toit en ardoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5131b35e-gouttiere-en-zinc-d-un-toit-en-ardoise

Gouttière en zinc d'un toit en ardoise

Trois hirondelles posées sur la gouttière en zinc d'un toit en ardoise à Tellin (Ardennes belges).

Hirondelle rustique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee08ae-hirondelle-rustique

Hirondelle rustique

L'Hirondelle rustique (Hirundo rustica) est une petite espèce de passereau migrateur vivant en Europe, en Asie, en Afrique et en Amérique. Elle est également connue sous le nom d'Hirondelle de cheminée ou d'Hirondelle des granges. Elle se distingue par sa longue queue fourchue et sa gorge couleur rouge brique. Elle niche dans un nid fait de terre séchée et de salive pour coller les bouts de terre, accroché sous un toit, une poutre, aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur, en ville ou à la campagne, souvent dans des granges ouvertes, et parfois dans les maisons ouvertes. Elle se nourrit essentiellement d'insectes attrapés en vol.

Incendie au Printemps en 1881. Source : http://data.abuledu.org/URI/5171a4b6-incendie-au-printemps-en-1881

Incendie au Printemps en 1881

L'incendie du Printemps Haussmann en 1881 : vue des toits incendiés.

Inondation à Tarascon en Juin 1856. Source : http://data.abuledu.org/URI/58b30a56-inondation-a-tarascon-en-juin-1856

Inondation à Tarascon en Juin 1856

Inondation à Tarascon le 3 juin 1856 par William Bouguereau (1825–1905) : Napoléon III, accompagné d’un ministre et de deux généraux, visitant en barque les sinistrés de Tarascon lors de l’inondation de mai-juin 1856. « Les communications entre cette ville et Avignon sont complètement interrompues, par suite de la rupture des chemins de fer que les eaux du Rhône ont coupé sur plusieurs points. Sa Majesté a traversé dans un bateau, au milieu des champs inondés, un espace de cinq kilomètres qui le séparait de Tarascon. L'Empereur profondément ému, a parcouru dans son bateau les rues de cette ville entièrement envahie par les eaux, et a distribué des consolations et des secours aux habitants réfugiés dans les étages supérieurs de leurs maisons », Le Moniteur Universel du 4 juin 1856. Hôtel de Ville de Tarascon Salle des Consuls.

Joubarbe des toits. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e6958-joubarbe-des-toits

Joubarbe des toits

Planche botanique de joubarbe des toits (Sempervivum tectorum), Atlas des Plantes de France, 1891 : aussi appelée "barbe de Jupiter" c'est une plante succulente thermophile. Selon une ancienne croyance, la joubarbe plantée sur le toit des chaumières protège celle-ci contre la foudre, cet attribut spécifique au dieu Jupiter. (wikipedia)

Joubarbe des toits. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e6a02-joubarbe-des-toits

Joubarbe des toits

Photographie de joubarbe des toits (Sempervivum tectorum) sur un toit de tuiles.

La maison du professeur Lidenbrock. Source : http://data.abuledu.org/URI/5280b192-la-maison-du-professeur-lidenbrock

La maison du professeur Lidenbrock

La maison du professeur Lidenbrock, illustration by Édouard Riou page 19 de "Voyage au centre de la Terre", 1864, de Jules Verne (1828-1905) : La vieille maison penchait un peu, il est vrai, et tendait le ventre aux passants ; elle portait son toit incliné sur l’oreille, comme la casquette d’un étudiant de la Tugendbund ; l’aplomb de ses lignes laissait à désirer ; mais, en somme, elle se tenait bien, grâce à un vieil orme vigoureusement encastré dans la façade, qui poussait au printemps ses bourgeons en fleurs à travers les vitraux des fenêtres.

La mère de Peer Gynt. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a2900f-la-mere-de-peer-gynt

La mère de Peer Gynt

La mère de Peer Gynt, Aase sur le toit du moulin. Peer Gynt, poème dramatique de Henrik Ibsen (1828-1906), illustré par Arthur Rackham (1867-1939), publié en 1936 par J. B. Lippincott à Philadelphie. Source : openlibrary.

La princesse et le nain - 3. Source : http://data.abuledu.org/URI/5159d730-la-princesse-et-le-nain-3

La princesse et le nain - 3

La princesse et le nain, 1920, chapitre 3, par Jessie Willcox Smith (1863–1935) du roman anglais fantastique de George MacDonald (1824-1905) : la vieille fileuse montre ses pigeons à la princesse.

La rue des Petits-toits. Source : http://data.abuledu.org/URI/56e4a68c-la-rue-des-petits-toits

La rue des Petits-toits

La rue des Petits-toits, "A book of images", 1898, par William Thomas Horton (1864-1919).

Le conte des trois sots. Source : http://data.abuledu.org/URI/507aa4cf-le-conte-des-trois-sots

Le conte des trois sots

Illustration du conte anglais "The three sillies" de Joseph Jacobs, 1892, par Batten : la femme qui voulait faire brouter l'herbe du toit par sa vache.

Le garage des Simpsons. Source : http://data.abuledu.org/URI/534c3772-le-garage-des-simpsons

Le garage des Simpsons

Le garage des Simpsons, graffiti à Karelia, en Russie : les parents sont dans la voiture, les enfants sur le toit.

Le toit de la Bourse de Copenhague. Source : http://data.abuledu.org/URI/59180813-le-toit-de-la-bourse-de-copenhague

Le toit de la Bourse de Copenhague

Le toit de la Bourse de Copenhague, sur l'île de Slotsholmen, construite pendant la première moitié du XVIIème siècle.

Les chats de gouttière de Georges Brassens. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b5b394-les-chats-de-gouttiere-de-georges-brassens

Les chats de gouttière de Georges Brassens

Les chats de gouttière de l'Impasse Florimont, où habita Georges Brassens de 1944 à 1966, Paris XIVème.

Les toits de la ville de Loches. Source : http://data.abuledu.org/URI/55e43581-les-toits-de-la-ville-de-loches

Les toits de la ville de Loches

Les toits de la ville de Loches et ses environs, vus depuis la citadelle.

Les toits de Montpellier. Source : http://data.abuledu.org/URI/58d4c4ac-les-toits-de-montpellier

Les toits de Montpellier

Les toits de Montpellier dans le quartier de la gare.

Les trois fileuses de Prague. Source : http://data.abuledu.org/URI/58d024a2-les-trois-fileuses-de-prague

Les trois fileuses de Prague

Les trois fileuses de Prague, toit du Palais général (République tchèque).

Maison avec pigeonnier en Dordogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/536b2066-maison-avec-pigeonnier-en-dordogne

Maison avec pigeonnier en Dordogne

Maison avec pigeonnier d'angle dans le village de Plazac, Dordogne.

Maisons au toit de chaume à Cordeville. Source : http://data.abuledu.org/URI/5515b320-maisons-au-toit-de-chaume-a-cordeville

Maisons au toit de chaume à Cordeville

Maisons au toit de chaume à Cordeville, mai 1890, par Vincent Van Gogh (1853-1890).

Maisons au toit de chaume aux Pays-Bas en 1884. Source : http://data.abuledu.org/URI/5515bfcb-maisons-au-toit-de-chaume-aux-pays-bas-en-1884

Maisons au toit de chaume aux Pays-Bas en 1884

Maisons au toit de chaume aux Pays-Bas en 1884, par Vincent Van Gogh (1853-1890).

Modèle de climatiseur sur un toit. Source : http://data.abuledu.org/URI/528fd770-modele-de-climatiseur-sur-un-toit

Modèle de climatiseur sur un toit

Modèle de climatiseur sur un toit.

Monuments encyclopédiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/544400d3-monuments-encyclopediques

Monuments encyclopédiques

Ce graphique représente la taille de Wikipédia ainsi que celle de trois autres encyclopédies généralistes "classiques". La surface du toit des bâtiments est proportionnelle au nombre d'articles. Affiché dans sa taille originale, un pixel représente un article. La hauteur des bâtiments est fonction du pourcentage de conflits dans la catégorie correspondante. Les catégories et les conflits ne sont pas montrés pour les encyclopédies classiques. Chaque fenêtre rouge correspond à 1 000 éditeurs très actifs (avec plus de 100 éditions par mois), les bleues représentent 1 000 contributeurs actifs (plus de 5 éditions par mois). Chaque bonhomme bâton représente un million de visiteurs uniques par mois. Du fait du manque d'information concernant les encyclopédies classiques, il n'y a aucun visiteur dessiné près d'elles. Certains bonshommes transportent de petits carrés, qui représentent chacun 21 nouveaux articles par mois (un pixel par article dans les proportions normales).

Noël en ballons. Source : http://data.abuledu.org/URI/53150036-noel-en-ballons

Noël en ballons

Père Noël et sapin en ballons, posés sur un toit.

Piscine sur un toit-terrasse à New York. Source : http://data.abuledu.org/URI/523b6f97-piscine-sur-un-toit-terrasse-a-new-york

Piscine sur un toit-terrasse à New York

Une piscine au sommet d'un immeuble à New York sur un toit-terrasse. La photo a été prise depuis l'Empire State Building.

Quartier sauvegardé à Dijon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5820561f-quartier-sauvegarde-a-dijon-

Quartier sauvegardé à Dijon

Quartier sauvegardé de Dijon : toit bourguignon en tuiles vernissées.

Quartier sauvegardé à Dijon. Source : http://data.abuledu.org/URI/58205836-quartier-sauvegarde-a-dijon-

Quartier sauvegardé à Dijon

Quartier sauvegardé de Dijon : toit en tuiles vernissées.

Raton laveur sur le toit d'une maison. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d824e7-raton-laveur-sur-le-toit-d-une-maison

Raton laveur sur le toit d'une maison

Raton laveur (Procyon lotor) sur le toit en tuiles plates d'une maison.

Reconstitution de tombe double préhistorique. Source : http://data.abuledu.org/URI/546146bd-reconstitution-de-tombe-double-prehistorique

Reconstitution de tombe double préhistorique

Reconstitution de tombe double préhistorique, île de Téviec (Morbihan). La reconstitution de cette tombe du Mésolithique a été confiée à Philippe Lacomme qui, au début du XXe siècle, était le taxidermiste et préparateur du muséum. Il a signé cette œuvre en la datant de 1938. Les deux corps ont été ensevelis avec beaucoup de soin dans une fosse creusée moitié dans le sous-sol et moitié dans les débris de cuisine qui le recouvraient. L’ensemble est protégé par un toit fait de bois de cervidés7. Le mobilier funéraire comprend des silex et surtout des stylets en os de sanglier, ainsi que des bijoux funéraires formés de coquilles marines percées et assemblées en colliers, bracelets et anneaux de jambes. Quelques-uns des objets en os portent quelques traits gravés. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A9viec

Renards et cerises sur le toit. Source : http://data.abuledu.org/URI/5654a999-renards-et-cerises-sur-le-toit

Renards et cerises sur le toit

Statues des renards et des cerises, par Lucy Casoon, sur le toit du bâtiment à l'angle sud-ouest d'Electric Avenue et Electric Lane, Brixton.