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Photographie | Musées -- Accueil des visiteurs | Dessins et plans | Ethnologie -- Musées | Loisirs | Gravure | San Francisco (Calif.) | Humour | Art -- Musées -- Visiteurs | Architecture -- Musées | Musées | Architecture | Dix-neuvième siècle | Aquariums publics | Plantes | Tourisme | Art -- Musées | Plantes d'aquarium | Anglais (langue) | Carrières souterraines (exploitations minières) | ...
Les élégantes au Champ de Mars en 1889. Source : http://data.abuledu.org/URI/539ff27e-les-elegantes-au-champ-de-mars-en-1889

Les élégantes au Champ de Mars en 1889

"Au Champ-de-Mars - entre quatre et cinq, promenade en fauteuil roulant", par Paul Despretz : pendant l'exposition universelle d'octobre 1889, les élégantes se faisaient promener en fauteuil roulant pour la visite.

Aire de démonstration à Trélazé. Source : http://data.abuledu.org/URI/58b3429d-aire-de-demonstration-a-trelaze

Aire de démonstration à Trélazé

Aire de démonstration de fente d'ardoise du musée de l'ardoise de Trélazé (Maine-et-Loire, France).

Aménagement intérieur d'un aquarium public. Source : http://data.abuledu.org/URI/530dc8aa-amenagement-interieur-d-un-aquarium-public

Aménagement intérieur d'un aquarium public

Aménagement intérieur pour les visiteurs d'un aquarium public : "Le monde de la mer" à Prague.

Atelier historique de Daimler à Stuttgart. Source : http://data.abuledu.org/URI/5288b038-atelier-historique-de-daimler-a-stuttgart

Atelier historique de Daimler à Stuttgart

Atelier historique de Daimler à Stuttgart, devenu Musée.

Atrium avec fontaine et bassin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b9810d-atrium-avec-fontaine-et-bassin

Atrium avec fontaine et bassin

L’atrium (pluriel latin : atria, pluriel francisé : atriums) était, chez les Étrusques et dans la Rome antique, la pièce centrale de la maison familiale (domus). C’était la partie de la maison ouverte aux hôtes, aux clients et aux visiteurs. Selon une théorie admise par la plupart des historiens, l'atrium était dans la Rome primitive une cour entourée de bâtiments, précédant la pièce d'habitation du maître de maison.

Bassin d'aquarium tropical. Source : http://data.abuledu.org/URI/530dc4fb-bassin-d-aquarium-tropical

Bassin d'aquarium tropical

Bassin d'aquarium tropical.

British Museum à Londres. Source : http://data.abuledu.org/URI/54cff1fb-british-museum-a-londres

British Museum à Londres

Panorama de la grande cour du British Museum à Londres.

Carte de répartition du pinson. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc0cbe-carte-de-repartition-du-pinson

Carte de répartition du pinson

Carte de répartition des pinsons des arbres (Fringilla coelebs). Source : Snow & Perrins, "Birds of the Western Palearctic", Harrison "An Atlas of the Birds of the Western Palaearctic"et Clement et al. "Finches & Sparrows". En jaune : visiteurs d'été ; en vert : résidents.

Coupole du Printemps. Source : http://data.abuledu.org/URI/5171a095-coupole-du-printemps

Coupole du Printemps

Coupole du Printemps, boulevard Haussmann à Paris. En 1907, Laguionie se lance à la construction d'un nouveau bâtiment qui, en 1908, ouvre déjà plusieurs de ses nouvelles galeries à l'angle des rues Caumartin et de Provence. Il est relié au magasin plus ancien par un sous-sol. C'est en avril 1910 qu'a lieu l'inauguration de ce qui est appelé les Nouveaux Magasins. À l'époque ils occupent environ la moitié de la surface des magasins actuels du Printemps Haussmann. Le style du nouveau bâtiment, coiffé d'une coupole et d'une terrasse, est assez proche de celui du magasin de Sédille pour conserver une certaine homogénéité. Mais une fois de plus, les innovations architecturales ne passent pas inaperçues : le nouveau hall octogonal est perçu comme audacieux, la ferronnerie des balcons et des rampes d'escalier est une réalisation de style art nouveau, l'éclairage du nouveau bâtiment étonne, et les trois nouveaux ascenseurs rapides émerveillent les visiteurs.

Couturières à Munich. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d984f3-couturieres-a-munich

Couturières à Munich

Le char des couturières à la parade de la fête d'octobre à Munich en 2009. L'Oktoberfest attire chaque année plus six millions de visiteurs, parmi lesquels de nombreux étrangers. Ils représentent environ 19 % des personnes présentes sur la Wiesn, parmi eux 17 % sont italiens, suivis par les américains et les britanniques. De manière peut-être plus étonnante plus de 70 % des personnes sur l'Oktoberfest viennent de Bavière, seuls 9 % viennent du reste de l'Allemagne. Depuis les années 2000 environ, les touristes viennet de plus en plus à la Wiesn en habits traditionnels bavarois, à savoir le Lederhose pour les hommes et en Dirndl pour les femmes.

En bateau-mouche aux abords du pont d'Iéna. Source : http://data.abuledu.org/URI/5344721a-en-bateau-mouche-aux-abords-du-pont-d-iena

En bateau-mouche aux abords du pont d'Iéna

Visiteurs de l'exposition de Paris de 1889 en bateau-mouche, journal du 18 mai 1889.

En bateau-mouche aux abords du pont d'Iéna en 1889. Source : http://data.abuledu.org/URI/5870390d-en-bateau-mouche-aux-abords-du-pont-d-iena-en-1889

En bateau-mouche aux abords du pont d'Iéna en 1889

Visiteurs de l'exposition internationale de 1889 en bateau-mouche aux abords du pont d'Iéna.

Entrée du China Dinosaurs Park. Source : http://data.abuledu.org/URI/52360751-entrance-china-dinosaurs-park-jpg

Entrée du China Dinosaurs Park

Entrée du China Dinosaurs Park. Ouvert en avril 2001 après deux ans de travaux, le parc a coûté 40 millions de dollars (30 millions d'€). China Dinosaurs Park vit la plus grande extension de son histoire en 2010. En cette année, China Dinosaurs Park inaugure une nouvelle zone incluant dix nouvelles attractions. Avec 340 000 visiteurs en 2012, il est le 13e parc des continents asiatique et océanique en termes de fréquentation.

Epipactis à large feuilles et Listère à feuilles ovales. Source : http://data.abuledu.org/URI/5063ffde-epipactis-a-large-feuilles-et-listere-a-feuilles-ovales

Epipactis à large feuilles et Listère à feuilles ovales

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891 présentant deux orchidées. A- L'épipactis à larges feuilles, (Epipactis helleborine subsp. helleborine), est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidacées que l'on rencontre en forêt ou spontanément dans les parcs et jardins des villes et campagnes. Les pollinisateurs confirmés sont des fourmis, mouches, coléoptères (Cantharis rustica...), des bourdons et des guêpes (Vespula vulgaris, Dolichovespula sylvestris...). La plante produit du nectar facilement accessible aux visiteurs en tout genre, son hypochile nectarifère ayant une forme de coupe. Aire de répartition : eurasiatique, se répand dans le quart nord-est des États-Unis depuis 150 ans. Espèce courante en France, sauf dans les départements du Finistère, du Gers et des Landes. B- Listère à feuilles ovales (Listera ovata), Orchidacée terrestre européenne.

Epipactis à larges feuilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50640152-epipactis-a-larges-feuilles

Epipactis à larges feuilles

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. L'épipactis à larges feuilles, (Epipactis helleborine subsp. helleborine), est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidacées que l'on rencontre en forêt ou spontanément dans les parcs et jardins des villes et campagnes. Les pollinisateurs confirmés sont des fourmis, mouches, coléoptères (Cantharis rustica...), des bourdons et des guêpes (Vespula vulgaris, Dolichovespula sylvestris...). La plante produit du nectar facilement accessible aux visiteurs en tout genre, son hypochile nectarifère ayant une forme de coupe.

Géologie d'une carrière parisienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/514395af-geologie-d-une-carriere-parisienne

Géologie d'une carrière parisienne

Schéma en coupe (simplifié) des carrières de calcaire parisiennes. Vue simplifiée des bancs de roche qui composent la géologie des carrières de la rive gauche de Paris. En jaune, les bancs exploitables pour la construction. De bas en haut : Juste au-dessus des sables yprésiens, on trouve le lutétien inférieur. Celui-ci se reconnaît par un grand nombre de nummulites visibles à l'œil nu dans la roche, et se divise en deux bancs : 1) La base verdâtre, dont la couleur révèle la présence de glauconie et de quartz ; 2) Les forgets, petits bancs alternant calcaires durs (également glauconieux) et lits de sable. En raison de sa profondeur et du peu de pierre utilisable pour la construction, cette couche n'a pas été exploitée par les carriers. Encore au-dessus, le lutétien moyen constitue une strate de six mètres d'épaisseur. Il se divise en trois bancs : 1) Le banc à vérin des carriers, reconnaissable par les cérithes géants qui s'y trouvent et par une couleur jaune-rougeâtre. D'un grain serré, il n'a été exploité que dans sa partie supérieure et de façon épisodique. 2) Les lambourdes ou vergelets, banc gris, peu épais et tendre. Il ne contient pas d'eau, ce qui le rend « non gélif » (il ne peut pas geler) et utilisable pour la construction, bien que les traces de coquilles et de fossiles y soient très visibles. 3) Le banc royal, non gélif et homogène, qui fournit des pierres de grande qualité pour la construction. Le lutétien supérieur contient quant à lui les bancs les plus variés et les plus exploitables. Il se constitue de deux strates : le banc vert et les bancs francs. Le premier sépare les niveaux inférieurs et supérieurs en carrière, le second constitue le calcaire le plus souvent exploité, avec plusieurs bancs exploitables souvent séparés par des couches de sables plus ou moins marneuses appelées bousins. Ces bancs sont en partie composés d'argile et contiennent de l'eau, ce qui les rend gélifs, mais leur dureté et leur solidité les rend tout à fait aptes à la construction. Le banc vert, premier étage du lutétien supérieur, se divise en trois bancs : 1) le liais du bas, 2) le banc vert proprement dit (qui donne son nom générique aux deux couches qui l'entourent), composé d'un lit marneux, d'argile verte et de fossiles qui témoignent de son origine lacustre, et 3) le liais du haut, identique à celui du bas. Ce liais est appelé liais franc lorsqu'il est exploité, et banc de marche lorsqu'il constitue le sol de la carrière (et donc que les visiteurs marchent dessus). Les bancs francs, qui représentent les bancs les plus souvent visibles dans les galeries de carrière, se subdivisent en six sortes : 1) Le banc de laine, ou cliquart, ou banc des galets. D'une faible épaisseur, il contient peu de fossiles. Sa consistance varie selon les cas et ressemble à celle des lambourdes lorsqu'elle est tendre, du liais lorsqu'elle est dure ; 2) Le grignard, ou coquiller. Très riche en fossiles, ce banc est peu exploitable, car il est trop constellé de coquillages pour donner des blocs réellement solides. 3) Le souchet. Très tendre, peu compact, il va donner son nom au souchevage, une technique d'extraction de la pierre. En effet, pour commencer à exploiter les bancs situés juste au-dessus, les carriers extraient le souchet de manière à créer un espace vide horizontal, puis creusent des fentes sur le côté du bloc à extraire (ce que l'on appelle le défermage). Contenant quelquefois des galets et des fossiles, le souchet se délite facilement. 4) Le banc blanc, ou banc royal, ou liais franc, ou remise. D'un grain fin et serré, il donne des blocs de bonne qualité, qui se vendront à prix d'or pendant les chantiers du XVIIIe et du XIXe siècle. 5) Le banc franc, ou haut banc, ou banc royal, ou rustique. Il ressemble au banc blanc, et donne lui aussi des blocs de qualité, mais on l'en distingue par le fait qu'il contienne beaucoup moins de fossiles. 6) La roche, ou ciel de carrière. Cette couche, très dure et très coquillière, est souvent laissée en place pour servir de toit à la carrière (que l'on appelle ciel de carrière).

Jeunes visiteurs de l'exposition Scan Pyramids. Source : http://data.abuledu.org/URI/585ff7f3-jeunes-visiteurs-de-l-exposition-scan-pyramids

Jeunes visiteurs de l'exposition Scan Pyramids

Vue générale de l'exposition "Scan Pyramids" qui a eu lieu au musée du 10 décembre 2016 au 12 février 2017.

Joueurs de hockey au Musée Mécanique de San Francisco. Source : http://data.abuledu.org/URI/587b9967-joueurs-de-hockey-au-musee-mecanique-de-san-francisco

Joueurs de hockey au Musée Mécanique de San Francisco

Joueurs de hockey au Musée Mécanique de San Francisco.

Le Mont Saint-Michel au crépuscule. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357c1ef-mont-saint-michel-

Le Mont Saint-Michel au crépuscule

Le Mont-Saint-Michel au crépuscule. Le mont Saint-Michel est un îlot rocheux granitique d’environ 960 mètres de circonférence situé à l’est de l’embouchure du fleuve du Couesnon, dans le département de la Manche. Avant l'année 709, il était connu comme le "mont Tombe ». Pendant tout le Moyen Âge, il est couramment appelé "Mont Saint-Michel au péril de la mer" (Mons Sancti Michaeli in periculo mari). Le mont Saint-Michel baigne dans la baie du mont Saint-Michel, ouverte sur la Manche. L’îlot atteint 92 mètres d’altitude et offre une superficie émergée d’environ 7 ha. Cet îlot s’élève dans une grande plaine sablonneuse. C'est le troisième site touristique le plus fréquenté de France après la tour Eiffel et le château de Versailles, avec plus de 3 500 000 visiteurs chaque année ; la commune et la baie figurent depuis 1979 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Les marées dans la baie du mont Saint-Michel ont une amplitude de près de treize mètres les jours de fort coefficient, la mer se retire à grande vitesse sur une dizaine de kilomètres, mais revient aussi vite : l’expression consacrée est "qu’elle revient à la vitesse d’un cheval au galop". Le Mont-Saint-Michel n’est entouré d'eau et ne redevient une île qu’aux grandes marées d'équinoxe, cinquante-trois jours par an, pendant quelques heures. Mais c’est un spectacle impressionnant qui attire de nombreux touristes ces jours là. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Saint-Michel

Maison traditionnelle à Santana dans l'île de Madère. Source : http://data.abuledu.org/URI/55089af3-maison-traditionnelle-a-santana-dans-l-ile-de-madere

Maison traditionnelle à Santana dans l'île de Madère

Le Parc thématique de Madère (en portugais Parque Temático da Madeira) se situe à Santana dans le nord de l'île, s'étendant sur sept hectares de jardins, paysages et pavillons où les visiteurs peuvent découvrir l'histoire de Madère et de Porto Santo, ainsi que la culture et les traditions locales. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Santana_%28Mad%C3%A8re%29

Marie Sartori  à Éduspot. Source : http://data.abuledu.org/URI/58c5d50b-marie-sartori-a-eduspot

Marie Sartori à Éduspot

Marie Sartori à Éduspot, mars 2017 : accueil des visiteurs.

Massage de pied au Musée Mécanique de San Francisco. Source : http://data.abuledu.org/URI/587b9897-massage-de-pied-au-musee-mecanique-de-san-francisco

Massage de pied au Musée Mécanique de San Francisco

Massage de pied au Musée Mécanique de San Francisco : "Footsie Wootsie, the ultimate foot massage".

Max und Moritz 58. Source : http://data.abuledu.org/URI/5217148e-max-und-moritz-58

Max und Moritz 58

Réveillé en pleine nuit par ces visiteurs inattendus : scène 5, Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908).

Monuments encyclopédiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/544400d3-monuments-encyclopediques

Monuments encyclopédiques

Ce graphique représente la taille de Wikipédia ainsi que celle de trois autres encyclopédies généralistes "classiques". La surface du toit des bâtiments est proportionnelle au nombre d'articles. Affiché dans sa taille originale, un pixel représente un article. La hauteur des bâtiments est fonction du pourcentage de conflits dans la catégorie correspondante. Les catégories et les conflits ne sont pas montrés pour les encyclopédies classiques. Chaque fenêtre rouge correspond à 1 000 éditeurs très actifs (avec plus de 100 éditions par mois), les bleues représentent 1 000 contributeurs actifs (plus de 5 éditions par mois). Chaque bonhomme bâton représente un million de visiteurs uniques par mois. Du fait du manque d'information concernant les encyclopédies classiques, il n'y a aucun visiteur dessiné près d'elles. Certains bonshommes transportent de petits carrés, qui représentent chacun 21 nouveaux articles par mois (un pixel par article dans les proportions normales).

Musée de Rembrandt. Source : http://data.abuledu.org/URI/53867257-musee-de-rembrandt

Musée de Rembrandt

Domicile-musée de Rembrandt à Amsterdam : peintures à l'huile.

Musée des santons à Marseille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e8e8fe-musee-des-santons-a-marseille

Musée des santons à Marseille

Musée des santons de Provence Marcel Carbonel (collection privée marcel Carbonel). Architecte d'intérieur, Maurice Padovani, Marseille : Marcel Carbonel, né à Lyon le 25 juillet 1911, décédé à Marseille le 25 mai 2003 à l'âge de 92 ans, est un santonnier marseillais, doyen de sa profession. Pour fabriquer le moule original d'une nouvelle création appelé « moule-mère », il utilise du plâtre de Paris de couleur jaunâtre; ses particularités sont la finesse de l'empreinte, sa densité et sa solidité. Pour les moules de reproduction, il utilise un plâtre moins dur qui permet de démouler plus facilement le sujet. La forme des moules de reproduction est importante ; elle est arrondie en haut du moule afin de faciliter l'estampage en série. Ensuite, il laisse sécher le santon et le cuit dans un four électrique à une température qui atteint progressivement 980 °C. Il décore ses santons avec des gouaches de sa propre fabrication. Grâce à sa formation de lithographe, il met au point ses propres gouaches en broyant manuellement des pigments avec de la gomme arabique dure, dite « Kitir », qu'il décante lui-même. Il utilise 19 pigments de base (ocre rouge, ocre jaune, terre de sienne, terre de sienne brûlée, rouge hélios, rouge d'alizarine, rose tyrien, vert de chrome, vert valentine, violet d'alizarine, jaune hansa, jaune de chrome, bleu de cobalt, bleu de manganèse, bleu outremer, bleu de prusse, noir d'ivoire, blanc de titane, blanc de lithopone, qu'il mélange pour créer sa propre palette de 124 couleurs répertoriées et dosées. Ce procédé, d'après son expérience, permet en effet d'obtenir des couleurs plus vives et éclatantes que les gouaches en tube du commerce auxquelles ont généralement recours les autres santonniers. En 1961, la discipline santonnière rentre à la Sorbonne où Marcel Carbonel sera le premier santonnier à être distingué Meilleur ouvrier de France ; cette discipline est toujours en vigueur. Le 9 mai 2003, il est fait chevalier de la Légion d'honneur. Sa collection privée est constituée de pièces originales faites d'argile (cuite ou crue), papiers mâchés, bois sculpté et précieux, verre filé de Murano, plâtre, céramique, porcelaine, polychrome, maïs, liège, tissus (santons habillés). En 1997, cette collection est mise en valeur au travers d'un musée permettant aux visiteurs d'explorer cet artisanat. De la collection privée de Marcel Carbonel de plus de quatre mille cinq cents pièces, seules 2 421 pièces sont exposées.

Musée Mécanique de San Francisco. Source : http://data.abuledu.org/URI/587b9569-musee-mecanique-de-san-francisco

Musée Mécanique de San Francisco

Musée Mécanique de San Francisco.

Musée Mécanique de San Francisco. Source : http://data.abuledu.org/URI/587b961a-musee-mecanique-de-san-francisco

Musée Mécanique de San Francisco

Musée Mécanique de San Francisco : "antique coin operated arcade" = machines à sous anciennes.

Parapluies dans un jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5399fbce-parapluies-dans-un-jardin

Parapluies dans un jardin

Visiteurs d'un jardin de Sou-Tcheou, ou Suzhou, en Chine, pendant un typhon. Sou-Tcheou, capitale de la soie, est connue pour ses nombreux canaux et jardins traditionnels. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Suzhou

Plage de Maria Island en Tasmanie. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ba8871-plage-de-maria-island-en-tasmanie

Plage de Maria Island en Tasmanie

Plage de Maria Island en Tasmanie. Le parc a une partie maritime qui s'étend de Fossil Bay sur la côte nord de l'île jusqu'à Return Point sur la côte ouest et s'étend jusqu'à un kilomètre au large. Au sud-ouest de Painted Cliffs et juste à l'extérieur de la partie maritime du parc, un cargo désaffecté a été coulé en 2007 pour former un récif de plongée. Il y a aussi de nombreuses épaves autour de l'île. Il n'y a pas de magasins sur l'île. Tout le matériel et les vivres doivent être apportés par les visiteurs. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_national_de_Maria_Island

Plan du musée de Grenoble. Source : http://data.abuledu.org/URI/534c40e6-plan-du-musee-de-grenoble

Plan du musée de Grenoble

Plan du niveau 0 du musée de Grenoble : accueil ; cafétéria ; du 13ème au 17ème siècles ; 17ème siècle ; 18ème siècle ; 19ème siècle ; 19ème siècle ; cabinet des dessins ; 20ème siècle ; bassin d'eau ; expositions temporaires ; réserves ; ateliers. Le musée de Grenoble est un musée municipal des beaux-arts et antiquités de la ville de Grenoble en Isère. Situé place Lavalette, il est considéré, tant pour ses collections d'art ancien que pour ses collections d'art moderne et contemporain, comme l'un des plus prestigieux musées en Europe. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mus%C3%A9e_de_Grenoble

Port Saint-Goustan dans le Morbihan. Source : http://data.abuledu.org/URI/56d15a42-port-saint-goustan-dans-le-morbihan

Port Saint-Goustan dans le Morbihan

Port Saint-Goustan dans le Morbihan, ancien port de pêche aménagé au XVII° siècle sur la rive gauche du Loc'h (rivière d'Auray). Devenu un port de plaisance d'environ 155 places, il est adossé au quai et accueille, en 2007, plus de 1 300 bateaux-visiteurs par an. Source: Wikipédia.

Salle à manger improvisée au Champ-de-Mars en 1878. Source : http://data.abuledu.org/URI/58704ad8-salle-a-manger-improvisee-au-champ-de-mars-en-1878

Salle à manger improvisée au Champ-de-Mars en 1878

La salle à manger improvisée au Champ-de-Mars en 1878 pour les visiteurs de l'exposition internationale de 1878.

Salle archéologique au musée de Dijon. Source : http://data.abuledu.org/URI/56cee185-salle-archeologique-au-musee-de-dijon

Salle archéologique au musée de Dijon

Aménagement de l'espace pour les visiteurs et pour les conservateurs à l'étage, Musée archéologique de Dijon, reportage Marie Sartori 20160224.

Tennis à deux. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c1bada-tennis-a-deux

Tennis à deux

Clone de "Tennis for Two", développé en 1958 sur un ordinateur relié à un oscilloscope. Une barre horizontale représente le sol (ou la table de tennis de table), tandis qu'une petite barre verticale représente le filet. Un point symbolise la balle. Les deux joueurs agissent sur celle-ci au moyen d'un objet bricolé pour l'occasion comportant un bouton pour effectuer une frappe et une molette pour régler l'angle de frappe, peut-être le tout premier paddle. Il est notamment le précurseur de Pong, le premier jeu vidéo populaire. Bien que les deux jeux soient des jeux de tennis, Tennis for Two se concentre sur la gestion de la balle, alors que le joueur contrôle la raquette dans Pong. Il a été créé par William Higinbotham (1910-1994) pour distraire les visiteurs durant des portes ouvertes au laboratoire national de Brookhaven. Après deux ans d'exposition, la machine a été démantelée. Le jeu était géré par un petit calculateur analogique constitué de dix amplificateurs opérationnels, à l'époque des tubes électroniques, ainsi que de quelques résistances, condensateurs et relais. L'affichage est réalisé par un oscilloscope à tube cathodique, et pour générer des lignes et une balle nettes, il est nécessaire de synchroniser précisément les signaux en fonction du temps, à cet effet, et seulement à cet endroit du système, des transistors sont utilisés. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tennis_for_Two.

Visite des Catacombes en 1860. Source : http://data.abuledu.org/URI/5142f543-visite-des-catacombes-en-1860

Visite des Catacombes en 1860

Visite des catacombes en 1860 : Un arrêt du Conseil d'État du 9 novembre 1785 décide la suppression du cimetière des Innocents avec évacuation des ossements, puis son réaménagement en marché public. Le nom de Catacombes est donné aux carrières aménagées, par analogie avec les anciennes nécropoles souterraines de Rome, même si les lieux n'ont jamais servi de sépulture directe et n'ont aucun caractère sacré. Durant toute son existence, plus de deux millions de parisiens sont inhumés au cimetière des Innocents. Dès leur création, les Catacombes suscitent la curiosité. En 1787, le premier visiteur, le comte d'Artois, futur Charles X, y descend en compagnie de dames de la Cour. L'année suivante, on mentionne la visite de Madame de Polignac et Madame de Guiche. Mais il faut attendre 1806 pour que les premières visites publiques soient organisées ; celles-ci ne s'opèrent qu'à des dates irrégulières pour de rares privilégiés. C'est le successeur de Guillaumot, Louis-Étienne Héricart de Thury, alors responsable du service des carrières de la Ville de Paris, qui organise les premières visites régulières dès sa prise de fonction. Il fait tracer au plafond un trait noir, servant de fil d'Ariane aux visiteurs. En 1810 et 1811, il fait aménager l'ossuaire avec la réalisation d'alignements d'ossements décorés de motifs macabres ou artistiques, et placer des plaques portant des citations gravées dans la pierre, tirées de textes sacrés, littéraires, philosophiques ou poétiques célèbres, avec un goût propre au Premier Empire. Les ouvrages de consolidation sont transformés en monuments à la pompe funéraire. Par ailleurs, l'ossuaire est isolé du reste des carrières souterraines, donnant un aspect proche de celui qu'on observe au XXIe siècle. Héricart de Thury (1776-1854) publie en 1815 la "Description des Catacombes de Paris", qui devint la base sur laquelle toutes les études postérieures s'appuient.

Visiteurs du zoo de Prague. Source : http://data.abuledu.org/URI/58d02a66-visiteurs-du-zoo-de-prague

Visiteurs du zoo de Prague

Visiteurs du zoo de Prague.

Visiteurs européens d'Openstreetmap. Source : http://data.abuledu.org/URI/508d12be-visiteurs-europeens-d-openstreetmap

Visiteurs européens d'Openstreetmap

Cartographie des visiteurs européens d'Openstreetmap.