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Construction d'une perpendiculaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4f6cf-construction-d-une-perpendiculaire

Construction d'une perpendiculaire

Construction à la règle et au compas d'une perpendiculaire à une droite passant par une point extérieur à la droite : La perpendiculaire à la droite (AB) passant par un point C non situé sur (AB) est la droite (CC') joignant le point C à son symétrique par rapport à la droite (AB). Si le point C est situé sur (AB), il suffit de prendre le symétrique A' (ou B') du point A (ou du point B) par rapport à C, la perpendiculaire est alors la médiatrice de [AA'] (ou de [BB']).

Comatule de Schlegel. Source : http://data.abuledu.org/URI/552c2a55-comatule-de-schlegel

Comatule de Schlegel

Comatule de Schlegel (Comaster schlegelii) ou échinoderme. C'est une grande comatule buissonnante, dont le diamètre peut dépasser 20 cm, et qui vit assez exposée. Ses bras sont longs et épais, non ramifiés (en dehors des pinnules) et de taille homogène ; elle peut en avoir plus de 200. Sa couleur est très variable : elle est souvent noire (notamment à proximité de la surface). On la trouve souvent juchée au sommet des coraux ou des éponges. Comme toutes les comatules, elle est pourvue de cirres munis de griffes, ici assez courtes, qui lui permettent de s'agripper au substrat, mais aussi de pouvoir se déplacer si nécessaire. Cette comatule vit d'abord fixée au substrat, puis devient vagile tout en conservant des mœurs sédentaires. Dérangée, elle est capable de ramper sur ses cirres, ou même de nager quelque temps. Elle vit souvent cachée et repliée la journée, pour déployer ses longs bras la nuit tombée, à l'abri des prédateurs. Comme tous les crinoïdes, cette comatule est suspensivore. Ses longs bras ramifiés munis de pinnules filtrent l'eau, et retiennent les particules en suspension (plancton, neige marine, particules organiques en suspension...) en s'enroulant, avant de transmettre le butin aux tentacules collants qui tapissent les sillons ambulacraires. La nourriture circule ensuite le long de ces sillons comme sur un tapis roulant, pour arriver finalement à la bouche, d'où elles passera dans le tube digestif. Pour augmenter leur efficacité, les comatules se tiennent généralement perpendiculaires au courant, et recherchent les zones où le plancton est abondant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Comaster_schlegelii

Construction d'un point symétrique par pliage. Source : http://data.abuledu.org/URI/518f7911-construction-d-un-point-symetrique-par-pliage

Construction d'un point symétrique par pliage

Construction du symétrique d'un point par rapport à une droite par origami : On construit la perpendiculaire à (L) passant par P puis la perpendiculaire à cette perpendiculaire passant par P (autrement dit, la parallèle à (L) passant par P). On construit les deux bissectrices en P à la parallèle à (L) et la perpendiculaire à (L). Ces deux bissectrices vont couper (L) en deux points d'où l'on trace deux nouvelles perpendiculaires à (L). Deux dernières bissectrices vont se couper en le symétrique à P cherché.

Groma. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b571ef-groma

Groma

Groma, LWL-Römermuseum à Haltern am See en Allemagne. La groma ou gruma (par déformation de l'étrusque (gn/gr), du mot grec gnomon (γνωμων) signifiant "équerre" était l'appareil de levé essentiel des agrimenseurs (arpenteurs) de l'ancienne Rome. C'est un lointain ancêtre de l'équerrette des géomètres du XIXe siècle. C'était une perche verticale supportant à son extrémité supérieure un croisillon monté sur un tourillon : le croisillon pouvait ainsi tourner dans le plan horizontal. Chaque bras du croisillon supportait à son extrémité un fil à plomb. La groma servait à vérifier les alignements et la correction des directions perpendiculaires dans les rites du bornage étrusque de fondation des villes : l'angle droit formé par les directions des deux artères du cardo et du decumanus, était vérifié à la groma par des agrimenseurs. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Groma_%28instrument_de_mesure%29

Météorologie populaire en 1888. Source : http://data.abuledu.org/URI/53328bf0-meteorologie-populaire-en-1888

Météorologie populaire en 1888

La gravure, dite de Flammarion, ou « au pèlerin », est souvent décrite comme une gravure médiévale, à cause du sujet traité. En réalité le style indique une gravure sur bois allemande de la Renaissance. Elle représente un paysage et un ciel hémisphérique où s'accrochent le Soleil, la Lune et les étoiles, et un homme, qui, à cause de son bâton, fait penser à un pèlerin du Moyen Âge, mais que son vêtement long désigne plutôt comme un clerc, ou un étudiant. À quatre pattes sur le sol, il passe sous la voûte céleste à l'endroit où celle-ci rencontre la Terre, et la position de sa main trahit sa surprise, en découvrant ce qui se trouve au-delà. Au premier plan de ce qu'il découvre figure un rideau de flammes, qui nous désigne le "ciel empyrée" que la cosmologie médiévale plaçait au-delà de la sphère des étoiles fixes. Plus haut, l'étrange roue à deux jantes perpendiculaires est identique aux représentations de la "roue d'Ézéchiel", ce qui confirme qu'il s'agit bien du ciel empyrée chrétien, séjour du créateur. Cependant l'image du soleil à droite est étrangement tronquée, tout comme la roue d'Ezéchiel à gauche, à la différence des authentiques gravures de l'époque. Ceci laisse penser que l'image a été recadrée, et donc que l'image originale en montrait plus à gauche, dans le ciel empyrée. Elle montrait probablement ce qui provoque l'étonnement du personnage. Dans le livre de Flammarion, l'image comporte une légende : Un missionnaire du Moyen Âge raconte qu'il avait trouvé le point où le ciel et la Terre se touchent ... En regard, le texte suivant accompagne l'image : Qu'y a-t-il, alors, dans ce ciel bleu, qui existe certainement, et qui nous voile les étoiles durant le jour ? Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gravure_sur_bois_de_Flammarion.

Nagara indiennes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331ae35-nagara

Nagara indiennes

Les nagara (monde arabe) ou tyanko (Népal) sont une paire de timbales indiennes rencontrée jusqu'au Tadjikistan. Le tasha en est une version sur trépied à une seule timbale, dont le tas iranien est sans doute l'origine, mais qui est joué avec des petits fouets. Parfois construites en terre cuite, les plus grandes, jusqu'à un mètre de diamètre, sont en cuivre, avec des peaux de chèvre liées à l'aide de cordes ou de lanières de cuir, tout autour. On en joue assis ou debout (avec une lanière), avec deux grosses et solides baguettes, les timbales étant soit côte à côte, soit l'une horizontale et l'autre verticale (les peaux perpendiculaires). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nagara_%28instrument%29

Perspective cavalière à 90°. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e7fb12-perspective-cavaliere-a-90-

Perspective cavalière à 90°

Comparaison entre les projections orthogonales sur les plans contenant les axes (géométrie descriptive) et la perspective cavalière : report des coordonnées. Pour effectuer une représentation en perspective cavalière, il faut choisir différents paramètres : 1) un plan frontal : un segment contenu dans ce plan, ou dans un plan parallèle, est représenté en vraie grandeur ; 2) un angle de fuite : les perpendiculaires au plan frontal, appelées fuyantes sont représentées dans cette direction ; 3) un coefficient de réduction : les longueurs représentées dans la direction de fuite sont multipliées par ce coefficient de réduction. De plus, l'alignement des points, le parallélisme des droites le rapport des longueurs de deux segments parallèles, et donc les milieux, sont conservés. En revanche, les longueurs, les aires, et les angles ne sont pas conservés dans les plans non frontaux. Les éléments cachés par les faces supposées opaques sont représentés en pointillés; les éléments visibles par l'observateur sont représentés en traits pleins.

Piste d'escrime. Source : http://data.abuledu.org/URI/53401765-piste-d-escrime

Piste d'escrime

Piste d'escrime : C) ligne centrale ; G) ligne de mise en garde ; D) zone des deux mètres ; R) zone de recul (sortie de piste). Une piste d'escrime mesure 14 mètres de long sur 1,5 à 2 mètres de large. Elle est marquée par des lignes perpendiculaires en divers endroits (centre de la piste, ligne de mise en garde, et limite arrière, outre les 2 derniers mètres doivent être clairement identifiés). Si un tireur sort par l'un des bords latéraux de la piste, l'action est interrompue et les tireurs se remettent en garde en ayant néanmoins fait avancer d'un mètre l'adversaire du tireur qui est sorti ; ce dernier devant donc reculer et se remettre à distance. Si un tireur sort des deux pieds par le bout arrière de la piste, il est considéré comme touché. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Escrime

Rampes d'accès à une pyramide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea835-rampes-d-acces-a-une-pyramide

Rampes d'accès à une pyramide

Rampes de la pyramide de Sésostris Ier à Licht. Le problème de l'élévation des pierres sur les assises des pyramides est celui qui retient le plus l'attention du public. Les égyptologues ont souvent opté pour des solutions fondées sur des rampes, dont les formes et les dimensions restent à définir, tandis que des spécialistes d'autres disciplines s'attachent à donner leurs propres explications. Pourtant, quelques vestiges de rampes subsistent, notamment à la pyramide de Meïdoum, à la pyramide de Sekhemkhet et à celle de Khéphren, ainsi qu'à la pyramide de Sinki, et surtout à celle de Sésostris Ier, à Licht. Toutes sont des rampes frontales, c'est-à-dire perpendiculaires aux faces. Si elles furent effectivement employées, elles ne pouvaient suffire à achever l'édifice, particulièrement dans la phase de la pose des pierres de parement si parfaitement ajustées, comme à la pyramide de Khéops.

Sho japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/533166da-sho

Sho japonais

Le shō est le nom japonais de l'orgue à bouche d'origine chinoise, où il est appelé sheng. Il accompagne la musique gagaku. C'est un instrument à vent qui fonctionne sur le principe de l'anche libre, celle-ci étant très fine donc très sensible. Les tuyaux qui le composent sont perpendiculaires à l'embouchure. Le musicien souffle dans l'embouchure en bas à droite de l'instrument. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sh%C5%8D