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Nuage de mots clés

Photographie | Gravure | Mineurs (ouvriers) | Dessins et plans | Ouvriers | Dix-neuvième siècle | Décoration et ornement -- Art nouveau | Peinture | Artisanat | Histoire | Musée de l'école de Nancy | Ouvriers du bâtiment | Eugène Vallin (1856-1922) | Acajou | Tisserands ouvriers | Bicyclettes | Métiers | Métiers à tisser | Clip art | Ouvriers non qualifiés | ...
Crochet de levage. Source : http://data.abuledu.org/URI/538a2bc8-crochet-de-levage

Crochet de levage

Ouvrier déplaçant un bloc de béton à l'aide d'un crochet de levage.

Fourmis tropicales reines et ouvrières. Source : http://data.abuledu.org/URI/534b858b-fourmis-tropicales-reines-et-ouvrieres

Fourmis tropicales reines et ouvrières

Fourmis Atta (Atta cephalotes) : reines dans la rangée du haut, ouvrières et soldates en-dessous.

Gants de travail. Source : http://data.abuledu.org/URI/534c2b04-gants-de-travail

Gants de travail

Gants de travail.

Ouvrier réparant une pompe à vapeur en 1920. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c884fc-ouvrier-reparant-une-pompe-a-vapeur-en-1920

Ouvrier réparant une pompe à vapeur en 1920

Mécanicien de centrale électrique travaillant sur une pompe à vapeur, un des "Work portraits" (portraits du travail) montrant un ouvrier américain sur son lieu de travail. Le sujet, situé dans un environement industriel, est un jeune homme avec une clé plate, dans une pose très travaillée : il est courbé, et entouré par la machinerie qui définit son travail. Mais bien qu'intégré dans la machinerie, l'homme force sur elle, les muscles tendus, avec un air déterminé, dans une représentation canonique de la masculinité.

Trois ouvriers à Montparnasse en 1925. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ba9c3d-trois-ouvriers-a-montparnasse-en-1925

Trois ouvriers à Montparnasse en 1925

Maurice Le Scouëzec (1881-1940) : Les ouvriers (Montparnasse, 1925, huile sur papier marouflé sur toile).

Aspect de la vie quotidienne : saison froide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ca5577-aspect-de-la-vie-quotidienne-saison-froide

Aspect de la vie quotidienne : saison froide

Aspect de la vie quotidienne : saison froide. Deux ouvriers débitent des branches à la hache pour rentrer des fagots de bois pour l'hiver. Source : Le Tacuinum sanitatis, manuel médiéval sur la santé, basé sur le Taqwin al‑sihha تقوين الصحة (Tableaux de santé), un traité médical arabe écrit par Ibn Butlan (v. 1001-1066), médecin irakien. Ses travaux traitent de l'hygiène, de la diététique et de l'exercice physique. Il a souligné les avantages d'une prise en compte attentive du bien-être physique et mental de la personne.

Atelier de coutellerie. Source : http://data.abuledu.org/URI/524da175-atelier-de-coutellerie

Atelier de coutellerie

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.130 ; manuel scolaire, édition de 1904 : ATELIER DE COUTELLERIE À THIERS. - La coutellerie fabrique tous les couteaux grands et petits, dont nous nous servons, ainsi que les canifs, grattoirs, etc. Les ouvriers représentés préparent les lames. D'autres, pendant ce temps, ont préparé les manches des couteaux, il n'y aura plus qu'à les emmancher. Le grand soufflet qui sert à exciter le feu de la forge est mis en mouvement par un chien qui tourne dans une sorte de cage ronde comme font les écureuils.

Bouledogue français. Source : http://data.abuledu.org/URI/51612eb8-bouledogue-francais

Bouledogue français

Bouledogue français. C'est vers 1850 que ce chien est importé en France par des ouvriers britanniques. Il rencontre un certain succès comme chien ratier auprès des commerçants. Ce n'est que plus tard après cette francisation qu'il devient un chien de compagnie apprécié par les Occidentaux des deux côtés de l'océan Atlantique. Ces chiens étaient à la fois utilisés pour la chasse des rongeurs indésirables et comme chien de compagnie, notamment auprès des bouchers des quartiers de la Villette et des Halles à Paris. À cette époque, Toulouse-Lautrec adora ces petits chiens amusants, effrontés, avec une frimousse remarquable. La popularité de ce chien croissait auprès de certains amateurs comme Édouard VII du Royaume-Uni qu'on peut voir sur certaines photographies en compagnie de son bouledogue français appelé Peter. Le bouledogue français fut également la coqueluche de Mistinguett, Colette et Yves Saint-Laurent. La race connut un succès fracassant jusqu'aux États-Unis où des personnalités comme Joséphine Baker s'entichèrent de leur petit animal. Avec les difficultés et les affres des guerres mondiales, beaucoup d'éleveurs de chien abandonnèrent leur élevage, si bien que cette race a progressivement perdu sa notoriété. On remarque cependant à partir de 1980 un regain pour l'élevage du bouledogue français. Les bouledogues français sont parfois appelés « dondon » ou « bouli » par les passionnés.

Construction d'un palais assyrien. Source : http://data.abuledu.org/URI/591ba916-construction-d-un-palais-assyrien

Construction d'un palais assyrien

Ouvriers assyriens de Ninive construisant un palais, expédition de 1845 par Sir Layards.

Couleurs de fonte. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d9607-couleurs-de-fonte

Couleurs de fonte

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.114 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Gravure extraite du "Tour de la France par deux Enfants (G. Bruno)" OUVRIERS COULANT LA FONTE DANS UN MOULE. - Cet énorme vase en tôle qui est suspendu à une grue, et que manient à grand'peine deux ouvriers, peut contenir des milliers de kilogrammes de métal fondu. On verse le métal dans une ouverture qui communique avec un moule creux placé sous la terre. Ainsi se fondent les cloches, les canons et tous les gros objets en fer ou en fonte.

Électricien. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c9b35c-electricien

Électricien

Électricien est le nom donné au métier qu'exercent les hommes de l'art en matière d'électricité. Il est issu du terme électricité, puisque ceux-ci ont en charge la réalisation, la maintenance, la modification d'installations électriques. Ils doivent respecter les normes en vigueur (en France la norme NF C 15-100) pour la réalisation de leurs travaux.

Évolution de la bicyclette, 1860. Source : http://data.abuledu.org/URI/50edaf74-evolution-de-la-bicyclette-1860

Évolution de la bicyclette, 1860

Évolution de la bicyclette, 1860 : la bicyclette à pédales de Pierre Michaux. Pierre Michaux (1813-1883) est un artisan serrurier et charron français. Il créa et développa la fabrication des vélocipèdes à pédale (les michaudines) en ajoutant une manivelle à la roue avant d'une draisienne, et inventant ainsi la pédale. Il occupe, à ce titre où il est considéré en ingénieur inventeur, avec son fils Ernest, une place unique dans l'histoire de la bicyclette. D'autres modifications suivent également : l'ajout d'un frein et puis le doublement du diamètre de la roue avant. La fabrication commence avec deux vélocipèdes puis une centaine de vélocipèdes à pédale en 1862 tellement l'engouement pour cette nouvelle invention est grand. De 1867 à 1870, c'est l'apogée du vélocipède, la compagnie Michaux emploie 300 ouvriers pour produire deux cents vélocipèdes par jour.

Évolution de la bicyclette, le vélo de course. Source : http://data.abuledu.org/URI/50edbb5c-evolution-de-la-bicyclette-le-velo-de-course

Évolution de la bicyclette, le vélo de course

Après la Première Guerre mondiale, le terme vélo devient le mot populaire pour décrire la bicyclette utilisée par les ouvriers, paysans et enfants). Les systèmes à plusieurs vitesses commencent à être utilisés dans les compétitions de vélo dans les années 1930. Pendant l'Occupation en France, les voitures sont restreintes à l'usage des médecins, de la police ou de la milice, la bicyclette devenant la reine des transports (ravitaillement et marché noir, trajets pour le travail ou aller voir des proches, développement de vélo taxis dans les grandes villes), succès des compétitions de cyclisme. Les dérailleurs se développent durant les années 1950.

Évolution du vélo, la bicyclette de sécurité. Source : http://data.abuledu.org/URI/50edba5f-evolution-du-velo-la-bicyclette-de-securite

Évolution du vélo, la bicyclette de sécurité

Le Grand-bi est supplanté par les bicylettes de sécurité, ancêtres de la bicyclette contemporaine. En 1884, John K. Starley de la société Société des machines à coudre de Coventry (The Coventry Sewing Machine Company), qui deviendra Rover, invente la bicyclette de sécurité avec des roues de taille raisonnable et une transmission par chaîne. Le cycliste y est installé à l'arrière, ce qui rend presque impossible la chute de type « soleil » où le cycliste est catapulté par-dessus la roue avant (brevet anglais n° 1 341 déposé par John K. Starley le 30 janvier 1885 : "Improvements in roller bearings for velocipedes, carriages, or like light vehicles or light machinery"). Un engrenage plus grand à l'avant (le plateau) qu'à l'arrière (le pignon) fait tourner la roue arrière plus vite que les pédales ne tournent, ce qui permet à ce type d'engin d'aller vite même sans une roue géante. John Boyd Dunlop invente le pneumatique en 1888 (brevet français n° 193 281 déposé par John Boyd Dunlop le 1er octobre 1888 : « Garniture de jante applicable aux roues de véhicules. ») qui contribue à améliorer encore le confort du cycliste. Edouard Michelin perfectionne cette invention en déposant en 1891 un brevet de «pneu démontable» : la chambre à air. Les bicyclettes de sécurité de 1890 ressemblent déjà beaucoup aux bicyclettes actuelles. Elles ont des pneumatiques de taille comparable à celle d'un vélo moderne, des roues à rayons, un cadre en tubes d'acier et une transmission par chaîne. La seule chose qui leur manque est le changement de vitesses. Dans les années 1890 ce nouveau modèle de bicyclette élargit la cible des utilisateurs potentiels. De plus, en lien avec la seconde révolution industrielle, les bicyclettes deviennent un produit industriel (en France les grandes marques sont alors Peugeot, Manufrance, Mercier ...) réduisant leur prix à un point qui les rend abordables aux ouvriers.

Fondeur d'art. Source : http://data.abuledu.org/URI/51aded27-fondeur-d-art-

Fondeur d'art

Le fondeur d'art. Ouvrier, ouvrière qui fond les canons, les cloches, les statues de bronze, etc.

Habit de tisserand au 17ème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/592a46dc-habit-de-tisserand-au-17eme-siecle

Habit de tisserand au 17ème siècle

Habit de tisserand, "Les costumes grotesques et les métiers" de Nicolas de Larmessin, 1695.

Habitation de Champlain à Quebec. Source : http://data.abuledu.org/URI/511530ec-habitation-de-champlain-a-quebec

Habitation de Champlain à Quebec

Habitation de Québec : A) Le magazin. B) Colombier. C) Corps de logis où sont nos armes, & pour loger les ouvriers. D) Autre corps de logis pour les ouvriers. E) Cadran. F) Autre corps de logis où est la forge, & artisans logés. G) Galeries tout au tour des logemens. H) Logis de sieur de Champlain. I) La porte de l'habitation, où il y a pont-levis. L) Promenoir autour de l'habitation concernant 10 pieds de large jusques sur le bort du fossé. M) Fossés tout autour de l'habitation. N) Plattes formes, en façon de tenaille pour mettre le canon. O) Jardin du sieur de Champlain. Q) Place devant l'habitation sur le bort de la rivière. R) La grande rivière de sainct Lorens. vers 1608. Source : "The works of Samuel de Champlain in six volumes", Toronto, The Champlain Society, 1925, reprinted 1971 by University of Toronto press, volume II, p. 39. Samuel Champlain fonde Québec en 1608, mandaté par Pierre Dugua de Mons, « là où le fleuve se rétrécit », selon l'appellation algonquienne, et il en fait la capitale de la Nouvelle-France aussi dite le « Canada ». Québec sera, jusqu'aujourd'hui, le premier lieu habité à l'année de façon continue par des Français et leurs descendants, en Amérique du Nord. Champlain remonte aussi le fleuve en 1615 jusqu'au-delà du Sault Saint-Louis (rapides de Lachine), à la baie Georgienne (partie ouest du lac Huron) et navigue sur les eaux de la rivière Richelieu jusqu'à ce qui est aujourd'hui le lac Champlain. Tout au long de son périple en Nouvelle-France, il établit notamment avec les Innus-Montagnais, les Algonquins et les Hurons-Wendats, d'excellentes relations diplomatiques et commerciales, et agit, d'office (non en titre), comme premier gouverneur de la Nouvelle-France. Cependant, les colons européens apportent de nombreuses maladies qui, par les routes commerciales, se propagent rapidement au sein des populations autochtones, faisant des ravages parmi celles-ci. Les colons français, arrivant souvent très malades dans des bateaux qui ne sont pas très sains, sont sauvés par les remèdes amérindiens. Ainsi, pour soigner le scorbut, les Iroquoiens du Saint-Laurent proposent à Cartier des décoctions d'écorce de cèdre blanc, appelé annedda.

Horloge du contrôle du personnel en 1881. Source : http://data.abuledu.org/URI/55020282-horloge-du-controle-du-personnel-en-1881

Horloge du contrôle du personnel en 1881

Horloge du contrôle du personnel de marque Bürk, jqusqu'à 100 ouvriers, 1881. Musée de l'Homme et la Technologie, Salto, Uruguay.

L'homme de Calder. Source : http://data.abuledu.org/URI/541db3a7-l-homme-de-calder

L'homme de Calder

L'Homme, sculpture d'Alexander Calder (1967), Parc Jean Drapeau, Montréal, Québec, Canada. Il fait fabriquer la majeure partie de ses stabiles et mobiles aux entreprises Biemont à Tours, dont "L'Homme", tout en acier inoxydable de 24 mètres de haut, commandé par l'International Nickel du Canada (Inco) pour l'Exposition Universelle de Montréal en 1967. Toutes les fabrications sont faites d'après une maquette réalisée par Calder, par le bureau d'étude (dirigé par M. Porcheron, avec Alain Roy, François Lopez et Michel Juigner) pour concevoir à l'échelle réelle, puis par des ouvriers chaudronniers qualifiés pour la fabrication, Calder supervisant toutes les opérations, et modifiant si nécessaire l'œuvre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alexander_Calder

La danse des bottes en Afrique du Sud. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bd77d7-la-danse-des-bottes-en-afrique-du-sud

La danse des bottes en Afrique du Sud

La danse des bottes (gumboot dancing), inventée par les mineurs d'Afrique du Sud : percussions en bleus de travail, avec les mains.

Lampe sépulcrale aux Catacombes de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/51430558-lampe-sepulcrale-aux-catacombes-de-paris

Lampe sépulcrale aux Catacombes de Paris

Lampe sépulcrale aux Catacombes de Paris : après un coude de la galerie, s'élève dans un renfoncement une colonne de pierre surmontée d'une vasque de forme antique, dite lampe sépulcrale. Ce monument, le premier réalisé dans l'ossuaire, servait à brûler de la résine de poix, l'air étant progressivement corrompu par les dépôts d'ossements, ce qui rendait l'air difficilement respirable pour les ouvriers chargés des transferts. L'entretien d'un foyer était en effet le meilleur moyen d'assurer une ventilation lors de travaux souterrains. Elle servait ainsi à veiller les morts, et plus prosaïquement à améliorer la circulation de l'air, avant la construction des puits d'aération.

Le Démolisseur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b8ddbf-le-demolisseur

Le Démolisseur

Le Démolisseur (1897-1899) par Paul Signac (1863-1935). Musée des Beaux-Arts de Nancy.

Le fabricant de chariot. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f5cfa3-le-fabricant-de-chariot

Le fabricant de chariot

Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant deux ouvriers préparant des roues de chariot. Paysage montagneux et village à l'arrière-plan.

Le fabricant de réveils. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f5cf9c-le-fabricant-de-reveils

Le fabricant de réveils

Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant deux ouvriers fabricant des pendules.

Le métier d'imprimeur au XVIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f5548c-le-metier-d-imprimeur-au-xvieme-siecle

Le métier d'imprimeur au XVIème siècle

Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant une imprimerie et trois ouvriers au travail.

Le potier. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f55c92-le-potier

Le potier

Gravure extraite du livre des métiers de Jost Amman (Das Ständbuch, 1568), représentant un potier travaillant un vase au tour ; à l'arrière plan des ouvriers extraient de l'argile du sol.

Le tisserand de Nuenen en 1884. Source : http://data.abuledu.org/URI/5515ba05-le-tisserand-de-nuenen-en-1884

Le tisserand de Nuenen en 1884

Le tisserand de Neuen, août 1884, par Vincent Van Gogh (1853-1890).

Les Démolisseurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b8a7c8-les-demolisseurs

Les Démolisseurs

Les Démolisseurs, 1896, lithographie de Paul Signac (1863-1935).

Les Porteurs de Goliath. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc294b-les-porteurs-de-goliath

Les Porteurs de Goliath

Les porteurs de Goliath à Ath en 2006 : les porteurs sont l'âme des géants. Ce sont eux qui les font danser aux sons des fanfares qui les accompagnent. Les premiers porteurs de géants étaient probablement des ouvriers du moulin des Estaques, habitués à coltiner de lourds sacs de blé. Jadis, le statut de porteur de géant était réservé à des familles traditionnelles, encore très présentes de nos jours. Mais l'évolution du cortège dans la deuxième moitié du XXe siècle a bouleversé cette donnée. De trois porteurs par géant avant 1934, on en comptait six à la fin des années 1960. Depuis, le mouvement s'est accéléré pour former actuellement des groupes d'environ 10 hommes.

Logements sociaux : le modèle mulhousien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc4f18-logements-sociaux-le-modele-mulhousien

Logements sociaux : le modèle mulhousien

Logements sociaux, le modèle mulhousien (non légendé). Au XIXe siècle, jusqu'à l'annexion allemande de 1870, tous les bourgmestres et maires mulhousiens sont protestants et proches ou issus du patronat. Le modèle mulhousien repose sur trois piliers, un patronat protestant paternaliste, le prédominance du couple innovation/formation dans le développement technique et la recherche d'un équilibre social : les associations philanthropiques « Société industrielle de Mulhouse (SIM) » et « Société Mulhousienne de Cités ouvrières (SOMCO) » sont créées respectivement en 1826 et en 1853, à l'initiative de Jean Dolfus (industriel, économiste et maire de Mulhouse), Émile Muller (ingénieur-constructeur, architecte de la cité ouvrière) et Achille Penot (inspecteur scolaire et enquêteur social). L'objectif est de fixer la main-d'œuvre ouvrière : 1 243 maisons ouvrières sont construites à partir de 1862 jusqu'en 1897. C’est une cité-jardin en ce sens que chaque logement, outre la porte personnelle à chaque famille, a aussi son jardin particulier ; ces logements sont uni-familiaux payables par mensualités, les investisseurs touchent 4 % par an, mais en moins de quinze ans souvent, les logements deviennent la propriété des ouvriers. C'est l'un des exemples les plus anciens et les plus imités en France. L'exemple précurseur de Mulhouse sera rapidement suivi par d'autres tentatives.

Mécanicien au travail. Source : http://data.abuledu.org/URI/538e5d04-mecanicien-au-travail

Mécanicien au travail

{Mécanicien au travail sur le rotor d'une turbine à vapeur, Siemens, Allemagne.

Métier à tisser la soie. Source : http://data.abuledu.org/URI/524db416-metier-a-tisser-la-soie

Métier à tisser la soie

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.152 ; manuel scolaire, édition de 1904 : OUVRIER DE LYON TISSANT LA SOIE À L'AIDE DU MÉTIER JACQUARD. - La plupart des ouvriers de Lyon travaillent chez eux avec des métiers qu'ils possèdent ou qu'on leur prête. D'autres travaillent dans de grands ateliers où les métiers sont mus par la vapeur. Du haut des métiers on voit se dérouler toutes faites les pièces de soieries ou de rubans.

Mineur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51cc53ec-mineur

Mineur

Un mineur est une personne travaillant dans une mine. Son travail peut varier passant du forage des trous pour le dynamitage, à l'extraction du minerai et à la manutention de chargeuse navette ou tout genre de véhicule pouvant servir au transport du minerai.

Mineurs de Vielle-Aure. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b85b6d-mineurs-de-vielle-aure

Mineurs de Vielle-Aure

Reconstitution d'une scène de travail de mineurs de Vielle-Aure. Cliché Mme Gomez, directrice de l'école Montesquieu de Pessac-33, dans le cadre de la semaine rousse de ses élèves de CE1-CE2 à Saint-Lary, octobre 2014.

Mineurs de Vielle-Aure. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b85be8-mineurs-de-vielle-aure

Mineurs de Vielle-Aure

Reconstitution d'une scène de travail de mineurs de Vielle-Aure. Cliché Mme Gomez, directrice de l'école Montesquieu de Pessac-33, dans le cadre de la semaine rousse de ses élèves de CE1-CE2 à Saint-Lary, octobre 2014.

Musée de l'école de Nancy. Source : http://data.abuledu.org/URI/5817c327-musee-de-l-ecole-de-nancy

Musée de l'école de Nancy

Musée de l'École de Nancy : banquette-bibliothèque au mineur, 1902, Eugène Vallin (1856-1922).

Musée de l'école de Nancy. Source : http://data.abuledu.org/URI/5817c387-musee-de-l-ecole-de-nancy

Musée de l'école de Nancy

Musée de l'École de Nancy.

Musée de l'école de Nancy. Source : http://data.abuledu.org/URI/5817c3b2-musee-de-l-ecole-de-nancy

Musée de l'école de Nancy

Musée de l'École de Nancy.

Musée de l'école de Nancy. Source : http://data.abuledu.org/URI/5817c3da-musee-de-l-ecole-de-nancy

Musée de l'école de Nancy

Musée de l'École de Nancy.

Ouvrier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50275fe6-ouvrier
Plan relief d'un familistère. Source : http://data.abuledu.org/URI/509184fb-plan-relief-d-un-familistere

Plan relief d'un familistère

Plan relief du familistère et de l'usine de Guise (Aisne) réalisé en 1931. La création de l'Association en 1880, de même que la construction du Familistère, par Jean-Baptiste Godin lui attire la sympathie de nombreux réformateurs sociaux, mais aussi de nombreux ennemis : clergé offensé par la mixité et la promiscuité des logements, commerçants menacés par les bas prix pratiqués dans les économats, patrons dénonçant le socialisme de Godin, mais aussi parmi l'extrême-gauche marxiste, considérant l'œuvre de Godin comme une forme de paternalisme, séduisant les ouvriers pour mieux les détourner de la Révolution et de leur émancipation.

Plombier. Source : http://data.abuledu.org/URI/50276de3-plombier
Résiniers des Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/524de784-resiniers-des-landes

Résiniers des Landes

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.220 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Résiniers des Landes.—Le pin est un arbre très précieux et qui devrait être plus répandu, car il croît sur les terrains les plus pauvres; il assainit et fertilise le sol : de plus il est d'un bon rapport (50 fr. en moyenne par hectare). Outre son bois, on tire chaque année du pin la résine. Pour cela, des ouvriers font une entaille au-dessous de laquelle ils placent un petit pot ; la résine sort goutte à goutte et remplit ce pot, qu'il suffit de revenir chercher au bout de plusieurs mois. On devrait par un sage calcul d'hygiène et d'agriculture couvrir de pins une foule de pays incultes, qui, pauvres aujourd'hui, seraient bientôt enrichis et assainis par cette plantation.

Statue en chocolat d'Amieux Frères. Source : http://data.abuledu.org/URI/5380d180-statue-en-chocolat-d-amieux-freres

Statue en chocolat d'Amieux Frères

Statue vantant "Amieux Frères", photo prise au Musée du château des ducs de Bretagne de Nantes. Ce sont les fils de Jean-Maurice Amieux, Louis (1867-1936) et Maurice (1871-1944), qui lancent la marque "Amieux Frères". En 1900, la société possède onze usines en Bretagne et en Vendée et emploie 4000 ouvriers. À cette époque, Amieux Frères commence la diversification de ses activités (confitures et chocolats Amieux et St Clair, moutardes, saumures, charcuterie, foie gras). En 1923, ils rachètent l'usine Colin, ancien grenier à sel, et y fondent un musée technique et rétrospectif de la conserve devenu Musée des Salorges, détruit en 1943 et installé ensuite dans le château des ducs de Bretagne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maurice-%C3%89tienne_Amieux

Tannage du cuir. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dbaa5-tannage-du-cuir

Tannage du cuir

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.161 ; manuel scolaire, édition de 1904 : MÉGISSEUR TRAVAILLANT À ASSOUPLIR UNE PEAU. - Lorsque le cuir a été tanné et qu'il a subi les premières préparations, il reste à le rendre doux et souple. Pour cela, l'ouvrier l'étend sur une table et le frotte avec un instrument en bois cannelé qu'on nomme marguerite. - On appelle mégissiers les ouvriers qui travaillent les peaux fines, et corroyeurs ceux qui travaillent les peaux plus grossières.

Tisserande. Source : http://data.abuledu.org/URI/51f7d78e-tisserande

Tisserande

Ouvrière ou artisane qui tisse de la toile.

Troll dans une mine en 1555. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c60838-troll-dans-une-mine-en-1555

Troll dans une mine en 1555

Un troll participe aux travaux de la mine, Olaus Magnus (1490-1557), "Historia de gentibus septentrionalibus", livre 6. Source : collection de cliparts de Lars Henriksson.

Usine de pâte à papier. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d7699-usine-de-pate-a-papier

Usine de pâte à papier

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.47 : manuel scolaire, édition de 1904. LA PAPETERIE. - A gauche se trouve la grande cuve carrée où les chiffons, réduits en pâte et blanchis, forment comme une bouillie liquide. Cette bouillie sort et jaillit sur les tamis où elle s'égoutte. Puis, elle se dessèche et s'aplatit entre les rouleaux. A droite on voit les ouvriers qui recueillent les feuilles de papier. - Outre les papeteries des Vosges, il y en a de très nombreuses aux environs d'Angoulême, à Essonne, à Annonay, etc.