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Photographie | Lyre | Musique | Instruments à cordes | Gravure | Peinture | Lyre, Musique de | Artistes éthiopiens | Mosaïques | Archibald Thorburn (1860-1935) | Instruments de musique -- Afrique | Orphée | Illustrateurs écossais | Ornithologie | Cordes pincées (instruments de musique) | Instruments à cordes frottées | Instruments à cordes pincées | Crwth | Tétras lyre | Instruments de musique | ...
Chanteur éthiopien jouant du Krar. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d312d0-chanteur-ethiopien-jouant-du-krar

Chanteur éthiopien jouant du Krar

Chanteur éthiopien jouant du Krar (kora en Afrique occidentale) : lyre à six cordes.

Crwth celtique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533a9a25-crwth

Crwth celtique

Le crwth ou crouth (prononcé kruːθ ou krʊθ en gallois) est un instrument d'origine galloise ou irlandaise, probablement du Xe – XIe siècle, date à laquelle l'emploi de l'archet est devenu commun en Europe occidentale. Il s'agit de l'un des derniers instruments dont aient joué les bardes historiques de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance. Le mot gallois crwth et le mot gaélique cruit étaient des termes génériques renvoyant aux instruments à cordes pincées en général, y compris les premières harpes, et les lyres à six cordes communes à toute l'Europe "barbare" du Haut Moyen Âge. Il se joue comme le fiddle qui l'a supplanté. Il connaît un regain d'intérêt depuis quelques années. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crwth

Jouhikko finlandais. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c4ff2-jouhikko-finlandais

Jouhikko finlandais

Le jouhikko ou jouhikannel est un instrument arrivé en Finlande après avoir traversé la Norvège. Il est proche du "crwth" gallois. L'instrument fait partie de la famille des lyres à archet. C'est un instrument constitué généralement de 3 cordes de crin (parfois 2) se jouant à l'archet ; sa caisse présente un dos évidé fortement bombé et une table plate. Une ouverture à gauche permet à l'instrumentiste de passer le bout des doigts pour raccourcir l'une des cordes en la touchant au côté et non en y appuyant, et ainsi changer la hauteur de la note. La deuxième corde joue le rôle de bourdon. Un instrument à deux cordes permet de jouer 5 notes, soit la tessiture d'une quinte. Si une troisième corde est présente sur l'instrument, elle permet de jouer une note plus grave d'un ton, étendant la tessiture totale de l'instrument à une sixte majeure. L'instrument est joué en le positionnant sur la jambe gauche, son extrémité inférieure s'appuyant sur le genou droit. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jouhikko.

Le retour d'exil de Victor Hugo. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a51c0d-le-retour-d-exil-de-victor-hugo

Le retour d'exil de Victor Hugo

Caricature de Victor Hugo en couverture de "La Petite Lune", 1878, N°23 par André Gill (1840-1885) : "Vous tous à qui les charbonniers Montrent des fronts inexorables, Pauvres, besogneux, misérables, Rimeurs transis dans les greniers, Le Maître aux grands vers pleins de flammes Est de retour. – Le bois est cher... A défaut de feu pour la chair, Voilà du soleil pour les âmes."

Lyre. Source : http://data.abuledu.org/URI/515d755e-lyre

Lyre

La lyre est l'un des instruments à cordes pincées dont les cordes sont parallèles à la table d'harmonie et dont la caisse de résonance ne se prolonge pas par un manche ; une structure similaire à celle de la harpe accueille la fixation des cordes. C'est sa position (parallèle à la caisse de résonance) qui la différencie de la harpe.

Mosaïque d'Orphée. Source : http://data.abuledu.org/URI/59079462-mosaique-d-orphee

Mosaïque d'Orphée

Mosaïque d'Orphée à Saint-Romain-en-Gal, 21-07-2014.

Statue de Rameau à Dijon. Source : http://data.abuledu.org/URI/581c8f80-statue-de-rameau-a-dijon

Statue de Rameau à Dijon

Statue de Rameau à Dijon : lyre.

Carte astronomique de cinq constellations. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cd29b-carte-astronomique-de-cinq-constellations

Carte astronomique de cinq constellations

Carte des constellations du Lézard, du Cygne, de la Lyre, du Loup et de l'Oie : Lacerta, Cygnus, Lyra, Vulpecula, Anser.

Chaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b63c81-chaise

Chaise

Chaise lyre, époque Louis XVI, château de Vaux-le-Vicomte. ne chaise est un type de siège, c'est-à-dire de meuble destiné à ce qu’une personne s’assoie dessus, muni d’un dossier.

Coqs de bruyère. Source : http://data.abuledu.org/URI/5133a157-coqs-de-bruyere

Coqs de bruyère

Le Tétras lyre (Tetrao tetrix), également appelé coq des bouleaux ou petit coq de bruyère (par opposition au grand tétras), est une espèce d'oiseau sédentaire, symbole des Alpes européennes. Sa distribution est nordique et boréo-montagnarde. Aquarelle de Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel.

Coqs de bruyère dans les gerbes de blé. Source : http://data.abuledu.org/URI/5135125b-coqs-de-bruyere-dans-les-gerbes-de-ble

Coqs de bruyère dans les gerbes de blé

Petits coqs de bruyère, "Dans les gerbes", 1902, par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. Le Tétras lyre (Tetrao tetrix), également appelé coq des bouleaux ou petit coq de bruyère (par opposition au grand tétras), est une espèce d'oiseau sédentaire, symbole des Alpes européennes. Sa distribution est nordique et boréo-montagnarde. Majoritairement végétarien, se nourrissant de feuilles, de bourgeons, de graines, de fleurs et de baies, il complète son alimentation avec des insectes, des araignées et des invertébrés. Son chant : éternuement sonore tiou - ouiich. Roucoulements graves, rapides et prolongés lors des parades nuptiales.

Coupe d'un piano à queue. Source : http://data.abuledu.org/URI/510293f9-coupe-d-un-piano-a-queue

Coupe d'un piano à queue

Coupe d'un piano à queue : 1 et 14) Cadre métallique, 2) Abattant du couvercle, 3) Capo d'astro ou barre harmonique, 4) Tête d'étouffoir, 5) Couvercle, 6) Chevalet d'étouffoir (ou pivot des étouffoirs ?), 7) Rail des chevalets d'étouffoir (ou barre de forte ?), 8) Barre de transmission de la pédale forte, 9) Levier de la transmission du forte, 10) Tige de Lyre, 11) Pédale, droite (forte), gauche (piano), 12) Chevalet, 13) Cheville d'accord (pointe d'accroche), 15) Table d'harmonie, 16) Corde. Le piano à queue est constitué : d'un clavier, généralement à 88 touches (7 octaves 1/4), muni d'un couvercle ; d'un barrage, structure en poutres ; d'une table d'harmonie, mise en vibration par les cordes par l'intermédiaire de chevalets ; de cordes : une par note dans les graves, deux dans les notes intermédiaires, trois dans les aiguës. Les cordes d'aigus sont nues, les cordes de graves sont filées ; d'un cadre métallique au-dessus de la table d'harmonie (sur les pianos modernes) ; d'une ceinture, coffrage entourant la table d'harmonie ; d'un couvercle s'ouvrant à 45° ; d'une mécanique de percussion ; d'un pédalier (lyre) ; d'un pupitre.

Joueur éthiopien de begena. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f3aee3-joueur-thiopien-de-begena

Joueur éthiopien de begena

Position classique du joueur de begena.

Krar éthiopien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331a943-krar

Krar éthiopien

Le krar est un instrument de musique à cordes, proche de la lyre, que l'on trouve en Érythrée et en Éthiopie. Il est généralement décoré de bois, de tissus et de perles. Ses cinq ou six cordes déterminent les hauteurs musicales disponibles. La table d'harmonie est en membrane animale. Le krar est souvent joué par des musiciens que l'on appelle azmaris et il accompagne en principe des chansons d'amour et des chansons populaires de la musique éthiopienne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Krar

La parade des coqs de bruyère. Source : http://data.abuledu.org/URI/5133b6f9-la-parade-des-coqs-de-bruyere-

La parade des coqs de bruyère

Sept coqs de bruyère, tétras lyre (Tetrao tetrix) sur une aire de parade (lek) en Suède (province d'Uppland). Le tétras-lyre est surtout célèbre pour ses parades nuptiales printanières. Les mâles se retrouvent tous les ans, aux mois de mars, avril, mai et début juin sur des espaces dégagés d’arbres, plateaux ou tourbières appelées lek (ou aire de parade). Au centre de cet emplacement se trouve l’arène où les coqs paradent, chantent, se mesurent ; les gestes et les allures ont tous une signification bien précise : provocation, domination…

Mosaïque d'Ulysse et les sirènes. Source : http://data.abuledu.org/URI/54085b2a-mosaique-d-ulysse-et-les-sirenes

Mosaïque d'Ulysse et les sirènes

Ulysse et les sirènes. Mosaïque du musée du Bardo - Tunis, 2me siècle. Cette œuvre retrouvée dans une demeure privée semble devoir être interprétée comme une commémoration de jeux offerts par le propriétaire et en particulier d’une victoire d’un aurige dont le nom est Eros. La mosaïque d’Ulysse est un tableau inspiré de l’Odyssée : le héros grec apparaît debout sur un bateau à deux voiles et à un rang de rame, orné d’une tête humaine et d’une palme, les mains attachées au grand mât pour éviter de succomber au charme fatal de la musique des sirènes. Autour d’Ulysse sont assis ses compagnons, les oreilles bouchées de cire comme le relate la légende. Au pied d’un escarpement rocheux se tiennent trois sirènes représentées avec un buste de femme auquel s’attachent des ailes et des pattes d’oiseaux. L’une d’elles tient une double flûte, l’autre une lyre, la troisième dépourvue d’instrument est considérée comme la sirène chanteuse. Devant le bateau se trouve une petite barque dans laquelle se situe un pêcheur tenant une langouste au format exagéré. L’œuvre est datée des environs de 260-268 et a été découverte dans la «maison d’Ulysse et les pirates» sur le site de Dougga. Source : Mohamed Yacoub, Splendeurs des mosaïques de Tunisie, éd. Agence nationale du patrimoine, Tunis, 1995.

Muse grecque jouant de la cithare. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f3ccc1-muse-grecque-jouant-de-la-cithare

Muse grecque jouant de la cithare

Muse jouant de la cithare. Le rocher sur lequel elle est assise porte l'inscription ΗΛΙΚΟΝ / Hēlikon, désignant le mont Hélicon. Lécythe attique à fond blanc, 440-430 av. J.-C.

Orphée à la surface de l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/5116dbf6-orphee-a-la-surface-de-l-eau

Orphée à la surface de l'eau

La tête d'Orphée, flottant à la suface de l'eau, 1881, par Odilon Redon (1840-1916). La légende d'Orphée, une des plus singulières de la mythologie grecque, est liée à la religion des mystères ainsi qu'à une littérature sacrée. Aède mythique de Thrace, fils du roi Œagre et de la muse Calliope, il savait par les accents de sa lyre charmer les animaux sauvages et parvenait à émouvoir les êtres inanimés. Il fut comblé de dons multiples par Apollon, et on raconte qu'il ajouta deux cordes à la traditionnelle lyre à sept cordes que lui donna le dieu, en hommage aux neuf muses, auxquelles appartenait sa mère. Il passe pour être l'inventeur de la cithare. Héros voyageur, il participa à l'expédition des Argonautes. Il y faisait office de chef de nage c'est-à-dire qu'il donnait par son chant la cadence aux coups de rame des autres héros. Son chant permit également à l'expédition de résister au danger du chant des sirènes dont il parvint à surpasser le pouvoir de séduction. Il se rendit jusqu'en Égypte, puis revint en Grèce. À la fin de son périple, il rentra en Thrace, dans le royaume de son père. Sa femme, Eurydice (une dryade) fut, lors de leur mariage, mordue au pied par une vipère. Elle mourut et descendit au royaume des Enfers. Orphée put, après avoir endormi de sa musique enchanteresse Cerbère, le monstrueux chien à trois têtes qui en gardait l'entrée, et les terribles Euménides, approcher le dieu Hadès. Il parvint, grâce à sa musique, à le faire fléchir, et celui-ci le laissa repartir avec sa bien-aimée à la condition qu'elle le suive et qu'il ne se retourne ni ne lui parle tant qu'ils ne seraient pas revenus tous deux dans le monde des vivants. Alors qu'Orphée s'apprêtait à sortir des Enfers, il ne put résister à la tentation de contempler sa bien-aimée, et Eurydice disparut définitivement.

Toute la Lyre de Hugo. Source : http://data.abuledu.org/URI/5942e598-toute-la-lyre-de-hugo

Toute la Lyre de Hugo

Victor Hugo : fragment autographe de ''Toute la Lyre'', La Plume, n° 102, 15 août 1893