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Nuage de mots clés

Dessins et plans | Photographie | Gravure | Électromagnétisme | Coulomb, Fonctions de | Charles Augustin de Coulomb (1736-1806) | Peinture | Dix-neuvième siècle | Dix-huitième siècle | France (Révolution) (1789-1799) | Physique | Isaac Newton (1642-1727) | Galilée (1564-1642) | Blason (héraldique) | Droit d'auteur | Bleu | Animaux -- Dans l'art | Anglais (langue) | Assignats | Condor des Andes | ...
Roue de la Loi tibétaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/539a0294-roue-de-la-loi-tibetaine

Roue de la Loi tibétaine

La roue (sk.chakra, tib. khorlo) représentant le char est un attribut de la royauté. Le terme chrakravartin, "celui dont les roues tournent", désigne un grand souverain dont le char ne rencontre pas de barrière. La "sudarshana chakra" est une sorte d’arme circulaire qui est l’un des attributs de Vishnou. La roue dharmachakra est le symbole le plus connu du bouddhisme où elle représente, comme dans le jaïnisme, l’enseignement de la doctrine et l’union de toutes choses. Elle peut apparaître comme motif dans l’empreinte de pied de Bouddha. Dans certaines représentations, le Bouddha ou Maitreya font le geste dharmachakra qui représente la mise en branle de la roue de la Loi : la paume droite tournée vers l'extérieur, la gauche vers le haut, pouce et index joints formant deux cercles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ashtamangala

5 cents en laiton du Canada avec castor. Source : http://data.abuledu.org/URI/51156ad8-5-cents-en-laiton-du-canada-avec-castor

5 cents en laiton du Canada avec castor

Épreuve en laiton d'une monnaie de 5 cents. Diamètre : 21,21mm Axe des coins : 6h. Poids : 4,88g. Tranche : lisse. Titulature avers : GEORGIVS VI D : G : REX ET IND : IMP :. Description avers : Tête de George VI à gauche ; initiales des graveurs sous le buste. Titulature revers : 5 CENTS /CANADA / 1937 . Description revers : Castor à gauche ; initiales K.G du graveur à gauche. Le castor a une valeur économique et symbolique très importante au Canada parce qu'il est associé à l'histoire du développement du pays, en particulier au commerce des fourrures à l'époque coloniale (à cette époque les peaux de castor canadien se vendaient très cher en Europe où le castor européen avait été pourchassé jusqu'à la limite de l'extinction). La Compagnie de la Baie d'Hudson a ainsi fondé sa prospérité sur la trappe du castor. Cet animal, reconnu comme animal patient et travailleur, figure sur plusieurs timbres et pièces de monnaie. Il a été confirmé comme emblème officiel du Canada le 24 mars 1975, lorsqu'une « loi portant reconnaissance du castor (castor canadensis) comme symbole de la souveraineté du Canada » reçut la sanction royale. Aujourd'hui, grâce aux techniques de préservation de la faune, le castor, le plus gros rongeur du Canada, survit et prospère à nouveau dans une grande partie du pays.

Aaron Swartz à une manifestion en 2012. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e20f08-aaron-swartz-a-une-manifestion-en-2012

Aaron Swartz à une manifestion en 2012

Aaron Swartz (1986-2013) à une manifestion en 2012 contre le projet de loi anti-pirate sur internet.

Angle de mouillage entre liquide et solide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdb01c-angle-de-mouillage-entre-liquide-et-solide

Angle de mouillage entre liquide et solide

Légende : SL = Solide-Liquide, LG = Tension de surface Liquide-Gaz, SG = Solide-Gaz (Vapeur) : l'angle de raccordement d'un liquide sur un solide est l'angle formé par la surface du solide avec la tangente à une goutte du liquide déposée sur ce solide passant par le bord de la goutte. La forme de la goutte est déterminée par la mouillage. L'angle de raccordement n'est pas limité à un solide et un liquide. Ça pourrait être également un interface entre deux liquides ou deux vapeurs. Il est donné par la loi de Young-Dupré.

Armoiries de la Bolivie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379056e-armoiries-de-la-bolivie

Armoiries de la Bolivie

Armoiries de la Bolivie : c'est durant la présidence de Manuel Isidoro Belzu Humerez que le congrès détermine la dernière modification par le décret de loi du 5 novembre 1851. La forme et les couleurs sont réglementées par décret suprême du 14 juillet 1888. Le condor des Andes est l'oiseau national de la Bolivie. Situé sur le dessus du blason, il symbolise l'horizon sans limite de la Bolivie. la couronne de laurier et d'olivier est donc composée de deux arbres différents qui sont le laurier et l'olivier. Elle est située derrière le condor. Le laurier symbolise le triomphe et la gloire après la guerre. L'olivier est symbole de la paix et de la gloire des peuples. Les pavillons sont placés sur chacune des lances, il y en a donc six au total. Ces pavillons ont les mêmes couleurs que le drapeau, c'est-à-dire trois bandes de couleur, rouge, jaune et verte. Ils symbolisent donc la Bolivie. La hache représente l'autorité et le commandement de la Bolivie. Elle est située au-dessus à droite, derrière le canon. Les canons du XVIIIe et XIXe siècle ainsi que les fusils et les lances symbolisent les armes de la Bolivie. Il y a deux canons disposés en croix, quatre fusils avec baïonnette disposés également en croix par paire et alors 6 lances, deux fois trois lances, disposées en croix également. La casquette de la liberté est de couleur rouge et située sur l'extrémité de l'un des deux canons. Elle est le symbole de liberté. L'ovale est une ellipse de couleur bleu-ciel. Dans sa partie inférieure se trouvent 10 étoiles dorées et dans sa partie supérieurs on peut lire l'inscription "BOLIVIA" en lettres dorées et majuscules. À l'intérieur de cet ovale se trouve une ligne dorée. La couleur bleu-ciel représente le littoral perdu durant la guerre du Pacifique (1879-1884). La ligne dorée est utilisée comme décoration. Le Cerro Rico : au centre de l'image sont dessinées deux montagnes, une petite devant une grande. Celle-ci est appelée le Cerro Rico, une montagne située à Potosí. Elle est appelée la montagne riche car elle contient une énorme quantité de minerai d'argent. Elle fut découverte par Diego Huallpa et est encore exploitée de nos jours. La représentation de cette montagne symbolise donc la richesse des ressources naturelles de Bolivie. Le Cerro Menor constitue en quelque sorte un autel pour le Cerro Rico. La chapelle située sur le Cerro Menor, juste devant le Cerro Rico est une chapelle avec l'image du sacré-cœur de Jésus avec les bras ouverts. C'est une construction faite en granite et l'image du sacré-cœur de Jésus est en bronze. La botte de blé : céréale appelée kutmu en quechua. Il fut introduit en Amérique du Sud par les Espagnols et a atteint très vite la Bolivie. Il symbolise l'abondance des ressources alimentaires en Bolivie. Le palmier que l'on peut voir au premier plan de l'image du centre dont le nom scientifique est Parajubæa représente la richesse végétale de la Bolivie. Le soleil situé sur la gauche, derrière le Cerro Rico, c'est un soleil qui se lève. Il symbolise la naissance et la splendeur de la Bolivie. Le ciel possède les couleurs du lever du jour. Il symbolise la naissance et la splendeur de la République. Le lama situé au premier plan symbolise la richesse de la faune de la Bolivie. Les étoiles au nombre de 10 sont situées dans la partie inférieure de l'ovale bleu. Elles sont considérées comme un symbole de chance, de destin, de conquête. Ce sont des étoiles à 5 points et chacune d'elles représente un département de la Bolivie. Les voici dans l'ordre de gauche vers la droite : Chuquisaca, La Paz, Potosí, Cochabamba, Santa Cruz, Oruro, Littoral (perdu durant la guerre du Pacifique de 1879-1884), Tarija, Beni, Pando. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armes_de_la_Bolivie

Armoiries du Chili. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379a9ed-armoiries-du-chili

Armoiries du Chili

Le Blason du Chili fut officialisé par la loi du 26 juin 1834, durant le gouvernement du président José Joaquín Prieto, et dessiné par le britannique Carlos Wood Tailor. Il est composé d'un champ divisé en deux parties égales : la partie supérieure d'azur et la partie inférieure de gueules. Le blason est soutenu par deux animaux : un condor et un huemul, qui portent sur leur tête une couronne navale d'or. Le tout est surmonté d'une huppe à trois plumes, de gueules, d'argent et d'azur, qui remonte à une distinction qu'utilisaient les anciens présidents Chiliens. En dessous, on peut voir une ceinture d'argent de laquelle apparaît la devise nationale : "Por la razón o la fuerza" = Par la raison ou par la force. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armoiries_du_Chili

Arnica des montagnes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5056bdc6-arnica-des-montagnes

Arnica des montagnes

Planche botanique d'Arnica des Montagnes (Arnica montana), Atlas des Plantes de France, 1891. Fortement malmenée par l'agriculture intensive, elle devient de plus en plus rare. Cette situation lui vaut d'ailleurs d'être nommée dans de nombreux textes de loi la protégeant et particulièrement dans la Directive habitats européenne. En médecine traditionnelle, l'arnica des montagnes est décrite dans des pharmacopées européennes pour son usage dans le traitement de petits traumatismes comme les hématomes. Afin de fournir les laboratoires pharmaceutiques, dont la demande européenne annuelle est estimée à 50 tonnes de capitules secs, l'arnica est cueillie à l'état sauvage.

Assignat de 15 sols. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afe39f-assignat-de-15-sols

Assignat de 15 sols

Assignat de 15 sols. Dimensions : 7,9 cm × 6,8 cm. "Loi du 4 janvier 1792. LA NATION - LA LOI - LE ROI. L'an quatrième de la liberté. Domaines nationaux. Assignat de 15 sols, payable au porteur. GERARD FECIT. DROIT DE L'HOMM. FAITS HISTO. La loi punit de mort le contrefacteur. La nation récompense le dénonciateur."

Assignat de 15 sols. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fd48db-assignat-de-15-sols

Assignat de 15 sols

"Loi du 4 janvier 1792 - La nation, la loi, le roi. L'an quatrième de la liberté. Domaines nationaux : Assignat de quinze sols payable au porteur. La loi punit de mort le contrefacteur. La nation récompense le dénonciateur." Dimensions : 7,9 cm × 6,8 cm. L'assignat était une monnaie sous la Révolution française. Avec le Système de Law, l'assignat est la seconde expérience de monnaie fiduciaire en France au XVIIIe siècle : les deux se soldèrent par un échec retentissant. À l'origine, il s'agissait d'un titre d'emprunt émis par le Trésor en 1789, dont la valeur est assignée sur les biens nationaux. Les assignats deviennent une monnaie en 1791, dont la valeur est le plus souvent comprise entre 2 et 30 sols, et les assemblées révolutionnaires multiplient les émissions, qui entraînent une forte inflation. Le cours légal des assignats est supprimé en 1797.

Balance de Coulomb. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b14e14-balance-de-coulomb

Balance de Coulomb

Balance de Coulomb, Exposition Hautes Tensions, 18 Octobre 2008 - 5 Janvier 2009, Musée de la vie bourguignonne, Dijon. Charles-Augustin Coulomb énonce la loi d'interaction électrostatique en 1785 suite à de nombreuses mesures réalisées grâce à la balance de Coulomb qu'il a mise au point pour détecter des forces d'interaction très faibles. Il s'agit d'une balance de torsion pour laquelle la mesure de l'angle de torsion à l'équilibre permet de déterminer l'intensité de forces répulsives. Dans le cas de forces attractives c'est l'étude des oscillations du système qui permet de déterminer l'intensité des forces. Une charge électrique est placée à l'extrémité d'une tige horizontale fixée à fil vertical dont les caractéristiques de torsion sont préalablement établies. Le principe de la mesure consiste à compenser, grâce au couple de torsion du fil vertical, le couple exercé par une autre charge électrique amenée au voisinage de la charge fixée sur la tige.

Cartographie des droits des personnes en situation de handicap. Source : http://data.abuledu.org/URI/5352719c-cartographie-des-droits-des-personnes-en-situation-de-handicap

Cartographie des droits des personnes en situation de handicap

Carte du monde sur la CRDP (Convention on the Rights of Persons with Disabilities), Convention sur les droits des handicapés. En vert foncé, les pays signataires de la Convention ; en vert clair, pays signataires mais ne l'ayant pas encore ratifiée ; en gris, pays non membres. La Convention relative aux droits des personnes handicapées est une convention internationale pour "promouvoir, protéger et assurer" la dignité, l'égalité devant la loi, les droits humains et les libertés fondamentales des personnes avec des handicaps en tous genres. L’objectif est la pleine jouissance des droits humains fondamentaux par les personnes handicapées et leur participation active à la vie politique, économique, sociale et culturelle. Elle a été adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies le 13 décembre 2006, et est entrée en vigueur le 3 mai 2008. Handicap International a aussi participé au processus d'élaboration. Au 14 avril 2014, 158 pays l'ont signée, et 144 pays l'ont ratifiée, dont la France et l'Union européenne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_relative_aux_droits_des_personnes_handicap%C3%A9es

Case à la chefferie de Bana. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e51cef-case-a-la-chefferie-de-bana

Case à la chefferie de Bana

Case africaine à la chefferie de Bana, un petit village du Cameroun. Les chefferies traditionnelles sont un échelon de l'organisation administrative au Cameroun. Elles sont régies par un décret de 1977. La loi constitutionnelle du 18 janvier 1996 assure la représentation des chefferies traditionnelles en prévoyant leur présence dans les conseils régionaux. Les chefferies peuvent être du premier, deuxième ou troisième degré selon leur importance territoriale ou historique.

Charges électriques opposées. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb9bb0-charges-electriques-opposees

Charges électriques opposées

Des charges électriques opposées s'attirent. C'est Charles de Coulomb qui, à l'aide d'une balance de torsion, a énoncé le premier la loi physique exprimant la force qui s'exerce entre deux charges électriques. Pour prendre en compte les phénomènes de répulsion et d'attraction, on a donc attribué un signe aux deux types de charges découverts par du Fay : l'« électricité résineuse » s'est vue attribuée aux charges négatives, l'« électricité vitreuse » s'est vue attribuée aux charges positives.

Cinématique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c45e82-cinematique

Cinématique

Mouvement circulaire uniforme : la vitesse est tangentielle et l'accélération est centripète, perpendiculaire au mouvement, son travail est nul. Ce cas ne doit pas laisser penser qu'une force dont le travail est nul n'a aucun effet sur un système. Ainsi, dans le cas d'un solide en mouvement circulaire uniforme, la force centripète a un travail nul (le mouvement circulaire uniforme n'est pas modifié). Pour autant, si l'on supprime la force centripète le solide cessera son mouvement circulaire et se déplacera en mouvement rectiligne, conformément à la 1re loi de Newton. Les forces dont le travail est nul ne modifient pas l'énergie cinétique du solide. En particulier, elles ne modifient pas la norme de la vitesse ; elles peuvent cependant en modifier la direction.

Constitution de l'An VIII. Source : http://data.abuledu.org/URI/5213a823-constitution-de-l-an-viii

Constitution de l'An VIII

Constitution française An VIII - Sénat conservateur, Estampe de Barthélémy Joseph Fulcran ROGER (1767-1841), date : 1799-12-25. Pouvoir législatif de la constitution, le Sénat conservateur est composé de 80 membres à vie et inamovibles de 40 ans au moins. 60 sont nommés par les consuls, les nouveaux membres sont choisis par le sénat sur une liste de 3 membres composée par les deux chambres et le premier consul. Il est juge de la constitutionnalité des lois : peut annuler une loi ou une liste de notables. Pouvoir de nomination (tribuns, législateurs, consuls pour l’avenir, etc.). Peut modifier la constitution par « senatus-consultes ».

Construction du nombre chez l'enfant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d2484b-construction-du-nombre-chez-l-enfant

Construction du nombre chez l'enfant

Construction du nombre chez l'enfant à l'aide de marionnettes : Expérience de Wynn sur les réactions aux événements impossibles. Wynn6, en 1992, a établi une procédure expérimentale, afin d’étudier chez des bébés de quatre et cinq mois leur capacité à faire des calculs simples tels que l’addition et la soustraction. Ainsi elle utilise un petit théâtre de marionnettes, avec des personnages attirant l’attention des enfants, et elle introduit des événements impossibles afin de mesurer le temps de fixation de l’enfant. Ce temps devra déterminer si l’enfant « estime » l’événement possible, ou transgressant une loi physique. Dans la situation d’addition, les enfants réagissent à l’événement impossible (1+1=1), en fixant la scène plus longtemps. Dans la situation de soustraction, l’auteur constate qu’il en est de même pour l’évènement (2 -1=2). Ainsi Wynn en conclut que les enfants de quatre et cinq mois ont des capacités précises du nombre, et pas seulement une dichotomie entre unique et plusieurs. De plus, on peut noter que pour réussir l’épreuve, les bébés devaient avoir acquis la permanence de l'objet.

Coupe géologique du secteur de Bure (Meuse). Source : http://data.abuledu.org/URI/50957e29-coupe-geologique-du-secteur-de-bure-meuse-

Coupe géologique du secteur de Bure (Meuse)

Coupe géologique du secteur de Bure. Coupe NO-SE au niveau du Laboratoire de recherche souterrain de Meuse/Haute-Marne : réseau de galeries souterraines localisé sous le territoire de la commune de Bure (Meuse). Dans le cadre des recherches sur le stockage des déchets radioactifs en couche géologique profonde, ce laboratoire de recherche souterrain est exploité par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) afin d'évaluer les propriétés de confinement de la formation géologique située à 500 mètres de profondeur. La construction du laboratoire débute en 2000 dans le cadre de la loi Bataille relative aux recherches sur la gestion des déchets radioactifs de haute activité. Une première phase de construction (des expériences sont menées en parallèle) s'achève en 2007 et des travaux d'extension sont en cours depuis 2008.

Craste dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5074b84e-craste-dans-les-landes

Craste dans les Landes

Craste en pays de Born (Landes, France) : Une craste (du gascon crasta, issu du latin castrum) désigne, dans les Landes de Gascogne, un fossé de drainage, généralement creusé dans le sable, aménagé pour assainir la lande humide. En usage depuis des siècles, la craste se généralise au milieu du XIXe siècle afin de faciliter l’écoulement des eaux et rendre possible la mise en culture du pin maritime. Le terme est passé dans le vocabulaire régional courant. Avant la loi relative à l'assainissement et de mise en culture des Landes de Gascogne de 1857, des crastes se trouvaient derrière chaque airial, en limite des champs. Elles s'accompagnaient invariablement du barrat, nom de la levée faite avec la terre retirée du fossé, d'où l'expression gasconne : « Si i a barrat, i a crasta » (S’il y a barrat, il y a craste). Les Landais en font par la suite un des éléments essentiels du drainage des vastes étendues marécageuses composant leur territoire. Saint-Amans les cite en 1818 sous leur nom gascon : « Le moyen de remédier à ces inconvénients (eaux stagnantes) d’une manière aussi prompte d’efficace serait (…) d’y ouvrir beaucoup de ces larges fossés nommés « crastes » dans le langage du pays ». Après la loi du 19 juin 1857, les services départements de Gironde créent au total 2190 km de crastes dans ce département, quitte aux communes de s’y raccorder par la suite.

Danton à la Convention. Source : http://data.abuledu.org/URI/50af9ec2-danton-a-la-convention

Danton à la Convention

Croquis de Danton à la Convention par David, 1793 (Musée Carnavalet). C'est le Danton un peu fatigué et alourdi de 1794. L'artiste, qui a cédé à quelques préoccupations caricaturales, a saisi une attitude caractéristique de l'orateur écoutant et bougonnant à part lui. Danton, « le plus modéré des Montagnards », se refuse aux mesures révolutionnaires réclamées par les sections et les clubs parisiens (économie dirigée, levée en masse, loi des suspects) face à une situation extérieure et intérieure de plus en plus menaçante (invasion étrangère, contre-révolution intérieure). La Terreur ne sera mise à l’ordre du jour qu’après son départ. Chargé au Comité de salut public des Affaires étrangères, il rêve d’un compromis avec l’Europe et essaie de négocier en secret pour fissurer le bloc de la coalition, prêt à offrir la libération de la reine. Le 13 avril, il détermine la Convention à désavouer la guerre de propagande et à déclarer qu’elle « ne s’immiscerait en aucune manière dans le gouvernement des autres puissances ». Mais ses tentatives n’aboutissent pas et se heurtent à une situation militaire défavorable. La Belgique et la rive gauche du Rhin reprises par les coalisés, la France ne disposait plus de monnaie d'échange. Cette politique de ménagements mécontente les sans-culottes exaspérés par la cherté des denrées de première nécessité ainsi que Robespierre et ses amis qui aspirent à le remplacer. « Tes formes robustes, dira Saint-Just dans son réquisitoire, semblaient déguiser la faiblesse de tes conseils (…) Tous tes exordes à la tribune commençaient comme le tonnerre et tu finissais par faire transiger la vérité et le mensonge. »

Dissipateurs thermiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cd8cf7-disipateurs-thermiques

Dissipateurs thermiques

Dissipateurs thermiques anodisés en aluminium : un dissipateur thermique est un dispositif destiné à favoriser l'évacuation des pertes dissipées par les éléments semi-conducteurs de puissance. Il s'agit de dispositifs généralement munis d'ailettes, qui doivent de préférence être montées verticalement pour faciliter le refroidissement par convection. Pour son dimensionnement il faut se baser sur la loi d'Ohm thermique, laquelle permet d'évaluer l'élévation en température de l'élément en fonction de la puissance dissipée.

Drapeau du pays Basque. Source : http://data.abuledu.org/URI/52802aec-drapeau-du-pays-basque

Drapeau du pays Basque

Le drapeau basque ou ikurriña (également orthographié ikurrina) est considéré et utilisé de façon informelle comme symbole national par les Basques et pour les régions du Pays basque (Euskal Herria). Il est aujourd'hui le drapeau officiel de la communauté autonome du Pays Basque (Euskadi) en Espagne depuis le statut d'autonomie de 1979. Son utilisation officielle dans la communauté de Navarre est sujet à polémiques, puisqu'elle a été interdite par la loi des Symboles de Navarre en 2003. Au Pays basque français, même s'il n'a pas de caractère officiel, son utilisation par les institutions est relativement courante. L’ikurrina fut créé en 1894 par les frères Luis et Sabino Arana, ce dernier étant fondateur du Parti nationaliste basque. Il a tout d'abord été conçu pour représenter la province de Biscaye, puis a été adopté comme drapeau du gouvernement d’Euskadi en 1936.

Fluides incompressibles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a7d3c1-fluides-incompressibles

Fluides incompressibles

Loi de Bernoulli appliquée aux fluides incompressibles. En mathématiques, la distribution de Bernoulli ou loi de Bernoulli, du nom du mathématicien suisse Jacques Bernoulli, est une distribution discrète de probabilité, qui prend la valeur 1 avec la probabilité p et 0 avec la probabilité q = 1 - p.

Forêt de pin maritime dans les Landes de Gascogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51321d60-foret-de-pin-maritime-dans-les-landes-de-gascogne

Forêt de pin maritime dans les Landes de Gascogne

Forêt des Landes (La Teste de Buch), avec le pin maritime (Pinus pinaster). La loi du 19 juin 1857, également appelée loi relative à l'assainissement et de mise en culture des Landes de Gascogne, marque un tournant dans l'histoire des Landes de Gascogne. Elle vise à assécher les vastes zones humides marécageuses présentes sur la majeure partie du territoire et à les mettre en exploitation. Elle marque le début de l'extension de la forêt des Landes, conduisant à la généralisation du procédé de gemmage dans la région, mais aussi la fin du système agro-pastoral traditionnel et la disparition du berger landais. Les parcelles sont plantées de pins d'âge différents de manière à arriver à un seuil de rentabilité.

Fresque de Guernica. Source : http://data.abuledu.org/URI/544c2506-fresque-de-guernica

Fresque de Guernica

Reproduction murale (en carreaux de faïence) du tableau de Pablo Picasso affiché dans la ville de Guernica. Photo libre (Loi panorama : décrêt législatif royal espagnol de 1996).

Jeux de briques Lego. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e93ac5-jeux-de-briques-lego

Jeux de briques Lego

Une quinzaine de briques LEGO et DUPLO de tailles et de couleurs différentes, avec une pièce pour donner l'échelle. Les jouets comportant des moceaux de petite taille, comme ces briques de Lego, sont tenus par la loi d'avoir des avertissements sur les dangers d'étouffement.

L'optique de Képler. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0ac37-l-optique-de-kepler

L'optique de Képler

Planche de Johannes Kepler "Ad Vitellionem Paralipomena, quibus Astronomiae Pars Optica" (1604), illustrant la structure de l'oeil. Dès 1603, il parcourt divers ouvrages sur le sujet dont celui de l’Arabe Alhazen. Kepler rassemble les connaissances de l’époque dans son livre "Astronomia pars Optica", publié en 1604. Il y explique les principes fondamentaux de l’optique moderne comme la nature de la lumière (rayons, intensité variant avec la surface, vitesse infinie, etc.), la chambre obscure, les miroirs (plans et courbes), les lentilles et la réfraction dont il donne la loi i = n×r, qui est correcte pour de petits angles (la vraie loi — sin i = n×sin r — fut donnée plus tard par Willebrord Snell et René Descartes). Il aborde également le sujet de la vision et la perception des images par l’œil. Il est convaincu que la réception des images est assurée par la rétine et non pas le cristallin comme on le pensait à cette époque, et que le cerveau serait tout à fait capable de remettre à l’endroit l’image inversée qu’il reçoit.

La Bibliothèque Sainte-Geneviève en 1859. Source : http://data.abuledu.org/URI/53befd26-la-bibliotheque-sainte-genevieve-en-1859

La Bibliothèque Sainte-Geneviève en 1859

Intérieur de la Bibliothèque Sainte-Geneviève, Thomas, in Edward Edwards, "Memoirs of libraries: including a handbook of library economy", London : Trübner & Co., 1859, p. 674. (Library of Congress's Prints and Photographs division, ID ppmsca.15552). Henri Labrouste (1801-1875) est appointé depuis 1838 comme architecte de l'ancienne bibliothèque Sainte-Geneviève. En tant qu'expert, il préconise la construction d'un nouvel ensemble, contre toute attente il en reçoit lui-même la commande et présente rapidement un projet, approuvé en juillet 1843 et confirmé par la loi du 19 juillet relative à la bibliothèque Sainte-Geneviève. Ce premier édifice, spécifiquement dédié à l'accueil d'une bibliothèque, innovant par son architecture, est inauguré le 4 février 1851. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Biblioth%C3%A8que_Sainte-Genevi%C3%A8ve

La loi salique. Source : http://data.abuledu.org/URI/507347be-la-loi-salique

La loi salique

Copie manuscrite sur velin du VIIIème siècle de la loi salique. Paris, bibliothèque nationale de France. D'abord mémorisée et transmise oralement, elle fut mise par écrit dans les premières années du VIe siècle à la demande de Clovis, puis remaniée plusieurs fois par la suite, jusqu'à Charlemagne.

La princesse Rosette, chapitre V. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313893e-la-princesse-rosette-chapitre-v

La princesse Rosette, chapitre V

La princesse Rosette, chapitre V, Troisième et dernière journée, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Charmant resta ébloui de la beauté de Rosette. La fée le tira de son extase en lui disant : "Vite, vite, marchons ; je n'ai plus qu'une demi-heure, après laquelle je dois me rendre près de la reine des fées, où je perds toute ma puissance pendant huit jours. Nous sommes toutes soumises à cette loi dont rien ne peut nous affranchir."

Le Mickey Mouse Protection Act. Source : http://data.abuledu.org/URI/5114ffa9-le-mickey-mouse-protection-act

Le Mickey Mouse Protection Act

Vectorisation du graphique de Tom Bell montrant les étapes d'allongement de durée des termes des droits d'auteur aux USA depuis 1790. La Loi américaine d'extension du terme des droits d'auteur (Copyright Term Extension Act) est une loi votée en 1998 par le congrès américain concernant la prolongation de 20 ans aux États-Unis des droits d'auteur. Plus connue sous le nom de "Mickey Mouse Protection Act" en raison du soutien important fourni par la "Walt Disney Company" en faveur de cette loi. La loi est référencée depuis le 27 octobre 1998 sous "Public Law 105-298". Cette loi a pour effet de geler les dates d'entrée dans le domaine public des œuvres aux États-Unis. Ainsi, aucune des œuvres créées après le 1er janvier 1923, et qui auraient dû entrer dans le domaine public en 1998, ne le seront avant 2019. Ce n'est aucunement rétroactif pour les œuvres déjà dans le domaine public, mais ce l'est dans le sens que toutes les œuvres produites depuis 1923 (basé sur la date de parution) sont protégées (protection des droits d'auteur) de 20 ans supplémentaires. Les deux lois ont reçu un fort soutien de la part de la Walt Disney Company qui, à l'époque des deux lois, risquait de perdre ses droits sur le personnage de Mickey Mouse. Elle a ainsi pu continuer à protéger toutes les œuvres de sa société fondée en 1923.

Les Fenêtres simultanées sur la ville. Source : http://data.abuledu.org/URI/53447637-les-fenetres-simultanees-sur-la-ville

Les Fenêtres simultanées sur la ville

"Les Fenêtres simultanées sur la ville", 1912 par Robert Delaunay (1885-1941). Robert Delaunay passe à l'abstraction avec la série "Les Fenêtres", présentée de 1912 à 1913. Elle inaugure une longue série de recherche sur la possibilité de traduire l'harmonie représentative, par le seul agencement des couleurs. Les couleurs remplacent les objets, qui n'ont plus de substance et laissent la place à la lumière. Ce passage à l'abstraction se fait après la lecture des théories de Vassily Kandinsky dans son livre manifeste "Du spirituel dans l'art", et alors que Guillaume Apollinaire diagnostique en 1912 la naissance d'un nouvel art pictural : "Les peintres nouveaux peignent des tableaux où il n'y a plus de sujet véritable". Mais, contrairement à Vassily Kandinsky qui donne un contenu psychologique et mystique à ses œuvres, Robert Delaunay n'exploite que l'effet purement physique. Il s'explique en s'inspirant d'un texte de Léonard de Vinci : "L’œil est notre sens le plus élevé, celui qui communique le plus étroitement avec notre cerveau, la conscience. L'idée d'un mouvement vital du monde et son mouvement est simultanéité. Notre compréhension est corrélative à notre perception". À cette époque, Delaunay fait également de nombreuses recherches sur les couleurs et plus précisément sur la loi du contraste simultané des couleurs. Avec Sonia Delaunay, il crée le simultanéisme, une technique qui vise à trouver l'harmonie picturale grâce à l'agencement simultané des couleurs, et qui se concentre essentiellement sur le rôle de la lumière, qui est perçue comme principe créateur originel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Delaunay

Loi de Coulomb. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b14d46-loi-de-coulomb

Loi de Coulomb

Dans les deux cas, la force est proportionnelle au produit des charges et varie en carré inverse de la distance entre les charges. La loi de Coulomb exprime, en électrostatique, la force de l'interaction électrique entre deux particules chargées électriquement. Elle est nommée d'après le physicien français Charles-Augustin Coulomb qui l'a énoncée en 1785 et elle forme la base de l'électrostatique. Elle peut s'énoncer ainsi : « L'intensité de la force électrostatique entre deux charges électriques est proportionnelle au produit des deux charges et est inversement proportionnelle au carré de la distance entre les deux charges. La force est portée par la droite passant par les deux charges.

Loi de Coulomb, force de répulsion. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b152b9-loi-de-coulomb-force-de-repulsion

Loi de Coulomb, force de répulsion

Les deux charges q et q' ont le même signe : Elles se repoussent. Si les 2 charges ont même signe, l'interaction est répulsive. Si les 2 charges ont des signes différents, elle est attractive.

Loi sur la liberté de la presse. Source : http://data.abuledu.org/URI/59430014-loi-sur-la-liberte-de-la-presse

Loi sur la liberté de la presse

Loi sur la liberté de la presse - Archives Nationales, 29 juillet 1881.

Machine d'Atwood. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c74c39-machine-d-atwood

Machine d'Atwood

Machine d'Atwood (surcharge à gauche, masse à droite) : Atwood (1746-1807) est surtout célèbre chez les élèves de terminales math. élém. des années 1945-1972, par sa « machine » hautement didactique qui permettait de s'entraîner sur la bonne application de la « relation fondamentale de la dynamique » (deuxième loi de Newton) et/ou la conservation de l'énergie mécanique. Tous les grands lycées de France possèdent sans doute encore, dans leurs placards, une machine d'Atwood. Du point de vue expérimental, l'appareil fut l'objet d'un travail soutenu durant au moins un siècle, ce qui permit de tenir compte de beaucoup de correctifs. Néanmoins, pouvoir placer l'appareil dans un grand tube de Newton est resté l'apanage des très grands lycées. La chute libre est difficile à étudier quantitativement, car les temps de parcours sont très courts. Galilée est le premier à chercher comment la ralentir, sans la « dénaturer » : il pensa au plan incliné d'angle α (où intervient seulement g⋅sinα), puis à la succession de plans inclinés. La difficulté pour Galilée restait la mesure du temps… Atwood proposa « sa » machine pour diminuer l'accélération des masses.

Marianne en Méduse. Source : http://data.abuledu.org/URI/55c0e2ed-marianne-en-meduse

Marianne en Méduse

15 mai 2015 : "Que vous ayez quelque chose à cacher ou pas, cette loi va nous enlever la possibilité d’une vie privée sur le net et faire reculer notre société comme jamais auparavant." Traduction de la légende anglaise : La guerre, c'est la paix. La liberté, c'est l'esclavage. L'ignorance c'est la force. George Orwell, Big Brother, 1984.

Mémorial de William Willett. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b8af90-memorial-de-william-willett-

Mémorial de William Willett

Memorial en l'honneur de William Willett (1856-1915), Petts Wood à Londres : Je ne nommerai que les heures d'été (HORAS NON / NUMERO / NISI ÆSTIVAS). Loi de l'heure d'été de 1925 (SUMMER TIME ACT 1925).

Non au copyright à l'infini de MM. Source : http://data.abuledu.org/URI/5115013d-non-au-copyright-a-l-infini-de-mm

Non au copyright à l'infini de MM

Sous les termes de la Convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques, les États signataires doivent se munir d'une loi de protection des droits d'auteur avec un terme minimum de 50 ans après la mort de l'auteur, mais ils sont autorisés à mettre en application des lois de protection avec des échéances plus longues. Pour faire suite à la directive d'harmonisation des termes de protection du droit d'auteur de 1993, les États membres de l'Union européenne ont majoritairement adopté des lois avec un terme de 70 ans après la mort. Les États-Unis ne sont devenus signataires de la convention de Berne qu'en 1988 mais ils avaient déjà les conditions minimales requises grâce à la loi sur les droits d'auteur de 1976. En plus de Disney (dont les importants efforts de lobbying inspirèrent le surnom de « The Mickey Mouse Protection Act »), le membre californien du congrès Mary Bono (veuve de Sonny Bono et son successeur au congrès) et les héritiers du compositeur George Gershwin soutinrent la loi. Mary Bono déclara (ironiquement) sur le parquet de la Chambre des Représentants des États-Unis que « Sonny voulait que le terme de la protection des droits d'auteurs soit repoussé jusqu'à l'éternité » mais puisqu'elle avait depuis été « informée qu'un tel changement aurait violé la Constitution des États-Unis », le Congrès devrait considérer la proposition de Jack Valenti, depuis président de la Motion Picture Association of America (MPAA), d'un terme de « l'éternité moins un jour.»

Ordonnances contre la mendicité. Source : http://data.abuledu.org/URI/53502ed0-ordonnances-contre-la-mendicite

Ordonnances contre la mendicité

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Nécessité n'a point de loi."

Patineurs et loi de Newton. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b15799-patineurs-et-loi-de-newton

Patineurs et loi de Newton

Illustration de la 3e loi de Newton : actions mutuelles de deux patineurs. L'énoncé original est le suivant : Pour chaque action, il existe une réaction égale et opposée : l’action est toujours égale à la réaction ; c'est-à-dire que les actions de deux corps l’un sur l’autre sont toujours égales, et dans des directions contraires. De manière moderne, on exprime que : Tout corps A exerçant une force sur un corps B subit une force d'intensité égale, de même direction mais de sens opposé, exercée par le corps. Dans le cas d'une action de contact, c'est assez simple : si Albert pousse de 100 N sur Béatrice, alors Béatrice pousse également de 100 N sur Albert ; Albert et Béatrice peuvent être sur un sol adhérent ou de la glace, immobiles ou en train de patiner. Il est souvent plus difficile de comprendre que si Albert s'appuie sur le mur, alors le mur pousse aussi sur Albert ; le mur n'a pas de « volonté motrice », il fléchit sous l'effet de l'action d'Albert mais cette flexion est indécelable sauf pour une paroi souple, et Albert subit donc un « effet ressort ». Il est de même pour la notion de sol qui soutient Albert ; en particulier, en cas de saut, il est difficile d'imaginer que c'est le sol qui propulse Albert, toujours par effet ressort.

Portrait d'Alessandro Volta. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c26c2b-portrait-d-alessandro-volta

Portrait d'Alessandro Volta

Portrait d'Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta (1745-1827). Alessandro Volta fait ses études à Rome, et devient professeur de physique à l'école royale de Côme en 1774 ; il y met au point l'électrophore, première machine électrique à influence. Il étudie par ailleurs la composition du gaz des marais et isole, en 1778, le méthane. De 1780 à 1783, il visite la France, l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Angleterre et collabore avec Antoine Lavoisier et Pierre-Simon de Laplace à une étude de l'électricité atmosphérique. Au début de l'année 1800, Volta publie dans une lettre en français datée du 20 mars au président de la Royal Society l'invention de la pile voltaïque qu'il a mise au point le 17 mars 1800. Le 7 novembre 1801, Volta présente sa pile devant l'Institut de France et y énonce la loi des tensions, ainsi que la valeur des tensions de contact des métaux classés par ordre d'électropositivité décroissante, du zinc à l'argent. Napoléon Bonaparte, qui assiste à cette séance, lui fait décerner une médaille d'or, lui accorde une pension et, le nomme comte et sénateur du Royaume d'Italie (1805-1814). L'étude de l'électricité fut toujours sa passion et, encore jeune étudiant, il écrivit un poème directement en latin, De vi attractiva ignis electrici ac phaenomenis inde pendentibus, sur ce phénomène fascinant et nouveau. C'est son premier écrit scientifique.

Portrait de Galilée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0072e-portrait-de-galilee

Portrait de Galilée

Portrait de Galilée aux alentours de 1605 par Domenico Tintoretto, Le Tintoret en français (1560–1635). À l'âge de dix-neuf ans il découvre, en les chronométrant à l'aide de son pouls, la régularité des oscillations des lustres de la cathédrale de Pise. De retour chez lui, il compare les oscillations de deux pendules et travaille à la loi de l'isochronisme des pendules, dont le néerlandais Christian Huygens découvre la vraie loi de l'isochronisme rigoureux (nécessitant l'invention d'un autre mouvement isochrone : le pendule cycloïdal alors que le pendule simple de Galilée n'est pas parfaitement isochrone) en décembre 1659, étape de la découverte d'une nouvelle science : la mécanique galiléenne. Galilée trouve ainsi cette formule sur les lois du pendule simple (l étant la longueur du pendule, g la gravité et T la période) : T=2pileft( sqrtfrac{l}{g} ight) . Toutefois, ce ne fut qu'à la fin de sa vie, dans un ouvrage publié en 1638, qu'il exposa cette découverte.

Portrait de James Joule. Source : http://data.abuledu.org/URI/537643fb-portrait-de-james-joule

Portrait de James Joule

Portrait de James Joule (1818-1889), "The Life & Experiences of Sir Henry Enfield Roscoe", p. 120. James Prescott Joule est un physicien et brasseur britannique. Il a également énoncé une relation entre le courant électrique traversant une résistance et la chaleur dissipée par celle-ci, appelée au XXe siècle la loi de Joule. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Prescott_Joule

Portrait de Ptolémée. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f69d1-portrait-de-ptolemee

Portrait de Ptolémée

Portrait de Ptolémée, illustration de la revue "Popular science monthly" N°78 : "Genèse de la loi de la gravité" par le Pr. John C. Shedd, Avril 1911, p.316.

Relations entre les cinq éléments du Wuxing. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f933df-relations-entre-les-cinq-elements-du-wuxing

Relations entre les cinq éléments du Wuxing

Représentation des relations entre les cinq éléments du Wuxing chinois : en noir, relations de génération (ou engendrement), dans le sens des aiguilles d'une montre ; en blanc, relations de domination (ou destruction). Tous les changements observables, suivant la loi de cause et effet, de quelque domaine que ce soit, s’expliquent par ces relations. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cinq_%C3%A9l%C3%A9ments_%28Chine%29.

Répulsion attraction selon les charges. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b15130-repulsion-attraction-selon-les-charges

Répulsion attraction selon les charges

L'équation fondamentale de l'électrostatique est la loi de Coulomb, qui décrit la force d'interaction entre deux charges ponctuelles. deux charges de même signe se repoussent et que deux charges de signes contraires s'attirent proportionnellement au produit de leurs charges et inversement proportionnellement au carré de leur distance ; les forces sont de valeurs égales et de sens opposés, conformément au principe de l'action et de la réaction.

Réseau ferroviaire français en 1856. Source : http://data.abuledu.org/URI/50dce128-reseau-ferroviaire-francais-en-1856

Réseau ferroviaire français en 1856

Carte du réseau ferroviaire français en 1856. Le 11 juin 1842, la loi relative à l'établissement des grandes lignes de chemins de fer ou « Charte » des chemins de fer, fixe le régime des chemins de fer en France et crée un modèle original de partenariat public-privé. L'État devient propriétaire des terrains choisis pour les tracés des voies et il finance la construction des infrastructures (ouvrages d'art et bâtiments). Il en concède l'usage à des compagnies qui construisent les superstructures (voies ferrées, installations), investissent dans le matériel roulant et disposent d'un monopole d'exploitation sur leurs lignes. Le réseau se développe alors rapidement, en particulier à partir du Second Empire. Au milieu des années 1850, il est possible, depuis Paris, d'atteindre Bayonne, Toulouse, Clermont-Ferrand, Marseille, Bâle ou encore Dunkerque ; dix ans plus tard, le maillage du réseau a commencé, avec les premières lignes transversales.

Résistance des matériaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d534f4-resistance-des-materiaux

Résistance des matériaux

Démarche générale en résistance des matériaux (dans le sens anti-horaire) : actions extérieures (forces, couples) ↔ efforts de cohésion (effort de normal, effort tranchant, moment fléchissant, moment de torsion) ↔ tenseur des contraintes σij ↔ tenseur de déformation εij ↔ champ de déplacementui(xi). Les relations sont (en bleu, dans le sens anti-horaire) : principe de la coupure, principe d'équivalence, loi de Hooke généralisée, dérivation/intégration. Pour étudier les poutres, on met en relation 1) les efforts de cohésion avec les efforts extérieurs, grâce au principe de la coupure ; 2) les efforts de cohésion avec le tenseur des contraintes, grâce au principe d'équivalence ; 3) le tenseur des contraintes avec le tenseur des déformations, grâce à la loi de Hooke généralisée ; 4) et la forme finale de la poutre, c'est-à-dire le champ des déplacements, avec le champ de tenseur des déformations. Le modèle de poutre permet de passer des efforts de cohésion au tenseur des contraintes ; il permet d'appliquer le principe d'équivalence. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_des_poutres.

Robin des Bois et Marianne. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c735d7-robin-des-bois-et-marianne

Robin des Bois et Marianne

Robin Hood et Marianne, 1912, par Louis Rhead (1857-1926).

Spectrophotomètre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdd942-spectrophotometre

Spectrophotomètre

Principe du spectrophotomètre UV-visible monofaisceau. Légende : Source polychromatique, Monochromateur, Diaphragme, Cuve avec échantillon, Cellule photoélectrique, Amplificateur, Afficheur. La spectrophotométrie est une méthode analytique quantitative qui consiste à mesurer l'absorbance ou la densité optique d'une substance chimique donnée, généralement en solution. Plus l'échantillon est concentré, plus il absorbe la lumière dans les limites de proportionnalité énoncées par la loi de Beer-Lambert. La densité optique des échantillons est déterminée par un spectrophotomètre préalablement étalonné sur la longueur d'onde d'absorption de la substance à étudier. Un dispositif monochromateur permet de générer, à partir d’une source de lumière visible ou ultraviolette, une lumière monochromatique, dont la longueur d’onde est choisie par l’utilisateur. La lumière monochromatique incidente d’intensité I_0 ; traverse alors une cuve contenant la solution étudiée, et l’appareil mesure l’intensité I ; de la lumière transmise. La valeur affichée par le spectrophotomètre est l’absorbance à la longueur d’onde étudiée. Le spectrophotomètre peut être utilisé pour mesurer de manière instantanée une absorbance à une longueur d’onde donnée, ou pour produire un spectre d’absorbance (spectrophotomètre à balayage). Dans ce dernier cas, le dispositif monochromateur décrit en un temps court l’ensemble des longueurs d’onde comprises entre deux valeurs choisies par l’opérateur.