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Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Plaques commémoratives, Jardins publics, Latin (langue), Dijon (Côte-d'Or) -- Place Darcy, Approvisionnement urbain en eau, Hydraulique
Jardin Darcy à Dijon : Fontaine du Rosoir, citation en latin "Aquas salubres".
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Jardins publics, Dijon (Côte-d'Or) -- Place Darcy, Approvisionnement urbain en eau, Hydraulique, Panneaux d'expositions (pédagogie)
Jardin Darcy à Dijon : plan de l'ancien réseau d'eau potable.
Photographie, Ingénieurs, Électricité, Énergie hydraulique, Inventeurs, Portraits (photographie), Photographies en noir et blanc, Hydraulique, Ingénieurs électroniciens, Alternateurs, Électromagnétisme -- Théorie, Napoleon Sarony (1821–1896), Nikola Tesla (1856-1943), Serbes
Photographie de Nikola Tesla (1856-1943) en 1890, par Napoleon Sarony (1821–1896). Ingénieur électricien et inventeur serbe dans le domaine électronique. Il a travaillé aux États-Unis et a été naturalisé citoyen américain. Il est à l'origine de la première centrale hydraulique à courant alternatif sur les chutes du Niagara. L'unité de mesure pour l'induction magnétique porte son nom (Tesla-T). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nikola_Tesla
Photographie, Dijon (Côte-d'Or), Jardins publics, Dijon (Côte-d'Or) -- Place Darcy, Approvisionnement urbain en eau, Hydraulique, Félix Vionnois (1841-1902)
Jardin Darcy à Dijon : réservoir d'eau par l'architecte Félix Vionnois (1841-1902).
La Tour Eiffel. Détails de la construction et du fonctionnement des ascenseurs Otis. A. Vue intérieure d'une cabine. B. Vue générale d'une des piles avec indications sur le mécanisme: 1. Cylindre hydraulique; 2 et 3. Poulies de l'ascenseur; 4. Quai d'embarquement; 5. Cabine pendant son ascension. C. La Tour Eiffel. Il y avait deux sortes d'ascenceurs, par Otis et Combaluzier.
Bétonnière avec benne de chargement utilisée sur les chantiers de construction. Le modèle de base pèse quelques dizaines de kilos pour un encombrement de un mètre sur un mètre, pour un 1,5 mètre de haut environ, et comprend : une cuve basculante grâce à un volant de manœuvre ; un moteur thermique ou électrique ; un châssis muni de roues. Le chargement des agrégats peut se faire manuellement (à la pelle) sur les bétonnières de petite capacité ou à l'aide d'une benne relevable par vérin hydraulique ou câble, pour les plus gros modèles.
Gravure, Canaux, Canaux (génie hydraulique), Canaux -- France, Technique de l'irrigation, Voies navigables intérieures côtières
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.169 ; manuel scolaire, édition de 1904 : CANAL D'IRRIGATION. - Les canaux d'irrigation destinés à répandre l'eau dans les champs sont absolument nécessaires dans les départements du Midi, où les plantes souffrent surtout de la sécheresse. La vallée du Rhône, si aride, verra ses terrains doubler et tripler de valeur lorsqu'un canal d'irrigation répandra dans la campagne les eaux fertilisantes qu'il aura empruntées au Rhône. Ce canal servira en même temps à la navigation et permettra aux bateaux de remonter plus facilement de Marseille jusqu'à Lyon.
Dessins et plans, Outillage, Limes (outils), Cinématique, Rabots, Dispositifs de serrage de la pièce, Machines -- Cinématique
Etau limeur : cinématique de la course du coulisseau et de l'avance table. L’étau limeur est une machine à raboter mais travaillant à l’inverse d’une raboteuse, dans le sens que la pièce reste immobile pendant la passe alors que l’outil effectue le mouvement de coupe rectiligne. L’architecture d’un étau limeur est constituée de : 1) le bâti en fonte contenant les organes mécaniques (moteur électrique, hydraulique ou pneumatique ; boîte de vitesse ; système bielle-manivelle ; mécanisme d’avance de la table porte-pièce) ; 2) le coulisseau qui se déplace horizontalement sur le dessus du bâti et qui porte le chariot porte-outil ; 3) la table porte pièce qui coulisse sur une glissière horizontale, qui elle-même coulisse sur une autre glissière verticale. Cette table, selon les modèles, peut pivoter selon un axe parallèle à la trajectoire du coulisseau et être soutenue en bout par bretelle (ou béquille) ; 4) un socle fixé au sol et supportant l’ensemble.
Photographie, Montages (génie mécanique), Génie mécanique, Pompes, Approvisionnement en eau, Approvisionnement en eau -- Technique, Éoliennes de pompage, Ernest-Sylvain Bollée (1814-1891), Histoire -- Erreurs, inventions, etc.
Éolienne de relevage d'eau n°3 de Ernest- Sylvain Bollée, 1901, à Souilly, département de la Meuse, en Lorraine. L’éolienne Bollée est un type d'éolienne inventé par Ernest-Sylvain Bollée (1814-1891), qui servait au pompage de l'eau. Elle fut produite en France de 1872 à 1933, à environ 350 exemplaires, qui furent installés principalement en France, dans quarante-quatre départements. Environ 80 sont encore visibles. Bollée dépose en 1857 le brevet d'un bélier hydraulique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pompe.
Dessins et plans, Appareils de levage, Physique, Appareils élévateurs, Bilan énergétique (géophysique), Évaluation énergétique
Élévateur hydraulique : flux d'énergie et pertes, de l'énergie absorbée à l'énergie utile. Pertes par échauffements de gauche à droite : réseau électrique, compresseur, vérin, objet.
Dessins et plans, Roches cristallophylliennes, Minéraux constitutifs des roches, Érosion, Altération (géologie), Fracturation hydraulique, Glissements de roches, Météorisation (géomorphologie), Pression des roches, Roches magmatiques, Roches métamorphiques, Roches sédimentaires
Schéma de la formation des roches : 1- Erosion, transport, diagénèse ; 2- Fusion ; 3- Pression température ; 4- Refroidissement. Magma ; Roche magmatique et roche métamorhique ; roche sédimentaire.
Le Quai Maréchal de Lattre de Tassigny et le Canal de La Peyrade depuis le Quai Louis Pasteur. Sète, Hérault, France.
Photographie, Énergie hydraulique, Roches -- Érosion, Tarn (France. - cours d'eau), Saint-Juéry (Tarn), Sidérurgie, Tarn (France), Vallée du
À Saint-Juéry (Tarn), à 6 km à l’est d’Albi, la rivière Tarn quitte les durs micaschistes du Massif Central pour rejoindre les terrains argileux tertiaires du Bassin Aquitain. À cet endroit, l’érosion a donné naissance à une chute naturelle de près de 20 m, qui fournit une force hydraulique considérable. Dès le XIIe siècle, une chaussée est construite au Saut de Sabo, répartissant l’eau sur les deux rives, et alimentant les nombreux moulins (à blé, à huile), foulons (à papier, à feutre), et martinets (à cuivre), qui s’y sont installés. Au XIXe siècle, un ensemble sidérurgique longtemps florissant s'y implante : Le Saut du Tarn, spécialisé dès l’origine dans la production d’acier et la fabrication des outils.
Photographie, Énergie hydraulique, Centrales hydroélectriques, Hydroélectricité, Sourzac (Dordogne, France), Usines de pompage (hydroélectricité)
Micro-centrale hydraulique de Coly-Lamelette sur l'Isle à Sourzac, Dordogne, France.
Gravure, Moulins à eau -- France, Gironde (France), Moulins à eau, Dropt (France. - cours d'eau), Dropt (France), Vallée du, La Réole (Gironde), Léo Drouyn (1816-1896)
Dessin du Moulin hydraulique de Bagas (Gironde), 1859 par Léo Drouyn (1816-1896) : Le moulin a été construit sur un îlot au milieu du Dropt et son pavillon d'entrée se trouve en rive gauche. Ayant appartenu au XVe siècle à une confrérie religieuse de La Réole, le bâtiment est aujourd'hui désaffecté et la propriété d'une personne privée. Il est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 7 janvier 19261.
L'Estrigon à Brocas, dans le département français des Landes : ancien moulin à eau accueillant le musée des Forges. Les anciennes forges témoignent d'une importante activité métallurgique au cours des XIXe et début du XXe siècle sur la commune. L'ensemble composé du haut fourneau, moulin à farine, atelier, grange, barrage, bief et installation hydraulique est inscrit aux monuments historiques par arrêté du 18 septembre 2006.
Photographie, Phares, Phares -- France, Géographie, Sécurité maritime, Estuaires -- France, Phare du XXe siècle en France, Navigation -- Mesures de sécurité, Phare du Calvados, Phare de Ouistreham, Orne (Orne-Calvados. - cours d'eau), Ouistreham (Calvados), Ouistreham (Calvados) -- Phare
Le phare de Ouistreham) est un phare à terre, cylindrique, mesurant 38 m de haut, fabriqué en granite et peint en rouge et blanc. Il fut mis en service en 1905. Il a été construit à côté de l'usine hydraulique, fonctionnant à l'époque et toujours visible de nos jours. Le phare d'Ouistreham est le "gardien de l'estuaire de l'Orne", il est visible à 16 milles marins à la ronde. La "signature" lumineuse du phare est de trois secondes de lumière blanche suivi d'une seconde d'obscurité. Le phare indique les dangereux rochers des Essarts grâce à un secteur rouge montrant la direction aux marins. Grâce à ses 171 marches de granite bleu de Vire, on accède à l'optique, une lampe halogène derrière une demi-lentille de Fresnel. Il est automatisé, gardienné et visitable. Au cours de l'été 2005, à l'occasion du centenaire, un jeu de lumière a été installé sur le phare. Il éclaire la base de l'édifice, et permet aux Ouistrehamais, en fonction de la couleur, de savoir si la mer est montante ou descendante : il est bleu lors de la marée montante, blanc le reste du temps. Il est peint en rouge en son haut, en écho aux balises latérales bâbord de la zone A. En effet, il est implanté sur la gauche du chenal quand on entre au port. Hauteur : 38.20 m - Elévation : 43 m - Portée : 16 milles nautiques ; Feux : lancs 1 occ., 4 secondes secteurs blanc et rouge ; Optique : demi-lentille de Fresnel, focale 0.25 m. ; Lanterne : lampe halogène 1 500 w. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ouistreham
Dessins et plans, Aubes (technologie), Énergie hydraulique, Génie hydraulique -- Instruments, Moteurs hydrauliques, Pompes rotatives
Pompe centrifuge : machine rotative qui pompe un liquide en le forçant au travers d’une roue à aube ou d'une hélice appelée impulseur. C’est le type de pompe industrielle le plus commun. Par l’effet de la rotation de l’impulseur, le fluide pompé est aspiré axialement dans la pompe, puis accéléré radialement, et enfin refoulé tangentiellement. On appelle « corps de pompe » l’enveloppe extérieure de la machine. C’est la partie fixe de la machine ou stator. Le corps est constitué principalement de la « tubulure d’aspiration », de la « volute », et de la « tubulure de refoulement ». La partie mobile ou rotor est formée de l’impulseur (roue à aubes), monté sur un arbre. Le rotor est actionné par une machine d’entraînement qui est le plus souvent un moteur électrique mais peut être également une turbine. Comme l’arbre traverse le plus souvent la volute, il est nécessaire de réaliser à cet endroit un dispositif assurant l’étanchéité globale. Ceci est effectué à l’aide de deux types principaux d’accessoires : le presse-étoupe et la garniture mécanique. On appelle aubes les lamelles grossièrement radiales qui, à l’intérieur de l’impulseur, canalisent le fluide de l’intérieur vers l’extérieur de la volute. On appelle « flasques » les parois de l’impulseur qui enserrent les aubes. (Les roues à deux flasques dites aussi impulseur fermé sont les plus fréquentes. Il existe également des roues sans flasque, et des roues à une seule flasque (impulseur ouvert ou semi-ouvert).
Photographie, Antiquités romaines, Pompes, Huelva (Espagne. - province), Huelva (Espagne) -- Site archéologique d'El Cabezo de San Pedro
Pompe hydraulique romaine (Hauteur : 93 cm. Largeur : 43 cm) découverte dans la mine de Sotiel-Coronada mine à Calañas (Province de Huelva, Andalousie, Espagne). Musée archéologique de Madrid.
Schéma non légendé d'une étoile de mer (Asterias rubens) : 1-Estomac pylorique, 2-Anus, 3-Glande rectale, 4-Canal hydrophore, 5-Madréporite, 6-Canal pylorique, 7-Cæcum pylorique, 8-Estomac cardiaque, 9-Gonade, 10-Osselets ambulacraires, 11-Ampoules. L'intérieur de l'étoile de mer est constitué au bas de chaque bras par un canal radiaire (prenant forme du canal circulaire) s'étendant sur tout son long et bordé par des canaux latéraux reliés par des ampoules ambulacraires. Le canal radiaire est recouvert par des osselets, mais les ampoules ambulacraires sont à découvert dans la cavité cœlomique (chaque ampoule est la racine des pieds ambulacraires présents à l'extérieur). D'une certaine manière, elles sont leur système hydraulique personnel. Deux enveloppes de gonades sont présentes, en plus ou moins grande quantité selon la saison, de chaque côté d'un bras. Au plus haut du bras on retrouve deux ceca pyloriques, au-dessus des gonades, reliés tous deux en leur centre à l'estomac pylorique pentagonal par leur conduit pylorique. De cet estomac, sort le contenu organique dans le court intestin, vers l'anus. L'intestin est relié en son centre par deux canaux reliés eux-mêmes à un ceca rectal, dont la fonction est toujours floue. Sous l'estomac pylorique se retrouve aussitôt rattaché, l'estomac cardiaque. Celui-ci est rattaché par des ligaments gastriques aux sillons ambulacraires afin de prévenir un trop grand mouvement dans le cœlome.
Dessins et plans, Énergie solaire, Énergie, Énergie éolienne en mer, Énergie marémotrice, Énergie hydraulique, Énergie géothermique, Chaleur -- Stockage, Énergie des mers, Énergie des vagues, Sources d'énergie
Sources d'énergie : nucléaire (par fusion et fission), profondeurs de la Terre (géothermie), rayonnement solaire passé, rayonnement solaire présent (précipitations, vent, rayonnement direct, photosynthèse), gravitation lune et soleil.
Photographie, Énergie hydraulique, Centrales hydroélectriques, Chutes d'eau -- France, Hydro-électricité, Licq-Athérey (Pyrénées-Atlantiques, France)
La chute d'eau et la petite usine hydro-électrique de Licq-Athérey sur la rivière "Le Saison" (Pyrénées-Atlantiques).
Schéma de principe de fonctionnement d'un vérin et son étanchéité. Un vérin pneumatique ou hydraulique sert à créer un mouvement mécanique, et consiste en un tube cylindrique (le cylindre) dans lequel une pièce mobile (le piston) sépare le volume du cylindre en deux chambres isolées l'une de l'autre. Un ou plusieurs orifices permettent d'introduire ou d'évacuer un fluide dans l'une ou l'autre des chambres et ainsi déplacer le piston. Principe du vérin et de son étanchéité : les vérins hydrauliques trouvent leur application la plus visible dans les engins de chantier. Une tige rigide est attachée au piston et permet de transmettre effort et déplacement. Généralement la tige est protégée contre les agressions extérieures par un traitement augmentant la dureté superficielle. Selon les conditions d'exploitation, des revêtements appropriés à base de chrome, de nickel et chrome ou de céramique sont réalisés. L'étanchéité entre les chambres du vérin ou entre corps et tige est réalisée par des joints. Cette fonction est primordiale, car elle caractérisera le rendement et la durée de vie du vérin. On protégera particulièrement le vérin des risques d'introduction de pollution par la tige grâce à l'installation d'un joint racleur.
Schéma de fonctionnement de vérin à simple et à double effet. Figure A : Un vérin simple effet ne travaille que dans un sens (souvent, le sens de sortie de la tige). L'arrivée de la pression ne se fait que sur un seul orifice d'alimentation ce qui entraîne le piston dans un seul sens, son retour s'effectuant sous l'action d'un ressort ou d'une force extérieure (fréquent en hydraulique). L'utilisation d'un distributeur à une seule sortie est donc suffisante (distributeur 3/2) ou d'un clapet logique pour les débits plus importants. L'emploi de ces vérins reste limité aux faibles courses. Figure B : Un vérin double effet a deux directions de travail. Il comporte deux orifices d'alimentation et la pression est appliquée alternativement de chaque côté du piston ce qui entraîne son déplacement dans un sens puis dans l'autre. On vérifiera que le vérin ne sera pas soumis aux effets de multiplication de pression qui pourraient le faire éclater du côté de sa tige. Associé à une servovalve ou un distributeur à commande proportionnelle, ainsi qu'un capteur de position ou des capteurs de pression, le vérin devient alors un servo-vérin. Cet actionneur est utilisé dans tous les servo-mécanismes. Les vérins sont souvent équipés d'amortisseurs de fin-de-course qui évitent les chocs du piston.