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Guillotine | France (Révolution) (1789-1799) | Peinture | Gravure | Vêtements | Caricatures et dessins humoristiques | Bonnet phrygien | Politique et gouvernement -- Caricatures et dessins humoristiques | George Cruikshank (1792-1878) | Guenilles | Hardes (vêtements) | France (1794) | Georges-Jacques Danton (1759-1794) | Photographie | Fenêtres | Architecture domestique | Châssis | Jersey (GB) | Normand de Jersey (dialecte) | Textes | ...
Caricature anglaise de la Révolution française. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc7cec-caricature-anglaise-de-la-revolution-francaise

Caricature anglaise de la Révolution française

"Dans les bras des Radicaux" (The radical's Arms), caricature par George Cruikshank (1792-1878). Inscription sur le ruban tricolore "Ni Dieu ! Ni Religion ! Ni Roi ! Ni Constitution !" Sous le ruban et le bonnet phrygien à la cocarde tricolore, deux haches ensanglantées sont attachées à une guillotine, dont la lame est suspendue au-dessus d'un blobe terrestre en flammes. Un homme décharné et une femme ivre habillés de guenilles jouent le rôle de "supporters" héraldiques, dansant joyeusement et piétinant les vestiges renversés de la royauté et de l'église...

Danton. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afa915-danton

Danton

Portrait de Danton conduit au supplice par Pierre-Alexandre Wille, 1794.

Fenêtre guillotine anglaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/534aec02-fenetre-guillotine-anglaise

Fenêtre guillotine anglaise

Fenêtre à guillotine du Château Élisabeth, Jersey (Châté Lîzabé f'nêt'). La fenêtre dite à guillotine est caractérisée par un châssis composé de deux parties, l'ouvrant, la partie basse du châssis, coulissant verticalement entre deux rainures ménagées dans le dormant. Ce système est traditionnel au Royaume-Uni et en Irlande, ainsi que dans tous les pays de peuplement britannique (Amérique du Nord, Australie, Nouvelle-Zélande). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fen%C3%AAtre_%C3%A0_guillotine

Ordre d'exécution de Manon Roland. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afba00-ordre-d-execution-de-manon-roland

Ordre d'exécution de Manon Roland

Ordre d'exécution de Madame Roland, Marie-Jeanne Roland de la Platiere, par le Tribunal révolutionnaire et signé par Antoine Quentin Fouquier-Tinville. Source : Hector Fleischmann, "La guillotine en 1793", Paris : Librairie des Publications Modernes, 1908. Manon Roland, ou Jeanne Marie, ou Manon Phlipon, communément appelée Madame Roland, devenue par mariage vicomtesse Roland de la Platière, née le 17 mars 1754 à Paris et morte guillotinée le 8 novembre 1793 à Paris, est une figure de la Révolution française. Elle joua un rôle considérable au sein du parti girondin, et poussa son mari au premier plan de la politique.

Robespierre exécutant le bourreau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afc48a-robespierre-executant-le-bourreau

Robespierre exécutant le bourreau

Caricature de Robespierre qui, n'ayant plus personne à exécuter, guillotine le bourreau. Source : "La Guillotine en 1793", par H. Fleischmann (1908), page 269.

Uniforme d'un Représentant en mission. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afb0f7-uniforme-d-un-representant-en-mission

Uniforme d'un Représentant en mission

Un représentant en mission, tableau de Jean-François Garneray, musée du Louvre : ce sont des députés de la Convention auxquels est confiée une mission temporaire. Le système est généralisé au printemps 1793. Les représentants sont deux pour se surveiller et pour se remplacer. Ils sont investis de la plénitude des pouvoirs. Ils ont le pouvoir de transformer les tribunaux criminels départementaux en juridiction révolutionnaire, composés de révolutionnaires qui vont juger avec une extrême sévérité les infractions politiques en même temps que les infractions de droit commun. Pour les infractions politiques, ils suivent la même procédure que le Tribunal révolutionnaire de Paris. Les représentants en mission sont parfois accompagnés d’une guillotine pour impressionner et assurer l’exécution rapide des condamnations. Ils ont aussi le pouvoir de créer des Commissions (populaires ou révolutionnaires) qui vont fonctionner essentiellement dans les départements qui se sont soulevés contre la Convention à partir de juin 1793.