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Photographie | Dessins et plans | Disques | Gravure | Disques vinyle | Musique | Électrophones | Clip art | Disques durs | Loisirs | Informatique | Peinture | Géométrie | Couleurs | Disquettes | Ordinateurs -- Mémoires | Cercles | Cédéroms | DVD | iCloud (informatique) | ...
Disque chromatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a900ed-disque-chromatique

Disque chromatique

Disque chromatique avec les longueurs d'ondes associées.

Paysage au disque en 1906. Source : http://data.abuledu.org/URI/53447bc8-paysage-au-disque-en-1906

Paysage au disque en 1906

Paysage au disque en 1906, par Robert Delaunay (1885–1941). Musée d'Art Moderne de Paris. Entre 1904 et 1906, il réalise une série de portraits et d'autoportraits dans lesquels il applique la technique de la large touche en pavé propre au divisionnisme. Il réalise dans le même temps une série de paysages, toujours en utilisant la méthode divisionniste, dont le célèbre Paysage au disque, peint dans les derniers jours de 1906. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Delaunay

Phénakistiscope de la boxe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5388de02-phenakistiscope-de-la-boxe

Phénakistiscope de la boxe

Eadweard Muybridge (1830-1904). Le phénakistiscope (mot formé du grec phenax -akos, "trompeur", et skopein, "examiner") est un jouet optique donnant l'illusion du mouvement fondé sur la persistance rétinienne. Il a été inventé par le Belge Joseph Plateau en 1832. Il comporte un disque en carton, percé de dix à douze fentes, sur lequel un mouvement est décomposé en une séquence d'images fixes, et un manche permettant son maintien pendant sa rotation. Pour percevoir le mouvement, le spectateur se place en face d'un miroir et positionne ses yeux au niveau des fentes du disque, du côté opposé aux dessins. Il fait ensuite tourner le carton. Les fentes servent d'obturateur en ne laissant apparaître l'image reflétée dans le miroir qu'un très court instant. L'œil ne voit donc que des images fixées par la persistance rétinienne, s'animant les unes après les autres, ce qui reconstitue le mouvement lorsque le disque tourne à une vitesse suffisante. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ph%C3%A9nakistiscope

Relief-disques en 1936. Source : http://data.abuledu.org/URI/53447d21-relief-disques-en-1936

Relief-disques en 1936

"Relief-disques", 1936, par Robert Delaunay (1885-1941) : gouache et sable sur crayon.

Théorème de la pizza. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e547d3-theoreme-de-la-pizza

Théorème de la pizza

Théorème de la pizza. Source : Carter, Larry & Wagon, Stan (1994a), "Proof without Words: Fair Allocation of a Pizza", Mathematics Magazine 67 (4): 267.

Tourne-disque. Source : http://data.abuledu.org/URI/52483cdc-tourne-disque

Tourne-disque

Platine tourne-disques haute fidélité Thorens, des années 1980. Avec l’apparition des chaînes haute-fidélité, on a dissocié l’amplification de la lecture proprement dite, le tourne-disques étant alors désigné par le terme de platine ou de table de lecture. Ce dispositif est le seul à être encore couramment commercialisé pour un usage personnel. Les platines sont destinées à une reproduction de qualité sur un spectre de fréquences aussi large que possible, qui s’étend environ de 30 Hz à 18 kHz. Les exigences quant à leur fabrication sont donc considérablement plus strictes que celles imposées aux électrophones. Leur plateau a un diamètre légèrement supérieur à celui des disques microsillons de 30 cm et le niveau de bruit toléré est extrêmement faible, surtout aux basses fréquences. Elles sont équipées de moteurs à courant continu et d’une régulation électronique précise de la vitesse de rotation, ou de moteurs alternatifs synchrones qui mettent en rotation un plateau lourd par l’intermédiaire d’une courroie élastique. Leur tête de lecture est une tête magnétique, différente des têtes piézo-électriques, et délivre un signal électrique considérablement plus faible, de l’ordre de 5 mV environ. Elles nécessitent un préamplificateur spécial qui respecte rigoureusement la norme RIAA. Un tel préamplificateur, désigné sous le nom de préamplificateur correcteur, est en général inclus dans les équipements Hi-Fi de bonne qualité, mais peut aussi être installé dans un boîtier séparé.

Trois disques moins un de Calder à Philadelphie. Source : http://data.abuledu.org/URI/541e9180-trois-disques-moins-un-de-calder-a-philadelphie

Trois disques moins un de Calder à Philadelphie

Sculpture "Trois disques moins un" par Alexander Calder, 1968, Franklin Parkway près de Logan Square à Philadelphie.

Affiche bilingue de La nuit aux contes. Source : http://data.abuledu.org/URI/53c715c4-affiche-bilingue-de-la-nuit-aux-contes

Affiche bilingue de La nuit aux contes

Affiche et couverture de CD bilingue de "La nuit aux contes, Nuèit contarèla" avec les conteurs occitans "Marcèu Esquieu, Teresa Duverger", 1996. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Marceau_Esquieu

Boutique de vente de Nazar boncuks. Source : http://data.abuledu.org/URI/52992f84-boutique-de-vente-de-nazar-boncuks

Boutique de vente de Nazar boncuks

Nazar boncuk dans une boutique de souvenirs. Le Nazar boncuk est une amulette, fabriquée à la main à partir de pâte de verre (parfois en plastique) généralement teintée en bleu qui a la forme d'une goutte aplatie. Les plus petits spécimens ressemblent à des pendentifs et les plus grands, à des disques plats. Il est caractéristique de par ses couleurs et est très reconnaissable avec ses formes concentriques à l'instar de l'iris d'un œil. Les couleurs du Nazar boncuk se composent ainsi, en partant du centre : bleu marine, bleu clair, blanc et bleu foncé (parfois jaune / cercle à bordure dorée)1,2. Il est donc souvent appelé « l'œil bleu ». Son autre dénomination est « l'œil de Fatima », du nom de la fille du prophète Mahomet. Au Moyen-Orient et Afrique du Nord, la main de Fatima est souvent combinée avec Nazar.

Cantine portable du XVIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5377c3bd-cantine-portable-du-xviieme-siecle

Cantine portable du XVIIème siècle

Dessin d'une cantine portable du XVIIe siècle conservée au musée de Cluny. Fer battu et étamé, 40 cm de hauteur. L'anse supérieure en bronze permet de dévisser le bouchon de l'orifice A) par lequel on introduit de l'eau bouillante dans la moitié de la sphère. Les oreilles C) permettent le passage d'une courroie d'attache. Dans la cantine ouverte (fig. 2), deux disques bouchent des manchons (petits fours) qui peuvent contenir au chaud des viandes cuites. Dans la partie rabattue F) posée sur un brasier, ou dans la poche G) on peut cuire des légumes ou une soupe. Cette coquille fait office de gamelle, mais on peut aussi y loger pain, serviette, couteaux, cuillers et fourchettes. Source : Eugène Viollet-le-Duc (1814–1879), Dictionnaire raisonné du mobilier français de l'époque carolingienne à la Renaissance, t. 2, Paris, 1871, p. 49-51 avec 2 fig.

CD DVD. Source : http://data.abuledu.org/URI/50251b22-cd-dvd
CD-ROM. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6011b-cd-rom

CD-ROM

Un CD-ROM (abréviation de "Compact Disc - Read Only Memory") soit disque compact à mémoire morte (non modifiable) ou cédérom est un disque optique utilisé pour stocker des données sous forme numérique destinées à être lues par un ordinateur ou une console de jeu compatible. Le CD-ROM est une évolution du cd audio original, qui était destiné aux données numériques musicales prévues pour un lecteur de CD de chaîne Hi-fi ou de baladeur. Grâce à leur grande capacité de stockage et leur compacité, les cd-roms ont supplanté les disquettes dans la distribution des logiciels et autres données informatiques. Le terme cédérom, francisation officielle de CD-ROM, provient simplement de la lecture phonétique de ce mot anglais. Depuis lors (1996), cédérom et cd-rom, en minuscules, sont considérés comme des noms communs en français, et prennent donc un s au pluriel. Les données du CD-ROM sont lues sur la surface du disque par un laser, les bits de données étant stockés sous forme de creux et bosses et chaque fichier ayant des coordonnées sur le disque. L’information captée par le laser est transmise à l’ordinateur par une connexion interne de type SCSI, IDE, SATA, ou par un port externe USB ou E-SATA. Un cd-rom ne contient que des données non modifiables : il peut être lu par un lecteur de disque optique (lecteur CD), mais ne peut être écrit que par un graveur.

Couronne coréenne. Source : http://data.abuledu.org/URI/54afca9c-couronne-coreenne

Couronne coréenne

La couronne en or découverte en 1926 dans le tumulus de Seobongchong, datant du Ve siècle environ, est l'une des couronnes royales de Silla, en Corée. Elle est visible au musée national de Gyeongju, en Corée. Elle mesure 18,4 de diamètre et 24,7 cm de haut (ou 30,7 avec les ornements). Six tiges montent du bandeau : trois devant reprenant le caractère chinois « 出 » signifiant « présenter », et trois ondulées à l'arrière, en forme de branches terminées par des feuilles. Chaque tige est bordée de petits pointillés, et décorée de disques en or et de morceaux de jade recourbés. Les extrémités des branches sont décorées avec un bouton de fleur. Deux traversant ceintures aurifères ayant la pointe sur les quatre points de chaque cadre de la couronne de division, construisent le cadre à l'intérieur. Sur les côtés, deux longues boucles d'oreilles sont accrochées.

Développement d'une méduse en 1866. Source : http://data.abuledu.org/URI/59449373-developpement-d-une-meduse-en-1866

Développement d'une méduse en 1866

Alfred Moquin-Tandon, alias Alfred Frédol, "Le monde de la mer" en 1866 : Planche XI, Développement d'une méduse (Cyanea capillata et Aurelia aurita). 1à3) larves libres, 4à7) larve fixée, 8à10) division en disques superposés, 11) séparation des disques, 12à14) développement du disque et formation de la jeune méduse.

Disque dur. Source : http://data.abuledu.org/URI/504bc68b-disque-dur

Disque dur

Icone de disque dur.

Disque dur. Source : http://data.abuledu.org/URI/52a7510c-disque-dur

Disque dur

Schéma des composants du disque dur (légendé en français par historicair) : plateau, axe, tête de lecture, bras, alimentation électrique, interface IDE (SATA), servocommande, cavalier.

Disque vinyle 33 tours. Source : http://data.abuledu.org/URI/524843cc-disque-vinyle-33-tours

Disque vinyle 33 tours

Disque vinyle 33 tours : album de Bob Marley, édité en 1984 par les "Island Records", sept titres en anglais.

Disques et tourne-disques d'antan. Source : http://data.abuledu.org/URI/5384b54e-disques-et-tourne-disques-d-antan

Disques et tourne-disques d'antan

Exposition de collections de disques et d'électrophones au Musée Rocsen (Museo Polifacético), à Nono, province de Córdoba, en Argentine.

Électrophone des années 60. Source : http://data.abuledu.org/URI/52483dcb-electrophone-des-annees-60

Électrophone des années 60

Un tourne-disque ou électrophone est un appareil électronique destiné à restituer un enregistrement sonore réalisé sur disques microsillons. Appelé aussi pick up (table tournante au Québec), il est le successeur électronique du phonographe. Une platine, platine tourne-disque ou « table de lecture », ne comprend que les mécanismes de lecture des disques, sans amplification ni haut-parleurs. C’est la forme la plus courante de tourne-disques depuis la fin des années 1970.

Historique du stockage d'information. Source : http://data.abuledu.org/URI/5425df1f-historique-du-stockage-d-information

Historique du stockage d'information

Historique du stockage d'information au XXème siècle.

Jaume Pujagut et ses disques. Source : http://data.abuledu.org/URI/52484f54-jaume-pujagut-et-ses-disques

Jaume Pujagut et ses disques

Jaume Pujagut au montage de l'exposition de couvertures de disques de vinyl de sa collection privée, à la "Festa del Grafisme" 2011, à Portbou (Girona).

Le discobole. Source : http://data.abuledu.org/URI/587b5833-le-discobole

Le discobole

Le discobole, par la Commune de Venise, vectorisation Offnfopt.

Le flûtiste breton Jean-Michel Veillon à Guérande. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b45be7-le-flutiste-breton-jean-michel-veillon-a-guerande

Le flûtiste breton Jean-Michel Veillon à Guérande

Le flûtiste breton Jean-Michel Veillon à Guérande dans le cadre des Festi'Cités. Pour fêter ses 25 ans, Barzaz s'est reformé en 2013, remontant sur scène et enregistrant deux morceaux inédits accompagnant la réédition de leurs deux premiers disques dans un coffret produit par Keltia Musique. Suite à la première représentation à "La Gallésie en fête" à Monterfil en pays gallo, une tournée d'une vingtaine de concerts est organisée par Big Bravo Spectacles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Barzaz

Lecteur interne de CD-ROM. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e60202-lecteur-interne-de-cd-rom

Lecteur interne de CD-ROM

Lecteur interne de Cédérom.

Logo contre les DRM. Source : http://data.abuledu.org/URI/506d5492-logo-contre-les-drm

Logo contre les DRM

Version française du logo "Authors against DRM". Les DRM sont les "Droits numériques" ; leur "Gestion" a pour objectif de contrôler par des mesures techniques de protection, l'utilisation qui est faite des œuvres numériques. Ces dispositifs peuvent s'appliquer à tous types de supports numériques physiques (disques, DVD, Blu-ray, logiciels, etc.) ou de transmission (télédiffusion, services Internet, etc.) grâce à un système d'accès conditionnel.

Luminophores d'un tube cathodique de téléviseur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b3522b-luminophores-d-un-tube-cathodique-de-televiseur

Luminophores d'un tube cathodique de téléviseur

Luminophores fortement grossis d'un tube cathodique de téléviseur 70 cm. Chaque point lumineux (encore appelé luminophore) d’un écran couleur est constitué de trois matières, autrefois trois disques disposés en triangle équilatéral, aujourd’hui trois rectangles juxtaposés horizontalement, la face du tube est donc recouverte de triples points minuscules (triplets). Chacune de ces matières produit une couleur si elle est soumise à un flux d’électrons, les couleurs sont le rouge, le vert et le bleu. Il y a trois canons à électrons, un par couleur, et chaque canon ne peut allumer que les points d’une couleur, un masque (plaque métallique percée de trous : un par point est disposé dans le tube juste avant la face pour éviter qu’un canon ne déborde sur l’autre.

Machine de Wimshurst. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c27e68-machine-de-wimshurst

Machine de Wimshurst

Inventée par James Wimshurst à la fin du XIXe siècle, elle ne fut pas la première à utiliser l'induction électrostatique. Mais sa puissance la rendit rapidement très populaire. Cette machine était constituée de deux disques en verre munis de lames d'étain, contre lesquels viennent frotter des balais garnis de fils métalliques. Les charges produites étaient récupérées par des peignes métalliques, et stockées dans des bouteilles de Leyde. La machine de Wimshurst est une machine électrostatique inventée en 1882 par l'anglais James Wimshurst. Cette machine fut historiquement utilisée pour illustrer de nombreux phénomènes d'électricité statique ou la production d'ozone (à l'odeur caractéristique) dans un arc électrique. Elle est encore présente dans de nombreuses écoles. La machine de Wimshurst a une apparence caractéristique. Elle est équipée de deux larges disques constitués de matériaux isolants et recouverts de secteurs métalliques. Les deux disques tournent en sens opposé l'un par rapport à l'autre dans un plan vertical, les connexions se font à l'aide d'un dispositif de balais à friction permettant ainsi de récupérer la charge et d'emmagasiner l'énergie dans les bouteilles de charges (principe du condensateur). Au voisinage de pointes métalliques adéquatement connectées, et reliées à deux sphères convenablement disposées à une distance pouvant provoquer un étincelage, ce dispositif se nomme : éclateurs.

Mécanisme intérieur d'une montre mécanique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7d3cc-mecanisme-interieur-d-une-montre-mecanique

Mécanisme intérieur d'une montre mécanique

Mécanisme intérieur d'une montre mécanique par Otto Lueger (1843-1911), ingénieur allemand, auteur de "Lexikon der gesamten Technik", 1904. Le mouvement désigne l'ensemble des mécanismes qui servent à indiquer les unités de temps : heures, minutes, secondes, date, jour, phase de la lune et autres. L'ébauche : la platine, les pierres d'horlogerie ou rubis, les disques de quantième ou portant d'autres indications supplémentaires suivant la complication du mouvement, les ponts, les roues, les pignons, le remontoir, le système de remontage automatique avec la masse oscillante, aussi appelée rotor, le lubrifiant ; le ressort de barillet ; l’échappement ; l'organe régulateur : le balancier, le ressort spiral, le système antichoc ; le tourbillon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Montre_m%C3%A9canique.

Ovnis dans le ciel de Nuremberg en 1561. Source : http://data.abuledu.org/URI/529e60bb-ovnis-dans-le-ciel-de-nuremberg-en-1561

Ovnis dans le ciel de Nuremberg en 1561

Journal du 14 Avril 1561, décrivant un phénomène d'apparition d'ovnis arrivé au-dessus de Nuremberg le 4 Avril 1561. Jung s'est intéressé à la dimension symbolique de l'engouement pour les ovni. Il y voit une projection fantasmatique qui force la pensée rationnelle contemporaine à s'intéresser à d'autres modes cognitifs : sentiments éprouvés, sensations immédiates, intuitions. L'homme du vingtième siècle (dans l'hypothèse d'un processus physiologique d'individuation), se prépare à la rencontre - aussi étrange qu'une rencontre du troisième type - avec ses dynamismes cognitifs pré-conscients qui participent silencieusement à son existence. Le titre choc d'un article intitulé « Le Dr Jung dit que les « disques volants » suggèrent des pilotes quasi-humains » publié dans le journal le New York Herald Tribune, le 30 juillet 1958 à servi au deux camps qui s'opposent quand à l'existence d'ovni piloté par des extraterrestres.

Phonothèque. Source : http://data.abuledu.org/URI/52484577-phonotheque

Phonothèque

Phonothèque de la station de Radio Koper en Slovénie.

Structure d'un chloroplaste. Source : http://data.abuledu.org/URI/529061e2-structure-d-un-chloroplaste

Structure d'un chloroplaste

Ultrastructure d'un chloroplaste : 1-membrane externe, 2-espace intermembranaire, 3-membrane interne (1+2+3 : enveloppe), 4-stroma (fluide aqueux), 5-lumière du thylakoïde, 6-membrane du thylakoïde, 7-granum (thylakoïdes accolés), 8-thylakoïde inter-granaire (lamelle), 9-grain d'amidon, 10-ribosome, 11-ADN, 12-plastoglobule (gouttelette lipidique). La taille des chloroplastes est de l'ordre du micromètre (µm). Ils prennent souvent la forme de disques aplatis de 2 à 10 µm de diamètre pour une épaisseur d'environ 1 µm. Le chloroplaste est un organite composé de deux membranes (1 et 3) séparées par un espace inter-membranaire (2). Il contient un réseau membraneux constitué de sacs aplatis nommés thylakoïdes (8) qui baignent dans le stroma (4) (liquide intra-chloroplastique). Les thylakoïdes sont composés d'un lumen (5) entouré d'une membrane (6), et contiennent de la chlorophylle (pigments verts) et des caroténoïdes (pigments jaune orange). Un empilement de thylakoïdes se nomme granum (7) (au pluriel : des grana). D'autre part, le stroma contient quelques réserves sous forme d'amidon (9), et des structures lipidiques dont le rôle est encore mal compris, les plastoglobules (12). De plus, ces organites contiennent de l'ADN regroupé en nucléoides (11). Les ribosomes (10) sont constitués d'ARNr, synthétisés dans les chloroplastes, et de protéines codées par les génomes nucléaires et chloroplastiques.

Système d'exploitation. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300ce3d-systeme-d-exploitation

Système d'exploitation

Le système d'exploitation est un intermédiaire entre les logiciels d'application et le matériel. Il reçoit de la part des logiciels applicatifs des demandes d'utilisation des capacités de l'ordinateur — capacité de stockage des mémoires et des disques durs, capacité de calcul du processeur. Le système d'exploitation accepte ou refuse de telles demandes, puis réserve les ressources en question pour éviter que leur utilisation n'interfère avec d'autres demandes provenant d'autres logiciels. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_d%27exploitation

Tourne-disque avec disque. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d86481-tourne-disque-avec-disque

Tourne-disque avec disque

Un tourne-disque ou électrophone est un appareil électronique destiné à restituer un enregistrement sonore réalisé sur disques microsillons. Appelé aussi pick up (table tournante au Québec), il est le successeur électronique du phonographe. Une platine, platine tourne-disque ou « table de lecture », ne comprend que les mécanismes de lecture des disques, sans amplification ni haut-parleurs. C’est la forme la plus courante de tourne-disques depuis la fin des années 1970. De nombreux électrophones « grand public » se présentaient sous la forme d’une sorte de valise, dont le couvercle amovible contenait parfois le haut-parleur large bande qui, par le mode de construction de l’appareil, ne restituait les sons que dans une gamme réduite de fréquences, mais suffisante pour que le public ait plaisir à écouter ses disques. Le socle de l’appareil supportait le tourne-disque qui se composait lui-même d’une tête de lecture généralement piézo-électrique supportée par un bras articulé, et d’un plateau de dimensions en général assez réduites, de l’ordre de 20 cm de diamètre, mis en rotation par un moteur électrique, et sur lequel le disque à écouter était posé. Ce disque était centré par une broche située au centre du plateau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Platine_tourne-disques