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Photographie | Dessins et plans | Peinture | Dix-neuvième siècle | Architecture | Châteaux de la Loire | Aquitaine (France) | ABCD-inventions | Yvain Coudert | Bordeaux (Gironde) | RyXéo | ABCD | Gravure | Alimentation | Ponts | Aquitaine (France), Autoroute L' | Héricart de Thury (1776-1854) | Garonne (cours d'eau) | Arthur Fouques d’Émonville (1810-1880) | Hôtels -- France | ...
Le devin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5198b5a5-le-devin

Le devin

Le devin, Pietro Longhi (1702–1785), peintre vénitien.

Biscuit de mer de 1852. Source : http://data.abuledu.org/URI/534bf3d7-biscuit-de-mer-de-1852

Biscuit de mer de 1852

Légende en anglais : "Le plus ancien biscuit de mer. Quand Mr E. Gade, qui devint plus tard capitaine, rentra en 1852 d'un voyage sur le brick Lydia of Whitby, il remit à sa mère ce biscuit de mer comme souvenir concret de sa navigation. Offert par l'association des marins danois". Musée maritime du château de Kronborg, Elseneur, au Danemark.

Blason de Saint-Tropez. Source : http://data.abuledu.org/URI/51eef7e4-blason-de-saint-tropez

Blason de Saint-Tropez

Blasonnement : d'azur à la barque de gueules portant Tropes allongé, un chien et un coq, surmontée d'un ange d'argent volant au dessus et portant une couronne dans la main. Caïus Silvius Torpetius, né à Pise, grand officier de la cour de Néron, fut séduit par les idéaux pacifistes. Converti par Paul en l'an 68, il engendra la colère de l'empereur par son refus d'abjurer sa foi chrétienne. Il fut torturé, martyrisé et décapité à Pise et son corps jeté dans une barque sur l'Arno en compagnie d'un coq et d'un chien censés se nourrir du cadavre. Le courant Ligure ramena la barque jusqu'au rivage de l'actuel Saint-Tropez, autrefois appelé Héraclès. Les moines de l’Abbaye de Saint-Victor de Marseille, propriétaires au XIe siècle de la presqu'île, et de toutes les terres adjacentes, trouvèrent la barque, cachèrent le corps du martyr et élevèrent une chapelle qu'ils baptisèrent « Ecclesia Sancti Torpetis ». Torpes devint finalement Tropez. On raconte que le coq s'arrêta dans un champ de lin à quelques kilomètres de là. Le coq au lin donna le village Cogolin. Et le chien : Grimaud (chien en vieux français).

Carte de France de 1144 à 1166. Source : http://data.abuledu.org/URI/5075fb73-carte-de-france-de-1144-a-1166

Carte de France de 1144 à 1166

Carte en français de l'expansion de l'empire Plantagenêt, de 1144 à 1166. En 877, le royaume d'Aquitaine se décompose en deux duchés, un duché de Gascogne au sud de la Garonne et un duché d'Aquitaine (plus tard appelé Guyenne) qui avait pour capitale Bordeaux et se composait alors des fiefs de Gascogne, du comté d'Armagnac, du comté de Fézensac, du Périgord, du Poitou, du comté d'Angoulême, de la Saintonge et du comté de la Marche. En 1058, les deux duchés se réunissent. La reine Aliénor d'Aquitaine, fille du duc Guillaume X, fut au Moyen Âge parmi les personnages les plus influents de toute l'Europe. Après l'échec de son premier mariage avec le roi Louis VII de France, elle épousa en 1152 le duc de Normandie et comte d'Anjou, qui devint en 1154 roi d'Angleterre sous le nom d'Henri II Plantagenêt.

Carte de l'île de Niué. Source : http://data.abuledu.org/URI/50706eb7-carte-de-l-ile-de-niue

Carte de l'île de Niué

Carte des zones forestières et agricoles de l'île de Niué, avec localisation des réserves et zones de conservations (légende en français). Niue (en niuéen Niuē) est un pays insulaire de l’océan Pacifique sud. Il est situé à 2 400 km au nord-est de la Nouvelle-Zélande, au centre d'un triangle formé par les îles Tonga, Samoa et Cook. Découverte en 1774 par le capitaine James Cook, l'île devint un protectorat britannique en 1900 et administrée à ce titre par la Nouvelle-Zélande. Le 19 octobre 1974, Niue, à l'instar des îles Cook, a conclu un accord de libre association avec la Nouvelle-Zélande et par conséquent ne dispose toujours pas de la souveraineté internationale, bien que l'île ait commencé à établir sa propre politique étrangère.

Chaise à sel. Source : http://data.abuledu.org/URI/520fdc79-chaise-a-sel

Chaise à sel

Ancienne chaise à sel (région entre Doubs et Jura Suisse), destinée à cacher le sel aux yeux des controleurs d'impôts. Le sel alimentaire, indispensable à tout être humain, est l’élément principal utilisé pour la conservation des aliments. La taxe temporaire sur le sel établie en 1246, devint permanente puis monopole d’État en 1343 et ne fut supprimée définitivement qu’en 1946. Cette taxe était variable en fonction des régions et des droits que celles-ci avaient conservés à leur rattachement à l’État français. D’en d’autres cas, était fonction du voisinage avec des pays étrangers ou des régions productrices de sel. Cet impôt prélevé par la ferme générale suscita au cours des sept siècles une solide vocation dédiée à la contrebande et pratiquée par des faux sauniers toujours plus ingénieux et créatifs. Pour la conservation à l’abri de l’humidité, le coffre en bois, mis à proximité de la cheminée, est le plus indiqué des récipients. De là à créer un coffre qui fera office de chaise, il n’y avait qu’un pas à faire. De plus, cette chaise était constamment assignée à la grand-mère qui, de par sa longue robe de l’époque, cachait entièrement la partie coffre. Le gabelou, ou douanier de l’époque, par galanterie sans doute, ne dérangeait point l’aïeule, négligeant de ce fait le contrôle de ce mobilier. La matière utilisée pour la fabrication du meuble est variable selon les régions et la fortune du client, néanmoins pour une bonne conservation et une bonne tenue du meuble à l’usure et à la déformation, on utilisait de préférence le bois de sapin pour la partie coffre.

Château médiéval de Carrouges (Orne, Basse-Normandie) du XIVe siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc53d7-chateau-medieval-de-carrouges-orne-basse-normandie-du-xive-siecle

Château médiéval de Carrouges (Orne, Basse-Normandie) du XIVe siècle

D’abord oppidum défensif (place forte en hauteur) situé à la frontière méridionale du duché normand de Guillaume le Conquérant, vainement assiégé par les Plantagenêt en 1136, et détruit au début de la Guerre de Cent Ans, il fut reconstruit dans la vallée au milieu des étangs entre Maine et Normandie par les Seigneurs de Carrouges, qui se le virent confisquer pour insurrection par le roi d’Angleterre. Jean de Carrouges (IV), à l’origine du château dont subsiste le donjon, était chambellan du comte Pierre II d'Alençon et devint chevalier d’honneur du roi Charles VI à la suite d'un duel judiciaire où il avait mis en jeu sa vie pour sauver son honneur et celui de son épouse Marguerite de Thibouville qui avait été violée pendant son absence. Lui et ses hoirs (héritiers) seront aux côtés des rois de France pendant la durée de la Guerre de Cent Ans et contribueront à bouter les Anglais hors du royaume au prix de leur vie. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Carrouges

Chien rouge de Bavière. Source : http://data.abuledu.org/URI/5160bf3e-chien-rouge-de-baviere

Chien rouge de Bavière

Le Chien de rouge de Bavière (Bayerischer Gebirgsschweißhund) est un chien originaire d'Allemagne. Il y a environ 160 ans en Allemagne, la plupart des cerfs et des chevreuils étaient chassés sur de grands domaines en haute montagne. La situation évolua vers le milieu du XIXe siècle. On diminua l’étendue des parcelles de chasse. Les chiens courants autochtones de haute montagne (Hochgebirgsbracke), avec lesquels on avait encore pratiqué les grandes chasses aux courants n’avaient plus le droit d’être utilisés. À la fin de ce XIXe siècle, on mit en œuvre une protection intense du cerf. Dans le même temps, on élabora des armes de meilleure qualité et de plus grande portée qui modifièrent complètement la manière de chasser. Dès lors, le recours à un chien de rouge capable de faire du bon travail sur la piste froide d’un gibier blessé devint indispensable. La variété la plus légère du chien de rouge du Hanovre fut tout d’abord utilisée, appréciée par les chasseurs pour son calme et sa sûreté au pistage. Mais ce chien qui souvent n’aimait pas poursuivre, ou poursuivait sans donner de la voie (héritage des limiers) ne convenait pas parfaitement aux conditions difficiles de la chasse en haute montagne. On repensa donc aux chiens de chasse autochtones que l’on utilisait depuis des temps immémoriaux, y compris en tant que chiens de rouge, et on entreprit le croisement dans l’espoir de rassembler les qualités des deux races.

Descriptif du château de Saumur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f1999b-descriptif-du-chateau-de-saumur

Descriptif du château de Saumur

Descriptif bilingue du château de Saumur : "Forteresse édifiée sur un promotoire surplombant la Loire par les ducs d'Anjou, le château de Saumur devint propriété royale sous Philippe-Auguste. Henry III en fait don à son beau-frère Henry de Navarre, appartenant à la religion réformée. Le gouverneur de la ville, Duplessis-Mornay, dote la ville de puissantes fortifications. La ville devient un centre culturel pour les Huguenots. La révocation de l'Édit de Nantes en 1685 par Louis XIV et les persécutions chassent les Protestants et provoquent le déclin de la ville. Le château devient un prison, le marquis de Sade et l'amiral Kerguelen y furent incarcérés."

Descriptif du mini-château de Blois. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f073c8-descriptif-du-mini-chateau-de-blois

Descriptif du mini-château de Blois

Descriptif bilingue du mini-Château de Bois, Val de Loire : "Forteresse bâtie au XIII° siècle dominant la Loire, il fut racheté par Louis d'Orléans en 1391. Son fils, Charles d'Orléans le poète en hérita. Puis son petit-fils Louis XII, accédant au trône de France, Blois devint résidence royale. François Ier, gendre de Louis XII en fit un chef-d'oeuvre de la Renaissance, un magnifique escalier ornant la façade. Louis XIII fit don du château à son frère Gaston d'Orléans qui entreprit d'importants travaux, inachevés, sous la direction de Mansart. Saccagé pendant la révolution, le château fut transformé en caserne au XIX° s. ensuite classé Monument Historique et rénové. C'est à Blois que le duc de Guise fut assassiné sur ordre d'Henry III. La reine-mère Marie de Médicis assignée à résidence par son fils Louis XIII s'évada en 1619 après deux ans de captivité.

Forteresse de Marienbourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c35551-forteresse-de-marienbourg

Forteresse de Marienbourg

Forteresse teutonique de Marienbourg (Malbork en polonais) en gothique de brique. La ville en elle-même, construite autour de la forteresse de Marienbourg, a été fondée en 1274 sur la rive droite de la rivière Nogat, bras de la Vistule, par les chevaliers teutoniques. Le château fortifié devint le siège de l'ordre des chevaliers teutoniques et la plus grande forteresse gothique d'Europe. La rivière et le terrain plat permettant un accès aisé aux barges à une centaine de kilomètres de la mer, les chevaliers teutoniques l'intégrèrent à leur État, y collectèrent des péages et imposèrent un monopole sur le commerce de l'ambre. La ville devint plus tard membre de la ligue hanséatique et de nombreuses réunions de la Hanse s'y tinrent.

Gare St Jean à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5547b855-gare-st-jean-a-bordeaux

Gare St Jean à Bordeaux

Gare St Jean à Bordeaux, façade extérieure. La première a été construite en 1855 par la Compagnie du Midi en remplacement de la gare de Bordeaux-Ségur. Le développement important des chemins de fer à la fin du XIXe siècle rendit nécessaire la construction d'une gare principale plus grande. Les travaux débutèrent en 1889. Le hall d'arrivée fut bâti en premier en 1893 ; puis ce fut le hall de départ en 1897. La totalité du complexe fut terminée en 1898. La gare Saint-Jean devint la gare principale de Bordeaux aux dépens de la gare de Bordeaux-Bastide (gare d'Orléans) sur la rive droite du fleuve. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gare_de_Bordeaux-Saint-Jean

Horloge du château des ducs de Poméranie à Szczecin. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a725f-horloge-du-chateau-des-ducs-de-pomeranie-a-szczecin-

Horloge du château des ducs de Poméranie à Szczecin

Horloge du château des ducs de Poméranie à Szczecin. Deux dates : 1736 et 1864. En 1309, Warcislaw avait fait construire un château fort à Szczecin qui devint la capitale de la Poméranie.

Le bouc de Noël suédois. Source : http://data.abuledu.org/URI/519930ce-le-bouc-de-noel-suedois

Le bouc de Noël suédois

Le bouc de Nöel suédois, par John Bauer (1882-1918). Le "Julbock" est l’un des plus vieux symboles de Noël des pays scandinaves et du nord de l’Europe. On peut le traduire en français par chèvre ou bouc de Noël. Son origine remonte bien avant l’ère chrétienne, quand les Boucs étaient liés au dieu Thor, qui voyageait dans le ciel tiré par deux d’entre eux. Durant le XIXe siècle, le rôle du julbock changea et il devint celui qui distribuait les cadeaux. Les enfants tressaient leur chèvre de Noël avec des tiges séchées de blé et durant la nuit de Noël, celle-ci s'envolait et se rendait au pays des cadeaux pour chercher un présent. Aujourd'hui, le Julbock a été remplacé par le Julenisse, une sorte de lutin qui distribue les cadeaux. La chèvre est toujours présente et l'accompagne dans ses tournées. Le Julbock est encore aujourd’hui une décoration de Noël populaire dans les pays scandinaves.

Le conte de la petite souris grise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313698e-le-conte-de-la-petite-souris-grise

Le conte de la petite souris grise

Le conte de la petite souris grise de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : "Attends, méchante bête !" s’écria Rosalie, hors d’elle de colère et d’effroi. Elle saisit un balai et allait en donner un coup violent sur la Souris, lorsque le balai devint flamboyant et lui brûla les mains ; elle le jeta vite à terre et le poussa du pied dans la cheminée pour que le plancher ne prît pas feu.

Le géant Totor. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc84de-le-geant-totor

Le géant Totor

Le géant Totor de Steenwerck (Nord) avec haut-de-forme, nœud papillon et smoking noir. Totor est un géant de processions et de cortèges inauguré en 1933 à l'initiative de 3 jeunes musiciens. Une chanson populaire de l'époque avait pour titre "Totor, t'as tort". Avec quelques arrangements locaux, elle devint "la chanson de Totor" qui donna son nom au géant. Son corps était en bois, fourni et coupé par le menuisier du village et cintré par le tonnelier. Sa tête en carton avait été achetée à Lille et ramenée à Steenwerck à bicyclette. Son chapeau haut de forme était fait de cordes de piano assemblées et recouvertes d'une toile noire raidie. Il portait au bras un parapluie. Il mesurait 4.75m et pesait 60kg. Il disparut pendant le 2ème guerre mondiale. Plus petit que son ainé et installé sur un char, Totor 2 vit le jour en 1947. Une chaine de montre reliait la poche de sa redingote au premier des deux boutons qui la fermaient. Il portait une jupe de toile à carreaux noirs et blancs. Les fêtes populaires disparaisant, il prit sa retraite dans une remise où l'humidité et les rongeurs mirent fin à son existence. Réalisé en 1978 par le vannier du village, Totor 3 mesure 5.70m, pèse 120 kg habillé (93 kg nu) et est porté par 5 porteurs. Ses vêtements se composent d'un plastron en ottoman à dix plis plats, d'un nœud papillon noir, d'une veste de tergal noire et d'une jupe de nylon beige. Depuis plusieurs années, il laisse son parapluie au vestiaire. Il passe maintenant une retraite bien méritée au Musée de le Vie Rurale de Steenwerck. Entièrement réalisé à l'identique de Totor 3, Totor 4 a vu le jour le 24 septembre 2006. Silhouette noire et blanche, Totor arbore un haut-de-forme, un nœud papillon, un smoking et des gants. Il a les yeux écarquillés et, pratiquement, la seule variante de couleur est le rouge de ses lèvres qui souligne son léger sourire ... ou sa satisfaction. Comme pour tous les géants d'une telle taille, son équipe d'accompagnateurs doit comporter au moins une personne chargée de soulever les fils électriques lors de son passage.

Légende de l'origine de la vanille. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276c1e9-legende-de-l-origine-de-la-vanille

Légende de l'origine de la vanille

Statue représentant Tzacopontziza et Zkatan-Oxga : légende Totonac sur l'origine de la vanille à Papantla, Veracruz par Teodoro Cano Garcia. Ce sont les Totonaques, occupants des régions côtières du golfe du Mexique autour des actuelles villes de Veracruz et de Papantla, qui produisaient la vanille et en approvisionnaient l'empire aztèque. Selon la légende, la liane de vanille est née du sang de la princesse Tzacopontziza (ce qui peut se traduire par « Étoile du Matin ») à l'endroit où son ravisseur, le prince Zkatan-Oxga (c'est-à-dire « Jeune Cerf ») et elle-même furent rattrapés et décapités par les prêtres de Tonoacayohua, la déesse des récoltes7. Le prince se réincarna en un vigoureux arbuste et la princesse devint la délicate liane d'orchidée enlaçant tendrement son amant. Les Totonaques appelaient la vanille et l'appellent encore aujourd'hui caxixanath, la « fleur cachée », ou plus brièvement xanat.

Matin dans une forêt de pins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5138cd73-matin-dans-une-foret-de-pins

Matin dans une forêt de pins

Matin dans une forêt de pins, 1872, par le peintre russe Ivan Shishkin (1831–1898). Après avoir passé son enfance dans les régions sauvages de l'Oural et de la Volga, il étudia à l'École de Peinture, Sculpture et Architecture de Moscou pendant quatre années, puis à l'Académie impériale des Arts de Saint-Pétersbourg de 1856 à 1860, dont il sortit avec les plus grands honneurs et une médaille d'or. Cinq ans plus tard, Chichkine devint lui-même membre de cette Académie, puis professeur. Il était par ailleurs professeur à l'École supérieure des Arts, spécialisé dans les paysages.

Mosaïque de Space Invader à Pigalle. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c1e143-mosaique-de-space-invader-a-pigalle

Mosaïque de Space Invader à Pigalle

Mosaïque inspirée par les personnages de "Space Invaders" à Pigalle. Numérotée « PA_553 », angle des 72 bis et 72 ter rue des Martyrs à Paris, France. Invader, ou Space Invader, est un artiste urbain français, né en 1969. Les mosaïques de cet artiste représentent des personnages d’un célèbre jeu vidéo édité par Taito en 1978, Space Invaders, qui devint en 1980 un des premiers jeux à très grand succès sur la console Atari 2600. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Invader_%28artiste%29.

Organisation de l'Unité Africaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d29fdf-organisation-de-l-unite-africaine

Organisation de l'Unité Africaine

Cartographie historique de l'entrée des états africains dans l'OUA : 32 États créèrent l’OUA à Addis-Abeba (Éthiopie) en 1963. Parmi les chefs d'État fondateurs, les avis divergeaient sur sa nature. Les partisans du fédéralisme, menés par le président du Ghana Kwame Nkrumah, s’opposaient aux tenants d’une « Afrique des États » avec à leur tête le président sénégalais Léopold Sédar Senghor. Ces derniers imposèrent leur vision et l’OUA devint un outil de coopération, et non d’intégration, entre les États. Les quartiers généraux de l'OUA, se trouvaient à Addis-Abeba (c'est toujours le cas pour l'actuelle UA). La charte de l'organisation (qui fut rédigée notamment par le président malien Modibo Keïta et le président togolais Sylvanus Olympio quelque temps avant sa mort) fut signée par trente-deux États africains indépendants, en mai 1963. Au moment de sa dissolution, cinquante-trois des cinquante-quatre pays africains étaient membres, le Maroc ayant quitté l'organisation en 1985 à la suite de l'admission du Front Polisario en 1982.

Parc et Hôtel du botaniste Émonville. Source : http://data.abuledu.org/URI/5565c9d4-parc-et-hotel-du-botaniste-emonville

Parc et Hôtel du botaniste Émonville

Parc et ancien hôtel d'Émonville (bibliothèque municipale), Abbeville, Somme, Picardie. Le parc devint au XIXe siècle la propriété d'Arthur Fouques d’Émonville (1810-1880), botaniste et collectionneur de camélias. En 1861, Arthur Foucques d’Émonville fit construire par Lefuel, un hôtel dit d’Émonville à l’emplacement de l’ancien logis abbatial.

Pont d'aquitaine à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148c0e0-pont-d-aquitaine-a-bordeaux

Pont d'aquitaine à Bordeaux

Pont d'aquitaine vu depuis la rive droite, à Lormont. Le pont d'Aquitaine est un pont suspendu situé sur la rocade de Bordeaux, France. Le pont fut terminé en 1967 et a une portée de 394 m pour une longueur de 1 767 m. En 1954, le maire de Bordeaux, Jacques Chaban-Delmas, devint ministre des Travaux Publics et, dès le 13 août 1954, la décision de principe de construire le pont suspendu était prise. Le ministre des Travaux Publics, Robert Buron, en posa la première pierre le 20 mai 1960. Commencés en 1961, les travaux se sont étalés sur six ans. L'ouvrage fut inauguré officiellement le 6 mai 1967, sous la présidence du ministre des Travaux Publics de l'époque, François-Xavier Ortoli. Conformément au « dogme » en vigueur en France à l’époque de la construction, les fils n’ont pas été galvanisés. Ils ont fait l’objet d’une protection individuelle et d’ensemble par des produits traditionnels, dont la durée de vie n’était pas à l’échelle de celle attendue de l’ouvrage.

Portrait de Carl Benz en 1896. Source : http://data.abuledu.org/URI/55a0b2c5-portrait-de-carl-benz-en-1896

Portrait de Carl Benz en 1896

Portrait de Carl Benz (1844-1929), inventeur allemand, pionnier de l'automobile, et fondateur de Benz & Cie qui devint Mercedes-Benz en 1926, après la fusion avec Daimler-Motoren-Gesellschaft. Source : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Carl_Benz.png

Premier chemin de fer transcontinental américain. Source : http://data.abuledu.org/URI/55a21426-premier-chemin-de-fer-transcontinental-americain

Premier chemin de fer transcontinental américain

Premier chemin de fer transcontinental américain. Promontory Summit est un lieu situé dans le comté de Box Elder, dans l'État de l'Utah, aux États-Unis d'Amérique, approximativement à 41°37′07″N, 112°32′51″O, à une altitude de 1 494 mètres au-dessus du niveau de la mer. Il devint célèbre en devenant le lieu où s'opéra la jonction entre les chemins de fer de l'Union Pacific Railroad et la Central Pacific Railroad en 1869, constituant ainsi le premier chemin de fer transcontinental des États-Unis. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Promontory_Summit

Rome la veuve. Source : http://data.abuledu.org/URI/53077464-rome-la-veuve

Rome la veuve

Pétrarque, dans son épître à Benoît XII, décrit Rome sous les traits d'une vieille femme qui supplie à genoux de la délivrer de son infortune (Papauté à Avignon). Bibliotheque Nationale, f° 18, Ms italien 81. Rome, où le poète avait été couronné, devint dès lors pour lui une obsession. Vénérant et idolâtrant cette ville plus que toute autre, il écrivit à son propos : « Rome, la capitale du monde, la reine de toutes les villes, le siège de l'empire, le rocher de la foi catholique, la source de tout exemple mémorable. » Cette glorieuse cité ruinée, capitale d’un empire, devait retrouver tout son lustre. Pétrarque, partisan des gouvernements populaires, vit d’un bon œil la politique qu’y menait Nicola Gabrino, dit Cola di Rienzo. Mais, pour que Rome redevienne Rome, il fallait surtout que la papauté délaissât les berges du Rhône pour retourner sur celles du Tibre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9trarque.

Salade Waldorf. Source : http://data.abuledu.org/URI/53173229-salade-waldorf

Salade Waldorf

Salade Waldorf servie dans un bol en verre : préparation à partir de pomme et de céleri hachés en julienne, avec des noix, des grains de raisin et une sauce mayonnaise. Elle fut créée vers 1893 à l'Hôtel Waldorf de New York (qui devint le Waldorf-Astoria en 1931).

Scaramuccia. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c15e10-scaramuccia

Scaramuccia

Scaramuccia, dont le nom, escarmouche en français, signifie « petit batailleur ». Son type primitif, originaire de Naples, se rapproche du Capitan. Comme celui-ci il est vantard, fanfaron et peureux, et il finit toujours par fuir ou être battu. Tout de noir vêtu, à la mode espagnole, et porteur d’une longue rapière, il s’annonce comme étant pour le moins prince ou duc, mais il remplit au besoin des rôles plus modestes. Scaramouche prit, sous le nom de Pasquariello, l’emploi d’un valet gourmand et ivrogne, doué d’une agilité de gymnaste, puis devint, sous celui de Pasquino, un serviteur intrigant, menteur et bel esprit ; enfin, il subit sur la scène française une troisième métamorphose, celle de Crispin. Source : Maurice SAND, Masques et bouffons (Comédie Italienne). Paris, Michel Levy Freres, 1860.

Verrière du Palacio Postal de Mexico. Source : http://data.abuledu.org/URI/54ecb75f-verriere-du-palacio-postal-de-mexico

Verrière du Palacio Postal de Mexico

Vue intérieure de la verrière du patio du Palacio Postal, la poste centrale de Mexico, au Mexique. Ce bâtiment date du début du XXe siècle, quand la Poste devint une entité à part entière du gouvernement mexicain. Son style et sa construction étaient des plus modernes pour l'époque. Dans les années 1950, il fut modifié et sa structure transformée, ce qui entraîna d'importants dommages lors du séisme de 1985 à Mexico. Il a été restauré dans les années 1990.

Village d'Anatolie. Source : http://data.abuledu.org/URI/51699cc6-village-d-anatolie

Village d'Anatolie

Les rives du Bosphore, Yeniköy. Mine de plomb, aquarelle et crayon gras. Aquarelle du peintre orientaliste Jules Laurens (1847), membre de l'expédition Hommaire de Hell. Jules Laurens (1825-1901). Yenikoy est un petit village turc de la région d'Afyonkarahisar. C'est un village traditionnel anatolien. Le village fut fondé par les émigrants turcs de la république de Haut-Karabagh, ceux-ci (qui vivaient initialement à Davulga) avaient émigré à l'époque de l'Empire ottoman. Après le déplacement des "Enfants de Alhan" vers la vallée de Yenikoy, ce village devint une ville.

Visite des Catacombes en 1860. Source : http://data.abuledu.org/URI/5142f543-visite-des-catacombes-en-1860

Visite des Catacombes en 1860

Visite des catacombes en 1860 : Un arrêt du Conseil d'État du 9 novembre 1785 décide la suppression du cimetière des Innocents avec évacuation des ossements, puis son réaménagement en marché public. Le nom de Catacombes est donné aux carrières aménagées, par analogie avec les anciennes nécropoles souterraines de Rome, même si les lieux n'ont jamais servi de sépulture directe et n'ont aucun caractère sacré. Durant toute son existence, plus de deux millions de parisiens sont inhumés au cimetière des Innocents. Dès leur création, les Catacombes suscitent la curiosité. En 1787, le premier visiteur, le comte d'Artois, futur Charles X, y descend en compagnie de dames de la Cour. L'année suivante, on mentionne la visite de Madame de Polignac et Madame de Guiche. Mais il faut attendre 1806 pour que les premières visites publiques soient organisées ; celles-ci ne s'opèrent qu'à des dates irrégulières pour de rares privilégiés. C'est le successeur de Guillaumot, Louis-Étienne Héricart de Thury, alors responsable du service des carrières de la Ville de Paris, qui organise les premières visites régulières dès sa prise de fonction. Il fait tracer au plafond un trait noir, servant de fil d'Ariane aux visiteurs. En 1810 et 1811, il fait aménager l'ossuaire avec la réalisation d'alignements d'ossements décorés de motifs macabres ou artistiques, et placer des plaques portant des citations gravées dans la pierre, tirées de textes sacrés, littéraires, philosophiques ou poétiques célèbres, avec un goût propre au Premier Empire. Les ouvrages de consolidation sont transformés en monuments à la pompe funéraire. Par ailleurs, l'ossuaire est isolé du reste des carrières souterraines, donnant un aspect proche de celui qu'on observe au XXIe siècle. Héricart de Thury (1776-1854) publie en 1815 la "Description des Catacombes de Paris", qui devint la base sur laquelle toutes les études postérieures s'appuient.