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Photographie | Dessins et plans | Botanique | Peinture | Arbres -- Croissance | Arbres | Gravure | Animaux -- Croissance | Biologie | Plantes | Algues | Grandville (1803-1847) | Cycles biologiques | Fleurs | Biologie animale | Dessin en noir et blanc | Peuplier tremble | Grenouilles | Têtards | Algues marines | ...
Alice grandit encore. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8d70-alice-grandit-encore

Alice grandit encore

Alice grandit encore, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Tout en causant ainsi, Alice était entrée dans une petite chambre bien rangée, et, comme elle s’y attendait, sur une petite table dans l’embrasure de la fenêtre, elle vit un éventail et deux ou trois paires de gants de chevreau tout petits. Elle en prit une paire, ainsi que l’éventail, et allait quitter la chambre lorsqu’elle aperçut, près du miroir, une petite bouteille. Cette fois il n’y avait pas l’inscription BUVEZ-MOI — ce qui n’empêcha pas Alice de la déboucher et de la porter à ses lèvres. « Il m’arrive toujours quelque chose d’intéressant, » se dit-elle, « lorsque je mange ou que je bois. Je vais voir un peu l’effet de cette bouteille. J’espère bien qu’elle me fera regrandir, car je suis vraiment fatiguée de n’être qu’une petite nabote ! » C’est ce qui arriva en effet, et bien plus tôt qu’elle ne s’y attendait. Elle n’avait pas bu la moitié de la bouteille, que sa tête touchait au plafond et qu’elle fut forcée de se baisser pour ne pas se casser le cou. Elle remit bien vite la bouteille sur la table en se disant : « En voilà assez ; j’espère ne pas grandir davantage. Je ne puis déjà plus passer par la porte. Oh ! je voudrais bien n’avoir pas tant bu ! » Hélas ! il était trop tard ; elle grandissait, grandissait, et eut bientôt à se mettre à genoux sur le plancher. Mais un instant après, il n’y avait même plus assez de place pour rester dans cette position, et elle essaya de se tenir étendue par terre, un coude contre la porte et l’autre bras passé autour de sa tête. Cependant, comme elle grandissait toujours, elle fut obligée, comme dernière ressource, de laisser pendre un de ses bras par la fenêtre et d’enfoncer un pied dans la cheminée en disant : « À présent c’est tout ce que je peux faire, quoi qu’il arrive. Que vais-je devenir ? »

Absorption de la chlorophylle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e41760-absorption-de-la-chlorophylle

Absorption de la chlorophylle

Grahique du spectre d'absorption de la chlorophylle : en vert le spectre d'absorption de la chlorophylle a et en rouge le spectre d'absorption de la chlorophylle b. Le spectre visible se situe approximativement entre 380 nm à 780 nm bien qu'une gamme de 400 nm à 700 nm soit plus commune. La lumière perçue comme « verte » par l’œil et le cerveau humain a une longueur d'onde, selon les notions de la couleur « verte », approximativement entre 490 et 570 nanomètres. On remarque sur le graphique que l’absorbance de la chlorophylle est moindre pour cette plage du spectre électromagnétique. La chlorophylle absorbe donc la majeure partie du spectre visible sauf la lumière verte. La lumière rouge a une longueur d'onde de 620-750nm et une fréquence de 400-484THz. La région du rouge atteint un maximum de 660-670 nm pour la Chlorophylle A et aux alentours de 635-645 nm pour la Chlorophylle B. Les plantes ont un grande besoin des ondes rouges sauf celles beaucoup plus longues que 670 nm. La lumière bleue a une longueur d'onde de 450-495nm et une fréquence de 606-668THz. La photosynthèse fonctionne le mieux grâce aux ondes de la couleur rouge, et à moindre degré à celles de la couleur bleue. Mais certaines plantes ont un plus grand besoin de bleu que d'autres pour une croissance saine - notamment pour que les fleurs éclosent et pour que les fruits poussent.

Art topiaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/510d82d6-art-topiaire

Art topiaire

L'art topiaire (du latin "ars topiaria", l'art du paysage) consiste à tailler les arbres et arbustes de jardin dans un but décoratif pour former des haies, des massifs ou des sujets de formes très variées, géométriques, personnages, animaux, etc. Cet art, qui est né à l'époque de la Rome antique, s'apparente à la sculpture sur des végétaux vivants et s'aide parfois de formes métalliques destinées à guider la croissance des plantes et les cisailles du jardinier. De nombreuses plantes, de préférence sempervirentes, à petites feuilles et à port compact, se prêtent à cet usage, comme le laurier, le cyprès, voire le lierre, mais les plus utilisées sont assurément l'if et surtout le buis.

Bouqetin des Alpes se grattant l'arrière-train. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d4714-bouqetin-des-alpes-se-grattant-l-arriere-train

Bouqetin des Alpes se grattant l'arrière-train

Bouquetin mâle se grattant l'arrière-train avec ses cornes. La caractéristique la plus frappante chez le bouquetin mâle réside dans ses cornes. Trois mois après sa naissance, il se dote en effet d'une paire de cornes ; lesquelles grandissent tout au long de la vie, leur croissance se ralentissant cependant avec l'âge. Recourbées vers l'arrière et plus ou moins divergentes selon les individus, en forme de cimeterres, elles se parent de nodosités également appelées bourrelets de parure. À l'âge adulte, les cornes du mâle atteignent 70 à 100 cm et peuvent peser jusqu'à 6 kg la paire.

Cactus coussin de belle-mère. Source : http://data.abuledu.org/URI/54fe8e19-cactus-coussin-de-belle-mere

Cactus coussin de belle-mère

Cactus, parfois appelé coussin de belle-mère (Echinocactus grusonii), photographié au Jardin Zoologique de Stuttgart, Allemagne. Espèce dédiée à Hermann Gruson, cactophile allemand. De forme quasi-sphérique, elle atteint 60 cm de diamètre, voire un mètre après de nombreuses années. Les sujets peuvent présenter jusqu'à 35 côtes sur les sujets adultes. Les épines sont fortes, longues, droites ou légèrement incurvées, dans des teintes jaunes ou parfois blanches. C'est une plante de culture facile et à croissance relativement rapide. Pour ces raisons, elle est commercialisée à plusieurs milliers d'exemplaires chaque année par les jardineries. Elle demande une température hivernale minimum de 12 °C, bien drainée avec moins d'arrosage en hiver. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Echinocactus_grusonii

Carte des pays concernés par le TTIP. Source : http://data.abuledu.org/URI/5480aaee-carte-des-pays-concernes-par-le-ttip

Carte des pays concernés par le TTIP

Carte des pays concernés par le PTIC (TTIP en anglais). Le partenariat transatlantique de commerce et d'investissement, également connu sous le nom de traité de libre-échange transatlantique (TAFTA en anglais), est un accord commercial en cours de négociation entre l'Union européenne et les États-Unis prévoyant la création en 2015 d'une zone de libre-échange transatlantique souvent appelée grand marché transatlantique. Si le projet aboutit, il instituera la zone de libre-échange la plus importante de l'Histoire, couvrant 45,5 % du PIB mondial2. Ses défenseurs affirment que l'accord conduira à une croissance économique pour les deux parties tandis que les critiques soutiennent notamment qu'il augmentera le pouvoir des entreprises face aux États et compliquera la régulation des marchés. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Partenariat_transatlantique_de_commerce_et_d%27investissement

Chêne sessile, inflorescence. Source : http://data.abuledu.org/URI/53122cac-chene-sessile-inflorescence

Chêne sessile, inflorescence

Inflorescences de chêne sessile, appelées aussi chatons.

Coeur de tournesol. Source : http://data.abuledu.org/URI/503ea223-helianthus-annuus-stamper-jpg

Coeur de tournesol

Gros-plan sur un coeur de tournesol. Son nom scientifique est "Helianthus annuus" (Hélios = soleil). Il existe de nombreux noms ou expressions vernaculaires pour le désigner : grand-soleil, soleil des jardins, soleil commun, graine à perroquet, hélianthe… Le tournesol est sujet à l'héliotropisme avant la floraison. Ce phénomène agit sur la croissance de la tige en fonction de l'éclairement. Il permet aux feuilles de garder tout au long de la journée une exposition optimale au soleil. Au début de la floraison, la fleur pointe définitivement dans la direction Est/Sud-Est.

Croissance des tables de routage. Source : http://data.abuledu.org/URI/527e219a-croissance-des-tables-de-routage

Croissance des tables de routage

Graphique de croissance des tables de routage de 1989 à 2012. Une table de routage est une structure de données utilisée par un routeur ou un ordinateur en réseau et qui associe des préfixes à des moyens d'acheminer les datagrammes vers leur destination. Traduction Christophe Catarina.

Croissance du tigre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df43aa-croissance-du-tigre

Croissance du tigre

Courbe de croissance du tigre du Bengale. Les jeunes tigres sont nus et incapables de marcher à la naissance ; ils pèsent de 750 à 1 600 g selon les sous-espèces : le tigre nouveau-né est 200 fois plus léger que le tigre adulte. Trois à trente minutes après la naissance, lorsque le premier cri est poussé, la tigresse libère les petits du cordon ombilical et les nettoie. Attirés par la chaleur du corps de leur mère, les nouveau-nés aveugles cherchent alors les mamelles en tâtonnant. L’allaitement commence durant les quatre premières heures, et les trois premiers jours y seront consacrés. Dans un premier temps, l'allaitement dure 70 % des heures du jour, puis le temps consacré à cette activité diminue : il passe à 60 % au bout de dix jours, 30 % après quarante jours et seulement 10 % à 90 jours, lorsque les jeunes tigres ont presque terminé leur sevrage. La tigresse se désintéresse rapidement des jeunes immobiles, considérés comme mort-nés ; de même, elle ne forcera pas ses petits à se nourrir. Le lait de la tigresse est très riche en lipides et en protéines, ce qui leur assure une croissance rapide : le tigre multiplie son poids par cent durant les vingt premiers mois, sa croissance continuant plus doucement jusqu’à ses deux ans. Source : Kailash Sankhala, "Le tigre : ses mœurs - son histoire - son avenir", MLP Editions, 1998, 96 p. (ISBN 2-7434-1070).

Cycle de croissance de la grenouille. Source : http://data.abuledu.org/URI/53519fc5-cycle-de-croissance-de-la-grenouille

Cycle de croissance de la grenouille

Cycle de croissance de la grenouille : 1) Avant l'éclosion ; 2) Larves juste après l'éclosion s'accrochant à des algues ; 3) Avec des branchies extérieures ; 4) Les branchies extérieures sont recouvertes et sont absorbées ; 5) Larves sans membres d'environ un mois avec des branchies internes ; 6) Têtard avec jambes arrières, d'environ deux mois ; 7) Avec les jambes avant qui paraissent ; 8) Avec les quatre jambes libres ; 9) Une jeune grenouille d'environ trois mois, montrant une absorption presque totale de la queue ainsi que le changement de la gueule de têtard en celle de grenouille.

Cycle de l'acétabulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7ad20-cycle-de-l-acetabulaire

Cycle de l'acétabulaire

Cycle de vie de l'acétabulaire, algue verte unicellulaire. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elle utilise pour cela un petit filament qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant.

Cycle de vie d'une algue verte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df5f30-cycle-de-vie-d-une-algue-verte

Cycle de vie d'une algue verte

Cycle de vie de l'algue verte Acetabularia : Les acétabulaires sont des algues vertes unicellulaires. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elle utilise pour cela un petit filament (5) qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau (6) qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale (7) du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant.

Cycle de vie de l'acétabulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0c91c-cycle-de-vie-de-l-acetabulaire

Cycle de vie de l'acétabulaire

Cycle de vie des acétabulaires (genre Acetabularia), algues vertes unicellulaires. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elles utilisent pour cela un petit filament qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant. Source : wikipedia, Acétabulaire_(biologie).

Cycle de vie de la grenouille verte. Source : http://data.abuledu.org/URI/5351a876-cycle-de-vie-de-la-grenouille-verte

Cycle de vie de la grenouille verte

Cycle de vie de la grenouille verte américaine (Lithobates clamitans).

Détail du système d'accorage d'un conteneur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51166f47-detail-du-systeme-d-accorage-d-un-conteneur

Détail du système d'accorage d'un conteneur

Détail du système d'accorage (amarrage) d'un conteneur sur un porte-conteneur maritime. Le principe du conteneur a été inventé en 1956 par Malcom McLean (en), un transporteur routier américain qui trouvait que le transbordement en vrac des marchandises était trop long. Il charge d'abord directement le camion dans le bateau, puis perfectionne cette idée en rendant la caisse du camion mobile. Son invention restera confinée à la côte est des États-Unis pendant 10 ans, puis franchira l'Atlantique en 1966 et connaîtra ensuite une croissance fulgurante. Si le conteneur « de base » (et le plus répandu) reste une simple boîte, il existe des conteneurs spécialisés : réfrigérés, ventilés, déshumidifiés, avec un réservoir de carburant, à munitions, à vêtements, sans toit, pliants, à bétail, à voitures, plats, citernes, etc. En revanche, ils partagent le même système de fixation, par pièces de coin présentes sur les huit sommets du parallélépipède et verrous tournants fixés sur les châssis des véhicules ou les engins de manutention.

Diagramme de Schaeffler pour la soudure. Source : http://data.abuledu.org/URI/5121327f-diagramme-de-schaeffler-pour-la-soudure

Diagramme de Schaeffler pour la soudure

Diagramme de Schaeffler pour la soudure des aciers inoxydables. A : austénite γ ; F : ferrite α ; M : martensite ; 5-80% : pourcentage en masse de la ferrite dans l'austénite ; zones de risques : bleu clair, fissuration à chaud ; violet, fissuration à froid ; rose, fragilisation par transformation α→σ ; gris, fragilisation par croissance des grains α ; blanc, zone idéale. L'acier inoxydable, couramment appelé acier inox ou inox, a un grand rôle dans d'innombrables domaines : vie quotidienne, industries mécaniques, agroalimentaires, chimiques, transports, médecine, chirurgie, etc. C'est une famille d'aciers, alliages de fer et de carbone, auxquels on ajoute essentiellement du chrome qui, au-delà de 10,5 % en solution (selon la teneur en carbone) dans la matrice, provoque la formation d'une couche protectrice d'oxyde de chrome qui confère à ces aciers leur inoxydabilité.

Dôme de lave du Mont St Helens. Source : http://data.abuledu.org/URI/5093d0a2-dome-de-lave-du-mont-st-helens

Dôme de lave du Mont St Helens

Schéma de la croissance du dôme de lave du Mont St Helens de 1980 à 1986, légendé en français.

Épi de maïs mûr. Source : http://data.abuledu.org/URI/5288cc33-epi-de-mais-mur

Épi de maïs mûr

Épi de maïs mûr. Un vieux proverbe basque illustrait la rapidité de croissance du maïs ainsi : "A la Saint-Jean (24 juin) le mais couvre le corbeau, à la Saint-Pierre (29 juin), le cochon, à la Sainte-Madeleine (22 juillet), la vache".

Ferme d'oies. Source : http://data.abuledu.org/URI/5208059a-ferme-d-oies

Ferme d'oies

Élevage d'oies dans une ferme polonaise. Actuellement, les objectifs intentionnels de la domestication (dans le cas de nouvelles espèces) ou de l'amélioration des races domestiques concernent essentiellement la production (rarement le travail produit par les animaux). Ce sont l'adaptation aux conditions d'élevage, la prolificité, la vitesse de croissance, et souvent la qualité de la chair ou celle d'autres produits comme le lait ou la laine.

Feuilles de palmier : PALMAE. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fab0de-feuilles-de-palmier-palmae

Feuilles de palmier : PALMAE

Lithographie de Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau 1890, Feuilles de palmier. Les palmes, en botanique, sont les feuilles du palmier, elles sont d’une très grande diversité en forme et en taille. Sur le palmier, la croissance se fait en général par un unique bourgeon terminal, qui ne se divise pas, l’axe principal ne se ramifie donc pas, d’où l’absence de branche et un tronc qui n’est dichotomique que dans de très rares cas. Pour simplifier voici les quatre types principaux de forme que les feuilles adoptent : Les feuilles palmées, avec une forme en éventail, ou disposées comme les doigts de la main ; Les feuilles pennées en forme de plume, ou de peigne (on retrouve cette forme sur le cocotier entre autres) ; Les feuilles costapalmées, dont la construction est intermédiaire entre les deux types précédents, d’un aspect général en éventail on trouve un axe central sur la structure ; Les feuilles bipennées, qui sont pennées selon l’axe principal, mais de même sur les axes secondaires, ce type de feuille n’existe que dans le genre Caryota. En forme de queue de poisson, ces feuilles ont un aspect déstructuré assez particulier. Les folioles sont larges, en forme de triangle, et sembles déchirées à leurs extrémités. Le nom vernaculaire du genre est le palmier céleri.

Fleur mâle du pin maritime. Source : http://data.abuledu.org/URI/5342f04e-fleur-male-du-pin-maritime

Fleur mâle du pin maritime

La floraison du pin a lieu en France vers avril ou mai. Les cônes mâles (visible sur cette photo) sont ovoïdes, écailleux, de couleur brun-orangé à maturité, et produisent une grande quantité de pollen jaune, dispersé par le vent (plante anémogame). Certaines années, la quantité de pollen produit est telle que près des arbres, les grains jaunes semblent pleuvoir. Ce phénomène est localement dénommé "pluies de soufre". Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pinus_pinaster

Forêt de bambous. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102b0a5-foret-de-bambous

Forêt de bambous

Forêt de bambous. Tous les bambous ont des tiges souterraines, appelées rhizomes. Ils permettent à la plante de croître en formant des touffes plus ou moins serrées. C'est aussi un organe de réserve. Les racines sont adventives et se développent autour des nœuds du rhizome. La tige principale est un chaume, ou canne, lignifié, fistuleux (c'est-à-dire en tube) cloisonné aux nœuds. La cicatrice visible aux nœuds est la trace de la gaine des feuilles tombées. Le chaume peut se diviser en rameaux feuillés, eux-mêmes divisés en ramuscules. Le bois des chaumes, riche en silice, est très dur et très résistant. La taille des tiges varie selon les espèces de moins d'un mètre à près de 10 m. La vitesse de croissance peut chez certaines espèces être spectaculaire, jusqu'à un mètre par jour. Les chaumes se balancent aux vents forts et se plient sous le poids de la neige mais ils se cassent rarement. Cette flexibilité est due aux entrenœuds creux de chacun des chaumes.

Frêne commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a1148-frene-commun

Frêne commun

Planche botanique du frêne commun (Fraxinus excelsior), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est un grand arbre, jusqu'à 40 m de hauteur et 1 m de diamètre, à tronc droit à écorce lisse et grisâtre, se crevassant avec l'âge. Le bois est assez dur, tenace, élastique, couleur blanc nacré, sans aubier distinct. Essence de lumière, à croissance rapide, très résistant au froid mais sensible aux gelées tardives, qui peuvent tuer les bourgeons terminaux et à la sécheresse. Son bois est recherché pour certains usages en raison de sa résistance à la flexion et aux chocs : manches d'outils, outils en bois (râteaux), cannes et bâtons (de hockey notamment), charronnage, carrosserie... les meilleurs exemplaires fournissent un bois de déroulage utilisé en placage. À défaut, c'est un excellent bois de chauffage. Les feuilles sont inscrites à la pharmacopée française.

Galerie de la mineuse du tremble. Source : http://data.abuledu.org/URI/5098308d-galerie-de-la-mineuse-du-tremble

Galerie de la mineuse du tremble

Feuille de peuplier tremble attaquée par une larve de mineuse (Phyllocnistis labyrinthella). Mineuse est un nom vernaculaire ambigu désignant en français des chenilles de lépidoptères, d'hyménoptères ou des asticots de diptères phytophages qui creusent dans le limbe des feuilles des galeries, entre les 2 épidermes du limbe d'une feuille, formant ce que l'on appelle une mine qui a la particularité de ne jamais se recouper. La géométrie de la mine (linéaire, ramifiée, en spirale, etc.) et la disposition du "frass" (excréments et vermoulure) permettent en général une détermination précise du ravageur. L'excavation s'élargit au fur et à mesure de leur croissance.

Grêlon. Source : http://data.abuledu.org/URI/52349d7f-grelon

Grêlon

Gros grêlon formé de la fusion de plusieurs plus petits : le grêlon se meut verticalement à une vitesse variable qui dépend de sa position dans le courant ascendant ainsi que de son poids. C'est ce qui va faire varier l'épaisseur des couches car le taux de capture des gouttelettes surfondues (accrétion) dépend des vitesses relatives entre celles-ci et le grêlon, certaines vitesses d'ascension la favorisant. La croissance des grêlons amène le relâchement de chaleur latente, ce qui peut garder l'extérieur du grêlon liquide, le rendant plus "collant". Les grêlons peuvent alors s'agglomérer à deux ou plusieurs, selon les collisions, pour en former de plus gros, aux formes irrégulières.

Indice des prix à la consommation aux États-Unis. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cc51c4-indice-des-prix-a-la-consommation-aux-etats-unis

Indice des prix à la consommation aux États-Unis

Évolution de l'indice des prix à la consommation (en bleu) et taux de croissance annuel (rouge) des États-Unis de 1913 à 2004. L'indice des prix à la consommation (IPC), mesure l'évolution du niveau moyen des prix des biens et services consommés par les ménages, pondérés par leur part dans la consommation moyenne des ménages. L'indice (105 par exemple) permet de mesurer l'inflation (ou la déflation en cas de baisse des prix) sur une période (ici + 5 % de hausse des prix) et donc l'évolution de la valeur de la monnaie (la valeur de la monnaie diminue lorsque les prix augmentent). Le taux (annuel) d'inflation désigne généralement, lorsque l'indice n'est pas précisé, le pourcentage d'augmentation de cet indice (IPC) particulier sur une année.

La suite de Fibonacci. Source : http://data.abuledu.org/URI/5183e10c-la-suite-de-fibonacci

La suite de Fibonacci

Triangle de Pascal et suite de Fibonacci : La somme des diagonales ascendantes du triangle de Pascal forme la suite de Fibonacci. Leonardo Fibonacci (v. 1175-1250). Elle doit son nom à Leonardo Fibonacci, dit Leonardo Pisano, un mathématicien italien du XIIIe siècle qui, dans un problème récréatif posé dans un de ses ouvrages, le Liber Abaci, décrit la croissance d'une population de lapins : « Un homme met un couple de lapins dans un lieu isolé de tous les côtés par un mur. Combien de couples obtient-on en un an si chaque couple engendre tous les mois un nouveau couple à compter du troisième mois de son existence ? » Cette suite est fortement liée au nombre d'or, φ (phi). Ce nombre intervient dans l'expression du terme général de la suite. Inversement, la suite de Fibonacci intervient dans l'écriture des réduites de l'expression de φ (phi) en fraction continue : les quotients de deux termes consécutifs de la suite de Fibonacci sont les meilleures approximations du nombre d'or.

Lande de bruyère. Source : http://data.abuledu.org/URI/51350d88-lande-de-bruyere

Lande de bruyère

Lande de bruyère, 1897, par Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. La lande (parfois appelée « Dorne » ou « Les dornes » dans le nord de la France) est une association de plantes qui dépassent rarement le stade d'arbustes et poussant sur des milieux pauvres, souvent acides et oligotrophes. Dans la lande européenne, on retrouve surtout des bruyères, des genêts, des buis et des ajoncs. On retrouve des landes sur toute la zone tempérée. En France elles se situent principalement dans le Massif central et le Massif armoricain. La lande silicicole, lande mésophile ou waste se développe dans les régions côtières au climat océanique, humide toute l'année avec des températures modérées. La faiblesse de l'insolation réduit la minéralisation, la litière est peu abondante et acide. Le lessivage est important. Les sols sont acides (pH voisin de 4) et peuvent donner des podzols. L'origine de cette formation est double. Le vent gêne la croissance des arbres (forte évaporation, bris des rameaux) et le lessivage réduit leur alimentation.

Le cycle des six saisons de l'arbre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdbd0b-le-cycle-des-six-saisons-de-l-arbre

Le cycle des six saisons de l'arbre

Les quatre saisons du calendrier : printemps, été, automne et hiver, auxquelles se rajoutent deux saisons intermédiaires dans les régions au climat tempéré, l'avant-printemps et l'arrière-été.

Le livre des Profits champêtres - livre 3. Source : http://data.abuledu.org/URI/53066d9c-le-livre-des-profits-champetres-livre-3

Le livre des Profits champêtres - livre 3

Pietro de Crescenzi (1230-1320?), Livre des prouffitz champestres et ruraulx : le troisième livre traite des arbres et du labourage des champs. Bibliothèque de l'Arsenal Ms5064.

Les lapins de Fibonacci. Source : http://data.abuledu.org/URI/5183e1c6-les-lapins-de-fibonacci

Les lapins de Fibonacci

Croissance de population des lapins selon une suite de Fibonacci (Leonardo Fibonacci, v. 1175-1250). « Un homme met un couple de lapins dans un lieu isolé de tous les côtés par un mur. Combien de couples obtient-on en un an si chaque couple engendre tous les mois un nouveau couple à compter du troisième mois de son existence ? »

Lichen et symbiose. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543d839-lichen-et-symbiose

Lichen et symbiose

Lichen et symbiose. Le lichen est un exemple d'association symbiotique de deux espèces de règnes différents : une algue unicellulaire ou une cyanobactérie, et un champignon. L'algue retire de la relation un apport important en eau et en sels minéraux ainsi qu'un gîte. Le champignon, hétérotrophe, retire le glucose nécessaire à sa croissance que produit l'algue par la photosynthèse. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Symbiose

Mauvaise herbe croît toujours. Source : http://data.abuledu.org/URI/5350286a-mauvaise-herbe-croit-toujours

Mauvaise herbe croît toujours

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "Mauvaise herbe croît toujours".

Nodule de silex éclaté. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c48d13-nodule-de-silex-eclate

Nodule de silex éclaté

Fragments et éclats de silex (Feuerstein = pierre à feu, en allemand). Ils sont coupants et cassants quand ils sont fins. Les nodules de silex sont enveloppés d'une gangue plus ou moins épaisse nommée « cortex » et composée d'impuretés (dépôts organiques, etc.) repoussées vers l'extérieur lors de la croissance du silex.

Petit d'Alpaga. Source : http://data.abuledu.org/URI/516ae125-petit-d-alpaga

Petit d'Alpaga

Petit d'Alpaga (Vicugna pacos). La majorité des naissances ont lieu en saison chaude et à heures chaudes de la journée pour que le petit puisse sécher. Sa mère ne le lèche pas. La femelle porte 11 mois avant la mise bas. Pendant les 7 à 8 premiers mois, le petit se développe mais ne grossit pas, d'où la difficulté de voir si une femelle est pleine, ensuite il se met à grossir jusqu'au terme. La femelle donne naissance à un seul petit par an. Un bébé alpaga pèse en moyenne 7kg et possède déjà une toison de quelques centimètres. La femelle peut être saillie de nouveau une dizaine de jours après la mise bas. Elle allaite son petit environ 6 mois. Une femelle est adulte à 6 mois mais elle n'a pas encore fini sa croissance. Un mâle est quant à lui adulte entre 2 ans et demi et 3 ans.

Peuplier noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983412-peuplier-noir

Peuplier noir

Planche N° 305 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Peuplier noir (Populus nigra). La floraison a lieu de mars à avril ; la pollinisation ainsi que la dispersion du pollen se fait par le vent (anémophile). L’arbre atteint sa maturité sexuelle vers six ans, en produisant des chatons pendants ; les chatons mâles mesurent 8 à 10 cm de long à maturité et sont rouges/pourpres ; les chatons femelles sont vert-jaunâtre et longs de 6 à 8 cm à maturité. Les graines de cette espèce pionnière sont pauvres en réserves et ont une durée de vie plutôt courte, ce qui peut rendre l'espèce vulnérable à l'insularisation écologique ou à la fragmentation écopaysagère. Elles colonisent des sols riches et dénués de végétation tel que les grèves et bancs de sable humides abandonnés par l'eau durant l'été, en compagnie d'autres essences de bois tendre, comme les saules. Dans de bonnes conditions (soleil, sol riche, humidité) l'arbre pousse vite, avec de larges cernes de croissance, mais avec un houppier relativement sensible à la casse en cas de tempêtes. C'est une espèce caractéristique des ripisylves arborescentes ourlant les berges alluvionnaires d'un certain nombre de cours d'eau (en évolution dynamique). Il est encore présent près de la mer (notamment près de l'embouchure de la Loire) et est assez résistant aux embruns. Il semble avoir été autrefois présent très près de la mer dans le nord, par exemple avec des peupliers blancs et trembles dans les pannes dunaires de Dunkerque à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, signalé par l'Abbé Arthur Labeau dans une note sur la « flore maritime du littoral français de la mer du nord ».

Peuplier tremble. Source : http://data.abuledu.org/URI/50982c9e-peuplier-tremble

Peuplier tremble

Planche N°304 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, Peuplier tremble (Populus tremula). Il doit son nom au fait que ses feuilles s'agitent au moindre souffle de vent, le pétiole aplati transversalement étant souple et flexible. Arbre au port étalé à croissance vigoureuse, de taille moyenne, de 20 à 30 m de haut. Le système racinaire est traçant. Feuilles petites, glabres, alternes, arrondies, crénelées, cordées et acuminées, à couleur variable (rouge bronze, puis vert foncé, enfin jaune en automne), à pétiole allongé et aplati, très souple. Fleurs groupées en chatons pendants mâles (gris argentés à rouges) et femelles (verts) sur des pieds séparés (espèce dioïque). Pollinisation par le vent. Écorce lisse, parsemée de lenticelles en losange, se crevassant avec l'âge. Bois blanc crème, très homogène, de bonne résistance mécanique, mais de faible durabilité. Floraison vers mars-avril (avant l'apparition des feuilles). Arbre de croissance rapide, à longévité limitée de 70 à 80 ans. C'est une essence de pleine lumière, qui se trouve disséminé dans les espaces libres : coupes, clairières, lisières des bois. Ne forme pas de peuplements denses, mais des bouquets, car il drageonne beaucoup. C'est une espèce pionnière, pouvant pousser sur des terres brûlées.

Photographie aérienne de banlieue pavillonnaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c65fdb-photographie-aerienne-de-banlieue-pavillonnaire

Photographie aérienne de banlieue pavillonnaire

Exemple d'étalement pavillonnaire dans la banlieue de Levittown (Pennsylvanie, États-Unis). Étalement urbain, expression désignant le phénomène de développement des surfaces urbanisées en périphérie des villes. On parle aussi de périurbanisation, terme moins péjoratif. Source : Wikipédia.

Plante à bulbe en fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5049a466-plante-a-bulbe-en-fleur

Plante à bulbe en fleur

Dessin d'une plante en fleur et de son bulbe, en noir et blanc.

Production mondiale de pois secs en 2007. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d0c22e-production-mondiale-de-pois-secs-en-2007

Production mondiale de pois secs en 2007

Carte de la production mondiale de pois secs (espèce ''Pisum sativum'') en 2007, Pour les pois secs, plus de 90 pays producteurs sont recensés dans le monde, cependant les cinq premiers représentent plus de deux tiers de la production totale et les quinze premiers plus de 90 %. Le Canada, avec 3 millions de tonnes, soit 30 % de la production mondiale, est de loin le premier pays producteur. Sa production, concentrée dans les provinces de l'ouest, est essentiellement destinée à l'exportation. L'Union européenne, qui totalise 1,53 million de tonnes, est de fait le deuxième producteur mondial. La France produit 643 000 tonnes de pois secs, soit 42 % du total de l'Union européenne. Les rendements les plus élevés se trouvent principalement en Europe occidentale. Après avoir atteint un premier pic à 13,2 millions de tonnes en 1964, la production mondiale de pois secs qui oscillait entre 8 et 10 millions de tonnes au cours des années 1960-1970 a connu une forte croissance dans la décennie 1980 pour atteindre un pic à 16,6 millions de tonnes en 1990. Elle tend à décroître depuis, variant selon les années entre 10 et 12 millions de tonnes. Celle des pois frais a connu une croissance assez régulière au taux moyen d'environ 1,7 % par an, passant de 3,6 Mt en 1961 à 8,3 Mt en 2007.

Sapins chinois dans le brouillard. Source : http://data.abuledu.org/URI/536bb654-sapins-chinois-dans-le-brouillard

Sapins chinois dans le brouillard

Sapins (Abies fabri), près du temple de Jieyindian, Emei Shan, Sichuan, Chine. Cet arbre à croissance lente mesure de 20 à 35 mètres de hauteur dans son habitat naturel. Son tronc est gris foncé. Ses aiguilles sont de couleur verte et brillantes. Ses inflorescences solitaires sont en forme de pignes terminales et dressées qui fructifient en cônes cylindriques de 10 à 20 cm de longueur et de 3 à 5 cm de largeur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Abies_forrestii

Séquoia géant. Source : http://data.abuledu.org/URI/53943f14-sequoia-geant

Séquoia géant

Séquoia géant (Sequoiadendron giganteum) au Jardin du Pré-Catelan, Bois de Boulogne. Le chef indien Sequoyah le Cherokee, de son véritable nom George Guess, inventeur de l'alphabet cherokee, a donné son nom à l'arbre en raison de sa force et de sa persévérance. Cette dédicace fut faite par le botaniste autrichien Stephan Ladislaus Endlicher. Le Séquoia géant n'est pas l'arbre le plus haut ni le plus large du monde. Il est tout simplement le plus volumineux de la planète. Il atteint habituellement une hauteur de 50 à 85 m pour un diamètre de 6 à 8 m. Le Séquoia géant se caractérise également par sa longévité puisqu'il peut atteindre plus de 3 000 ans. Sa croissance initiale est vigoureuse et verticale avec une forme conique caractéristique. Au-delà de 100 ans, il a tendance à se développer plutôt en diamètre et son sommet s'arrondit. S'il ne pousse pas en situation isolée, il perd rapidement ses branches basses à cause de l'ombrage provoqué par les arbres voisins, ce qui explique l'absence de branches sur une hauteur de 20 à 50 m. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9quoia_g%C3%A9ant

Soupape d'autocuiseur. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d71dc8-soupape-d-autocuiseur

Soupape d'autocuiseur

Principe du fonctionnement de la soupape d'un autocuiseur : Règle de Trouton. Le point d'ébullition de l'eau dépendant de la pression atmosphérique, l'augmentation de pression permet de faire monter la température de cuisson plus haut que 100 °C (122 °C). Une soupape de sécurité relâche la vapeur quand la pression dépasse 1,8 bar. Il faut alors diminuer l'intensité du feu et commencer le décompte du temps de cuisson. Frederick Thomas Trouton (1863-1922) en 1884 a constaté la croissance régulière de l'enthalpie de vaporisation des liquides purs en fonction de leur température d'ébullition. L'entropie de vaporisation qui s'en déduit est à peu près constante et, sauf exception, égale à 10,5 R ou 87 J.K-1.mol-1. Ce résultat empirique constitue la règle de Trouton, simplification de la formule de Clapeyron. On relève de nombreux accidents causés par l'ouverture d'anciens modèles d'autocuiseur restés sous pression. Ceci peut se produire après obstruction de la soupape et provoquer de graves brûlures. Les autocuiseurs modernes sont pourvus d'un mécanisme de sécurité qui empêche l'ouverture du couvercle tant que le récipient est sous pression. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autocuiseur.

Structure des grêlons. Source : http://data.abuledu.org/URI/52349c96-structure-des-grelons

Structure des grêlons

La structure en couche de ces grêlons est visible : Une coupe transversale des gros grêlons montre qu'ils ont une structure en pelure d'oignon, c'est-à-dire formée de couches de croissance épaisses et translucides alternant avec des couches minces, blanches et opaques. La théorie voulait antérieurement que les grêlons fussent sujets à plusieurs allers-retours, retombant dans la zone humide puis regelant dans une nouvelle phase ascendante, ce qui aurait généré les couches successives. Cependant, les recherches théoriques et sur le terrain ont démontré que ce n'était pas le cas.

Taux de croissance naturelle en France depuis 1950. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d37454-taux-de-croissance-naturelle-en-france-depuis-1950

Taux de croissance naturelle en France depuis 1950

Taux de croissance naturelle de la population en France 1950–2008.

Tête de phacochère africain. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d56611-tete-de-phacochere-africain

Tête de phacochère africain

Tête de phacochère africain (Phacochoerus africanus) : Il a une longue crinière sur le haut du dos et deux défenses dirigées vers le haut, atteignant 60 cm chez les vieux individus. Elles lui servent notamment à déterrer des racines ou des bulbes, et aussi à se défendre contre ses prédateurs, lions, léopards, lycaons, hyènes ; les jeunes sont la proie des guépards, aigles, pythons, chacals, caracals, mais les parents sont de redoutables défenseurs. Le phacochère peut tenir tête à un léopard ou même à une lionne, et il n'hésite pas à charger s'il se sent menacé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phacoch%C3%A8re Mâles et femelles ont des défenses. Ce sont des canines à croissance continue qui sont transformées en défenses, en faisant saillie hors de la bouche. Les mâles ont, en plus, des excroissances calleuses sur les côtés de la tête utiles pendant les combats. Ces bosses sont en fait deux os spéciaux, reliés aux naseaux et recouverts de peau, qui donnent une grande résistance au groin de cet animal fouisseur.

Tête de renardeau en hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/52dc3f1a-tete-de-renardeau-en-hiver

Tête de renardeau en hiver

Tête de renardeau, avec son poil d'hiver.

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.