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Photographie | Colonnes | Gerasa (ville ancienne) | Djarach (Jordanie) | Dessins et plans | Colonnes ioniques | Architecture romaine | Ordre ionique | Monumentalité urbaine | Monumentalité (architecture) | Architecture | Gravure | Musées -- Signalisation | Colonnes -- France | Peinture | Arcs (architecture) | Contreforts | Français (langue) | Isaïe | Architecture médiévale | ...
Architecture gothique. Source : http://data.abuledu.org/URI/508147e8-architecture-gothique

Architecture gothique

Vocabulaire de l'architecture religieuse gothique : pinacle, voûte en arêtes, arc-boutant, nervures, contrefort, colonne fasciculée, arc brisé.

Architecture gothique. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c34b5f-architecture-gothique

Architecture gothique

Vocabulaire de l'architecture gothique : pinacle, arc-boutant, contreforts, colonne fasciculée, arc brisé, nervures, voute en arêtes.

Colonnes rostrales à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/55476276-colonnes-rostrales-a-bordeaux

Colonnes rostrales à Bordeaux

Colonnes rostrales, Place des Quinconces à Bordeaux, Gironde (base Mérimée|PA33000075). Les deux colonnes rostrales (21 mètres de haut) situées face à la Garonne, ont été construites par Pierre-Alexandre Poitevin en 1829. Chaque colonne est ornée au tiers inférieur de quatre proues de galères prolongées de rostres formés de deux faisceaux de trois glaives, œuvre de l’ornemantiste d’origine italienne N. Bonino. Les rostres rappellent la victoire des flottes romaines sur celles de Carthage et, depuis l’Antiquité, signifient la maîtrise triomphale des mers. Le chapiteau supporte un édicule circulaire couvert d’une coupole supportant deux statues du sculpteur Monsau, à l'origine en terre cuite, avant d'être remplacées par des copies de fonte : l'une symbolise le Commerce et l'autre la Navigation. Le décor, finement sculpté par Bonino sur le fût, copie les proues et les ancres figurant sur le modèle de référence du musée du Capitole, mais Poitevin y a ajouté le caducée de Mercure et l’étoile qui guide le marin, attributs du Commerce et de la Navigation. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Place_des_Quinconces

Cristal de glace au Japon. Source : http://data.abuledu.org/URI/513ee317-cristal-de-glace-au-japon

Cristal de glace au Japon

Cristal de glace en forme de sablier nommé Tsuzumi, au Japon. Source : micrographies de Christopher Pooley (USDA, ARS, EMU).

Différents types de colonnes. Source : http://data.abuledu.org/URI/541d9edb-differents-types-de-colonnes

Différents types de colonnes

Différents types de colonnes égyptiennes, grecques et romaines, et description des différentes parties d'une colonne.

Le nain assis sur sa colonne. Source : http://data.abuledu.org/URI/51e8671e-le-nain-assis-sur-sa-colonne

Le nain assis sur sa colonne

Le nain stylite assis sur sa colonne (Słupnik), à Wrocław ul. Oławska, en Pologne.

Les colonnes d'Hercule. Source : http://data.abuledu.org/URI/50563734-les-colonnes-d-hercule

Les colonnes d'Hercule

Tableau du XVIème siècle représentant Hercule rapportant les colonnes du détroit de Gibraltar. Elles symbolisaient la frontière entre le monde civilisé et un monde inconnu ou dangereux.

Maison carrée au crépuscule en 2016. Source : http://data.abuledu.org/URI/56daa8c3-maison-carree-de-face-au-crepuscule-3-mars-2016-jpg

Maison carrée au crépuscule en 2016

La Maison carrée de Nîmes au crépuscule avec un ciel dégagé et une couleur chaude des lumières artificielles posées par la ville (3 mars 2016).

Marbre cipolin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a2ae9a-marbre-cipolin

Marbre cipolin

Fût d’une colonne en marbre cipolin, conservé à la Basilique de Massenzio au Forum Romain, à Rome. Le marbre cipolin est une variété de marbre utilisée par les Romains. Le nom moderne correspond en latin à "marmor carystium" (c.à.d. « marbre de Karystos »). Il était extrait de nombreuses carrières situées sur la côte sud-occidentale de l'île d’Eubée, en Grèce, entre l’actuelle cité de Styra et Karystos. Certaines de ces carrières antiques conservent des cavités d’extraction longues de plus de 100 m. Il s'agit d'un marbre avec un fond blanc-vert, parcouru par d’épaisses nervures ondulées vert, tendant au bleuté et traversé par d'épaisses couches de mica. La couleur de fond des veines a tendance à s'assombrir en fonction de la situation géographique de la carrière d'origine du sud au nord. Du point de vue pétrographique, c’est une roche métamorphique, marbre saccharoïde cristalline (cristaux entre 0,2 et 0,6 mm), avec des stries colorées par l’épidote et la chlorite.

Mosquée de Kairouan. Source : http://data.abuledu.org/URI/50814b33-mosquee-de-kairouan

Mosquée de Kairouan

Grande Mosquée de Kairouan en Tunisie : Série d'arcs reposant sur des colonnes,

Orgues basaltiques en Bohême. Source : http://data.abuledu.org/URI/50950eb5-orgues-basaltiques-en-boheme

Orgues basaltiques en Bohême

"Kamenné varhany" dans la petite ville de Kamenický Šenov au nord de la Bohême (20 km Est de Děčín et 10 km NWest de Česká Lípa). Les orgues (par analogie avec l'instrument) ou les colonnes basaltiques sont une formation géologique composée de colonnes régulières. Elle résulte de la solidification et de la contraction thermique d'une coulée basaltique peu de temps après son émission. La partie inférieure, qui se refroidit ou s'assèche plus lentement, se fracture de la surface vers la profondeur sous forme de prismes sub-verticaux à section hexagonale d'ordre décimétrique. Ces colonnes sont surmontées d'une zone de petits prismes moins réguliers (ou « faux prismes ») pouvant s'associer en gerbes.

Ruines de l'église octogonale de Gadara en Jordanie. Source : http://data.abuledu.org/URI/547f6684-ruines-de-l-eglise-octogonale-de-gadara-en-jordanie

Ruines de l'église octogonale de Gadara en Jordanie

Ruines de l'église octogonale de Gadara en Jordanie.

Types d'espèces marines dans une colonne d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/531b3adc-types-d-especes-marines-dans-une-colonne-d-eau

Types d'espèces marines dans une colonne d'eau

Concept de la colonne d'eau et les différents étages occupés par les espèces.

Architrave. Source : http://data.abuledu.org/URI/51029f57-architrave

Architrave

Architrave : partie de l'entablement qui porte horizontalement sur les colonnes, dans l'architecture antique et les styles qui s'en inspirent.

Audience au Palais de Topkapi. Source : http://data.abuledu.org/URI/5113944b-audience-au-palais-de-topkapi

Audience au Palais de Topkapi

Ahmed III, Sultan de l'empire Ottoman, reçoit l'ambassadeur des Pays-Bas Cornelis Calkoen au Palais de Topkapi à Istanbul en 1727. Tableau de Jean Baptiste van Mour (1671-1737). Les cérémonies les plus élaborées dans ce bâtiment concernaient la réception des ambassadeurs qui venaient, escortés par des officiels, embrasser le bord de la robe du sultan. Le trône était alors richement décoré. La salle des audiences, dite aussi hall d'audience ou chambre des pétitions (Arz Odası), se situe juste derrière la porte de la Félicité, de manière à cacher la vue de la troisième cour. Cet immeuble carré est un kiosque ottoman, entouré de vingt-deux colonnes, qui supporte un large toit avec des gouttières pendantes. À l'intérieur se trouvent la salle du trône et deux petites pièces. Ce bâtiment était aussi nommé salle du Conseil intérieure, pour le différencier de la salle du Conseil de la seconde cour. C'est un bâtiment ancien, datant du XVe siècle, et décoré ensuite par Soliman. Le sultan y était assis sur un trône à baldaquin, et recevait personnellement les vizirs, les officiels et les ambassadeurs qui venaient se présenter. Selon un récit de Cornelius Duplicius en 1533 : « L'empereur était assis sur un trône légèrement surélevé entièrement couvert de drap d'or, cousu de nombreuses pierres précieuses et, de tous côtés, on voyait des coussins de valeur inestimable ; les murs de la pièce étaient recouverts de mosaïque d'azur et d'or ; le manteau de la cheminée était d'argent massif recouvert d'or et, sur un côté de la pièce, l'eau coulait dans une fontaine. »

Boudoir de Jeanne Lanvin en 1925. Source : http://data.abuledu.org/URI/5860789d-boudoir-de-jeanne-lanvin-en-1925

Boudoir de Jeanne Lanvin en 1925

Albert-Armand Rateau (Français (1882-1938) : Boudoir, vers 1925, appartement privé de l'hôtel particulier de Jeanne Lanvin à Paris, 16 rue Barbet de Jouy, démoli en 1965, Musée des Arts Décoratifs, Paris, France. Murs recouverts de lambris moulurés, surmontés de bas-reliefs en stuc ; alcôve encadrée de colonnes engagées en marbre veiné avec base de bois sculpté ; plinthe en bois sculpté ; sol en dalles de marbres blanc et noir ; vitrines d'angles tapissées de soie "bleu Lanvin". Canapé, vers 1925, avec encadrement en chêne mouluré, dossier et accotoirs enveloppant, rembourrés, capitonnés et recouverts d'une garniture d'origine de soie jaune tilleul ; paire de luminaires lampadaire en bronze fondu et patiné vert antique, provenant de la salle de bains de Jeanne Lanvin.

Chapelle wisigothique en Espagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/50740bc0-chapelle-wisigothique-en-espagne

Chapelle wisigothique en Espagne

San Pedro de la Nave est une église wisigothe située à 19 kilomètres à l’ouest de Zamora, en Castille-et-León (Espagne), datant des environs de 680. Elle marque peut-être le sommet de l'architecture wisigothe. La rigueur et la cohérence de son plan comme de son élévation attestent la maîtrise des bâtisseurs qui l'érigèrent. Elle dresse sa masse élégante, aux volumes parfaitement équilibrés, propres à un sanctuaire à plan en croix grecque inscrite. Seuls les porches latéraux et l'abside font saillie. À l'intérieur, la nef comporte une croisée que surmonte une lanterne restituée. Les arcs légèrement outrepassés reposent sur quatre colonnes antiques remployées que surmontent de superbes chapiteaux historiés. La frise à mi-hauteur des parois répète des symboles chrétiens : la grappe, la colombe, etc. …

Chapiteau ionique à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b51adc-chapiteau-ionique-a-jerash

Chapiteau ionique à Jerash

Gros plan sur un chapiteau ionique dans le cardo nord de Jerash, 1er novembre 2014. En architecture, un chapiteau est un élément de forme évasée qui couronne une colonne et lui transmet les charges qu'elle doit porter. D'un point de vue ornemental, il est le couronnement, la partie supérieure d'un poteau, d'une colonne, d'un pilastre, d'un pilier, etc. Le chapiteau est essentiellement formé d'un corps (échine ou corbeille, consistant en un coussin aplati ou rebondi de même épaisseur, placé sur le fût de la colonne) et d'un couronnement (abaque ou tailloir). L'ordre ionique se caractérise notamment par son chapiteau à volutes. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_ionique

Colonnade ionique du Cardo à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b535d9-colonnade-ionique-du-cardo-a-jerash

Colonnade ionique du Cardo à Jerash

Colonnade ionique du portique du Cardo à proximité de la porte nord à Jerash en Jordanie. Cliché novembre 2014.

Colonne à distiller le sucre à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a4e6f-colonne-a-distiller-le-sucre-a-la-reunion

Colonne à distiller le sucre à La Réunion

Une colonne à distiller dans le musée Stella Matutina, novembre 2004, La Réunion.

Colonnes de distillation industrielle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5132fd21-colonnes-de-distillation-industrielle

Colonnes de distillation industrielle

Colonnes de distillation : La distillation industrielle est un procédé de raffinage qui consiste à traiter le pétrole brut préalablement chauffé à 360 degrés afin d'en séparer les différentes fractions. Après vaporisation, il est envoyé dans une tour de distillation atmosphérique. Chaque niveau de température correspond à une étape du fractionnement et donne un produit spécifique : les produits légers sont recueillis dans la partie supérieure de la tour (butane et propane, essence légère ou naphta), les produits moyens (essence lourde, kérosène et gazole) sont récupérés en soutirage latéral, et le résidu atmosphérique est recueilli au fond de la tour. Cette séparation n'est pas suffisante pour donner toutes les qualités requises à chacun des produits obtenus. Interviennent alors le craquage et le reformage pour les carburants.

Contreforts en pierre de Notre Dame. Source : http://data.abuledu.org/URI/51439cae-contreforts-en-pierre-de-notre-dame

Contreforts en pierre de Notre Dame

Matériaux utilisés pour la construction de Notre Dame de Paris : "À l'inspection des monuments élevés pendant le moyen âge, il est aisé de reconnaître qu'alors, plus encore que pendant la période gallo-romaine, on exploitait une quantité considérable de carrières qui depuis ont été abandonnées, qu'on savait employer les pierres exploitées en raison de leur qualité, mais avec une économie scrupuleuse ; c'est-à-dire qu'on ne plaçait pas dans un parement, par exemple, une pierre de qualité supérieure convenable pour faire des colonnes monolithes, des corniches, des chéneaux ou des meneaux. Ce fait est remarquable dans un de nos édifices bâti avec un luxe de matériaux exceptionnel: nous voulons parler de la cathédrale de Paris. Là les constructeurs ont procédé avec autant de soin que d'économie dans l'emploi des matériaux. Les pierres employées dans la cathédrale de Paris proviennent toutes des riches carrières qui existaient autrefois sous la butte Saint-Jacques, et qui s'étendent sous la plaine de Montrouge jusqu'à Bagneux et Arcueil. La façade est entièrement construite en roche et en haut banc pour les parements, en liais tendre pour les grandes sculptures (banc qui avait jusqu'à 0m,90 de hauteur) et en cliquart pour les larmiers, chéneaux, colonnettes (banc de 0m,45 de hauteur au plus). Le liais tendre des carrières Saint-Jacques se comporte bien en délit, aussi est-ce avec ces pierres qu'ont été faites les arcatures à jour de la grande galerie sous les tours. Les cliquarts ont donné des matériaux incomparables pour la rose et pour les grandes colonnettes de la galerie, ainsi que pour tous les larmiers des terrasses. Parmi ces matériaux, on rencontre aussi dans les parements et pour les couronnements des contre-forts des tours l'ancien banc royal de Bagneux, qui porte 0m,70, et le gros banc de Montrouge, qui porte 0m,65 : ces dernières pierres se sont admirablement conservées. Dans les fondations, nous avons reconnu l'emploi des lambourdes de la plaine, et surtout de la lambourde dite ferme, qui porte jusqu'à un mètre ; quelquefois, mais rarement, du banc vert." Eugène Viollet-le-Duc. "Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle".

Deux colonnes ioniques du Cardo à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b53770-deux-colonnes-ioniques-du-cardo-a-jerash

Deux colonnes ioniques du Cardo à Jerash

Deux colonnes ioniques du Cardo à proximité de la porte nord, Jerash en Jordanie (novembre 2014) : l'ordre ionique est reconnaissable à son chapiteau à volutes et sa base moulurée. Cet ordre a pour caractère général la grâce et l'élégance ; on en trouve de nombreux exemples en Asie Mineure. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_ionique

Emplacement de l'Agora et de la Basilique Civile à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b5401f-emplacement-de-l-agora-et-de-la-basilique-civile-a-jerash

Emplacement de l'Agora et de la Basilique Civile à Jerash

Photo non aérienne de la zone où se situent l'Agora et la Basilique Civile à Jerash en Jordanie, novembre 2014.

Fontaine place Georges Mulot à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/509fde91-fontaine-place-georges-mulot-a-paris

Fontaine place Georges Mulot à Paris

Fontaine du Puits artésien de Grenelle, place Georges Mulot, Paris. Cette fontaine a été construite à l'emplacement du premier forage artésien de Paris réalisé de 1833 à 1841 par l'ingénieur G. Mulot sous les ordres de F. Arago. La fontaine se présente sous la forme d'un massif monumental de pierre de taille de section carrée encadré de colonnes. Sur chacune de ses faces sont apposés des médaillons de pierre représentant des personnalités dont le nom est honoré par les rues qui convergent dans cette partie du 15e arrondissement : Louis-Georges Mulot (place Georges-Mulot), par Paul Waast ; Valentin Haüy (rue Valentin-Haüy), par Hippolyte Lefèbvre ; Rosa Bonheur (rue Rosa-Bonheur), par Georges Loiseau Bailly ; Eugène Bouchut (rue Bouchut), par Firmin Michelet.

Géométrie pratique en 1702. Source : http://data.abuledu.org/URI/52a717be-geometrie-pratique-en-1702

Géométrie pratique en 1702

Formes géométriques surmontées d'une vue de la Petite Écurie, où Manesson Mallet enseignait les mathématiques. "Des cylindres, hémisphères, colonnes, segmens, ou portions de sphères, cônes, etc." par Allain Manesson-Mallet, La Géométrie pratique, t. I, Paris, Anisson, 1702. (Géométrie pratique, t. 1, planche XXXIX).

Grotte de lave. Source : http://data.abuledu.org/URI/524da06e-grotte-de-lave

Grotte de lave

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, manuel scolaire, édition de 1904 : UNE GROTTE DE LAVE. - Dans la lave sortie autrefois des volcans se creusent des grottes avec des colonnes, dont quelques-unes ont les formes les plus curieuses.

Inscription en latin de Gergovie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50910499-inscription-en-latin-de-gergovie

Inscription en latin de Gergovie

Inscription en latin sur un monument élevé à la gloire de Vercingétorix en 1900 à l’initiative de l’Académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Clermont-Ferrand, en pierre de Volvic : il est composé de trois colonnes rustiques, surmontées d’un casque ailé. Haut de 26 mètres, le monument montre sur la face ouest de son socle une inscription en latin : GERGOVIA - IN HIS LOCIS DUX ARVENORUM VERCINGETORIX COESAREM INVADENTEM PROFLIGAVIT = Gergovie - En ces lieux le chef des Arvernes, Vercingétorix, a battu César l'envahisseur.

Jardin et pavillon Chehel Sotoun en 1840. Source : http://data.abuledu.org/URI/56522f08-jardin-et-pavillon-chehel-sotoun-en-1840

Jardin et pavillon Chehel Sotoun en 1840

Jardin et pavillon Chehel Sotoun (dit des 40 colonnes), Façade, par Pascal-Xavier Coste (1787–1879), architecte, envoyé en mission archéologique en Perse par l'Académie des beaux-arts en 1840. "Monuments modernes de la Perse mesurés, dessinés et décrits", éd. Morel, 1867. fa|باغ و پاویون چهل ستون، نما

Jeu malgache de Fanorona, les prises. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fafacf-jeu-malgache-de-fanorona-les-prises

Jeu malgache de Fanorona, les prises

Exemples de prises au Fanorona : 1 : prise par percussion. 2 : aspiration. 3 : Bleu doit effectuer un choix entre les 2 prises. On y joue avec un tableau (lakapanorona, prononcez lakpanourne) de 5 rangs et 9 colonnes et des pierres (vato, prononcez vat ) de 2 couleurs (22 de chaque) avec un trou central. Le but du jeu est de capturer toutes les pierres adverses. On capture une pierre ennemie en s'en approchant (percussion : situation 1 ; voir schéma) ou en s'en éloignant (aspiration : situation 2). Il faut donc prévoir une case libre devant ou derrière la pierre que l'on veut faire avancer. Le joueur capture alors toutes les pierres adverses situées sur l'axe sur lequel il a fait avancer ou reculer sa pierre. Une fois les pierres ennemies capturées, le joueur ayant le trait peut capturer d'autres séries de pierres au même tour si d'autres possibilités de capture se présentent à lui, à condition que ses captures se fassent 1) dans un sens différent à celui joué précédemment, 2) par un point par lequel le joueur n'est pas passé ce tour ci. Une fois ses captures effectuées, le joueur laisse le trait à son adversaire. Contrairement aux dames, les joueurs ne sont pas obligés de capturer si l'occasion se présente, et peuvent très bien jouer un coup stratégique sans capture directe. Cas particulier : il arrive que le joueur ait pour un même mouvement plusieurs pierres adverses capturables, celles en avant et celles en arrière (situation 3). Il doit alors choisir entre les deux séries (on prend généralement la série la plus nombreuse). Et pour finir, chaque joueur est obligé de jouer, même si le tour suivant le mène forcément à un coup perdant. A Madagascar, ce jeu est de loin le plus populaire et on y joue dans toutes les régions. La plupart des joueurs n'utilisent pas de tableau à proprement parler mais tracent au sol des lignes à l'aide d'une pierre marquante (craie par exemple) puis utilisent en guise de pions des pierres de deux couleurs différentes ramassées aux alentours. Cela permet de pratiquer le jeu en tout lieu : en brousse, en pleine rue ou dans les stations de taxi-brousse.

Joueurs d'Othello. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d9a591-joueurs-d-othello

Joueurs d'Othello

Othello est un jeu de société combinatoire abstrait, qui oppose deux joueurs : Noir et Blanc. Il se joue sur un tablier unicolore de 64 cases, 8 sur 8, appelé othellier. Les colonnes sont numérotées de gauche à droite par les lettres a à h ; les lignes sont numérotées de haut en bas par les chiffres 1 à 8. Les joueurs disposent de 64 pions bicolores, noirs d'un côté et blancs de l'autre. En début de partie, quatre pions sont déjà placés au centre de l'othellier : deux noirs, en e4 et d5, et deux blancs, en d4 et e5. Joueurs d'Othello au Festival de Jeux de Cannes, 2 mars 2013. Chaque joueur, noir et blanc, pose l'un après l'autre un pion de sa couleur sur l'othellier selon les règles définies ci-dessous. Le jeu s'arrête quand les deux joueurs ne peuvent plus poser de pion. On compte alors le nombre de pions. Le joueur ayant le plus grand nombre de pions de sa couleur sur l'othellier a gagné.

L'extrémité nord du Cardo à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b533a7-l-extremite-nord-du-cardo-a-jerash-

L'extrémité nord du Cardo à Jerash

Extrémité du Cardo avec la porte Nord à l'extrémité, Jerash en Jordanie, le 8 novembre 2014 : la rue est étroite et bordée de portiques de colonnes ioniques basses.

La chaussée des Géants en Irlande. Source : http://data.abuledu.org/URI/50951084-la-chaussee-des-geants-en-irlande

La chaussée des Géants en Irlande

Détail de la chaussée des géants (en anglais : Giant's Causeway ; en irlandais : Clochán na bhFómharach, ce qui signifie « Le petit tas de pierre des Fomoires ») : formation volcanique située sur la côte d'Irlande du Nord. Située à 3 km au nord de la ville de Bushmills dans le Comté d'Antrim, à l'extrémité septentrionale du plateau d'Antrim, elle se caractérise par environ 40 000 colonnes hexagonales verticales juxtaposées (colonnes ou orgues basaltiques). L'ensemble, érodé par l'action de la mer, évoque un pavage qui débute de la base de la falaise et disparait dans la mer. Les colonnes sont visibles sur l'estran mais aussi dans la falaise haute de 28 mètres, qui constitue la bordure du plateau d'Antrim. Le site est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1986. Classé réserve naturelle nationale en 1987 par le Département de l'Environnement d'Irlande du Nord, le site et sa côte ont également intégré le réseau "Area of Outstanding Natural Beauty" en 1989. Le site appartient et est entretenu par le National Trust.

Le Cardo nord à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b53baf-le-cardo-nord-a-jerash

Le Cardo nord à Jerash

Colonnes ioniques de chaque côté du Cardo à proximité de la porte nord, Jerash en Jordanie, novembre 2014.

Le dromadaire de Metz. Source : http://data.abuledu.org/URI/54d3d1ed-le-dromadaire-de-metz

Le dromadaire de Metz

Détail. Hall d'entrée, salle des colonnades, Poste centrale de Metz. Chacun des chapiteaux centraux représentent deux illustrations des moyens de transport ou de télécommunication. Base Mérimée, PA00106850.

Maquette de la Villa d'Hadrien à Rome. Source : http://data.abuledu.org/URI/591bcf35-maquette-de-la-villa-d-hadrien-a-rome

Maquette de la Villa d'Hadrien à Rome

La villa de l'Empereur Hadrien (117-138) s'étend sur les pentes des monts Tiburtini et couvre 120 hectares. Hadrien, grand voyageur, voulut évoquer les différentes parties de son Empire au sein du domaine de la Villa. La construction du complexe a duré 10 ans et le domaine comprend de nombreux bâtiments : le palais, plusieurs thermes, des bibliothèques, des logements, des plans d'eau, des portiques et promenoirs, un nymphée, des temples,... La villa a été dévastée par les invasions barbares, puis servit de carrière. Les premières fouilles ont été menées dès la Renaissance mais elles ont conduit a un pillage systématique des sculptures, mosaïques et colonnes ouvragées.

Ordre dorique en architecture. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102a091-ordre-dorique-en-architecture

Ordre dorique en architecture

Ordre dorique en architecture : 1) Tympan du fronton, 2) Acrotère, 3) Cimaise (du fronton), 4) Corniche, 5) Mutule, 6) Geison, 7) Frise, 8) Triglyphe, 9) Métope, 10) Larmier, 11) Goutte, 12) Réglet (ou Regula), 13) Architrave, 14) Chapiteau, 15) Abaque, 16) Échine, 17) Colonne, 18) Cannelures, 19) Stylobate. Le prototype de la colonne dorique est une colonne de bois surmontée d'une pierre lisse ou granuleuse, qui deviendra le chapiteau (à Olympie, Pausanias, voyageur du IIe siècle, a vu des colonnes originales en bois du temple d'Héra encore en place). Les colonnes doriques les plus anciennes étaient très trapues (premier temple d'Aphaia à Égine), puis elles s'affinent avec le temps. De même le chapiteau, très aplati, se redresse et, à l'époque hellénistique, s'écarte à peine du fût. La hauteur de la colonne, comparée au diamètre inférieur, varie entre 4 diamètres et 5 diamètres 3/4 ; la dimension des entrecolonnements est de 1 diamètre environ ; le rapport de l'entablement à la colonne est à peu près de 1 à 3 ; la hauteur de l'architrave est généralement de 3/4 de diamètre ; celle de la frise, de un diamètre ; celle de la corniche, d'1/4 de diamètre ; celle du chapiteau, y compris l'échine, le tailloir et les filets, d'1/2 diamètre. Le nombre de cannelures du fût varie de seize à vingt-quatre. Chaque triglyphe tombe à l'aplomb du milieu de chaque colonne et du milieu de chaque entrecolonnement, excepté le triglyphe de chaque extrémité, qui se trouve rapporté à l'angle de l'entablement. Outre ces différences dans les proportions et les divisions, l'ordre dorique a connu, en Grèce, des variations assez remarquables de caractère et de style. La frise du Parthénon est ornée de bas-reliefs. La plus belle application qui ait été faite de ce système d'architecture se voit à Athènes, dans les Propylées et le Parthénon. L'ordre dorique est l'ordre par excellence, celui dont les autres ordres ne sont que des émanations. Ce fut le système d'architecture que les Grecs employèrent dans le plus grand nombre de leurs monuments.

Panneau de présentation de l'Église de l'Évêque Isaïe à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b30e1b-panneau-de-presentation-de-l-eglise-de-l-eveque-isaie-a-jerash

Panneau de présentation de l'Église de l'Évêque Isaïe à Jerash

Panneau de présentation de l'Église de l'Évêque Isaïe à Jerash en Jordanie, 8 novembre 2014 : Église de l'évêque Isaïe, 558/559 après J.C. - 749 après J.C. Cette église, découverte en 1983, est l'une des vingt-trois églises d'époque byzantine actuellement connues à Gerasa. Construite "... au temps de l'évêque Isaïe", selon un plan à trois nefs séparées par des rangées de colonnes ioniques provenant d'édifices d'époque romaine, elle est surtout remarquable par ses riches pavements de mosaïque. Ces derniers ont souffert des crises iconoclastes du VIIIe siècle et la plupart des figures animales et humaines ont été détruites. À l'ouest, un atrium (cour entourée de portiques, non fouillée) précédait les trois entrées de la façade principale du monument. Tardivement, ces portes ont été murées, l'entrée principale de l'église étant reportée sur sa face sud où existait une autre cour à portiques. L'ambon et le chancel, partiellement conservés au moment des fouilles, n'ont pas été restaurés. Le bâtiment était en travaux (réparations) lorsqu'il fut détruit par le séisme de 749 ap. J.C. Tout porte donc à croire que cet édifice, comme la plupart des églises de Gerasa, était encore en usage par des membres de la communauté chrétienne à la fin de l'époque omeyyade.

Panneau explicatif sur le Décumanus Nord de Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b44a41-panneau-explicatif-sur-le-decumanus-nord-de-jerash

Panneau explicatif sur le Décumanus Nord de Jerash

Panneau explicatif en français sur le Décumanus Nord de Jerash vers 160 après J.C. Cette rue, passant sous le Tétrapyle Nord, a été dégagée entre les Thermes de l'Ouest et le Théâtre Nord. La partie séparant le Théâtre Nord et la Zone Agora/Basilique est l'une des mieux conservée de Gerasa. La structure bombée de la chaussée ainsi que son dallage sont admirablement préservés. Plusieurs des bouchons des regards de l'égout axial ont même conservé leurs anneaux de levage en fer. Les portiques ioniques bordant la chaussée, semblent identiques à ceux de la partie Nord du Cardo. Toutefois, ils ne datent pas du règne de Trajan mais sont plus tardifs. Ils correspondent probablement au réemploi des colonnes des anciens portiques de la partie centrale du Cardo, démontés dans la 2° moitié du IIème siècle lors de l'élargissement et embellissement de la partie centrale de la rue principale.

Panneau informatif de l'église de l'évêque Isaïe à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b30f19-panneau-informatif-de-l-eglise-de-l-eveque-isaie-a-jerash

Panneau informatif de l'église de l'évêque Isaïe à Jerash

Panneau informatif de l'église byzantine de l'évêque Isaïe, à Jerash en Jordanie, 8 novembre 2014 : photo de la mosaïque située entre les colonnes de la nef.

Panneau informatif sur la porte nord et l'extrémité nord du Cardo à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b51db9-panneau-informatif-sur-la-porte-nord-et-l-extremite-nord-du-cardo-a-jerash

Panneau informatif sur la porte nord et l'extrémité nord du Cardo à Jerash

Panneau informatif sur la porte nord et l'extrémité nord du Cardo à Jerash en Jordanie, 115 après J.C. - 749 après J.C. (Cliché du 2 novembre 2014). Cette porte à une seule baie, par où passaient piétons, cavaliers et véhicules, marquait l'entrée principale de la ville au nord. Plus ancienne que la Porte Sud, comme le rappellent les deux inscriptions, encastrées dans les façades nord et sud, au-dessus de la rue, elle fut élevée en 115 de notre ère, en l'honneur de l'empereur Trajan "fondateur de la cité". Le plan très particulier de l'arc, trapézoïdal, permettait d'assurer un changement harmonieux d'orientation entre l'axe du Cardo et celui de la voie Gerasa/Adraa. Elle est, comme la Porte Sud, un arc inclus à posteriori dans l'enceinte de la ville. Cet arc marquait l'extrémité nord du Cardo, très différent de sa partie méridionale, dans sa structure et son décor. La rue est ici beaucoup plus étroite et bordée de portiques de colonnes plus basses, d'ordre ionique, semblables à celles de la Place Ovale. De fait, la rue apparaît ici sous son aspect ancien, alors que la partie sud a été plus tardivement élargie et embellie avec des colonnes d'ordre corinthien. Implantée sur un terrain vallonné, cette partie du Cardo a été établie sur de très importants remblais pour la rendre horizontale.

Partie nord du Cardo à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b534e5-partie-nord-du-cardo-a-jerash

Partie nord du Cardo à Jerash

Dos à la porte, le début du Cardo à Jerash en Jordanie : cette partie a été construite sur un terrain vallonné sur de très importants remblais. Cliché le 9 novembre 2014.

Périple de Hannon en Afrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b401d5-periple-de-hannon-en-afrique

Périple de Hannon en Afrique

Carte du trajet de Hannon, le navigateur carthaginois qui a exploré une partie des côtes africaines. Vers 500 av. J.-C., le suffète (archonte) Hannon est chargé par Carthage de franchir les Colonnes d'Hercule avec une flotte de soixante navires de cinquante rameurs chacun et 30 000 personnes à bord à débarquer à chaque étape pour y fonder des colonies (ou peupler des comptoirs déjà existants) et, une fois atteint le dernier comptoir, de poursuivre sa route pour une expédition d'exploration. Son périple a été transcrit sur une stèle déposée dans le temple de Ba'al-Hammon à Carthage. L'original punique ne nous est pas parvenu, mais nous en possédons une version grecque intitulée "Récit du voyage du roi des Carthaginois Hannon autour des contrées qui sont au-delà des Colonnes d'Hercule", gravé sur des plaques suspendues dans le temple de Kronos. Selon le récit qui nous est parvenu, il se décompose comme suit en cinq étapes étudiées par Jérôme Carcopino : 1) De Gadès (Cadix) à Thymatérion (embouchure de l’oued Sebou, près de l'actuelle Kénitra), 2) De Thymatérion au Soloeis (cap Cantin, le cap Beddouza actuel, proche de Safi) et au Mur Carrien (Safi), puis retour par étapes vers Gytté et Melitta (anciennes colonies de Cotté et Melissa, vers Tanger) et enfin un long arrêt à Lixus (Larache, sur l’actuel oued Loukkos) ; 3) De Lixus à l’île de Cerné (baie de Rio de Oro) ; 4) Expédition de reconnaissance de Cerné jusqu'à l’intérieur du delta du fleuve Sénégal et retour à Cerné ; 5) De Cerné au fond du golfe de Guinée, sur les rivages du Cameroun. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hannon_%28navigateur%29

Perspective sous le métro aérien de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e282f1-perspective-sous-le-metro-aerien-de-paris

Perspective sous le métro aérien de Paris

Perspective sous le métro aérien à Paris (Ligne 6), entre les stations "Nationale" et "Chevaleret" (que l'on aperçoit au fond). Notez les colonnes et structures métalliques, ainsi que la voûte en brique.

Place des Quinconces à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dd506-place-des-quinconces-a-bordeaux

Place des Quinconces à Bordeaux

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.215 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LA PLACE DE QUINCONCES A BORDEAUX. - C'est l'une des plus belles de la France. De là on découvre le port de Bordeaux avec la forêt des mats, les larges cheminées des paquebots, les machines appelées grues qui servent à charger ou à décharger des marchandises et qui s'élèvent en l'air comme de grands bras. A l'extrémité de la place se dressent de hautes colonnes au sommet desquelles, la nuit, s'allument des feux.

Schéma de deux hauts fourneaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c225e8-schema-de-deux-hauts-fourneaux-

Schéma de deux hauts fourneaux

Schéma de principe de construction d'un haut fourneau moderne : à gauche, avec les colonnes supportant la marâtre ; à droite, haut fourneau auto-porteur avec les planchers d'accès aux équipements annexes.

Schémas de cristaux de neige par Descartes. Source : http://data.abuledu.org/URI/513e4fd6-schemas-de-cristaux-de-neige-par-descartes

Schémas de cristaux de neige par Descartes

Schémas de cristaux de neige par René Descartes (1596-1650), à partir de l'ouvrage de Johannes Kepler (1571-1630). En 1611, Kepler publie "L’Étrenne ou la neige sexangulaire", premier traité scientifique de 24 pages qui étudie les cristaux de neige, observant notamment leur symétrie hexagonale. René Descartes observe en 1635 à l'œil nu des cristaux de neige et décrit notamment des formes rares, cristaux à douze branches, plaques hexagonales et colonnes.

Temple de Concordia à Agrigente en Sicile. Source : http://data.abuledu.org/URI/54de6708-temple-de-concordia-a-agrigente-en-sicile

Temple de Concordia à Agrigente en Sicile

Temple de Concordia à Agrigente en Italie : temple de style dorique élevé en 430 av. J.-C. Ceinturé de trente-quatre colonnes, il était recouvert de stuc. Il a été converti en basilique en 579. Au VIe siècle, l'évêque Grégoire y vécut en ermite. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vall%C3%A9e_des_Temples#Temple_de_la_Concorde_.28Temple_F.29

Traineau de transport égyptien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea6a2-traineau-de-transport-egyptien

Traineau de transport égyptien

Traineau de transport des barques funéraires du complexe funéraire de Sésostris III à Dahchour : il mesure 4,21 m de long pour une largeur de 0,78 m. Afin d'acheminer les pierres extraites des lointaines carrières (Assouan est situé à près de mille kilomètres de la région memphite des pyramides), le transport fluvial sur le Nil était nécessaire. Le transport par voie fluviale, parfaitement maîtrisé, était essentiel aux anciens Égyptiens. Ils avaient à leur disposition des embarcations spécialement adaptées aux lourdes charges (barges transportant des colonnes monolithiques et sans doute des blocs de granite à fond de cale ou suspendus dans l'eau entre deux embarcations), comme l'atteste le bas-relief de la chaussée d'Ounas. L'activité atteignait son maximum durant la période des inondations, mais, afin de remédier aux difficultés liées aux périodes de décrue, une voie navigable a été creusée parallèlement et à l'ouest du Nil, permettant aux convois de débarquer leurs lourdes charges dans les ports situés à l'emplacement des temples bas des divers chantiers.