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Peinture | Mères et enfants | Grandville (1803-1847) | Gravure | Dix-neuvième siècle | Jordic (1876 - 1915) | Histoires drôles bretonnes | Femmes de la bourgeoisie | Humour | Pauvres en milieu urbain | Animaux de compagnie | Coqs | Trains | Honoré Daumier (1808-1879) | Pauvres en milieu rural | Fillettes | Mendiants | Caricaturistes | Artistes français | Illustration des périodiques | ...
Alphabet enchanté, la lettre O. Source : http://data.abuledu.org/URI/531444ee-alphabet-enchante-la-lettre-o

Alphabet enchanté, la lettre O

Alphabet enchanté de Louis Ratisbonne (1827-1900), ABC de Trim (pseudonyme), illustré par Bertall (1820-1882), 1861 : La couronne, l'anneau, la lune, le cerceau, Et le bourgeois tout rond qui dit : Ho ! Combien d'O !

Guerre de cent ans. Source : http://data.abuledu.org/URI/5075fe8f-guerre-de-cent-ans

Guerre de cent ans

Carte de France en 1422, pendant la guerre de cent ans : Duché du roi d'Angleterre, Régions fidèles à Charles VII, Territoires sous contrôle anglo-bourguignon. En fait, ce sont deux systèmes économiques, sociaux et religieux qui se font face. La France, pays avec une agriculture florissante et un système féodal et religieux puissant d’une part ; l’Angleterre d’autre part, pays d’élevage qui vend sa laine aux drapiers des Flandres. C’est un pays où l’artisanat et la bourgeoisie des villes prennent de l’importance. Les Armagnacs défendent le modèle français, Jean sans Peur, pour prendre le contrôle de Paris, milite pour le modèle anglais (d’autant que les Flandres appartiennent au duché de Bourgogne) promettant baisses d'impôts et contrôle de la monarchie par les états généraux et est soutenu par les artisans et les universitaires parisiens. Il se rend ainsi maitre de Paris et donc du roi en 1413.

Le géant Ambiorix. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc3042-le-geant-ambiorix

Le géant Ambiorix

En 1850, le géant Tirant change de nom. Il devient « Ambiorix ». Cette transformation procède du mouvement historiciste présent également dans l'art qui prétend enseigner au peuple belge indépendant depuis 1830 que son pays a des racines historiques glorieuses dont il peut être fier et dont il est le continuateur. Ambiorix exprime les préoccupations d'une bourgeoisie nationaliste qui veut donner des fondements historiques à son pays.

Le wagon de troisième classe. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ec277-le-wagon-de-troisieme-classe

Le wagon de troisième classe

Le wagon de troisième classe, 1862, par Honoré Daumier (1808-1879). Le Wagon de troisième classe est le titre d'un tableau d'Honoré Daumier, peint en 1864, dans lequel l'artiste dénonce la pauvreté. Il appartient au Musée des beaux-arts du Canada d'Ottawa1 qui l'a acquis 1946. Cette représentation du réel est dérangeante, non pas tant par ce qui est montré, les personnages, les vêtements, ces enfants misérables, que par la force des regards. Les yeux sombres de la femme au panier, au premier plan, fixant le spectateur de l'œuvre, paraissent terriblement accusateurs et traduisent le profond désarroi qui habite ces petites gens, dans leur vie de souffrance et de misère. Avant 1956, les Chemins de fer proposaient trois classes : la deuxième classe, confortable sans le luxe de la première, accueillait les voyageurs de la petite-bourgeoisie (commerçants, fonctionnaires, rentiers etc). La troisième classe a été supprimée, face à l'élévation générale du niveau de vie. Cette disposition en trois classes (et plus) existe toujours dans de nombreux pays du monde. Pour les bateaux, elle demeure plus rare. Cette classe était principalement réservée à l'émigration à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.

Marie aux sabots de bois se gage - 4. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcbc04-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-4

Marie aux sabots de bois se gage - 4

Marie aux Sabots de bois se gage - 4, Jordic (1876 - 1915) : (rue) de l'Eglise, et vous lui direz de couper un peu la queue du chat, il se portera mieux. Puis il tondra le chien en lion. Vous avez compris ? -- Oui, madame. Elle part, portant Minet dans ses bras et ayant attaché la laisse de Bob à son poignet -- Tondre le chien ? A la ferme, on n'aurait pas songé à tondre Médor, ce sont des idées de bourgeois. Deux commissions ! Difficile à se rappeler. Aussi marmotte-t-elle : "Tondre le chien en lion, couper la queue du chat." Minet ronronne, puis s'endort. Bob, lui, semble très gai. Voilà qu'il aperçoit un coq, son grand ennemi. En chasse. Il s'élance, entraînant à sa suite Marie, qui, tenant par le poignet la laisse du chien, trébuche et perd son sabot ; c'est une course folle, et Minet, réveillé, se met à...

Mendicité en ville en 1845. Source : http://data.abuledu.org/URI/53501719-mendicite-en-ville-en-1845

Mendicité en ville en 1845

Grandville (1803-1847), "Cent Proverbes", 1845, "La petite aumône est la bonne".

Trajet en omnibus en 1828. Source : http://data.abuledu.org/URI/514edebd-trajet-en-omnibus-en-1828

Trajet en omnibus en 1828

Le trajet en omnibus en 1828, par Jean Ignace Isidore Gérard, mieux connu sous son pseudonyme de J. J. Grandville (1803-1847), célèbre pour ses illustrations de journaux comme "La Silhouette," "L'Artiste," "La Caricature," et "Le Charivari." Ce dessin illustre une pièce de musique de "Une Course d'Omnibus" de Charles Henri Plantade (1764-1839). Un omnibus (du latin omnibus, signifiant « pour tous ») est un véhicule à traction hippomobile inspiré des diligences et assurant un service de transport public. Un omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue des fiacres, ancêtres des taxis, qui, loués par une personne ou une famille, se rend à la destination choisie par ses clients. Par ailleurs, il circule sur la chaussée, sans être guidés par des rails, ce qui les distingue des tramways. Il n'a pas nécessairement de points d'arrêts fixes. Le mot « omnibus », d'où viennent « autobus » et « bus », est apparu en relation avec la ligne créée à Nantes en 1826, la première en France, au XIXe siècle. L'âge d'or des omnibus est cependant le XIXe siècle, lorsque les villes commencent à s'étendre sous la pression d'une forte croissance démographique et industrielle, l'amélioration de la voirie, et à une époque où la petite bourgeoisie, qui pouvait économiquement payer des places, se développe. Lorsque Stanislas Baudry (1777-1830) décide de créer le même service à Paris, il crée une nouvelle entreprise à qui il donne le nom d'Entreprise générale des omnibus (EGO) ; il y est associé avec d'autres hommes d'affaires (Boitard et Saint-Céran). Le 30 janvier 1828, l'EGO obtient du préfet de police de Paris, Louis-Maurice Debelleyme, l'autorisation d'exploiter une entreprise de « voitures destinées à transporter à bas prix les habitants de certains points de la ville à d'autres points également fixés et en suivant des itinéraires fixés par la ville », avec au plus cent voitures. Les omnibus de l'EGO, tractés par trois chevaux, comptent 14 places assises réparties en trois classes. Après une phase de succès, l'EGO subit une crise dès l'hiver 1830 et est mise en faillite.