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Botanistes | Botanique | Peinture | Photographie | Gravure | Dix-neuvième siècle | Albi (Tarn) | Jean-François de Galaup La Pérouse (comte de, 1741-1788) | Artistes belges | Louis van Houtte (1810–1876) | Convallaria majalis | Peter Simon Pallas (1741-1811) | Plantes | Biologie marine | Savants allemands | La Réunion | muguet | Piton de la Fournaise (Réunion. - volcan) | Matthias Jacob Schleiden (1804-1881) | Horticulteurs | ...
Amaryllis. Source : http://data.abuledu.org/URI/52db2eb7-amaryllis

Amaryllis

Amaryllis (Hippeastrum pardinum), par Louis van Houtte (1810–1876), Flore des serres et des jardins de l'Europe ou descriptions et figures des plantes les plus rares et les plus méritantes, nouvellement introduites sur le continent ou en Angleterre, vol. 17, 1862-65

Banane et bananier. Source : http://data.abuledu.org/URI/530f0e42-banane-et-bananier

Banane et bananier

Banane et bananier plantain (Musa paradisiaca). Francisco Manuel Blanco (O.S.A.), Flora de Filipinas, Atlas 1, planche 88, autour de 1880-1883.

Bananier plantain. Source : http://data.abuledu.org/URI/52db2c64-bananier-plantain

Bananier plantain

Louis van Houtte (1810–1876), Flore des serres et des jardins de l'Europe ou descriptions et figures des plantes les plus rares et les plus méritantes, nouvellement introduites sur le continent ou en Angleterre, vol. 15, 1862-65

Botanistes de l'expédition Lapérouse. Source : http://data.abuledu.org/URI/596e3786-botanistes-de-l-expedition-laperouse

Botanistes de l'expédition Lapérouse

Botanistes de l'expédition Lapérouse, Musée Lapérouse, Albi : transport des échantillons.

Botanistes de l'expédition Lapérouse. Source : http://data.abuledu.org/URI/596e37cb-botanistes-de-l-expedition-laperouse

Botanistes de l'expédition Lapérouse

Botanistes de l'expédition Lapérouse, Musée Lapérouse, Albi : transport des échantillons.

Botanistes de l'expédition Lapérouse. Source : http://data.abuledu.org/URI/596e3811-botanistes-de-l-expedition-laperouse

Botanistes de l'expédition Lapérouse

Botanistes de l'expédition Lapérouse, Musée Lapérouse, Albi : transport des échantillons.

Circumnavigation de Bougainville. Source : http://data.abuledu.org/URI/52236449-circumnavigation-de-bougainville

Circumnavigation de Bougainville

Voyage de la Boudeuse et de l'Étoile : Accompagné d'un naturaliste, d'un dessinateur et d'un astronome, Bougainville part de Nantes, plus précisément de Mindin, le 15 novembre 1766, fait escale dans la rade de Brest d'où il repart le 5 décembre pour un voyage autour du monde à bord de la frégate la Boudeuse. Un second bateau, l’Étoile, une flûte (navire de charge), parti de Rochefort le1er février 1767, le rejoint pour le tour du monde le 13 juin 1767 à Rio de Janeiro après deux rendez-vous manqués aux Malouines et dans l'embouchure du Río de la Plata. Au Brésil, le botaniste Philibert Commerson embarqué sur l’Étoile découvre la fleur qu'il nommera plus tard la bougainvillée et cette fleur sera donnée à Joséphine de Beauharnais, première épouse de Napoléon.

Classification des végétaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6b9e1-classification-des-vegetaux

Classification des végétaux

Types biologiques de Raunkiær : 1. Phanérophyte 2-3. Chamaephytes 4. Hémicryptophyte 5-9. Cryptophytes 5-6. Géophytes 7. Hélophyte 8-9. Hydrophytes. (thérophyte, aérophyte ou épiphyte non montrés). Christen Christiansen Raunkiær (1860–1938) est un botaniste danois, connu surtout pour son système de classification écologique des plantes, le système de Raunkiær, classification fondée sur la position hivernale des bourgeons.Persistance d'une partie de l'appareil végétatif pendant la mauvaise saison : Phanérophytes (du grec phaneros : apparent ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à plus de 50 cm de la surface du sol. Plante affrontant l'hiver en exposant à ses rigueurs des tiges porteuses de bourgeons (ex. le pin, le hêtre, l'abricotier, le noisetier) Chamaephytes (du grec khamai : à terre ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à moins de 50 cm de la surface du sol. On distingue les chamaephytes frutescents (buissonnants, plus ou moins dressés) et les chamaephytes herbacés (beaucoup plus proches du sol) (ex. le myrtiller). Hémicryptophytes (du grec hemi : à demi ; kryptos : caché ; phuton : plante) : bourgeons dormants à la surface du sol. À la « belle saison », un hémicryptophyte développe une touffe de pousses s'il est cespiteux, une rosette de feuilles, plus ou moins prostrées s'il est à rosettes, une tige érigée qui prend appui sur des supports variés s'il est grimpant (ex. la pâquerette est un hémicryptophyte à rosette). Géophytes (du grec gê : terre, phuton : plante) ou cryptophytes : bourgeons dormants sous la surface du sol (distinguer selon la nature de l'organe de conservation souterrain : géophyte à bulbe, à tubercule, à rhizome) (ex. Crocus sativus). Hydrophytes : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles immergées. Hélophytes (du grec halos : sel, phuton : plante) : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles émergées au moins en partie. Végétaux capables de prospérer en milieux saumâtres et eaux douces. (bords de mer, estuaires, chotts, marais, rivière). (ex. salicornes, spartine).

Cycle de vie des méduses. Source : http://data.abuledu.org/URI/530dcb2e-cycle-de-vie-des-meduses

Cycle de vie des méduses

Cycle de vie des scyphozoaires, par le boaniste allemand Matthias Jacob Schleiden (1804-1881). 1-8 : fixation et métamorphose de la planula (larve) jusqu'à la formation d'un polype (le polype fixé est appelé scyphistome) ; 9-10 : bourgeonnement du polype ; 11 : strobilation et libération d'ephyras (forme larvaire de la méduse) ; 12-14 : transformation de l'ephyra en une méduse adulte et autonome. Source : Schleiden M. J. "Die Entwicklung der Meduse". In: "Das Meer". Verlag und Druck A. Sacco Nachf., Berlin, 1869.

Fraisier de Hieronymus Bock. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983772-fraisier-de-hieronymus-bock

Fraisier de Hieronymus Bock

Jérôme Bock ou de son nom de plume Hieronymus Bock, surnommé Tragus, né en 1498 et mort le 21 février 1554 à Hornbach (Palatinat), est un pasteur luthérien et un botaniste allemand. Il est considéré comme l'un des pères allemands de la botanique. L'œuvre la plus importante de Bock est son "Nouvel Herbier" (New Kreütter Büch) qui paraît à Strasbourg en 1539. Si la première édition n'est pas illustrée, les suivantes le sont de 165 gravures sur bois. Les gravures originelles sont l'œuvre de David Kandel (1520-1592) mais d'autres sont extraites des livres de Brunfels et de Fuchs. Il donne, en allemand, des descriptions originales des plantes. Même si celles-ci ne sont pas très longues, Bock essaie de fournir des informations utiles à leur reconnaissance. Le premier depuis Théophraste, il tente de classer les 800 espèces qu'il cite. Il renonce ainsi à l'ordre alphabétique et classe les plantes suivant qu'elles sont sauvages ou cultivées, que ce soient des arbres, des arbustes ou des herbes. Son livre débute par la description de l'ortie. Habituellement, les ouvrages commençaient toujours par les espèces les plus rares, le fait que Bock débute sa flore par une espèce extrêmement commune constitue donc une petite révolution.

La pépinière de Gentbrugge en 1850. Source : http://data.abuledu.org/URI/539cd0a6-la-pepiniere-de-gentbrugge-en-1850

La pépinière de Gentbrugge en 1850

La pépinière de Gentbrugge en 1850 près de Gand. Les connaissances botaniques de Van Houtte, sa maîtrise des langues étrangères et son sens des affaires le mènent au succès commercial et au poste de maire de Gentbrugge. L'Europe est en proie à une véritable folie des orchidées et Van Houtte envoie dès 1845 des collecteurs rapporter des orchidées et d'autres plantes exotiques des Amériques. Il produit également des semences pour les serres européennes et cultive ainsi le premier spécimen de Victoria amazonica sur le continent, avec l'aide d'Eduard Ortgies. L'entreprise de van Houtte atteint le sommet de son succès dans les années 1870, couvrant une surface de quatorze hectares avec cinquante serres. Son fils lui succède après sa mort. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_van_Houtte

Le botaniste. Source : http://data.abuledu.org/URI/50579534-le-botaniste

Le botaniste

Tableau de Carl Spitzweg, 1840 (poète et peintre allemand romantique, caricaturiste) représentant un botaniste à la chasse aux papillons.

Le botaniste grec Théophraste. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983a41-le-botaniste-grec-theophraste

Le botaniste grec Théophraste

Théophraste, botaniste et philosophe grec, Jardin botanique de Palerme. Théophraste (en grec ancien Θεόφραστος / Théophrastos), est un philosophe grec né vers 371 av. J.-C. à Erèse (Lesbos) et mort vers 287 av. J.-C. à Athènes. Élève d'Aristote, il fut le premier scholarque du Lycée, de 322 à 288 av. J.-C. Un grand nombre d’observations personnelles ou vérifiées dans l’Histoire impliquent l’emploi de la même méthode : par exemple, Théophraste distingue les plantes d’après leurs parties, leurs accidents, leurs naissances, leurs manières de vivre, leurs usages. Dans "Recherches sur les plantes et Causes des plantes" il explique les différences d’après les principes d’Aristote ; il y a dans les deux ouvrages l’affirmation, implicite et explicite, que la nature est soumise à des lois régulières. Théophraste, dans le livre VI des Causes des Plantes, fait à peu près la même division des saveurs que Platon : la douce, l'acide, l'aigre, l'austère, la salée, l'acre, et l’amère.

Morse. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b1db7d-morse

Morse

Morse, 1811, par Peter Simon Pallas (1741-1811), botaniste allemand. Source : "Zoographia Rosso-Asiatica, sistens omnium Animalium in extenso Imperio Rossico et adjacentibus maribus observatorum recensionem, domicillia, mores et descriptiones, anatomen atque icones plurimorum », in Imper. Acad. Sci., Petersburg, vol 1.

Palmiste noir de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52db2de0-palmiste-noir-de-la-reunion

Palmiste noir de La Réunion

Palmiste noir de La Réunion, Louis van Houtte (1810–1876), in Flore des serres et des jardins de l'Europe ou descriptions et figures des plantes les plus rares et les plus méritantes, nouvellement introduites sur le continent ou en Angleterre, vol. 16, 1862-65. Le Palmiste noir ou Palmiste noir des hauts (Acanthophoenix crinita) est une espèce de plantes de la famille des arécacées. Elle est endémique de l'île de La Réunion, département d'outre-mer français dans le sud-ouest de l’océan Indien. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Acanthophoenix_crinita

Parc et Hôtel du botaniste Émonville. Source : http://data.abuledu.org/URI/5565c9d4-parc-et-hotel-du-botaniste-emonville

Parc et Hôtel du botaniste Émonville

Parc et ancien hôtel d'Émonville (bibliothèque municipale), Abbeville, Somme, Picardie. Le parc devint au XIXe siècle la propriété d'Arthur Fouques d’Émonville (1810-1880), botaniste et collectionneur de camélias. En 1861, Arthur Foucques d’Émonville fit construire par Lefuel, un hôtel dit d’Émonville à l’emplacement de l’ancien logis abbatial.

Passiflore géante. Source : http://data.abuledu.org/URI/53f48b99-passiflore-geante

Passiflore géante

Passiflore géante (Passiflora quadrangularis), in "Le registre botanique", dessins par Sydenham Edwards (1768-1819), membre de la Société Linéenne, 1815.

Pistacia vera en 1702. Source : http://data.abuledu.org/URI/534a6fbf-pistacia-vera-en-1702

Pistacia vera en 1702

Plaque concernant le pistachier du Jardin des Plantes (Pistacia vera) en 1702. Le pistachier permit à Sébastien Vaillant d’étudier et de démontrer scientifiquement la sexualité des végétaux en 1716. En 1702, Joseph Pitton de Tournefort rapporta quelques pistaches de Chine et les sema au jardin des semis du Jardin royal des plantes médicinales. Un pistachier mâle poussa. Arbre historique, il se trouve au jardin alpin du Jardin des plantes de Paris. Sébastien Vaillant remarqua que ce pistachier esseulé fleurissait tous les ans sans fructifier comme un autre spécimen aux fleurs différentes situé dans un autre quartier de Paris. Vaillant apporta une branche fleurie du Jardin du roi et la secoua près de l'autre pistachier en fleurs. Des fruits apparurent pour la première fois. Cette expérience démontra la sexualité des plantes et la pollinisation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pistacia_vera

Planche botanique du câprier. Source : http://data.abuledu.org/URI/546d2780-planche-botanique-du-caprier

Planche botanique du câprier

Illustration du câprier (Capparis spinosa), 1885, par Otto Wilhelm Thomé (1840-1925).

Planche botanique du cyclamen. Source : http://data.abuledu.org/URI/5436bbe8-planche-botanique-du-cyclamen

Planche botanique du cyclamen

Planche botanique du cyclamen. Source : The Botanical Magazine, Volume 2, 1788, par William Curtis (1746–1799).

Planche botanique du hêtre de l'Antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5542ac0e-planche-botanique-du-hetre-de-l-antarctique

Planche botanique du hêtre de l'Antarctique

Planche botanique du hêtre de l'Antarctique (Fagus antarctica), planche CXXIII de Hooker "Flora Antarctica", 1844, par Walter Hood Fitch (1817–1892).

Planche botanique du muguet. Source : http://data.abuledu.org/URI/53956f43-planche-botanique-du-muguet

Planche botanique du muguet

Muguet (Convallaria majalis), Les liliacées, par le peintre wallon Pierre-Joseph Redouté (1759-1840)

Planche botanique du muguet. Source : http://data.abuledu.org/URI/5395702f-planche-botanique-du-muguet

Planche botanique du muguet

Planche botanique du muguet (Convallaria majalis), Flora Batava de Janus (Jan) Kops (1765–1849).

Planche botanique du sapin rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/536bb8b0-planche-botanique-du-sapin-rouge

Planche botanique du sapin rouge

Abies magnifica, Pinaceae, Curtis's Botanical Magazine, Londres, vol. 140 (sér. 4, vol. 10) : Tab. 8552.

Portrait de Bory Saint-Vincent. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a394b-portrait-de-bory-saint-vincent

Portrait de Bory Saint-Vincent

Portrait de Jean Baptiste Bory Saint-Vincent (1778-1846) : il quitte Paris le 30 septembre 1800, arrive au Havre le 2 octobre et quitte la ville le 19 à bord de l'un des deux navires que le capitaine Nicolas Baudin emmènera autour du monde de 1800 à 1804, Le Naturaliste. Il s'arrête lors d'une escale à l'île Maurice en mars 1801. De là, il rejoint le 23 mai 1801 la Réunion voisine, où il effectue en octobre et novembre 1801 l'ascension et la première description scientifique générale du Piton de la Fournaise, le volcan actif de l'île.

Portrait du botaniste américain Carver en 1902. Source : http://data.abuledu.org/URI/58a88617-portrait-du-botaniste-americain-carver-en-1902

Portrait du botaniste américain Carver en 1902

Portrait du botaniste et agronome américain Carver en 1902.

Siciste des bouleaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b1e61a-siciste-des-bouleaux

Siciste des bouleaux

Siciste des bouleaux (Sicista betulina), par Peter Simon Pallas (1741-1811), Novae species quadrupedum (1778-79).

Variétés de vers annélides sous-marins. Source : http://data.abuledu.org/URI/530dcd03-varietes-de-vers-annelides-sous-marins

Variétés de vers annélides sous-marins

Variétés de vers sous-marins par le botaniste allemand Matthias Jacob Schleiden (1804-1881). Les polychètes (Polychaeta) sont les vers annélides comportant le plus grand nombre d'espèces, soit plus de 10 000. Ce sont des animaux essentiellement marins ou estuariens. On les a divisés en deux groupes : 1) les Sédentaires (fixés au substrat). Les polychètes sédentaires sont principalement tubicoles ; 2) les Errants (capables de mouvements et donc, de se déplacer). Les polychètes errants, comme le genre Nereis, sont des prédateurs munis de mâchoires ou de dents plus ou moins visibles et marquées. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Polychaeta.

Vue de la grotte de Rosemond à La Réunion en 1804. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a3d43-vue-de-la-grotte-de-rosemond-a-la-reunion-en-1804

Vue de la grotte de Rosemond à La Réunion en 1804

Vue de la grotte de Rosemond, par Jean Baptiste Bory Saint-Vincent (1778-1846). Source : Voyage dans les quatre principales îles des mers d'Afrique, 1804, planche XLVIII.

Fraises de bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/518a81dd-fraises-de-bois

Fraises de bois

Planche botanique de la fraise des bois, Prof. Dr. Otto Wilhelm Thomé, "Flora von Deutschland, Österreich und der Schweiz" 1885, Gera, Allemagne.

Intérieur de figue. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7eac-feige-schnitt-png

Intérieur de figue

Figue vue en coupe. Son nom français est emprunté à l'occitan "figa". Les fleurs et fruits du figuier sont d'un type très particulier. La figue est un faux-fruit. Avant d'être un fruit, la figue est une inflorescence en forme d'urne appelée sycone, sorte de petit sac charnu qui enferme une inflorescence constituée de centaines de minuscules fleurs unisexués qui en tapissent l'intérieur. Ces fleurs totalement emprisonnées ne peuvent être fécondées sans intervention extérieure. En France, Louis XIV était un grand amateur de figues. La Quintinie, son jardinier, planta donc plus de sept cents figuiers de diverses variétés dans le potager du roi au Château de Versailles pour satisfaire la passion du Roi Soleil. Figue fraîche, figue sèche, en ingrédient de plat cuisiné, en ingrédient de pâtisserie, en confiture. Elle était recommandée aux athlètes pour sa valeur énergétique. " Nourriture des athlètes par excellence " dit Platon. Ce dernier raffolait des figues à tel point qu'on lui donna le nom de philosicos, c'est-à-dire "amateur de figues"... La fécondation des fleurs des figuiers femelles donnera au mois d'août et septembre les figues fruits qui peuvent être dégustées. En fait, les vrais fruits sont les innombrables petits grains qui parsèment la chair de la figue, ce que les botanistes appellent les akènes.

Noix de macadamia sur l'arbre. Source : http://data.abuledu.org/URI/534ad318-noix-de-macadamia-sur-l-arbre

Noix de macadamia sur l'arbre

Noix de macadamia sur l'arbre, plantation Hawaï. La noix de macadamia a été découverte il y a 5 000 ans par les Aborigènes du Queensland, et redécouverte, en 1858, par deux botanistes anglais venus faire des recherches au Nord-Est de l’Australie. Son nom lui a été donné en hommage au scientifique australien d'origine écossaise John Macadam (1827-1865) par Ferdinand von Mueller (1825-1896). La noix de macadamia est cultivée et commercialisée à Hawaï qui a importé les arbres d’Australie en 1887. La noix de macadamia est une drupe formée d’une amande enfermée dans une coque ronde brunâtre, lisse et extrêmement dure protégée par une mince enveloppe charnue, le brou. Elles se présentent en grappes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Noix_de_macadamia

Piments en train de sêcher. Source : http://data.abuledu.org/URI/529efe95-piments-en-train-de-secher

Piments en train de sêcher

Piments à Cachi, Province de Salta (Argentine). Pour certains Espagnols arrivés en Amérique, tout ce qui piquait était piment. À tel point qu'en Amérique, mais jamais en Europe, et en particulier en Espagne, il fallut spécifier du Chili (pimienta de Chile) pour distinguer le poivre noir. Les botanistes eux-mêmes, ont baptisé du nom générique Capsicum les très nombreuses et différentes variétés de piments forts au fur et à mesure de leur découverte. Les piments furent utilisés comme légumes ou comme épices. Au fur et à mesure que les Européens s'implantaient et cultivaient les terres américaines, ils découvraient l'incroyable diversité de forme et de taille de ces fruits : ronds, coniques, longs, tordus, en forme de bouton, de carotte, de poire, verts, orangés, écarlates, jaunes, presque blancs, certains très féroces (les plus petits en général), certains dont la grande taille accompagnaient une grande douceur. Ils découvrirent la facilité d'hybridation de cette plante, qui permettait de créer de nouvelles formes et toute une gamme de saveurs plus ou moins piquantes. Les semences issues des variétés du Mexique, se transportant et s'acclimatant si facilement, se disséminèrent en Asie et en Afrique si rapidement que pendant de nombreuses années, les Européens crurent que les piments étaient originaires d'Orient.

Planche botanique du noyer. Source : http://data.abuledu.org/URI/518ada7a-planche-botanique-du-noyer

Planche botanique du noyer

Planche botanique du noyer, 1897. Source : Franz Eugen Köhler, "Köhler's Medizinal-Pflanzen".

Plantain d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50984586-plantain-d-eau

Plantain d'eau

Planche N°309 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Plantain d'eau (Alisma plantago-aquatica). Alisma est un mot d'origine celtique qui signifie « eau », une référence à l'habitat dans lequel elle pousse. Les premiers botanistes l'ont nommée "Plantago" en raison de la similitude de ses feuilles avec celles du plantain. Elle pousse en eau peu profonde, se compose d'une racine fibreuse, de plusieurs feuilles de 15 à 30 cm de long, en rosettes, avec de longs pétioles et d'une hampe florale triangulaire pouvant atteindre jusqu'à 1 m de hauteur. Son inflorescence ramifiée porte de nombreuses petites fleurs, de 1 cm de diamètre, avec trois pétales ronds légèrement irréguliers, blancs ou violet pâle. Les fleurs s'ouvrent l'après-midi. Il y a 3 sépales verts, et 6 étamines par fleur. Elle fleurit de juin jusqu'à août. Elle est utilisée en médecine traditionnelle notamment en Chine.

Six types différents de racines. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ac8dd2-six-types-differents-de-racines

Six types différents de racines

Racines : divers types. Source : Gaston Bonnier, Éléments de Botanique ; Paul Dupont éditeur, 1886.