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Gravure | Silhouettes de carton | Admirateurs | Otto Böhler (1847-1913) | Compositeurs | Commune de Paris. 1871 | Louis Antoine Roussin (1819-1894) | Papangues (busards) | Paris (France. - Commune) -- Art et Commune de Paris (1871) | L' Illustration (périodique) | Paris (France. - Siège) (1870-1871) | Paris (France. - Commune) -- Littérature et Commune de Paris (1871) | Busards | Guerre franco-allemande (1870-1871) | Musique -- Compositeurs | Musiciens autrichiens | Organistes | Orgues | Anton Bruckner (1824-1896) | Allemand (langue) | ...
Anton Bruckner et ses admirateurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/54bbafa4-anton-bruckner-et-ses-admirateurs

Anton Bruckner et ses admirateurs

Anton Bruckner à l'orgue et ses admirateurs, 1890, silhouettes (20 x 26 cm) par Otto Böhler (1847-1913). Source : Böhler, Otto (1914) "Dr. Otto Böhler's Schattenbilder", Vienna, Austria : Rudolf Lechner (Wilhelm Müller), pp. 20, III.

Brahms et ses admirateurs en silhouettes . Source : http://data.abuledu.org/URI/54bbad8a-brahms-et-ses-admirateurs-en-sihlouettes-

Brahms et ses admirateurs en silhouettes

Brahms et ses admirateurs en silhouettes (20x26cm) par Otto Böhler (1847-1913). Source : Böhler, Otto (1914) Dr. Otto Böhler's Schattenbilder, Vienna, Austria : Rudolf Lechner (Wilhelm Müller), pp. 20, III.

Le papangue mâle, ailes déployées. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a0cea-le-papangue-male-ailes-deployees

Le papangue mâle, ailes déployées

Papangue, ou Pieds-Jaune ou Busard de Maillard (Circus maillardi) mâle, lithographie de Louis Antoine Roussin (1819-1894). Son nom vernaculaire est d'origine malgache. Il dériverait de papangoet. Il tire son nom spécifique de Maillard, l'auteur qui distingua cet oiseau des busards européens. Cet oiseau mesure 50 à 53 cm de longueur (femelle plus grande que le mâle) pour une envergure de 110 à 150 cm (le plus grand oiseau de La Réunion) et une masse de 650 à 1500 g. Le mâle est noir avec de grandes taches blanches et la femelle est brune. Le papangue aime vivre dans les champs de canne, entre 500 m et 1 500 m d'altitude. On le retrouve aussi sur les hautes plaines à l'est et au sud de l'île. Il est rare dans les cirques de Cilaos et Mafate, sans doute en raison des persécutions dont il est encore l'objet. Il se nourrit de rats, souris, jeunes tenrecs qu'il va talonner au sol et de tec-tecs, cardinaux et moineaux qu'il attrape au vol. Les busards pratiquent les échanges de nourriture en vol, appelés passes par les admirateurs des oiseaux chasseurs. Le mâle lâche sa prise comme par mégarde avant même que sa compagne n'arrive jusqu'à lui. Cette dernière arrive à se saisir de la minuscule proie au prix d'une extraordinaire accélération puis d'une virevolte quelque cinq ou six mètres au-dessous du point de lâché. Il fouille très souvent dans les poubelles. Seul oiseau prédateur de l'île, le papangue n'est pas aimé des Réunionnais qui pensent qu'il pourrait voler des poules dans les poulaillers : fait impossible vu son poids. Mais bien qu'il doive encore essuyer quelques coups de fusil, l'animal est protégé depuis 1989. Actuellement la population de cette espèce est d'environ 200 couples.

Les hommes de la Commune, 1871. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071fc70-les-hommes-de-la-commune-1871

Les hommes de la Commune, 1871

"Les hommes de la Commune." Source : L'Illustration, journal universel, 15 juillet 1871. Le conseil de la Commune : Toutes les tendances politiques républicaines et socialistes y sont représentées, jusqu'aux anarchistes. Parmi la vingtaine de « jacobins », admirateurs de la Révolution de 1789 et plutôt centralisateurs, on trouve Charles Delescluze, Félix Pyat, Charles Ferdinand Gambon ou Paschal Grousset. À peine plus nombreux sont les « radicaux », partisans de l'autonomie municipale et d'une république démocratique et sociale, tels Arthur Arnould, Charles Amouroux, Victor Clément et Jules Bergeret. On compte une dizaine de « blanquistes », adeptes de l'insurrection et avant-gardistes, comme Jean-Baptiste Chardon, Émile Eudes, Théophile Ferré, Raoul Rigault ou Gabriel Ranvier. Quelques « proudhoniens », partisans de réformes sociales, siègent : Léo Fränkel, Benoît Malon, Eugène Varlin... Enfin, des « indépendants » ont été élus, tels Jules Vallès et Gustave Courbet.