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Dessins et plans, Batailles navales, Saintes (Guadeloupe), Îles des, Année 1782, 1782, Combats navals
Plan de la bataille des Saintes en trois étapes, 12 avril 1782. La bataille des Saintes se déroule du 9 avril au 12 avril 1782, pendant la guerre d'indépendance des États-Unis, entre une flotte britannique dirigée par George Rodney et une flotte française dirigée par le comte de Grasse. La flotte britannique en sort victorieuse : 8h30, état initial ; 9h20, la percée ; la poursuite.
Guadeloupe, Peinture, Dix-huitième siècle, Terre-de-Bas (Les Saintes, Guadeloupe. - île), États-Unis (1775-1783), Année 1782, François Aimé Louis Dumoulin (1753–1834), Histoire navale
Combat naval des Saintes, 12 avril 1782, par François Aimé Louis Dumoulin (1753–1834). Source : Musée historique de Vevey. La bataille des Saintes se déroule du 9 avril au 12 avril 1782, pendant la guerre d'indépendance des États-Unis, entre une flotte britannique dirigée par George Rodney et une flotte française dirigée par le comte de Grasse. La flotte britannique en sort victorieuse. L'affrontement fut baptisé du nom des Saintes (un groupe d'îles situé dans les Antilles, entre la Basse-Terre (Guadeloupe) et la Dominique) où il s'est produit.
Le Beffroi de Dunkerque date du XVe siècle, il est classé au patrimoine mondial de l'Unesco. Il est construit aux alentours de 1440 en lieu et place d'une ancienne tour de guet. Il est à l'origine rattaché à l'église Saint-Éloi et lui sert de clocher. La tour est haute de 58 mètres, elle est construite en brique dans le style gothique. En 1782, le beffroi est définitivement séparé de l'église. En 1835, on modifie son couronnement. Après la Première Guerre mondiale, le 15 avril 1923, on modifie la base afin qu'elle reçoive un cénotaphe à la mémoire des morts de la Grande Guerre, réalisé par Pierre Fritel. Le Beffroi sert toujours de clocher et abrite actuellement un carillon de 48 cloches datant de 1962 : le bourdon Jean Bart pèse 7 tonnes.
Reproduction d'une caritature du "Juge Thumb", de 1782, par James Gillray. Au premier plan le Juge Buller s'avance, portant plusieurs batons. À l'arrière-plan un homme s'apprête à battre une femme qui s'échappe.Man says: "Murder, hey? it's Law, you Bitch: it's not bigger than my Thumb!"
Chouette chevêche des terriers (Athene cunicularia, Molina, 1782). Parc tropical de Guinate, Lanzarote.
Planche III, Pierre Patte "Essai sur l'Architecture Théâtrale", 1782.
Peinture, Batailles navales, Terre-de-Bas (Les Saintes, Guadeloupe. - île), Année 1782, Aimé Louis Dumoulin, 1804, (1753–1834)
Combat naval des Saintes, 12 avril 1782, par François Aimé Louis Dumoulin, 1804, (1753–1834). Source : Musée historique de Vevey. Explosion du César (74 canons) pendant la nuit.
Peinture, Affiches (1870-1914), Affiches, Absinthe (liqueur), Alcooliques, Alcoolisme et criminalité, Félicité Lamennais (1782-1854)
Affiche du peintre Frédéric Christol (1850-1933) mettant en garde contre les dangers de l'absinthe : "Alcool ! Voilà l'ennemi." "Pensionnaires pour la prison. L'alcool est le principal pourvoyeur des asiles d'aliénés, des hôpitaux et des prisons. L'alocool fait de nos jours plus de mal que ces fléaux historiques : la famine, la peste et la guerre." "Omnibus pour Charenton !! Avec correspondance par l'alcool ou directement avec l'absinthe." "Absinthe poison !" "Distillation dégradation. Dégustation désolation." "Savez-vous ce que boit cet homme, dans ce verre qui vacille en sa main tremblante d'ivresse ? - Il boit les larmes, le sang, la vie de sa femme et de ses enfants. Lamennais."
Gravure, Jean-François de Galaup La Pérouse (comte de, 1741-1788), Albi (Tarn), Boussole (frégate), Astrolabe (frégate), Baie Lituya (Alaska, États-Unis)
Les frégates l'Astrolabe et la Boussole au mouillage en juillet 1786 à Port-aux-Français en Amérique du nord (côte ouest). Expédition La Pérouse, dessin réalisé lors du mouillage. Aujourd'hui Lituya Bay. Détail. Musée Lapérouse Albi. L'Astrolabe est la gabare construite au Havre, commencée en juin 1781, mise à flot en 1782 et désignée frégate en 1785. Le 1er août 1785 elle quitte Brest avec la Boussole pour l'expédition scientifique de La Pérouse autour du monde ; les deux frégates firent naufrage à l'île de Vanikoro (Salomon) en 1788. Musée Lapérouse, Albi.
Dessins et plans, Canards, Dix-huitième siècle, Savants français, Automates, Jacques de Vaucanson (1709-1782), Modèles mécaniques
L'automate du canard mécanique de Jaques de Vaucanson (1738, France). Il commence par réparer les horloges et les montres de son quartier à Grenoble. Il tente de reproduire mécaniquement les principales fonctions de l’organisme humain, encouragé par les chirurgiens Claude-Nicolas Le Cat et François Quesnay qui souhaitent de cette façon mieux comprendre ces fonctions. À partir de 1733 ou 1735 et jusqu’en 1737 ou 1738, il construit son premier automate, le flûteur automate, qui joue de la flûte traversière. Il semblait être grandeur nature, habillé en sauvage et jouant assis sur un rocher. Son deuxième automate est lui aussi un joueur de flûte et de tambourin, de taille humaine, habillé en berger provençal. Mais son instrument, un galoubet, est plus complexe à utiliser. Il construit ensuite son automate le plus sophistiqué : un canard digérateur, exposé en 1744 au Palais-Royal, qui peut manger et digérer, cancaner et simuler la nage.
Dessins et plans, Chaînes, Dix-huitième siècle, Savants français, Inventions, Jacques de Vaucanson (1709-1782)
Une chaîne sans fin de Vaucanson (1709-1782). Le cardinal de Fleury lui confie le poste d’inspecteur général des manufactures de soie en 1741, le roi souhaitant réorganiser cette industrie, ce qui entraînera l’arrêt de ses travaux sur les automates. De mai à octobre 1742, Jacques Vaucanson, accompagné d’un spécialiste lyonnais de la soie, le sieur Montessuy, inspecte les manufactures de France, mais aussi d’Italie. S’ensuivent des perfectionnements sur les diverses machines, dont le moulin à organiser, qui fonctionne à l’aide d’une chaîne sans fin appelée « chaîne Vaucanson », pour laquelle il invente une machine de fabrication. Il meurt le 21 novembre 1782, à Paris, en léguant ses machines au roi, legs qui sera une des bases de la collection du Conservatoire national des arts et métiers.
Photographie, Musées, Automates (jouets), La Rochelle (Charente-Maritime), Jacques Vaucanson (1709-1782)
Le canard de Vaucanson, au musée des automates de La Rochelle-17.
Photographie, Jean-François de Galaup La Pérouse (comte de, 1741-1788), Paratonnerres, Boussole (frégate)
La Boussole (frégate) Le paratonnerre de La Pérouse provenant de la gabare construite à Bayonne, commencée en octobre 1781, mise à flot en 1782 et désignée frégate en 1785. Le 1er août 1785 elle quitte Brest avec l'Astrolabe pour l'expédition scientifique de La Pérouse autour du monde ; les deux frégates firent naufrage à l'île de Vanikoro (Salomon) en 1788.
Photographie, Statues, Aulnes, Franz Schubert (1797-1828), Iéna (Allemagne), Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832)
Photographie de la statue du Roi des Aulnes de Goethe (Erlkoening) à Iéna en Allemagne : poème écrit en 1782. La créature évoquée dans le poème est un "Erlkönig", personnage représenté dans un certain nombre de poèmes et ballades allemandes comme une créature maléfique qui hante les forêts et entraîne les voyageurs vers leur mort. Il a été mis en musique (Lied) en 1815 par Franz Schubert.
Photographie, Chiffres romains, Latin (langue), Hospices, Apothicaireries, Beaune (Côte-d'Or), Antidotes, Contrepoisons, Pharmacopée -- France, Pots de pharmacien, Thériaque
Pot à thériaque du XVIIIe siècle (Hospices de Beaune, Côte-d'Or). M.DCC.LXXXII (1782) : la thériaque (appelée θηριον par les Grecs) est un célèbre contrepoison rapporté de Rome par Pompée, puis complété par Andromaque, médecin de Néron. Autre appellation : mithridate, du Roi Mithridate qui s'en servait comme contrepoison. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9riaque
Problème d'Euler des 36 officiers : un carré gréco-latin d’ordre 6 est impossible à résoudre. En 1782, le mathématicien suisse Leonhard Euler imagine un problème dans une grille. Certains attribuent donc la paternité du sudoku au Suisse, bien que les travaux d’Euler concernent les carrés latins et la théorie des graphes. On considère six régiments différents, chaque régiment possède six officiers de grades distincts. On se demande maintenant comment placer les 36 officiers dans une grille de 6×6, à raison d’un officier par case, de telle manière que chaque ligne et chaque colonne contienne tous les grades et tous les régiments. Il s’agit en d’autres termes d’un carré gréco-latin d’ordre 6 (la combinaison de deux carrés latins, un carré latin pour les régiments, un carré latin pour les grades), problème dont la résolution est impossible. Euler l’avait déjà pressenti à l’époque, sans toutefois donner une démonstration formelle à sa conjecture. Il dira : « Or, après toutes les peines qu’on s’est données pour résoudre ce problème, on a été obligé de reconnaître qu’un tel arrangement est absolument impossible, quoiqu’on ne puisse pas en donner de démonstration rigoureuse. » En 1901, le Français Gaston Tarry démontre l’impossibilité du résultat grâce à une recherche exhaustive des cas et par croisement des résultats. Le lien entre le sudoku et le problème des 36 officiers est la contrainte qui empêche la répétition du même élément dans la grille, tout en arrivant au final à un jeu qui emploie le principe du carré latin (combinaison de deux carrés latins dans le cas du carré gréco-latin, carré latin subdivisé en plusieurs régions dans le cas du sudoku).
Salle des chevaliers au Mont-Saint-Michel, par John Sell Cotman (1782–1842).
Photographie, Paris (France), Carrières souterraines (exploitations minières), Maquettes (architecture), Catacombes, Baléares (Espagne), Dix-huitième sciècle, Maquettes (sculpture), Minorque (Espagne), Plans-reliefs
Sculpture du fort de Port-Mahon dans les catacombes de Paris. Ces sculptures réalisées dans la pierre de 1777 à 1782, sont l'œuvre d'un carrier nommé Décure, dit Beauséjour, vétéran des armées de Louis XV. Selon Le Conducteur portatif de 1829, il s'agirait d'un soldat enrôlé en 1756 dans l'armée de Richelieu lors de l'opération de reconquête de Minorque. Réformé, il entra à l'Inspection des carrières afin de compléter sa modeste solde. Travaillant la journée aux travaux de consolidation sous la direction de Guillaumot, il sculpte après son travail et représente une maquette ainsi que diverses vues du fort de Port-Mahon, la principale ville de l'île de Minorque, aux Baléares, où il aurait été un temps prisonnier des Anglais. Voulant parfaire son œuvre, il engage la création d'un escalier d'accès depuis le niveau supérieur de la carrière ; mais il provoque ainsi un fontis qui le tua sur le coup. Ces sculptures, abîmées pendant la Révolution ont été restaurées en 1854, et à plusieurs reprises depuis lors.
Chansons humoristiques illustrées, 1782, sur les utilisations possibles du "vaisseau volant" de l'aéronaute Jean-Pierre Blanchard (1753-1809).
Photographie, Musées, Histoire, Automates (jouets), La Rochelle (Charente-Maritime), Jacques Vaucanson (1709-1782)
Informations sur Vaucanson, au musée des automates de La Rochelle-17.