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Planche botanique de la cigüe aquatique (Cicuta virosa), Atlas des Plantes de France de 1891, qui porte aussi le nom de ciguë vénéneuse, ciguë vireuse, persil des marais ou bien cicutaire du Nord. Le poison est surtout concentré dans le rhizome, qui peut être confondu avec celui d'une carotte sauvage. Cette plante est l'un des poisons végétaux les plus puissants. Elle fut notamment employée dans l'Antiquité pour commettre des crimes ou se donner la mort (suicide sur ordre du philosophe grec Socrate).
Photographie de Cigüe vénéneuse (Cowbane or Northern Water Hemlock en anglais, Cicuta virosa en latin) sur les bords de la Keravanjoki, à Kerava en Finland.
Tableau, réalisé par le peintre Jacques-Louis David, en 1787, représentant la mort du philosophe grec Socrate, condamné par les Athéniens à boire la ciguë pour avoir perverti la jeunesse. Alors que ses amis lui conseillent de s'enfuir, Socrate préfère la mort, pour faire la preuve que, même dans ces circonstances extrêmes où il est frappé par l'injustice, il reste fidèle aux lois de sa cité.