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Photographie, Seconde guerre mondiale, Architecture militaire, Fécamp (Seine-Maritime), Blockhaus (fortifications)
Vue de profil d'un blockhaus, bunker-observatoire du Mur de l'Atlantique, à Fécamp, Normandie.
Photographie, Architecture médiévale, Architecture militaire, Châteaux (France) -- France -- Gironde
Le château de Roquetaillade en Gironde vu depuis la chapelle.
Photographie, Citadelles, Besançon (Doubs), Sébastien Le Prestre Vauban (marquis de, 1633-1707), Architecture militaire, Topographie militaire
Citadelle de Besançon (Franche-Comté) par Sébastien Le Prestre de Vauban, au sommet d'un anticlinal ou comment Vauban se sert des caractéristiques du terrain pour poser une fortification.
Photographie, Architecture médiévale, Architecture militaire, Remparts, Mauvezin (Hautes-Pyrénées) -- Château
Créneaux du rempart du château de Mauvezin-65. Cliché Mme Gomez, directrice de l'école Montesquieu de Pessac-33, dans le cadre de la semaine rousse de ses élèves de CE1-CE2 à Saint-Lary, octobre 2014.
Photographie, Donjons, Douzième siècle, Architecture militaire, Brabant flamand (Belgique), Architecture médiévale -- Europe, Tours -- Belgique
Donjon médiéval de l'église de Gossoncourt (Goetsenhoven en néerlandais) dans le Brabant flamand en Belgique.
Double caponnière allant de la place au fort de France à Colmars en Alpes-de-Haute-Provence. C'est un passage de trois mètres de largeur en moyenne, semi-enterré mais non recouvert, situé au fond du fossé et permettant, à partir d'une poterne débouchant au pied de la courtine, de joindre le corps de place à un ouvrage extérieur, une demi-lune ou une lunette par exemple. Sur toute sa longueur, la caponnière est bordée à droite et à gauche, d'un parapet (en terre ou en maçonnerie) permettant de fournir des feux d'infanterie de part et d'autre de ce passage et, partant, d'interdire à l'assiégeant de circuler librement au fond du fossé dans le cas où celui-ci serait parvenu à y descendre. Par extension, le terme caponnière fut attribué à tout passage protégé assurant une liaison entre deux ouvrages, fut-il semi-enterré en fond de fossé ou pas. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Caponni%C3%A8re
Douves et mur d'enceinte du Château comtal de Carcassonne (Aude).
Plan du fort des Basses Perches. Légende en français : Caserne A) corps de garde, salle de discipline, télégraphe, salle d'artifice ; Caserne B) latrines des officiers en temps de guerre, latrines de troupes, 5-8 casemates de troupe, casemates de sous-officiers, magasin aux vivres, cuisine de la troupe, magasin des ordinaires ; Autres : A abris-traverses, A1 plates-formes de tir, C urinoirs, D latrines de troupe en temps de paix, E latrines des officiers, M-N magasins à poudre, O salle d'artifice, P cartoucherie, F Forge, S-T coffres de contrescarpe, U rue du rempart. Le Fort des Basses Perches, de son vrai nom fort Valmy (François-Christophe Kellermann, duc de Valmy, maréchal, 1735-1820), a été construit entre 1874 et 1877. C'est un ouvrage faisant partie des fortifications de l'Est de la France du type Séré de Rivières. Il fait partie intégrante de la place forte de Belfort. Il est situé sur les communes de Danjoutin et de Belfort. Ce fort a la particularité d'être équipé de coffres de contrescarpe en lieu et place des caponnières, alors qu'à cette époque, les caponnières furent utilisées massivement. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_des_Basses_Perches À partir de 1893, ce fort fut relié à un certain nombre d'autres forts autour de Belfort grâce à un chemin de fer stratégique.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.209 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LA CITÉ DE CARCASSONNE - La vieille cité de Carcassonne est encore à peu près telle qu'elle était au moyen-âge. Elle se dresse au sommet d'une colline avec ses hautes murailles, ses tours aux formes les plus variées et ses portes fortifiées. - La nouvelle ville, très régulièrement bâtie, s'étend au pied de la colline, au bord de l'Aude.
Gravure, Villes fortifiées, Architecture militaire, Giordano Bruno (1548-1600), Phalsbourg (Moselle), Ponts-levis
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie) : manuel scolaire, édition de 1904 : PORTE FORTIFIÉE, p.05. - Les portes des villes fortifiées sont munies de ponts-levis jetés sur les fossés qui entourent les remparts ; quand on lève les ponts et qu'on ferme les portes, nul ennemi ne peut entrer dans la ville. - Phalsbourg a été fortifiée par Vauban et démantelée par les Allemands. Traversée par la route de Paris à Strasbourg, elle n'a que deux portes : la porte de France à l'ouest et la porte d'Allemagne au sud-est, qui sont des modèles d'architecture militaire.
Photographie, Châteaux forts, Architecture médiévale, Mottes féodales, Bayeux (Calvados), Architecture militaire, Sièges (histoire), Capitulation militaire, Dinan (Côtes-d'Armor) -- Château, Sièges (histoire) -- France
La motte de Dinan sur la tapisserie de Bayeux, scène 19 : le siège de Dinan (détail). Les soldats de Guillaume, duc de Normandie, attaquent la motte castrale de Dinan. Le duc de Bretagne, Conan, capitule et remet les clefs de la ville sur une lance.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.218 ; manuel scolaire, édition de 1904 : CHÂTEAU FORT DE VINCENNES, près de Paris. Il fut construit par Philippe-Auguste. Louis IX y venait souvent et rendait la justice aux portes du château, sous un chene qu'on a montré longtemps. Plus tard, le château fut transformé en prison ; maintenant c'est une des casernes de la garnison de Paris. - A Vincennes, se trouve une importante ferme-modèle, où les élèves de l'Institut agronomique de Paris viennent étudier l'agriculture pratique.
Photographie, Châteaux forts, Architecture médiévale, Mottes féodales, Architecture militaire, Constructions en bois, Reconstitutions historiques
Le château à motte de l'an 990 de Saint-Sylvain-d'Anjou (Maine-et-Loire), reconstitué dans les années 1990, unique en Europe. Les dimensions des mottes varient de 50 à 200 mètres de diamètre et d'une hauteur de 10 à 60 mètres. L’habitation du seigneur pouvait être au sommet de la motte (dans une tour) ou bien dans la basse-cour. La tour était encerclée par une palissade ou un muret. Dans les premiers temps, la tour était en bois et comportait un ou deux étages où l'on trouvait des réserves et la chambre du châtelain et de sa famille ; elle était entourée d'une palissade aménagée sur une levée de terre et d'un fossé en haut. L'entrée pouvait se faire par pont amovible gardé par une porte et une tour en bois. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_fort.
Murailles de Kotor au Monténégro. La vieille ville de Kotor, entourée d’une impressionnante muraille de défense, est particulièrement bien préservée et classée sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. les murs d’enceinte, récemment restaurés, ont une longueur totale de 4,5 kilomètres, pour une hauteur de 15 mètres et jusqu’à 20 mètres de largeur. En effet, ces murailles s’élèvent jusqu’au bastion Saint-Jean, situé à une altitude de 280 mètres au-dessus de la ville et du niveau de la mer. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kotor
Dessins et plans, Citadelles, Dix-huitième siècle, Architecture militaire, Essaouira (Maroc), Architectes français
Plan de la citadelle d'Essaouira en 1767, par Théodore Cornut.
Dessins et plans, Citadelles, Architecture militaire, Sébastien Le Prestre de Vauban (1633-1707), Gia Long (empereur d'Annam, 1762-1820), Hué (Viet-Nam)
Plan de la citadelle de Hué d'après les principes de Vauban : Au Viêt Nam, sous la dynastie Nguyễn et plus particulièrement sous le règne de Gia Long, plusieurs citadelles furent construites. Elles reprennent dans les grandes lignes les principes de fortification de Vauban. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fortifications_et_constructions_de_Vauban.
Bordeaux, Gironde. Plan du Château Trompette en 1753, d'un "Plan des châteaux et forts de Bordeaux en 1753", par Touros ; plan manuscrit aquarellé (35,5 X 75 cm) ayant appartenu à la collection d' Antoine-René de Voyer, marquis de Paulmy puis d'Argenson (1722-1787).
Dessins et plans, Dix-neuvième siècle, Architecture -- Dessins et plans, Forts, Architecture militaire, Roppe (Territoire-de-Belfort)
Plan du fort de Roppe légendé en français, dessiné à partir de plans d'archives et de relevés topographiques réalisés par Thomas Bresson. Le Fort de Roppe, de son vrai nom Fort Ney, a été construit entre 1875 et 1877. C'est un ouvrage faisant partie des fortifications de l'Est de la France du type Séré de Rivières. Il fait partie intégrante de la place forte de Belfort. Ce fort possède un pont-levis à son entrée principale. Il est situé au sommet d'une colline proche du village de Roppe (mais situé sur cette commune). En 1889, un abri-caverne est construit à proximité (pour 220 hommes). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_de_Roppe
Plan du Fort des Hautes Perches près de Belfort. Le Fort des Hautes Perches, construit du 20 avril 1874 au 1er juillet 1877, est un ouvrage faisant partie des fortifications de l'Est de la France du type Séré de Rivières. Il fait partie intégrante de la place forte de Belfort. Il est situé sur la commune de Pérouse. Le fort des Hautes Perches a été baptisé fort Rapp, du nom du général Jean Rapp (1771-1821). À partir de 1893, ce fort fut relié à un certain nombre d'autres forts autour de Belfort grâce à un chemin de fer stratégique. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_des_Hautes_Perches
Plan d'une caponnière montrant la disposition intérieure in Émile-Edmond Legrand-Girarde et H. Plessix, Manuel complet de fortification, 1909.
Photographie, Bordeaux (Gironde), Plans-reliefs, Forts, Architecture militaire, Paris (France) -- Hôtel des Invalides
Plan-relief du Château Trompette à Bordeaux présenté au Musée des Plans-Reliefs à l'Hôtel des Invalides, Paris 7°.
Photographie, Barques, Arabe (langue), Citadelles, Dix-huitième siècle, Architecture militaire, Tamazight (langue), Essaouira (Maroc), Ponts -- Allemagne
Essaouira (Maroc), le port, les barques de pêcheurs et les remparts de la citadelle. En tamazight تصورت tassourte "la bien gardée", en arabe : الصويرة, transcription : Al-Suwayra, "la bien dessinée". En 1764, le sultan Mohammed ben Abdellah décide d'installer à Essaouira sa base navale, d'où les corsaires iront punir les habitants d'Agadir en révolte contre son autorité. Il fait appel à Théodore Cornut, un architecte français à la solde des Britanniques de Gibraltar. Le sultan le reçoit avec tous les honneurs dus à un grand artiste et lui confie la réalisation de la nouvelle ville « au milieu du sable et du vent, là où il n'y avait rien ». Cornut l'Avignonnais, disciple de Vauban, et qui avait été employé par Louis XV à la construction des fortifications du Roussillon, travailla trois ans à édifier le port et la kasbah, dont le plan original est conservé à la Bibliothèque nationale de France à Paris. Il semblerait que la seconde ceinture de remparts et la médina aient été dessinées bien après le départ de Cornut. Le sultan n'avait pas souhaité prolonger leur collaboration, reprochant aux Français d'être trop chers et d'avoir travaillé pour l'ennemi britannique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Essaouira.
Dessins et plans, Architecture militaire, Première guerre mondiale, Roppe (Territoire-de-Belfort), Maginot (France), Ligne
Réseau de galeries souterraines du Fort de Roppe à Belfort légendé en français, dessiné à partir de plans d'archives et de relevés topographiques réalisés par Thomas Bresson. Pendant la Première Guerre mondiale, tout un réseau de galeries de 17 a été creusé sous le fort et bétonné dans l'entre-deux-guerres. Ces galeries relient divers endroits du fort à un casernement souterrain, lui-même bétonné. L'ensemble est alors intégré dans la ligne Maginot. Source : Fort de Roppe
Gravure, Treizième siècle, Moyen âge, Moyen âge -- Histoire militaire, Architecture militaire, Brabant flamand (Belgique), Châteaux -- Belgique, Sièges (histoire) -- Belgique
Siège du château de Horst à Rhode-Saint-Pierre dans le Brabant flamand en Belgique (3220 Holsbeek) par Frans Hogenberg (1540–1590) : "La partie la plus ancienne est bien certainement cette grande tour dorée par le lichen… C'était la tour de refuge, le donjon. À ses barbacanes étroites et longues, à ses quatre gargouilles sculptées en forme de guivre, comme celles d'une cathédrale, aux traces de créneaux que vous apercevez sous le rebord du toit, vous reconnaissez le caractère purement militaire et féodal du XIIIe siècle. La vigie qui la surmonte, en forme de poivrière, est d'une époque postérieure. Là-bas, près de la porte d'entrée, les ruines de ces deux tours rondes qu'on nommait douves, parce qu'elles ressemblaient à des futailles, sont vraisemblablement contemporaines du donjon. Elles défendaient le pont-levis. Les autres bâtiments qui se replient en pentagone sont beaucoup moins anciens. Source : Eugène Gens, Ruines et Paysages de Belgique Bruxelles, A. Jamar, 1848.
Photographie, Tours, Tours bastionnées, Architecture militaire, Corse (France. - Domination génoise) (1347-1768), Tours rondes
Tour génoise Castellucio sur la Grande Île des Sanguinaires (Corse).
Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.
Dessins et plans, Architecture militaire, Corse (France. - Domination génoise) (1347-1768), Tours sèches
Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.
Tour ronde de Quercioli à Rogliano en Corse. Quercioli (prononcé [kɥæɾ.ˈt͡ʃoː.li]) est situé au Nord-ouest de Bettolacce. il est traversé par la route D53. Le village dominé par une tour carrée ruinée, possède une tour génoise ronde en bon état ainsi qu'une chapelle San Roccu du XVIIe siècle.
Tour génoise Santa Maria, Cap Corse : 1) guardiola, 2) terrasse, 3) salle de garde, 4) salle de repos, 5) réserves. Les tours génoises sont des édifices en pierre de 12 à 17 m de haut sur 8 à 10 m de diamètre. Parfois carrées, le plus souvent circulaires, elles sont toujours construites sur quatre niveaux : 5) la réserve : au sous-sol de la tour ; une niche servait à ranger les vivres ; on y stockait également les munitions ; et l'eau y était conservée dans une citerne, alimentée depuis la terrasse par une conduite directe ; 4) la salle de repos : au premier étage ; parfois séparée de la salle de garde par un simple plancher sommaire et formant avec elle un espace de vie unique ; 3) la salle de garde : au deuxième étage ; percée de meurtrières pour permettre aux torregiani de guetter ; 2) la terrasse : au sommet de la tour ; pour la surveillance ; percée de mâchicoulis ou munie de bretèches, était flanquée d'une guardiola. On passait d'un niveau à l'autre par des trappes et des échelles. L'accès à la porte d'entrée se faisait par une longue échelle mobile, directement au premier étage. Les gardes habitaient à tour de rôle la pièce unique pourvue de niches et d'une cheminée, et située sous la salle de guet.
Gravure, Fortifications, Systèmes de fortifications, Architecture militaire, Allain Manesson-Mallet (1630-1706)
Typologie des fortifications par Allain Manesson-Mallet, Les Travaux de Mars, ou l'art de la guerre, t. I, Paris, Denys Thierry, 1684, pl. XXI : "Division de la fortification". Offensive / Défensive (Deffensive) ; Naturelle / Artificielle ; Ancienne / Moderne ; Régulière / Irrégulière.
Gravure, Nabis (groupe d'artistes), Post-impressionnisme (art), Architecture militaire, Félix Vallotton (1865-1925), Guernesey (GB), Tours Martello
Une tour Martello à Guernesey, 1907, par Félix Vallotton (1865-1925), artiste suisse naturalisé français.