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Renonculacées | Peinture | Botanique | Photographie | Printemps | Fleurs dans l'art | Jules Eudes (1856-1938) | Flore | Aquarellistes | Plantes | Aquarelles | Nigelles | Clématites | Plantes de jardins | Anémones | Delphiniums | Ancolies | Ranunculacées | Bleu | Géographie | ...
Ancolie. Source : http://data.abuledu.org/URI/506499d9-ancolie

Ancolie

Les Ancolies, fleurs du genre Aquilegia, sont des renonculacées vivaces. Les fleurs, au sommet d'un faisceau de longues tiges, sont élégantes, originales dans leur forme et offrent une large palette de coloris comprenant le blanc, le bleu clair, le jaune pâle, le rose, le brun, le lie-de-vin et le bleu.

Ancolie des Alpes. Source : http://data.abuledu.org/URI/505032a6-ancolie-des-alpes

Ancolie des Alpes

Planche botanique de l'Ancolie des Alpes (Aquilegia alpina), Atlas des Plantes de France, 1891. Le pétale a un « éperon », un appendice creux et fermé à son extrémité.

Anémone coronaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b524c9-anemone-coronaire

Anémone coronaire

D'après les aquarelles de J. Eudes (Société Linéenne de Caen) dans : A. Guillaumin, ''Les Fleurs de Jardins'', tome I : ''Les Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'Anémone coronaire ou Anémone couronnée (Anemone coronaria) est une plante de la famille des Ranonculacées répandues sur les pelouses, champs, oliveraies, vignes ou cultures à l’abandon des zones basophiles méditerranéennes. Il existe deux types d'anémone couronnée : l'anémone de Caen à fleur unique et l'anémone "St. Brigid'" à fleur double. L'anémone couronnée est également appelée anémone coronaire, anémone des fleuristes ou anémone cultivée. En France, l'anémone couronnée est protégée sur l'ensemble du territoire par l'arrêté du 20 janvier 1982, modifié par l'arrêté du 31 août 1995. Dès le IVe siècle avant notre ère, Théophraste (-372, -288) signalait la floraison précoce de « l'anémone dite « des prairies » [A. coronaria L. et A. pavonina Lam] avec le glaïeul, une jacinthe et presque toutes les autres fleurs de montagnes dont il est fait usage » (Recherche sur les plantes, livre VI).

Anémone des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/509709e8-anemone-des-bois

Anémone des bois

Planche N°3 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Anémone des bois (Anemone nemorosa). Du grec anemos : « vent » et du latin nemorosus : « des bois »), c' est une plante herbacée pérenne de la famille des renonculacées, typique des sous-bois dans les zones tempérées et fraiches de l'hémisphère nord (holarctique). L'anémone des bois forme des tapis qui peuvent être denses en sous-bois, en fleurs en mars-avril. Cette plante à un cycle végétatif précoce, qui lui permet de profiter de la lumière avant que les feuillages des arbres obscurcissent les sous-bois. Les fleurs blanches à blanc-rose suivent la course du soleil, ce qui lui permet probablement de mieux réfléchir les UV solaires et d'être mieux vues par les insectes pollinisateurs. Par temps humide, elles referment leur calice pétaloïde pour protéger leur pollen. Elle est est utilisée en friction locale, contre les rhumatismes. Comme les autres anémones, elle est toxique, en effet 200 mg d'anémonine suffisent à provoquer la mort d'un animal de 10 kg.

Anémone hépatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad7a02-anemone-hepatique

Anémone hépatique

Anémone hépatique, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. C'est une plante duveteuse, aux feuilles généralement persistantes pétiolées, en rosette, à trois lobes vert dessus, souvent brun rougeâtre ou violettes dessous. Les fleurs sont généralement bleues (parfois aussi blanches, roses ou pourprées) avec de cinq à dix sépales ovales. C'est une plante à la floraison précoce (mars-avril) dont il existe des variétés cultivées. Habitat type : sous-bois herbacés médioeuropéens, basophiles. Sols riches et frais souvent calcaire au Québec. On la rencontre dans les bois, broussailles, prés, et même rochers, surtout en montagne en Europe continentale. Séchée, elle peut être utilisée pour ses propriétés diurétiques en macération dans de l'eau ou du vin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hepatica_nobilis

Clematis mauritiana de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5227c86c-clematis-mauritiana-de-la-reunion

Clematis mauritiana de La Réunion

La Clématite de Maurice, ou liane arabique (Clematis mauritiana) au Pas des Sables (étage oligotherme), est une espèce de liane de la famille des renonculacées, endémique de la région floristique de Madagascar et des îles de l'océan Indien, naturellement présente sur les îles de Madagascar, de La Réunion et de Maurice. Bien que la plante eût déjà été collectée et répertoriée par Philibert Commerson et figurât dans son herbier, la première description officielle complète fut établie par Lamarck sur la base d'échantillons rapportés par Pierre Sonnerat et parut en 1786 dans le tome second de botanique de l'Encyclopédie méthodique. Les inflorescences, qui naissent à l'aisselle des feuilles, sont des cymes portées par de longs pédoncules. Elles comportent le plus souvent de 3 à 9 fleurs penchées, elles-mêmes portées par de longs pédicelles. Les pétales sont absents. Ce sont les sépales, généralement au nombre de quatre, qui en prennent l'apparence. Ils sont plus ou moins pileux, blancs à jaunâtres, souvent teintés de rose ou de pourpre à la face externe. Les étamines sont nombreuses et s'allongent après l'éclosion du bouton floral pour atteindre, longueurs du filet et de l'anthère cumulées, plus d'un centimètre. Les carpelles sont également nombreux, couverts de poils argentés.

Dauphinelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050e2a2-dauphinelle

Dauphinelle

Planche botanique de dauphinelle (Delphinium consolida), Atlas de Plantes de France, 1891 : terme vernaculaire "pied-d'alouette".

Hellébore d'hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad7505-hellebore-d-hiver

Hellébore d'hiver

Helléborine ou hellébore d'hiver, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Cette plante bulbeuse qui s'étend en tapis possède des fleurs jaunes ressemblant à des boutons d'or au cœur d'une collerette verte, mesurant de 5 à 8 cm de hauteur. Elle apprécie de pousser sous les arbres. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Eranthis_hyemalis

Nigelle de Damas. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ee78cb-nigelle-de-damas

Nigelle de Damas

La nigelle de Damas (Nigella damascena), communément appelée "cheveux de Vénus", "diable-dans-le-buisson" ou "Belle-aux-cheveux-dénoués", est une plante annuelle de la famille des Ranunculaceae, de moyenne taille, à feuilles aux segments très fins et aux fleurs d'un bleu très clair, rarement blanchâtres. Elle se développe dans les champs, les terrains vagues et rocailleux, les bords de route. Ses graines – contrairement à celles de la nigelle cultivée – seraient toxiques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nigelle_de_Damas

Nigelle des champs. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e5f60-nigelle-des-champs

Nigelle des champs

Planche botanique de Nigelle des champs (Nigella arvensis), Atlas des Plantes de France, 1891 :

Nigelle des champs. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e5fc9-nigelle-des-champs

Nigelle des champs

Photographie d'une fleur bleue de Nigelle des champs.

Pieds d'alouette. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad441e-pieds-d-alouette

Pieds d'alouette

Dauphinelles ou Pieds-d'alouette, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Le genre Delphinium, les dauphinelles ou pieds-d'alouette, regroupe plus de 350 espèces de plantes herbacées généralement vivaces, rarement annuelles ou bisannuelles, de la famille des Renonculacées. Elles sont surtout originaires des régions tempérées de l'hémisphère nord. Le nom latin "Delphinium" et son dérivé français "dauphinelle" vient de Dioscoride et décrit la forme du bouton floral, qui ressemblerait au rostre du dauphin. Toutes les parties de la plante contiennent l'alcaloïde delphinine ainsi que d'autres alcaloïdes diterpéniques et sont très toxiques, provoquant des vomissements lorsqu'ils sont ingérés et même la mort à forte dose. À faible dose, des extraits de cette plante ont été utilisés en phytothérapie. Le jus des fleurs mélangé à de l'alun donne une encre bleue. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Delphinium

Pivoine mâle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adaf3c-pivoine-male

Pivoine mâle

Poenia carollina, Pivoine mâle, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929.Étymologie : Péon (Παιὠν - Paiôn) était un des plus anciens dieux guérisseurs des grecs, puisqu'il est mentionné dans les tablettes en linéaire B de Knossos en Crête. Il soigna et guérit Hadès et Arès de leurs blessures de guerre. Les anciens Grecs dénommaient aussi la pivoine "paiônia". Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pivoine

Planche botanique Deyrolle des renonculacées. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f82d3d-planche-botanique-deyrolle-des-renonculacees

Planche botanique Deyrolle des renonculacées

Planche botanique Deyrolle des renonculacées.

Populage des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e4322-populage-des-marais

Populage des marais

Planche botanique du Populage des marais (Caltha palustris), Atlas des Plantes de France de 1891 : plante herbacée vivace de la famille des Renonculacées. Toutes les parties de la plante mature sont toxiques. Elles contiennent de la proto-anémonine.

Populage des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/55abf50b-populage-des-marais

Populage des marais

Populage des marais (Catha palustris), Balade en barque à Biscarrosse-Landes, juillet 2015.

Trolle d'Europe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adc230-trolle-d-europe

Trolle d'Europe

Trolle d'Europe, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929.

Clématite vigne blanche. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e2b5e-clematite-vigne-blanche

Clématite vigne blanche

Planche de "Clematis vitalba" (Atlas des plantes de France, 1891) : arbuste de la famille des Renonculacées. Elle est parfois appelée aubavis, aubervigne, bois à fumer, bois de pipe, cranquillier, vigne de Salomon ou viorne des pauvres. La dénomination "herbe aux gueux" provient de l'utilisation de ses feuilles irritantes par les mendiants pour s'infliger volontairement des ulcères afin de susciter la pitié. Appelée "virgouène" en Berry. (Wikipedia)

Clématites des haies. Source : http://data.abuledu.org/URI/50faab5b-clematites-des-haies

Clématites des haies

Lithographie par Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau 1890, titre : Clématite des haies. La dénomination herbe aux gueux provient de l'utilisation de ses feuilles irritantes par les mendiants pour s'infliger volontairement des ulcères afin de susciter la pitié. Appelée "virgouène" en Berry. Son bois était fumé, d'où son nom de Bois de pipe. Cette liane est aussi utilisée dans la vannerie. La clématite des haies ou clématite vigne-blanche (Clematis vitalba L. ) est un arbuste de la famille des Renonculacées. Elle est parfois appelée aubavis, aubervigne, bois à fumer, bois de pipe, cranquillier, herbe aux gueux, vigne de Salomon ou viorne des pauvres.