Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Musique | Instruments de musique | Instruments à vent | Bois (instruments de musique) | Instruments à percussion | Instruments à cordes | Instruments de musique anciens | Instrument à vent, Musique d' | Instruments à cordes frottées | Cordes (musique) | Instruments à cordes pincées | Musique traditionnelle | Idiophone | Tambour (membranophones) | Musique folklorique | Instruments à clavier | Percussion, Musique de | Bois (instrument de musique), Musique de | Percussions (instruments de musique) | ...
Xun chinois. Source : http://data.abuledu.org/URI/53398641-xun

Xun chinois

Le xun (prononcer "chun") est un instrument chinois très ancien, dont l'origine remonterait à 7 000 ans. Il s'agit d'une flûte globulaire en terre cuite, dont le musicien joue en soufflant sur un trou ouvert (embouchure), au contraire de l'ocarina européen où le jeu se fait en soufflant dans un conduit, comme pour la flûte à bec. En général percé de neuf trous, le xun possède un son très doux et peu puissant, favorisant un jeu intimiste en général soliste. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Xun

Accordéon schwyzois suisse. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c2c11-schwyzerorgeli

Accordéon schwyzois suisse

Le Schwyzerörgeli est un instrument de musique suisse (canton de Schwytz) de la famille de l'accordéon. C'est un petit accordéon diatonique datant du XIXe siècle. Ce fut probablement Johann Samuel Herrmann qui, en 1836, fabriqua le premier petit accordéon schwyzois. En tant qu’instrument de musique populaire et de danse, le schwyzois et l’accordéon ont supplanté en large mesure le violon ; seul l’intérêt porté à une instrumentation traditionnelle a remis ces deux instruments sur pied d’égalité. De nos jours, le schwyzerörgeli est l'un des instruments de musique folklorique suisse le plus commun tant en Suisse Alémanique, qu'en Suisse Romande. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Schwyzer%C3%B6rgeli

Agogo. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f0368c-agogo

Agogo

L'agogô ou gongué est un instrument de musique d'origine africaine. C'est un instrument de percussion idiophone constitué d'une ou plusieurs cloches en bois ou en métal (sans battant), reliées entre elles, et frappées au moyen d'une baguette.

Angklung indonésien. Source : http://data.abuledu.org/URI/533970d3-angklung-indonesien

Angklung indonésien

L’angklung est à la fois un instrument de musique en bambou et un ensemble de musiciens l'utilisant. Il s'agit d'un hochet complexe d'Indonésie populaire dans toute l’Asie du Sud-Est. L’angklung indonésien a été inscrit en 2010 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. On obtient de la musique de l'angklung en le secouant, faisant ainsi claquer les résonateurs de bambou sur les montants. Chaque instrument produit ainsi deux ou trois notes. Il est souvent disposé en série croissante si bien qu'au lieu d'avoir un ou deux instruments par musicien, ce dernier pourra en manipuler plusieurs dizaines. Généralement, trois personnes ou plus ont un angklung dans leurs mains, qui produisent des sons sur différents tons. De cette façon, il est possible de jouer une mélodie pentatonique complète. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Angklung

Archet. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eed0ae-archet

Archet

Utilisé pour jouer de certains instruments de musique à cordes frottées, un archet est une baguette de bois sur laquelle est fixée une mèche de crins. Nommé ainsi pour sa ressemblance avec un arc, le plus souvent en pernambouc, mais parfois en fibre de carbone, c'est le mouvement de l'archet sur des cordes tendues qui crée une vibration, un son amplifié par le corps d'instruments comme le violon, l'alto, le violoncelle, la contrebasse ou la viole de gambe.

Atabaque brésilien. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335a7ad-atabaque

Atabaque brésilien

Un atabaque ou ilu est un instrument de percussion utilisé dans diverses formes musicales du Nordeste du Brésil, notamment le candomblé et la capoeira. Cet instrument d'origine africaine (voir Batá) ou arabe, est un des premiers instruments qui furent introduits dans le jeu de la capoeira. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Atabaque

Banjo. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eea220-banjo

Banjo

Le banjo est un instrument de musique à cordes pincées nord-américain. Avec sa table d'harmonie à membrane, on le distingue facilement de la guitare. Cet instrument serait un dérivé du luth ouest-africain ekonting apporté par les esclaves noirs et qui aurait suscité la création des premiers gourd-banjos (« banjo en gourde »). Le banjo représente désormais toute une famille d'instruments.

Bayan russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397737-bayan

Bayan russe

Le bayan ou accordéon à basses chromatiques, est l'accordéon chromatique de concert russe, apparu vers 1850 et dont l’usage s’est développé au début du XXe siècle. Il doit son nom au légendaire vieux chanteur et narrateur russe (ou slave) Bayan (ou Boyan) qui se produisit devant plusieurs princes au XIe siècle. Le bayan est doté d’un clavier de 105 boutons disposés sur 5 rangées (pour la main droite), et d’un clavier de 120 boutons disposés sur 6 rangées (pour la main gauche). Le système main gauche est caractérisé par un "déclencheur" permettant de convertir le clavier traditionnel à basses composées (un bouton correspond à un accord) en un clavier chromatique à basses libres (un bouton correspond à une note). Le bayan donne toutes les notes de la gamme chromatique tempérée, et la disposition des touches permet de jouer dans n’importe quelle tonalité sans changer de doigté. Grâce à l’étendue qu’offre l’instrument et la qualité de son timbre, ce modèle complet d'instrument permet d'aborder tous types de musiques de l'époque baroque à nos jours ; il est souvent utilisé par des virtuoses qui interprètent aussi bien de la musique classique que de la musique contemporaine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bayan_%28instrument%29

Bendir. Source : http://data.abuledu.org/URI/532819eb-bendir

Bendir

Le bendir est un instrument à percussion connu dans tout le Maghreb. C'est un tambour sur cadre assez similaire au daf asiatique, faisant partie des membranophones. Le bendir est un instrument à percussion connu dans tout le Maghreb. C'est un tambour sur cadre assez similaire au daf asiatique, faisant partie des membranophones.

Bianzhong ou cloches chinoises. Source : http://data.abuledu.org/URI/533049ef-bianzhong

Bianzhong ou cloches chinoises

Les bianzhong ou cloches chinoises sont des instruments anciens de la musique chinoise. Il s'agit d'un ensemble de cloches de bronze, jouées mélodiquement. Les cloches sont suspendues à un cadre en bois et frappées à l'aide d'un maillet. Avec les instruments de pierre appelés bianqing, elles étaient un instrument important dans les rituels de Chine et la musique de cour en remontant dans les temps anciens. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bianzhong

Binzasara japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/533159c0-binzasara-

Binzasara japonais

Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara

Binzasara japonais  en position étirée. Source : http://data.abuledu.org/URI/53316fe5-binzasara-japonais-en-position-etiree

Binzasara japonais en position étirée

Le binzasara est un instrument à percussion de la musique traditionnelle japonaise utilisé pour les chansons populaires, les danses paysannes et le théâtre kabuki. L'instrument se compose de nombreuses plaquettes de bois reliées par un fort cordon de coton tressé. En utilisant les poignées à chaque extrémité, on joue du binzasara en faisant onduler les plaquettes en ondes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Binzasara

Bodhran. Source : http://data.abuledu.org/URI/511268d9-bodhran

Bodhran

Le bodhrán (prononc. "bawraa-n" ou en API [ˈbaʊrɑːn]), pluriel bodhráin, est un instrument de percussion utilisé dans la musique irlandaise. C'est un tambour sur cadre joué avec un bâtonnet (stick) qui est sans doute dérivé du daf oriental et plus anciennement d'un tamis, un outil agricole servant à séparer les grains de leur enveloppe (son).

Boha des Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/533ab955-boha-des-landes

Boha des Landes

Cornemuse des landes, connue sous le nom gascon de "boha". Instrument de facture récente (2003). La boha (prononcer "bou-heu") ou cornemuse des Landes de Gascogne est un instrument de musique à vent utilisé dans la musique gasconne. C'est une cornemuse à anches simples. Elle a une petite poche et possède une partie mélodique et un seul bourdon à 2 tons contenus dans une pièce en bois de buis ou de fruitier recelant deux perces parallèles, appelée pihet (mot gascon de même racine que "pifre" signifiant "fifre"). Le nom "boha" vient du verbe bohar qui en gascon signifie souffler ; les sonneurs de boha sont appelés bohaires. La boha était autrefois sonnée sur une aire comprenant une partie des actuels départements des Landes, de la Gironde, du Lot-et-Garonne et du Gers. La boha est constituée de 4 parties essentielles : - La poche : généralement en peau de chèvre voire d'agneau. - Le porte-vent : contenant en général une valve (d'autres systèmes existent ou sont en expérimentation) pour empêcher le retour de l'air. - Le pihet (double tuyau) : contenant deux tuyaux, un pour la mélodie et un pour le bourdon. Le tuyau mélodique est percé de 7 ou 8 trous ; le tuyau du bourdon est percé d'un trou et est prolongé par le brunidèr - Le brunider : pièce de bois prolongeant le tuyau du bourdon et qui permet s'il est mis ou enlevé de modifier la note du bourdon. La boha est généralement associée à une culture de bal gascon et accompagne des danses comme le rondeau, la mazurka, la polka, la valse, la scottish…

Bombarde chromatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ed9e40-bombarde-chromatique

Bombarde chromatique

La bombarde est un instrument de musique à vent à anche double de la famille des hautbois, employé dans la musique bretonne. Le mot « bombarde » provient du latin bombus, signifiant « bourdonnement » ou « bruit sourd ». En breton l'instrument s'appelle ar vombard (mutation de bombard)1 ou an talabard. Un joueur de bombarde s'appelle un talabarder. Il s'agit d'une variante de hautbois populaire spécifique à la Bretagne.

Bongo. Source : http://data.abuledu.org/URI/53072465-bongo

Bongo

Le bongo ou bongó est un instrument de percussion de Cuba qui s'est répandu dans toute la musique latine. C'est une paire de tambours solidaires, à une membrane chacun et dont l'un est plus grand que l'autre. Le percussionniste jouant des bongos s'appelle un bongocero. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bongo.

Buccin antique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533ababf-buccin

Buccin antique

Buccin du musée du Wurtemberg (Fruchtkasten, Stuttgart). Le buccin (du latin buccina ou būcina) est un instrument de musique à vent de la famille des cuivres, d’origine étrusque et en usage dans l’armée romaine antique. Le corps du buccin avait une forme semi-circulaire (la forme de la lettre « G »). Il possédait parfois un raidisseur (ou poignée) transversal. La perce était conique (comme celle du cor d’harmonie) et l’embouchure était tronconique. Le joueur de buccin est appelé « buccinateur ». Les Étrusques avaient l’habitude de conduire les troupeaux de porcs grâce à cette sorte de clairon. En dehors de la musique il était aussi utilisé pour des signaux à caractère guerrier. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Buccin_%28instrument%29

Cabrette d'Auvergne. Source : http://data.abuledu.org/URI/533abdb9-cabrette-d-auvergne

Cabrette d'Auvergne

La cabrette (ou musette) est un instrument à vent de la famille des cornemuses, apparue au XIXe siècle dans la communauté auvergnate de Paris et qui s'est ensuite rapidement répandue en Haute-Auvergne et Aubrac. Elle comporte un tuyau mélodique et un tuyau d'accompagnement (bourdon), mais ce dernier obturé n'est pas toujours fonctionnel, ce qui permet d'utiliser la note dominante grave de l'instrument à la fois comme effet rythmique et comme pédale harmonique. Autrefois le sac en peau de chèvre (d'où le nom de l'instrument) se gonflait à la bouche comme la plupart des cornemuses. L'ajout du soufflet remonte au milieu du XIXe siècle. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cabrette

Caïambe réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/522ce1c7-caiambe-reunionnais

Caïambe réunionnais

Le kayamb, caïambe ou maravanne (à Maurice) est un instrument de musique utilisé dans les Mascareignes pour jouer le séga et le maloya. C'est un instrument de percussion idiophone. On le décrit comme un hochet en forme de radeau : c’est un idiophone par secouement. C’est un instrument qui incarne l’âme de la musique Réunionnaise, à lui seul, il résume toute l’histoire de l’île, l’héritage des esclaves des plantations de cannes à sucre. Ce sont eux qui ont construit les premiers Kayamb avec ce qu’ils trouvaient dans les champs : du bois, des graines et des tiges de fleur de canne.

Cajón d'Amérique latine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a81a3-cajon

Cajón d'Amérique latine

Le cajón est un instrument de musique inventé au Pérou au XVIIIe siècle. Il fut très certainement à ses débuts une caisse destinée à la cueillette des fruits ou à la pêche des poissons, les esclaves n'ayant pas accès à autre chose que les matériaux rustiques. Le cajón est une caisse de résonance parallélépipède, de 50cm x 30cm x 30cm (hauteur/largeur/profondeur) en moyenne. La plaque de frappe (devant) est plus fine que les autres côtés, ce qui permet une élasticité et une résonance propre au cajón. Au dos, un trou d'environ 10cm de diamètre permet la sortie du son (même effet qu'un évent de décompression d'une enceinte de sono). Le cajón actuel possède généralement un élément de plus, le timbre, qui rend le son proche de celui d'une caisse claire de batterie. On joue du cajón en étant assis. Certaines personnes l'utilisent bloqué à plat entre les jambes (comme un djembé) ou encore posé sur un socle devant soi. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Caj%C3%B3n

Carnyx celtique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533acc0d-carnyx

Carnyx celtique

Un carnyx ou carnynx ou carnux est un instrument de musique celtique à caractère guerrier. Il est utilisé lors des guerres celtes pour contribuer à effrayer l’ennemi et pour mener les troupes. Il est constitué d'une trompe verticale pouvant mesurer jusqu'à 3 m, en tôle de bronze ou laiton, et d'un pavillon perpendiculaire sous forme principalement de hure de sanglier à gueule ouverte ou de tête de dragon, de cheval ou de serpent. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carnyx

Castagnettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eea870-castagnettes

Castagnettes

Les castagnettes (en espagnol, « petite châtaigne ») sont un instrument de musique à percussion idiophone, typique du folklore espagnol (castañuela), portugais (castanholas) et italien (maroni).

Chalumeau moderne. Source : http://data.abuledu.org/URI/533acdc6-chalumeau-modern

Chalumeau moderne

Nom générique au Moyen Âge et à la Renaissance, le chalumeau désigne tout instrument à vent de la famille des bois composé d'un tuyau conique ou cylindrique et d'une anche simple ou double. Puis, pendant la période baroque et classique, le chalumeau désigne spécifiquement un instrument de perce cylindrique et à anche simple, la chalemie (ou hautbois ancien) désignant un instrument en perce conique et à anche double. Chalumeau est donc le nom donné aux premières clarinettes, qui ont gardé ce terme pour leur registre grave. On trouve la musique pour chalumeau surtout dans deux centres différents : d'un côté Vienne, ou des compositeurs d'opéras comme Bononcini, Caldara, Fux etc. emploient souvent le chalumeau en combinaison avec la voix humaine ; de l'autre côté Hambourg et Darmstadt, où Telemann et Graupner montrent une préférence pour les chalumeaux à basse tessiture. Antonio Vivaldi a employé le chalumeau dans plusieurs de ses concertos où il est mentionné sous son nom italien de Salmoè. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chalumeau_%28musique%29

Chapeau chinois de musique militaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347eff5-chapeau-chinois

Chapeau chinois de musique militaire

Le chapeau chinois est un instrument de musique militaire, à percussion, également appelé bonnet chinois ou pavillon chinois. Il est décrit dans le "Dictionnaire pratique et raisonné des instruments de musique anciens et modernes de A. Jacquot" de 1886 comme un instrument à percussion en cuivre, inventé par les Chinois. Le chapeau proprement dit, a la forme du toit d’une petite pagode, les grelots et les sonnettes sont suspendus au bord et à l’extrémité de différentes tiges de métal. Ce qui lui fait donner le nom de "demi-lune" c’est qu’au-dessous du chapeau se trouve aussi un croissant ou demi-lune garnie de sonnettes. Le tout est supporté par un bâton tenu et agité en mesure, de bas en haut, par l’exécutant. On s’en sert dans les musiques d’Orient, et il fut en usage dans celles de France pendant un certain temps. Il ne figure plus dans notre pays que parmi les instruments de musées ou dans les collections d’amateurs de musique. Au Moyen Âge, on l’appelait "tymbe-cembel", et, dès le XIIe siècle, Bombulum. Il est utilisé par les musiques militaires suivantes et décrit comme suit : 1) La musique des régiments sous Napoléon Bonaparte ; 2) La musique de la légion étrangère ; 3) Le 1er régiment de tirailleurs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chapeau_chinois_%28musique%29

Chenda indien. Source : http://data.abuledu.org/URI/53397fd5-chenda

Chenda indien

Le chenda ou chende est un instrument de musique de l’Inde. C'est un instrument de percussion membranophone. C'est un tambour en tonneau à deux peaux utilisé dans la musique kéralaise. Seuls des membres de la communauté Mârâr ou Pothuvâl sont habilités à en jouer. D'un diamètre de 22 cm, avec 55 cm de long, il est en un bois épais de jacquier. Deux cercles de 32 cm de diamètre en bois ou en bambou assurent la fixation des cordes de tensions réglables à l'aide d'un anneau le long du fût. Les membranes sont en peau de vache ou de veau (l'une d'elles a six couches distinctes de peaux). C'est l'un des rares tambours, maintenu à l'aide d'une sangle passée sur les épaules, à être joué debout. L'instrument est tenu à la verticale, comme un tambour européen. On le frappe sur la face supérieure (valantâla) à l'aide d'une ou deux baguettes courbes ou avec la main gauche nue. À de rares occasions, la face inférieure (etântâla) est aussi frappée. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chenda

Cistre allemand. Source : http://data.abuledu.org/URI/532b01bd-cistre-allemande

Cistre allemand

Le cistre est un instrument à cordes pincées qui semble avoir fait son apparition vers le XVe siècle et qui est encore répandu en Europe. Héritier de la citole, le cistre connut deux périodes d'intense prédilection : 1) la plus longue dura du début du XVIe à la moitié du XVIIe siècle. Il y acquiert les caractéristiques qui sont encore les siennes de nos jours. À cette époque, la pratique du cistre est proche de celle du luth mais d'un statut inférieur, plus populaire et plus simple. Les amateurs le pratiquent assidûment, et les recueils mis à leur disposition sont nombreux. Mais, vers le milieu du XVIIe siècle, sans raison apparente, il tombe dans l'oubli. 2) vers 1770 il refait surface. Là, c'est un véritable engouement du public et pour répondre à la demande, les compositeurs vont rivaliser d'imagination, au point que la production en perd sa qualité. Un facteur imagine même d'y adapter une petite table mécanique de pianoforte et de petits marteaux actionnés par l'intermédiaire d'un clavier. Les cordes sont pincées au plectre en bec de plume, au médiator comme pour la guitare folk, ou plus rarement avec des onglets en métal comme pour la guitare dobro. Certains comme Chris Thompson utilisent un bottleneck pour jouer du blues. Le cistre est encore pratiqué en Suisse, en Autriche et en Allemagne : il fait partie de la musique folklorique ou populaire depuis des siècles, dans des versions spécifiques (waldzither, halszither).

Citole Anglaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c6797-citole-anglaise

Citole Anglaise

Citole (British Museum). La citole est un instrument à cordes pincées en usage jusqu'au XIVe siècle, ancêtre du cistre. De formes variées, la citole possède généralement quatre cordes en métal ou en boyaux, attachées sur un manche très court. Un rare exemplaire de cet instrument, trouvé au château de Warwick , est exposé au British Museum. Cette citole, construite autour des années 1300, a été transformée en violon au XVIe siècle par l'ajout d'une touche, d'un chevalet avec sa table d'harmonie et d'ouïes remplaçant son trou central : elle n'est donc pas représentative de l'instrument d'origine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Citole.

Clairon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ed8618-clairon

Clairon

Le clairon est un instrument à vent de la famille des cuivres. C'est un des cuivres les plus simples puisqu'il ne possède ni piston ni coulisse et fait donc partie des instruments à son naturel.

Clarinette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ed9340-clarinette

Clarinette

La clarinette (du provençal clarin, « hautbois ») est un instrument de musique à vent de la famille des bois caractérisée par son anche simple et sa perce quasi cylindrique. Elle a été créée vers 1690 par Johann Christoph Denner (1655-1707) à Nüremberg sur la base d'un instrument à anche simple plus ancien : le « chalumeau ». La clarinette soprano (en si♭) est le modèle le plus commun.

Claves cubaines. Source : http://data.abuledu.org/URI/53286353-claves

Claves cubaines

Les claves sont des instruments de musique de percussion idiophone très anciens joués dans la musique aborigène d'Australie, sous d'autres noms. Les claves proprement dites, apparaissent à Cuba vers le XVIe siècle, sur les docks du port de La Havane. Entrechoquées au rythme du travail, elles deviennent au XVIIe siècle un instrument de percussion, les « claves » (mélange des mots « clavar » et « llaves »). Les chevilles (« llaves » en espagnol) que l'on cloue (« clavar » en espagnol) pour fixer les pièces du navire sont en bois tropical dur (acana, jiqui, guayacan, jucaro, quiebrahacha...), longues de 20 cm. La clave tenue dans la main droite par l'une des extrémités (macho = mâle) vient percuter en cadence l'autre placée dans la main gauche (hembra = femelle). Le son est très sec et très fort.

Cobla catalane à Barcelone. Source : http://data.abuledu.org/URI/533af13c-cobla-catalane-a-barcelone

Cobla catalane à Barcelone

La "Cobla Baix Llobregat" (Cobla du Bas-Llobregat) jouant sur la Place Saint Jaume (Place Saint Jacques), à Barcelone, devant le Palais de la Généralité. La cobla est un ensemble instrumental catalan qui utilise dans sa formation classique les instruments de musiques suivants : flabiol avec tambourin (tamborí), tible, tenora, trompette (trompeta), trombone (trombó), fiscorn et contrebasse (contrabaix) à trois cordes. La coble moderne est due au musicien catalan Pep Ventura (1817-1875) qui institua un ensemble d'onze musiciens pour douze instruments : un flabiol-tamborí, deux tibles, deux tenores, deux trompettes, un trombone, deux fiscorns et une contrebasse à 3 cordes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cobla La cobla est essentiellement destinée à l’interprétation de la sardane mais peut accompagner d'autres danses et peut aussi donner des concerts dans différents styles musicaux, autres que la sardane. Il existe d'ailleurs un répertoire important.

Cobza de Roumanie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53287697-cobza

Cobza de Roumanie

Le cobza, cobsa, kobuza, kobuz ou coboz est un instrument de musique à cordes de Roumanie. Il s'agit d'une version locale du oud apporté par les Ottomans qu'on peut retrouver en Moldavie ou en Hongrie et dont le nom dérive du kopuz d'Asie Centrale. Il ne faut pas le confondre avec la kobza ukrainienne, qui est plus proche d'une cithare à manche ou de la bandura. Le cobza est joué avec un plectre en plume par les tziganes de Roumanie, mais est devenu de plus en plus rare aujourd'hui.

Concertina automatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533ad30f-concertina-automatique

Concertina automatique

Concertina automarique, Musée de la musique de Barcelone. Un concertina est un instrument de musique de la famille des instruments à vent à anches libres et à clavier, comme l'accordéon. Il a été inventé en 1829 par Sir Charles Wheatstone, qui en a breveté une version améliorée en 1844. Les concertinas ont des boutons disposés aux deux bouts du soufflet et se distinguent des accordéons par la direction de pression des boutons : identique à celle du soufflet pour les concertinas, perpendiculaire pour les accordéons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Concertina

Conga cubaine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335a936-conga-

Conga cubaine

La conga désigne plusieurs éléments musicaux cubains ou latins : un instrument de musique, un rythme, une formation musicale ou une danse. Haut tambour (90cm de haut pour 25 à 40 cm de diamètre) à long fût légèrement renflé, elle est faite à partir d'un assemblage de lattes de bois, ou creusée dans un tronc monoxyle, ou bâtie sur un tonneau cerclé ou moulé dans de la fibre synthétique. Une peau épaisse est fixée sur le dessus à l'aide de liens à l'origine et aujourd'hui à l'aide de cerclages et de fixations métalliques réglables. On appelle conguero le percussionniste qui joue des congas (de une à cinq congas) à la main à l'aide de cinq frappes de base. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Conga

Contrebasse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eecc86-contrebasse

Contrebasse

La contrebasse est un instrument grave de la famille des instruments à cordes. Elle peut se jouer en frottant les cordes avec l'archet (arco) ou en les pinçant avec les doigts (pizzicato). La contrebasse est très utilisée en musique classique au sein des orchestres symphoniques, et en jazz où elle fait partie de la section rythmique. La contrebasse est également utilisée dans les autres styles comme le blues, le bluegrass, le rock and roll, le rockabilly, le jazz rap ou encore le tango.

Contrebasson. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347f36c-contrabasson

Contrebasson

Le contrebasson est un instrument de musique à vent de la famille des bois, de perce conique et à anche double, et donc parent du basson et sonnant à l'octave inférieure de celui-ci. Son étendue est toutefois moins importante, de trois octaves et une seconde. Le tuyau comporte quatre coudes contre un seul pour le basson et sa colonne d'air d'environ 5 mètres est double de celle du basson. Son anche est environ de 10 % à 20 % plus longue et plus large que celle du basson. C'est le deuxième instrument le plus grave de l'orchestre, sa note la plus grave étant le Si bémol (Bb) en dessous du Mi (E) de la contrebasse et au-dessus du Fa (F) du Tuba contrebasse. Joué par des bassonistes, il constitue néanmoins une spécialisation au sein d'un pupitre de bassons, au même titre que le cor anglais pour les hautboïstes ou la clarinette basse pour les clarinettistes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Contrebasson

Cor omnitonique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5300bb16-cor-omnitonique

Cor omnitonique

Cor omnitonique : J.B. Dupont, Paris, début du XIX ème siècle - Paris, Musée de la musique. Le cor omnitonique est un cor d'invention sur lequel les tons de rechange ont été intégrés à l'instrument. Un tube mobile permet d'ouvrir le ton souhaité et de fermer les autres. Le changement de tonalité est donc facilité. En revanche, ce dispositif alourdit considérablement l'instrument et ne facilite donc pas forcément le jeu. Ces cors élaborés vers le premier quart du XIXe siècle illustrent les différentes recherches faites à cette époque pour affranchir le cor de ses limitations chromatiques naturelles. Les cors omnitoniques furent rapidement relégués dans l'oubli par la découverte en 1815 et la diffusion du piston à travers l'Europe. Certains cors omnitoniques relèvent plus de la curiosité que d'un instrument de musique.

Cornemuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ed9af6-cornemuse

Cornemuse

La cornemuse est un instrument de musique à vent et plus particulièrement à anches. Il en existe plus d'une centaine de types dans le monde. Sa répartition géographique correspond à l'Europe entière, au Caucase, au Maghreb, au golfe Persique et va jusqu'à l'Inde du Nord.

Crécelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/533a9b73-crecelle

Crécelle

Une crécelle est un instrument de musique idiophone datant du Moyen Âge, aussi appelée brouan ou tartuleuil, et répandue aujourd'hui encore partout en Europe. De conception et d'utilisation simples, elle est un instrument populaire mais aussi un jouet pour les enfants. Ce terme est attesté depuis la première moitié du XIVe siècle mais son origine n'est pas connue. Grâce au bruit puissant qu'elle émet, elle était aussi utilisée au Québec par les femmes des agriculteurs pour appeler leur mari au champ, avant la mécanisation de l'agriculture. On l'utilisait afin d'avertir du passage de personnes infectieuses, atteintes de maladies redoutées au Moyen Âge : la lèpre, la peste. Petite (5 cm) ou géante (5 m), manuelle ou mécanisée, elle est composée d'un manche et d'une partie rotative parfois multiple dont la lame en bois racle et craque sur la partie crantée du manche. Dotée d'un son très puissant, elle était utilisée dans les monastères et durant les carnavals (en Suisse notamment) ou charivaris. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9celle

Crwth celtique. Source : http://data.abuledu.org/URI/533a9a25-crwth

Crwth celtique

Le crwth ou crouth (prononcé kruːθ ou krʊθ en gallois) est un instrument d'origine galloise ou irlandaise, probablement du Xe – XIe siècle, date à laquelle l'emploi de l'archet est devenu commun en Europe occidentale. Il s'agit de l'un des derniers instruments dont aient joué les bardes historiques de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance. Le mot gallois crwth et le mot gaélique cruit étaient des termes génériques renvoyant aux instruments à cordes pincées en général, y compris les premières harpes, et les lyres à six cordes communes à toute l'Europe "barbare" du Haut Moyen Âge. Il se joue comme le fiddle qui l'a supplanté. Il connaît un regain d'intérêt depuis quelques années. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crwth

Darbouka égyptienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335abe1-darbouka-egyptienne

Darbouka égyptienne

La darbouka est un instrument de percussion faisant partie des membranophones. Selon ses variantes, c'est un tambour en gobelet répandu dans toute l'Afrique du Nord, et en calice dans le Moyen-Orient et les Balkans. Elle daterait de 1100 avant J.-C et elle est l'un des principaux instruments de percussion du monde arabo-musulman. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Darbouka

Deux singes dans un bureau. Source : http://data.abuledu.org/URI/51503e91-deux-singes-dans-un-bureau

Deux singes dans un bureau

Deux singes assis devant un livre dans un bureau, avec des instruments de musique, 1860, par Charles Monginot (1825-1900). Fils de boulanger, Charles Monginot est né à Brienne-le-Château (Aube). Remarqué pour ses dons en dessin et peinture, il est envoyé à l'atelier de Thomas Couture. Il se lie d'amitié avec Édouard Manet, et il figure dans le célèbre tableau de Manet, "La Musique aux Tuileries". Il mène une carrière de peintre reconnu à Paris, réalisant principalement des portraits, des natures mortes ou des scènes de genre. Installé à Paris, il conserve des liens avec sa région d'origine, où il mourra, à Dienville en 1900.

Domra russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53284e02-domra

Domra russe

La domra est un instrument à cordes russe de la famille des luths répandu jusqu'au XVIIe siècle puis disparu, et recréé à la fin du XIXe siècle par Vassili Andreyev, le musicien à l'origine du renouveau de la balalaika et de la musique folklorique russe. En 1905, un luthier y ajouta une quatrième corde. C'est un instrument que l'on retrouve souvent associé à la balalaïka. On en joue avec un plectre en solo, duo ou orchestre. Il est plutôt réservé à l'interprétation des musiques modernes ou classiques.

Dulcitone. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347fef8-dulcitone

Dulcitone

Un dulcitone (à l'origine forks piano, où fork = diapason) est un instrument de musique dont le son est produit par une rangée de diapasons métalliques, qui vibrent sous l'action de marteaux similaires à ceux du piano, activés par un clavier à échappement simple (2 modèles : 3 octaves, ou 5 octaves 1/2). Sa fabrication date de la fin du XIXe siècle, début du XXe siècle, par la firme écossaise Thomas Machell & Sons (Glasgow). Sa sonorité fait penser à celle d'un marimba dans les notes graves, atteignant progressivement celle d'un célesta dans les aiguës. Une forme plus ancienne apparaît sous le nom de typophone dans Le Chant de la cloche (Op. 18, création 1886) de Vincent d'Indy. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dulcitone

Ektara du Bengale. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c528d-ektara-

Ektara du Bengale

L'ektara des bauls du Bengale, est un instrument unique en son genre. C'est une petite caisse de résonance cylindrique en bois ou gourde, sur laquelle une peau de chèvre est fixée ; une corde est nouée à celle-ci et tendue grâce à deux languettes d'un bambou fendu fixées elles au bord de la caisse. Une cheville y est placée pour accorder la corde. On en joue debout ou assis, et uniquement de la musique folklorique ou des bhajans dévotionnels. On obtient une mélodie sur l'instrument baul en pressant sur le bambou fendu en deux : plus on presse le bambou, plus la note devient grave, et plus on le relâche, plus la note devient aiguë. Pour l'autre, il suffit de pincer la corde avec le doigt, et il n'y a pas de variation mélodique : c'est un bourdon. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ektara.

Euphonium. Source : http://data.abuledu.org/URI/51128329-euphonium-

Euphonium

Un euphonium est un instrument de musique de la famille des cuivres à perce conique, parfois aussi appelé tuba ténor.

Fifre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ee8e5f-fifre

Fifre

Le fifre est un petit instrument de musique à vent, plus précisément un bois appartenant à la famille de la flûte traversière.

Gasba de Numidie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5331abf8-taghanimt-

Gasba de Numidie

La gasba ou tighanimt est un instrument de musique à vent rustique répandu en Numidie ou le Pays Chaoui (Tunisie occidentale et Algérie orientale) mais aussi dans les régions autrefois peuplées par les Numides tels que le Ziban au sud des Aures, ainsi que dans les autres grandes régions zénètes : en Oranie (Algérie) et au Rif (Maroc). C'est une flûte de roseau oblique à embouchure libre. L'artisan utilise une tige de taghanimt (roseau) des plus solides et souple. Les Aurès sont réputées pour la qualité de leurs roseaux. La gasba est une flûte oblique et à ce titre, elle se joue en posant la flûte sur le côté de la bouche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gasba

Gemshorn en corne médiéval. Source : http://data.abuledu.org/URI/5348027b-gemshorn

Gemshorn en corne médiéval

Le gemshorn ou flûte en corne est un instrument de musique du Moyen Âge fabriqué au XVe siècle. Il est composé d'une corne d'animal évidée puis percée de six trous ; à la fin on bouche le fond de la corne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gemshorn

Grelots éthiopiens. Source : http://data.abuledu.org/URI/5335a543-grelots

Grelots éthiopiens

Addis-Abeba, Musée national d'Ethiopie, 3e étage : instruments de musique traditionnels. Les grelots forment un type de cloche qui produit un son distinctif, surtout lorsqu'ils sont employés en grand nombre. Ils trouvent leur utilisation dans de nombreux domaines comme instruments de percussion, et sont parfois accordés et utilisés comme une alternative moins coûteuse pour des petites cloches « classiques ». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grelot_%28instrument%29

harmonica diatonique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec45ab-harmonica-diatonique

harmonica diatonique

L'harmonica est un instrument de musique à vent et à anche libre fonctionnant sur le même principe que l'accordéon : des anches métalliques de taille et de poids uniques, produisent des sons en vibrant au passage de l'air (aspiré ou soufflé, ce qui est très peu fréquent pour un instrument à vent). D'une tessiture normale de trois octaves, il se décline en trois grandes familles : l'harmonica diatonique simple ; l'harmonica diatonique double (appelé aussi trémolo) ; l'harmonica chromatique.