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Photographie | Peinture | Musique | Dessins et plans | Instruments de musique | Gravure | Instruments à cordes | Seizième siècle | Instruments à cordes pincées | Renaissance | Histoire | Dix-huitième siècle | Aliments | Basson | Instruments à vent | Littérature de jeunesse | Bois (instruments de musique) | Musique ancienne | Solanacées | Cathédrales | ...
Le tour du monde de Magellan et Elcano. Source : http://data.abuledu.org/URI/5416ab9c-le-tour-du-monde-de-magellan-et-elcano

Le tour du monde de Magellan et Elcano

Carte de la première circumnavigation du monde, par Ferdinand de Magellan et Juan Sebastián Elcano, de 1519 à 1522.

Triangulation au XVI° siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/505c8018-triangulation-au-xvi-siecle

Triangulation au XVI° siècle

Illustration de la mesure de la largeur d'une rivière par triangulation, tirée d'un traité de Hulsius datant du 16e siècle.

Architectes médiévaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50465ff6-architectes-medievaux

Architectes médiévaux

Illustration de la page de garde du Dictionnaire Raisonné de l'architecture Française du XIe au XVIe siècle de Viollet-Le-Duc, 1856.

Armoire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b6414d-armoire

Armoire

Armoire "Chantilly" de style Louis XV, réalisé par les Ateliers Allot Frères. Les armoires telles qu'on les connaît aujourd’hui sont apparues au XVIe siècle sous forme d'armoires à deux vantaux ou à quatre portes (alors encore parfois nommées "bahuts" ou buffets) ornementées dans des styles très divers, avec hauts reliefs, incrustations, glaces, etc.

Attaque d'un galion. Source : http://data.abuledu.org/URI/51855921-attaque-d-un-galion

Attaque d'un galion

Attaque d'un galion, 1921. Illustration par Howard Pyle (1853-1911). Un galion, à l'origine galeon, présent en 1600 de la mer noire à la méditerranée, désigne un navire à plusieurs ponts, mû à la fois par voiles et rames comme les autres galères. Il évolua en pur voilier, et fut utilisé en Europe et particulièrement en Espagne du XVIe siècle au XVIIIe siècle.

Balalaïka russe. Source : http://data.abuledu.org/URI/53232c44-balalaika

Balalaïka russe

La balalaïka (Russe : Балалайка) est un instrument de musique à cordes pincées russe. C'est un luth à manche long à la caisse typiquement triangulaire. Le mot balalaïka vient du russe balakat, qui signifie bavarder, plaisanter, taquiner. Elle se joue avec un plectre et se décline en plusieurs tailles. La plus courante, la prima, comporte trois cordes, deux accordées en mi et la troisième en la. Elle est souvent associée aux orchestres de balalaïkas. L'ancêtre de la balalaïka s'appelle la domra et date du XVIe siècle. Elle aurait été introduite en Russie par les Tartares. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Balala%C3%AFka.

Basson. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ed9c9f-basson

Basson

Le basson est un instrument de musique de la famille des bois, qui apparaît à la fin du XVIe siècle en Italie sous le nom fagotto. Il est formé d'un long tuyau de perce conique d'environ 2,50 m en bois précieux (principalement l'érable ou le palissandre), replié sur lui-même, que l'instrumentiste, appelé bassoniste, tient sur son côté droit.

Bichon Frisé. Source : http://data.abuledu.org/URI/5160ccf5-bichon-frise

Bichon Frisé

Le bichon à poil frisé, autrefois appelé ténériffe est un petit chien blanc joyeux et enjoué. Le bichon frisé est né sous la renaissance italienne (1400-1560) du croisement entre le bichon maltais avec d’autres petits chiens dont principalement le caniche et le barbet, chien de chasse à l’eau également ancêtre du caniche. Connu depuis le XIVe siècle, dans le bassin méditerranéen, il fut au cours de ce siècle introduit aux îles Canaries. Cet épisode lui valut de se faire appeler "Ténériffe", du nom de la capitale de cet archipel. Il conservera ce nom très longtemps, jusqu'à ces dernières années. Le bichon frisé est introduit en France au XVIe siècle sous le règne de François Ier, qui en fait son compagnon favori. Mais c’est sous le règne d’Henri III (1574-1589) qu’il trouve son apogée, le souverain étant lui -même un fervent admirateur de cette race. C’est au cours de ce siècle, lors de l’occupation des Flandres par les espagnols, que le bichon frisé s’est implanté en Belgique. Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, il est adulé des Grands de ce monde et on le trouve dans tous les salons de France en compagnie des dames et des seigneurs du royaume. Madame de Pompadour, notamment, en possède plusieurs. Sa notoriété est telle que le peintre Fragonard (1732-1806) le représente dans l’un de ses tableaux, ainsi que Goya, qui le fait apparaître dans plusieurs de ses œuvres.

Carte de la Nouvelle-France. Source : http://data.abuledu.org/URI/511529f2-carte-de-la-nouvelle-france

Carte de la Nouvelle-France

Carte de la Nouvelle-France vers 1750. Sources : 1) "Les Villes françaises du Nouveau Monde : des premiers fondateurs aux ingénieurs du roi, XVIe-XVIIIe siècles" ; sous la direction de Laurent Vidal et Emilie d'Orgeix ; Éditeur : Paris, Somogy 1999. 2) "Canada-Québec 1534-2000", Jacques Lacoursière, Jean Provencher et Denis Vaugeois, Éditeur : Sillery (Québec), Septentrion 2000.

Carte marine du monde en 1778. Source : http://data.abuledu.org/URI/521becfc-carte-marine-du-monde-en-1778

Carte marine du monde en 1778

Carte marine du monde de Nicolas Bellin en 1778 : projection Mercator basée sur le médidien de L’Isle de Fer (Paris). Ce fichier a été fourni à Wikimedia Commons par Geographicus Rare Antique Maps, marchand spécialisé dans la cartographie d’antiquaire et les cartes historiques du XVe au XVIe siècle, dans le cadre d’un projet de coopération : Essay d'une Carte Reduite, Contenant Les Parties Connuees du Globe Terrestre...

Château de Brézé. Maine-et-Loire, France.. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bc547f-chateau-de-breze-maine-et-loire-france-

Château de Brézé. Maine-et-Loire, France.

La château de Brézé, est un château du XVIe siècle situé sur la commune éponyme, dans le département du Maine-et-Loire, dix kilomètres au sud de Saumur. La particularité du château de Brézé réside en son réseau troglodytique situé sous le château et dans les fossés, comportant aussi bien des pièces de la vie quotidienne (boulangerie, écurie, magnanerie) que militaire (pont-levis, chemin de ronde). Le château fait l'objet d'un classement au titre des Monuments historiques depuis le 6 mars 1979. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_Br%C3%A9z%C3%A9

Château et parc de Beauregard. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e86b22-chateau-et-parc-de-beauregard

Château et parc de Beauregard

Le château de Beauregard, datant du XVIe siècle, est situé dans la commune de Cellettes dans le Loir-et-Cher à une dizaine de kilomètres au sud de Blois. Ce château a été décrit et dessiné dans l'ouvrage d'Androuet du Cerceau, "Des plus excellens bâtiments de France" (Second Volume, 1579).

Cistre allemand. Source : http://data.abuledu.org/URI/532b01bd-cistre-allemande

Cistre allemand

Le cistre est un instrument à cordes pincées qui semble avoir fait son apparition vers le XVe siècle et qui est encore répandu en Europe. Héritier de la citole, le cistre connut deux périodes d'intense prédilection : 1) la plus longue dura du début du XVIe à la moitié du XVIIe siècle. Il y acquiert les caractéristiques qui sont encore les siennes de nos jours. À cette époque, la pratique du cistre est proche de celle du luth mais d'un statut inférieur, plus populaire et plus simple. Les amateurs le pratiquent assidûment, et les recueils mis à leur disposition sont nombreux. Mais, vers le milieu du XVIIe siècle, sans raison apparente, il tombe dans l'oubli. 2) vers 1770 il refait surface. Là, c'est un véritable engouement du public et pour répondre à la demande, les compositeurs vont rivaliser d'imagination, au point que la production en perd sa qualité. Un facteur imagine même d'y adapter une petite table mécanique de pianoforte et de petits marteaux actionnés par l'intermédiaire d'un clavier. Les cordes sont pincées au plectre en bec de plume, au médiator comme pour la guitare folk, ou plus rarement avec des onglets en métal comme pour la guitare dobro. Certains comme Chris Thompson utilisent un bottleneck pour jouer du blues. Le cistre est encore pratiqué en Suisse, en Autriche et en Allemagne : il fait partie de la musique folklorique ou populaire depuis des siècles, dans des versions spécifiques (waldzither, halszither).

Citole Anglaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/532c6797-citole-anglaise

Citole Anglaise

Citole (British Museum). La citole est un instrument à cordes pincées en usage jusqu'au XIVe siècle, ancêtre du cistre. De formes variées, la citole possède généralement quatre cordes en métal ou en boyaux, attachées sur un manche très court. Un rare exemplaire de cet instrument, trouvé au château de Warwick , est exposé au British Museum. Cette citole, construite autour des années 1300, a été transformée en violon au XVIe siècle par l'ajout d'une touche, d'un chevalet avec sa table d'harmonie et d'ouïes remplaçant son trou central : elle n'est donc pas représentative de l'instrument d'origine. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Citole.

Claves cubaines. Source : http://data.abuledu.org/URI/53286353-claves

Claves cubaines

Les claves sont des instruments de musique de percussion idiophone très anciens joués dans la musique aborigène d'Australie, sous d'autres noms. Les claves proprement dites, apparaissent à Cuba vers le XVIe siècle, sur les docks du port de La Havane. Entrechoquées au rythme du travail, elles deviennent au XVIIe siècle un instrument de percussion, les « claves » (mélange des mots « clavar » et « llaves »). Les chevilles (« llaves » en espagnol) que l'on cloue (« clavar » en espagnol) pour fixer les pièces du navire sont en bois tropical dur (acana, jiqui, guayacan, jucaro, quiebrahacha...), longues de 20 cm. La clave tenue dans la main droite par l'une des extrémités (macho = mâle) vient percuter en cadence l'autre placée dans la main gauche (hembra = femelle). Le son est très sec et très fort.

Commedia dell'arte. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c14869-commedia-dell-arte

Commedia dell'arte

Une représentation de la commedia dell'arte par la troupe des Gelosi (1571-1604) : peinture flamande de la fin du XVIe siècle conservée au musée Carnavalet à Paris.

Contreforts en pierre de Notre Dame. Source : http://data.abuledu.org/URI/51439cae-contreforts-en-pierre-de-notre-dame

Contreforts en pierre de Notre Dame

Matériaux utilisés pour la construction de Notre Dame de Paris : "À l'inspection des monuments élevés pendant le moyen âge, il est aisé de reconnaître qu'alors, plus encore que pendant la période gallo-romaine, on exploitait une quantité considérable de carrières qui depuis ont été abandonnées, qu'on savait employer les pierres exploitées en raison de leur qualité, mais avec une économie scrupuleuse ; c'est-à-dire qu'on ne plaçait pas dans un parement, par exemple, une pierre de qualité supérieure convenable pour faire des colonnes monolithes, des corniches, des chéneaux ou des meneaux. Ce fait est remarquable dans un de nos édifices bâti avec un luxe de matériaux exceptionnel: nous voulons parler de la cathédrale de Paris. Là les constructeurs ont procédé avec autant de soin que d'économie dans l'emploi des matériaux. Les pierres employées dans la cathédrale de Paris proviennent toutes des riches carrières qui existaient autrefois sous la butte Saint-Jacques, et qui s'étendent sous la plaine de Montrouge jusqu'à Bagneux et Arcueil. La façade est entièrement construite en roche et en haut banc pour les parements, en liais tendre pour les grandes sculptures (banc qui avait jusqu'à 0m,90 de hauteur) et en cliquart pour les larmiers, chéneaux, colonnettes (banc de 0m,45 de hauteur au plus). Le liais tendre des carrières Saint-Jacques se comporte bien en délit, aussi est-ce avec ces pierres qu'ont été faites les arcatures à jour de la grande galerie sous les tours. Les cliquarts ont donné des matériaux incomparables pour la rose et pour les grandes colonnettes de la galerie, ainsi que pour tous les larmiers des terrasses. Parmi ces matériaux, on rencontre aussi dans les parements et pour les couronnements des contre-forts des tours l'ancien banc royal de Bagneux, qui porte 0m,70, et le gros banc de Montrouge, qui porte 0m,65 : ces dernières pierres se sont admirablement conservées. Dans les fondations, nous avons reconnu l'emploi des lambourdes de la plaine, et surtout de la lambourde dite ferme, qui porte jusqu'à un mètre ; quelquefois, mais rarement, du banc vert." Eugène Viollet-le-Duc. "Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle".

Coviello. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c16ca0-coviello

Coviello

Coviello, ou Covielle en français, est un personnage napolitain de la commedia dell'arte. Aux XVIe et XVIIe siècles, le personnage est interprété principalement par Ambrogio Buonomo (en duo avec Andrea Calcese) puis Salvator Rosa et Gennaro Sacco ainsi que Giacomo Rauzzini et Tommaso Ristori au XVIIIe siècle. On assure qu’au commencement du XIXe siècle, le type de Coviello figurait encore parfois dans les canevas des marionnettes italiennes, où il remplissait un rôle assez semblable à celui de l’ancien Capitan ; comme son caractère, son costume était alors transformé, et il portait un chapeau noir empanaché de trois plumes rouges, un pourpoint à crevés rouges, des chausses noires avec une trousse rouge et jaune, un manteau rouge, puis les gants, les bottes à entonnoir, le baudrier et l’épée du Capitan. En passant à la scène française, Coviello est devenu Covielle et Molière l’a mis en scène dans Le Bourgeois gentilhomme, en faisant un valet, une sorte de Gros-René très proche parent de celui du Dépit amoureux. Source : Maurice SAND, Masques et bouffons (Comédie Italienne). Paris, Michel Levy Freres, 1860.

Dièse en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/53452273-diese

Dièse en solfège

Le dièse est l’altération qui élève la note d'un demi-ton chromatique. Le mot dièse provient du grec diesis qui, à l’époque de la Grèce antique, avait à peu près le même sens. Jusqu'au XVIe siècle, le dièse et le bécarre étaient confondus sous la même appellation "bécarre". Le dièse est issu du bécarre par prolongement partiel des deux hampes verticales. Il était alors plus incliné qu'aujourd'hui. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alt%C3%A9ration_%28solf%C3%A8ge%29

Épagneul cavalier du roi Charles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5169bd2d-epagneul-cavalier-du-roi-charles

Épagneul cavalier du roi Charles

Le Cavalier King Charles Spaniel est un petit chien d'agrément d'origine anglaise. En français, dans le langage courant, son nom est fréquemment abrégé en Cavalier King Charles, voire en Cavalier ou en C K C. Très calme, il supporte bien la vie en appartement et est un bon compagnon pour les enfants. Même s'il ne fait parler de lui que depuis une dizaine d'années, le Cavalier King Charles est apparu en 1924. Il est issu d'une race fort ancienne, le King Charles Spaniel, dont on a retrouvé la trace dans des documents datant du XVIe siècle. En effet, c'est Charles II d'Angleterre (1630-1685) qui donne aux épagneuls nains anglais leurs lettres de noblesse. Il avait une telle passion qu'ils furent dénommés King Charles Spaniels. Le roi ne se déplaçait jamais sans ses chiens qui avaient même le droit d'entrer dans le parlement.

Etzalcualiztli, repas de maïs et de haricots le sixième mois du calendrier solaire aztèque. Source : http://data.abuledu.org/URI/5325d725-etzalcualiztli-repas-de-mais-et-de-haricots-le-sixieme-mois-du-calendrier-solaire-azteque

Etzalcualiztli, repas de maïs et de haricots le sixième mois du calendrier solaire aztèque

Le codex Tovar, attribué à Jean de Tovar, jésuite mexicain du XVIe siècle, contient des informations détaillées sur les rites et les cérémonies des Aztèques (également connus sous le nom de Mexicas). Il est illustré de 51 aquarelles de la taille d'une page. Fortement influencées par les manuscrits pictographiques de la période précontact, ces peintures sont d'une qualité artistique exceptionnelle. Le manuscrit est divisé en trois sections. La première section contient une histoire des voyages des Aztèques avant l'arrivée des Espagnols. La deuxième section est une histoire illustrée des Aztèques. Dans la troisième section, le calendrier de Tovar transcrit un calendrier aztèque continu avec les mois, les semaines, les jours, les lettres dominicales et les fêtes liturgiques d'une année chrétienne de 365 jours. Cette illustration, extraite de la troisième section, représente un dieu, probablement Tlaloc (ou un prêtre l'incarnant), tenant une tige de maïs et un récipient rempli d'eau. Vêtu d'une cape, ses yeux et sa bouche sont encerclés de vert. Un crabe est dessiné au-dessus de sa tête. Le texte décrit ce mois comme étant celui des travailleurs et des classes inférieures, lorsqu'ils portent la robe représentée ici pour rappeler à chacun qui fournit la nourriture. Ce mois, appelé Etzalcualiztli (repas de maïs et de haricots), est assimilé au début du mois de juin avec le signe astrologique du Cancer. Son dieu protecteur était Tlaloc, dieu de la pluie. Les attributs de Tlaloc incluent une jarre à eau avec une anse, les cercles autour des yeux et de la bouche, et une tige de maïs.

Famille d'Argayon. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc3ddf-famille-d-argayon

Famille d'Argayon

C'est à Nivelles que l'on trouve la trace du plus ancien géant de procession de Wallonie : un Goliath créé peut-être vers 1357, l'émergence historique est 1457, lorsqu’il figure dans les comptes de la ville, à l’occasion de réparations. Au XVIe siècle, le caractère biblique des géants s'estompa. Goliath, devenu l’Argayon vers 1500, prit femme en 1645, l’heureuse élue héritant du nom d’Argayonne. La suite logique, un fils, Lolo (niais, simplet, enfantin), est un poupon affublé d’une tétine devenue légendaire.

Festina lente à Florence. Source : http://data.abuledu.org/URI/55128141-festina-lente-a-florence

Festina lente à Florence

Festina lente au Palazzo Vecchio, par Lorenzo Sabatini, 1565, Tortue à voile. Lorenzo Sabatini, parfois appelé Lorenzo da Bologna (1530-1576) est un peintre maniériste italien du XVIe siècle qui a été actif à Bologne, à Florence et à Rome. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lorenzo_Sabatini

Iconoclasme. Source : http://data.abuledu.org/URI/50297349-iconoclasme

Iconoclasme

Photo de statues de la cathédrale Saint Martin à Utrecht, attaquées durant l'iconoclasme de la Réforme au XVIe siècle (refus de l'adoration d'images).

La chambre de Léonard de Vinci au Clos Lucé. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b99006-la-chambre-de-leonard-de-vinci-au-clos-luce

La chambre de Léonard de Vinci au Clos Lucé

Chambre restaurée de Léonard de Vinci : lit Renaissance à baldaquins sculpté de chimères, d’angelots et d’animaux marins ; cabinets italiens à secrets du XVIe siècle ; cheminée en pierre de tuffeau décorée des armes de France et du collier de l’ordre de Saint Michel ; mur à enduit avec une patine à l’eau mélangée au pigment naturel (terre de Sienne, terre de Sienne brûlée, terre d’ombre naturelle, ocre jaune).

La fenêtre aux trois lièvres. Source : http://data.abuledu.org/URI/535b4de0-la-fenetre-aux-trois-lievres

La fenêtre aux trois lièvres

La "fenêtre aux trois lièvres" dans la cour intérieure du cloître de la cathédrale de Paderborn : "Der Hasen und der Löffel drei, und doch hat jeder Hase zwei" (Les lièvres et les cuillères, trois, et pourtant chaque lièvre en a deux). Ce vers court et concis décrit ce motif. L'œuvre créée au début du XVIe siècle du grès de Weser rouge montre trois lièvres bondissants disposés en rond. Elle se trouve sur le côté nord de la cour intérieure du cloître de la cathédrale et ne se remarque pas au premier regard. La fenêtre est l'une des curiosités les plus connues de Paderborn et un vieux symbole de la ville. Dans des temps plus anciens, c'était un porte-bonheur que chaque artisan passant par Paderborn devait avoir vu. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Saint-Liboire_de_Paderborn

La Forêt de Rambouillet. Source : http://data.abuledu.org/URI/50788a59-la-foret-de-rambouillet

La Forêt de Rambouillet

Carte de la Forêt de Rambouillet : elle a été progressivement aménagée pour les chasses royales du XVIe au XVIIIe siècle. De cette époque datent la création du réseau de routes en étoile, la constitution d'un ensemble homogène et la plantation des futaies. La forêt de Rambouillet, qui a hérité de son passé royal de nombreux aménagements, est la deuxième des forêts d'Île-de-France par la fréquentation, après la forêt de Fontainebleau.

La sonate des trilles du diable. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d91248-la-sonate-des-trilles-du-diable

La sonate des trilles du diable

Anecdote devenue légendaire où le violoniste Guiseppe Tartini (1692-1770) a raconté à l'astronome Jérôme Lalande la genèse de cette sonate pour violon et basse continue qui demande beaucoup de virtuosité à l'interprète. Le satiriste Louis-Léopold Boilly (1761-1845) l'a illustrée en 1824. Texte court (187 mots) mais littéraire : fin de cycle 3. Source : Arthur Pougin, Violon, les violonistes et la musique de violon du XVIe au XVIIIe siècle, Paris : Fischbacher, 1924, p. 106-107.

Langouste et oiseau japonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/517fdd90-langouste-et-oiseau-japonais

Langouste et oiseau japonais

Langouste et oiseau, par Kuniyoshi Utagawa (1797-1861). Le nom de langouste dérive du latin locusta : la sauterelle; au XVIe siècle, on les appelait sauterelles de mer. Le nom scientifique des Palinuridae dérive lui du nom d'un personnage de la mythologie romaine, Palinurus, un compagnon de voyage d'Énée.

Les quatre fils Aymon au XVIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5942ea19-les-quatre-fils-aymon-au-xvieme-siecle

Les quatre fils Aymon au XVIème siècle

Les quatre fils Aymon sur le cheval Bayard, dans ''Les Quatre fils Aymon'', Paris, A. Lotrian et D. Janot, milieu du XVIe siècle.

Mary Stuart en reine blanche. Source : http://data.abuledu.org/URI/53442581-mary-stuart-en-reine-blanche

Mary Stuart en reine blanche

Portrait de Marie Stuart (1542-1587) en dame blanche, portant le deuil de François II à partir de 1570, par François Clouet (1515–1572). Une ancienne tradition voulait que les reines de France portent le deuil de leur royal époux dans des vêtements blancs, ce qui leur valait le surnom de "reines blanches" ou de "dames blanches". Cet usage perdura jusqu’au XVIe siècle, au moins dans leur appellation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Dame_blanche_%28l%C3%A9gende%29

Masque d'Agamemnon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5120fd2f-masque-d-agamemnon

Masque d'Agamemnon

Masque funéraire mycénien, connu sous le nom de « masque d'Agamemnon ». Plaque d'or massif au repoussé, trouvée dans la Tombe V du site de Mycènes par Heinrich Schliemann (1822-1890) en 1876, datée du XVIe siècle av. J.-C. Masque conservé au Musée national archéologique d'Athènes.

Mines de cuivre au 16ème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/5120b6d3-mines-de-cuivre-au-16eme-siecle

Mines de cuivre au 16ème siècle

Henri Blès, flamandisé en Henri Met de Blès (1510-1560), se fait connaître à Anvers dans le deuxième quart du XVIe siècle. En Italie, il est connu sous le nom de "il Civetta" par le fait qu'il cache dans tous ses tableaux une chouette. C'est le peintre qui introduit le paysage dans la peinture, non pas comme ornement, mais comme thème central.

Mini-Château du Lude. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f17c7f-mini-chateau-du-lude

Mini-Château du Lude

Maquette du château du Lude, val de Loire. Le château du Lude sur la commune du Lude, département de la Sarthe, est un des châteaux représentant l'époque architecturale de la première Renaissance française. Cette forteresse du XIIIe siècle dont le logis du XVIe siècle est un château réaménagé au XVIIIe siècle et restauré au XIXe siècle pour lui donner son aspect actuel, gardant l'impression de masse du bâtiment d'origine.

Nyckelharpa verticale suédoise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53345232-nyckelharpa-vertical

Nyckelharpa verticale suédoise

La nyckelharpa est un instrument de musique traditionnel à cordes frottées d'origine suédoise, plus précisément de la région d'Uppland, au nord de Stockholm. Il appartient à la même famille que la vielle à roue et la vièle. Il existe depuis le Moyen Âge (les premières représentations de l'instrument datent du XVIe siècle) sous différentes formes et connaît aujourd'hui un regain d'intérêt depuis les années 1970 en Suède et ailleurs. La nyckelharpa moderne date des années 1940 et est le fruit des travaux d'Eric Sahlström, musicien et luthier novateur, qui a ainsi remis au goût du jour l'instrument tombant peu à peu dans l'oubli. Traditionnellement, l'instrument se tient horizontalement, soutenu par une bandoulière, posé sur la cuisse droite. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nyckelharpa

Physalis. Source : http://data.abuledu.org/URI/5113824f-physalis

Physalis

Physalis (du grec phusalis, vessie, en raison de la forme de son calice) est un genre de plantes de la famille des Solanaceae, sans doute originaires des Amériques où elles portent le nom maracaibo d'Uchula ou mexicain de tomatillo, mais le nom d'une des espèces, alkékenge, date du XVIe siècle et dérive de l'arabe al-kâkanj (lui-même un emprunt au persan, comme tous les termes en -anj ; dénomination populaire : karazu l-quds, "cerise de Jérusalem"). Les fruits (baies enveloppées d'un calice) sont généralement toxiques, mais chez certaines espèces, une fois arrivés à maturité, sont comestibles, même exquis et hautement décoratifs. On les appelle communément cerises de terre au Québec et coquerets (en raison de la couleur de crête de coq de ses fruits), groseilles du Cap ou amours en cage, dans les autres pays francophones, ou encore lanternes japonaises.

Platane multicentenaire de Fervaques. Source : http://data.abuledu.org/URI/531224ea-platane-multicentenaire-de-fervaques

Platane multicentenaire de Fervaques

Platane d'Orient du château le Kinnor à Fervaques, Calvados. Plus vieux platane de France : 25 m de hauteur, 13,80 m de circonférence à 1,50 m du sol, 36 m d'envergure. Domaine de Fervaques dit aussi château le Kinnor : Château et parc, classés Monument historique. Partie XVe siècle construite par Guillaume de Hautemer, maréchal de Fervaques, corps de logis en brique et pierre fin XVIe siècle/début XVIIe siècle, porterie à pont-levis, douves, vestiges du colombier, pont sur la Touques, parc.

Pluriarc anthropomorphe gabonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/54beb76b-pluriarc-anthropomorphe-gabonais

Pluriarc anthropomorphe gabonais

Pluriarc anthropomorphe. Bois. Afrique équatoriale et centrale (Gabon, Congo). Musée barrois. Un pluriarc ou "luth à archet" est un instrument à cordes africain. Évoqué dès le XVIe siècle dans des récits de voyage, il est décrit au XVIIe siècle par Michael Praetorius dans son Syntagma musicum. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pluriarc

Pomme de terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/505da80e-pomme-de-terre

Pomme de terre

Planche botanique de la Pomme de terre (Solanum tuberosum), Atlas des Plantes de France, 1891. La Pomme de terre, ou Patate (langage familier, canadianisme et français régional), est un tubercule comestible. Elle est originaire de la cordillère des Andes dans le sud-ouest de l'Amérique du Sud où son utilisation remonte à environ 8 000 ans. Introduite en Europe vers la fin du XVIe siècle à la suite de la découverte de l’Amérique par les conquistadors espagnols, elle s'est rapidement diffusée dans le monde et est aujourd’hui cultivée dans plus de 150 pays sous pratiquement toutes les latitudes habitées. C'est une source importante de glucides, qui se présentent principalement sous forme de fécule, mais aussi de protéines et de vitamines. Ses qualités nutritives et sa facilité de culture font qu’elle est devenue l'un des aliments de base de l’humanité. La fécule de pomme de terre a donné naissance à une industrie de transformation aux multiples débouchés dans les secteurs agro-alimentaire, cosmétique, pharmaceutique et industriel.

Presse à balancier de 1831. Source : http://data.abuledu.org/URI/538efc65-presse-a-balancier-de-1831

Presse à balancier de 1831

Presse à balancier de 1831 en fer, bronze et acier, installée à l'hôtel des monnaies royal de Madrid en 1832. Invention de 1803 par Philippe Gengembre (1764-1838), fabriquée en 1831 par J.F. Saulnier d'après les inscriptions. Ce modèle porte le nom d'Austerlitz parce que les premières presses ont été fabriquées en fondant les canons russes capturés après cette bataille. Hauteur 77cm, Largeur 40cm. Lieu de conservation : Musée archéologique de Madrid. La frappe au balancier ou frappe au moulin est une technique utilisée pour frapper les monnaies par pression, inventée au XVIe siècle : le balancier se présentait comme une presse agissant par percussion du flan par les coins au moyen d'un arbre posé sur un socle, portant une vis et muni de deux bras d'acier, qui étaient prolongés par de lourdes boules de plomb et actionnés par 8 à 12 hommes au moyen de courroies attachées à des anneaux à l'extrémité des barres. La vis portait le coin mobile qui venait frapper le flan posé sur le coin fixe. Les équipes se relayaient tous les quarts d'heure tant le travail était pénible et fatigant. Le rendement du procédé était de 30 monnaies à la minute. Le procédé a permis la fabrication des monnaies françaises entre 1640 et 1830 environ, avant d'être remplacé par la frappe au levier. Il a produit les plus beaux documents de la numismatique française : en particulier les louis d'or et les écus et divisionnaires d'argent de Jean Warin et Isaac Briot produits entre 1640 et 1645. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Frappe_au_balancier

Primevères de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad2f08-primeveres-de-jardin

Primevères de jardin

Primevère de jardin (Primula auricula) ou oreille d'ours, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. Primula auricula, appelée Oreille d'ours comme l'épiaire laineuse, ou parfois Auricule, est une plante vivace formant une rosette de feuilles, parfois blanc farineux et faiblement charnues. Elle fait partie de la famille des Primulacées et est originaire des régions alpines (Alpes occidentales, Jura, Vosges, Tatras). C'est une espèce très rustique. Ramenée des Alpes des environs d'Innsbruck, les premières plantes furent cultivées dans le jardin des plantes de Vienne dès le XVIe siècle par le botaniste Charles de L'Écluse. Elle se répandit à travers toute l'Europe dès le XVIIe siècle, où on la retrouve dans des peintures flamandes dès le début du siècle. Elle sera ramenée par des tisserands exilés en Angleterre. Elle est notamment présentée à la Cour de France en 1685. Au XIXe siècle dans la région de Liège, elle suscitera une véritable passion, qui n'était pas sans rappeler la tulipomanie du XVIIe siècle, donnant notamment leur nom à diverses variétés. Jusqu'à 1.000 variétés seront recensées. Les habitants y présentent notamment leurs collections en de petits gradins aux fenêtres ou sur les balcons, dénommés "Théâtres d'Auricules". Ces "théâtres" de 5 ou 6 gradins disposent généralement d'un fond peint. La mode gagnera Paris vers 1850, mais déclinera sur le continent peu après. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Primula_auricula

Projet du château des Tuileries. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e81a4f-projet-du-chateau-des-tuileries

Projet du château des Tuileries

Dessin en perspective cavalière du projet de château des Tuileries, en 1578-1579, par Jacques Androuet du Cerceau (1510-1584). Les premières représentations en perspective parallèle apparaissent au XVIe siècle sous la plume d'Androuet du Cerceau qui construit des perspectives cavalières empiriques. Jacques Ier Androuet du Cerceau (1510 ? -1585 ?), est un graveur et architecte français de la seconde moitié du XVIe siècle, célèbre pour ses gravures d'architecture et ses publications : il a publié quelques livres contenant des modèles très importants d'ornements et des travaux sur l'architecture, qui auront une forte influence sur les architectes français du XVIIe siècle et au-delà. Son ouvrage le plus connu reste "Les plus excellents bastiments de France" où il décrit avec minutie et talent les réalisations majeures des architectes de son temps. Ses dessins, plans, élévations, détails et commentaires constituent un témoignage unique sur des constructions dont beaucoup n'existent plus aujourd'hui, ou ont été très largement remodelées par les siècles.

Roseraie du château de Losse en Périgord. Source : http://data.abuledu.org/URI/510d80c1-roseraie-du-chateau-de-losse-en-perigord

Roseraie du château de Losse en Périgord

Chateau et Jardins de Losse à Montignac-Lascaux (Dordogne). Situé en Périgord à 5 km de Montignac-Lascaux en direction des Eyzies (à 18 km), le château domine la Vallée de la Vézère. Enfermée dans des murailles bordées de douves profondes, la forteresse médiévale construite en à-pic sur la rivière a fait place en 1576 à un château de plaisance, de style Renaissance et selon le souhait de Jean de Losse. La délicate sculpture des façades et la justesse de proportion des volumes forment un écrin pour le beau décor et le remarquable mobilier d’époque XVIe et XVIIe siècles qui ornent les appartements. Sur les remparts le quotidien de l’époque est aussi évoqué dans la tour de l’éperon (XIVe siècle) avec l’étuve et la chambre de repos. La promenade dans les chambres de verdure des Jardins en terrasse ornées de plantes parfumées mène à une superbe vue sur la rivière. Les jardins ont le label « Jardin remarquable ».

Schéma de basson. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ffc91d-schema-de-basson

Schéma de basson

Le basson est un instrument de musique de la famille des bois, qui apparaît à la fin du XVIe siècle en Italie sous le nom de fagotto. Il est formé d'un long tuyau de perce conique d'environ 2,50 m en bois précieux (principalement l'érable ou le palissandre), replié sur lui-même, que l'instrumentiste, appelé bassoniste, tient sur son côté droit. Le bonnet (6) est orienté vers le haut, la grande branche (5) et la petite branche (3) sont reliées entre elles par la culasse (4) en forme de U très serré. L'anche double (1) est fixée au bout d'une pièce métallique de 0,30cm, également conique et en forme de point d'interrogation appelée bocal (2).

Statue du poète Matsuo Basho. Source : http://data.abuledu.org/URI/5277b3c6-statue-du-poete-matsuo-basho

Statue du poète Matsuo Basho

Statue de Matsuo Bashō (1644-1694) au temple de Chūson-ji, Hiraizumi, Iwate au Japon. Auteur d'environ 2 000 haïkus, Bashō rompt avec les formes de comique vulgaire du haïkaï-renga du XVIe de Sōkan en proposant un type de baroque qui fonde le genre au XVIIe en détournant ses conventions de base pour en faire une poésie plus subtile qui crée l'émotion par ce que suggère le contraste ambigu ou spectaculaire d'élements naturels simples opposés ou juxtaposés.

Systèmes d'éclairage depuis l'antiquité. Source : http://data.abuledu.org/URI/53596960-systemes-d-eclairage-depuis-l-antiquite

Systèmes d'éclairage depuis l'antiquité

Éclairage à travers les ages. Antiquité : 1. Préhistoire. - 2-3. Ancienne Égypte - 4-5. Assyrie. 6-13. Rome antique. - 14-15. Carthage. - 16-17. dynastie mérovingienne. - Moyen age et temps modernes : 19-20. XIe siècle. - 21. XIIe siècle. - 22. XIIIe siècle. - 23-24. XIVe siècle. - 25-26-27. XVe siècle. - 28. XVIe siècle. - 29. XVIIe siècle. - 30-31. XVIIIe siècle. - Période contemporaine : 32. Lampe d'Argand originale. - 33-34. Lampe d'Argand : Les améliorations d'Antoine Quinquet. - 35. Geordie Stephenson (Lampe de mineur). - 36. Éclairage public. - 37. Lampe Davy. - 38. Lampe wick (théâtre). - 39. Lampe des chemin de fer. - 40. Lampe Carcel. - 41. Gazéification. - 42. Bec Auer (gas) lampe avec Manchon à incandescence. - 43. Gaz d'éclairage (bec de gaz normal). - 44. Gaz d'éclairage (bec de gaz) intensif. - 45. Lampe à pétrole Bec Auer . - 46. Lampe à pétrole - 47. Lampe à incandescence classique (électricité). - 48. Phare (Électricité). - 49. Lampe de mineur (électricité). - 50. Lampe à incandescence classique (électricité) éclairage public. - 51. Lampe à arc (électricité).. - 52. Lampe à acétylène (bec de gaz). - 53. Lampe à acétylène (Bicyclette). - 54. Lampe à acétylène (lampe). - Japon: 55. éclairage public. - 56. Transport(rickshaw). - 57. Lanterne de funérailles. - 58. lanterne portable. Source : Nouveau Larousse Illustré, t. 4, Maurice Dessertenne, 1900.

Thé. Source : http://data.abuledu.org/URI/511e6106-the

Thé

Le thé est une boisson stimulante, contenant de la caféïne, substance que l'on nommait autrefois théïne avant qu'elle ne soit correctement identifiée. La boisson est obtenue par infusion des feuilles du théier, préalablement séchées et le plus souvent oxydées et peut servir de remède. Le thé est d'origine chinoise, où il est connu depuis l'Antiquité. Il a été importé de Chine au XVIe siècle par les commerçants portugais en Europe, puis introduit en France comme plante digestive par les Jésuites. Le thé est aujourd'hui la boisson la plus bue au monde après l'eau et le café. La boisson elle-même peut prendre des formes très diverses : additionnée de lait et de sucre au Royaume-Uni, longuement bouillie avec des épices en Mongolie, bouillie avec des épices et du lait comme en Inde, préparée dans de minuscules théières dans la technique chinoise du gōngfū chá, ou battue comme au Japon en chanoyu.

Théorbe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329a287-theorbe

Théorbe

Le théorbe ou téorbe (ou encore tüorbe), est un instrument à cordes pincées — une sorte de grand luth — créé en Italie à la fin du XVIe siècle. Les joueurs de théorbe se nomment théorbistes. Le théorbe était utilisé à la fois pour la basse continue et comme instrument soliste. Il servait aussi pour l'accompagnement du chant. Au XVIIIe siècle, en France, on utilisait surtout le théorbe d'accompagnement, instrument très imposant. Les théorbes ont disparu au cours du XVIIIe siècle, avant de réapparaître au XXe siècle avec le renouveau de l'interprétation de la musique ancienne sur instruments d'époque.

Till l'espiègle. Source : http://data.abuledu.org/URI/521e2b79-till-l-espiegle

Till l'espiègle

Sculpture par Karl Heinz Goedtke (1915-1995) de Till l'espiègle, 1951 à Mölln. Till Eulenspiegel naquit en 1300 à Kneitlingen am Elm (Saxe) et mourut en 1350 à Mölln (Holstein). Il n'existe toutefois pas de preuve exacte de l'existence historique de ce personnage. Ses farces consistent souvent à prendre une expression figurée au pied de la lettre, afin de moquer les travers de ses contemporains et les abus de son temps. L'histoire d'origine, emblématique de la Basse-Saxe, fut traduite en plusieurs langues dès le XVIe siècle. Plus tard, de nouvelles versions la modifièrent en rendant le bouffon toujours plus sympathique.

Tour génoise de la Parata, 1550. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa3c2-tour-genoise-de-la-parata-1550

Tour génoise de la Parata, 1550

Description et plan de la tour génoise de la Parata (1550). Joseph de Fréminvile, Tours génoises du littoral corse, 1894. Le littoral corse est constellé de tours (en corse torri), devenues un des symboles de l'île. Bien que toutes ne soient pas d'origine génoise, on les appelle généralement "tours génoises", sans distinction. La construction de ces tours génoises est la conséquence de la prise de Constantinople par les Turcs en 1453 ; les Barbaresques commencent à razzier les côtes et le feront pendant trois siècles. Elle débuta au XVIe siècle à la demande des communautés villageoises pour se protéger des pirates. En 1530, la république de Gênes dépêche deux commissaires extraordinaires, Paolo Battista Calvo et Francesco Doria, pour inspecter les tours et fortifications chargées de défendre l'île des invasions barbaresques. En 1530 la Corse a 23 tours dont 10 au Cap. Dès 1531, l'édification de quatre-vingt-dix tours est décidée sur le littoral corse, dont trente-deux dans le Cap Corse. Les travaux commencent sous la supervision de deux nouveaux commissaires extraordinaires génois : Sebastiano Doria et Pietro Filippo Grimaldi Podio. Il s'agissait d'étendre à la Corse le système de vigilance déjà en vigueur sur le pourtour méditerranéen. Ces vigies placées en avant-poste prévenaient et défendaient des attaques des Barbaresques et de tous les dangers venant de la mer. En 1730 l'île a 120 tours dont 30 au Cap. Aujourd'hui, sur les 85 tours dénombrées au début du XVIIIe siècle, 67 demeurent encore debout.