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Nuage de mots clés

Dessins et plans | Vol libre | Dessin en noir et blanc | Parapente | RyXéo | Yvain Coudert | ABCD | ABCD-inventions | Inventions | Aérodynamique | Chauves-souris | Parachutisme | Chauves-souris -- Vol | Aéronautique | Ornithologie | Aéronautique -- Mesures de sécurité | Vol et voleurs | Photographie | Inventeurs | Sports aériens | ...
Snowboarder en Autriche. Source : http://data.abuledu.org/URI/53470cd4-snowboarder-en-autriche

Snowboarder en Autriche

Snowboarder en vol à Tannheim, Autriche.

Vol plané de cigogne au-dessus d'un champ. Source : http://data.abuledu.org/URI/53034deb-vol-plane-de-cigogne-au-dessus-d-un-champ

Vol plané de cigogne au-dessus d'un champ

Vol plané de cigogne au-dessus d'un champ.

Abbaye de Mozac d'après Guillaume Revel vers 1450. Source : http://data.abuledu.org/URI/545e25a2-abbaye-de-mozac-d-apres-guillaume-revel-vers-1450

Abbaye de Mozac d'après Guillaume Revel vers 1450

L'abbaye de Mozac, vue du sud-ouest, dessinée vers 1450. Guillaume Revel, L'armorial d'Auvergne, Bourbonois et Forestz de Guillaume Revel, publié par Emmanuel de Boos, Nonette, Éditions Créer, 1998, 2 vol. (I, Étude et commentaires ; II, Atlas et planches). Planche originale de l'Armorial de Revel conservée à la Bibliothèque nationale de France, sous la cote : Ms. fr. 22297, f° 120.

Accélérateur de parapente. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b1095d-accelerateur-de-parapente

Accélérateur de parapente

L'accélérateur est un dispositif constitué d'une barre actionnée par les pieds reliées aux élévateurs permettant de modifier l'incidence de l'aile. Cette modification d'incidence permet au parapente de gagner de la vitesse, mais elle rend l'aile plus sensible aux turbulences. Généralement l’usage de l’accélérateur dégrade la finesse, la meilleure finesse étant obtenue généralement bras haut. Cependant l’usage de l'accélérateur peut améliorer la finesse sol, par exemple lorsque le pilote se retrouve dans la situation où il est contré par un fort vent de face : 1=Élévateurs, 2=Boucle d'attache à la sellette, 3=Crochet d'accroche à la ficelle du barreau, 4=Ficelle principale, 5=Poulies de renvoi, 6=Sangles de redistribution de la traction, 7=Boucle de renvoi.

Ascendance thermique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b10e19-ascendance-thermique

Ascendance thermique

Schématisation du phénomène d'ascendance thermique : Le nuage (A) au-dessus du sol. Le soleil augmente la température du sol qui, à son tour, réchauffe l'air au-dessus (1). La bulle d'air chaud commence à s'élever (2) jusqu'à un certain point. La masse condense et redescend, à cause de sa température inférieure (3). Le vol thermique consiste à utiliser des courants d'air ascendants (appelés « thermiques », « ascendances », « pompes » ou « bulles ») pour monter. L'aérologie fait appel à quelques notions physiques : l'air chaud moins dense est plus léger que l'air froid ; si l'on considère la différence de température moyenne entre celle au niveau de la mer et celle au niveau de la tropopause, divisé par la hauteur, on obtient une diminution moyenne de la température de la masse d'air avec l'élévation de l'altitude de 0,65 °C tous les 100 m ; le soleil réchauffe de manière négligeable l'air directement mais le soleil réchauffe le sol de manière variable selon sa nature qui lui ensuite chauffe l'air au contact du sol par conduction ; lorsque qu'une masse d'air au contact du sol est suffisamment réchauffée, sa densité baisse, elle devient plus légère et s'élève si elle est entourée d'air plus froid ; cette « bulle » d'air s'élève aussi longtemps que l'air environnant est plus froid ; la « bulle » elle-même se refroidit non pas du fait du contact avec de l'air plus frais avec l'altitude mais du fait qu'avec l'altitude, la pression baisse, la bulle se dilate donc, la dilatation d'un gaz provoque son refroidissement à raison de 1 °C tous les 100 m de manière invariable.

Axes de roulis et de tangage d'un avion. Source : http://data.abuledu.org/URI/53134de8-axes-de-roulis-et-de-tangage-d-un-avion

Axes de roulis et de tangage d'un avion

Convention de représentation des axes de roulis, tangage et lacet d'un aéronef (Beech bimoteur). Un avion peut être représenté dans le trièdre de référence formé par : 1) l'axe x : axe longitudinal ou axe de roulis (couleur rouge) ; 2) l'axe y : axe transversal ou axe de tangage (couleur bleue) ; 3) l'axe z : axe de lacet (couleur verte). Le pilote agit sur les gouvernes pour modifier la trajectoire de l'avion dans le plan vertical (montée ou descente) ou dans le plan horizontal (en virage). Pour être équilibré, le virage peut nécessiter une action sur les trois axes. Pour obtenir un mouvement de tangage le pilote actionne le manche qui commande la gouverne de profondeur. Elle est située le plus loin possible de l'aile, sur l'empennage horizontal ou bien sur un plan canard. Pour obtenir un mouvement de roulis le pilote actionne latéralement le manche qui commande les ailerons. Ces gouvernes sont généralement situées le plus loin possible de l'axe de roulis, donc vers l'extrémité des ailes. Pour obtenir un mouvement de lacet le pilote actionne le palonnier (pédales) qui commande la gouverne de direction avec ses pieds. Elle est située le plus loin possible de l'axe de lacet, sur l'empennage vertical. En vol, le palonnier est une commande secondaire dite « de symétrie » qui sert à équilibrer le débit d'air sur les deux ailes de l'avion, et donc à équilibrer la portance. La plupart des avions présentent un couplage en lacet-roulis : on peut commander un mouvement de roulis avec la gouverne de lacet (roulis induit). D'autre part une rotation en roulis entraîne généralement une rotation en lacet en sens inverse du virage demandé (lacet inverse). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pilotage_d%27un_avion.

Blériot XI en vol. Source : http://data.abuledu.org/URI/55a183dc-bleriot-xi-en-vol

Blériot XI en vol

Louis Blériot (1872-1936). Il est resté célèbre pour avoir effectué le 25 juillet 1909 la première traversée de la Manche en parcourant les 38 km en 37 minutes à la vitesse moyenne de 61,6 km/h.

Bulle de chauve-souris. Source : http://data.abuledu.org/URI/53c6c270-bulle-de-chauve-souris

Bulle de chauve-souris

Bulle de chauve-souris.

Carte de répartition du goémon noir. Source : http://data.abuledu.org/URI/548d7bfb-carte-de-repartition-du-goemon-noir

Carte de répartition du goémon noir

Carte de répartition du goémon noir (Ascophyllum nodosum). Sources : NGDC World Coast Line (public domain) ; références géographiques : T. Belsher, Étude bibliographique de quelques espèces planctoniques et benthiques de la Manche, vol. 4, 1986, IFREMER/EDF.

Cartographie des mésanges. Source : http://data.abuledu.org/URI/5249e4e6-cartographie-des-mesanges

Cartographie des mésanges

Cartographie de la répartition des mésanges bleues (Cyanistes caeruleus en vert foncé, et Cyanistes teneriffae en vert clair). Sources : 1) Föger, M. & Pegoraro K. (2004). Die Blaumeise. Neue Brehm Bücherei, Hohenwarsleben, ISBN 3-89432-862-2 ; 2) Harrap, S. & Quinn, D. (1996). Tits, Nuthatches & Treecreepers. Helm Identification Guides, ISBN 0-7136-3964-4 ; 3) del Hoyo, J., et al. Handbook of the Birds of the World (HBW), Vol. 12 (2007). Picathartes to Tits and Chickadees. Lynx Edicions, Barcelona, ISBN 84-96553-42-6 ; 4) Snow, D. W. & Perrins, C. M. (1998). The Birds of the Western Palearctic Concise Edition. Oxford, ISBN 0-19-854099-X.

Causes d'épuisement professionnel. Source : http://data.abuledu.org/URI/585f6719-causes-d-epuisement-professionnel

Causes d'épuisement professionnel

Schéma des causes de syndrome d'épuisement professionnel d'après le modèle de recherche de Carol Cordes et Thomas Dougherty (Carol Cordes, Thomas Dougherty, Academy of Management Review, vol. 18 : integration of research on job burnout, 1993 ISSN 0363-7425, p. 621–656).

Causes de l'épuisement professionnel. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d23d04-causes-de-l-epuisement-professionnel

Causes de l'épuisement professionnel

Schéma des causes de syndrome d'épuisement professionnel d'après le modèle de recherche de Carol Cordes et Thomas Dougherty (Carol Cordes, Thomas Dougherty, Academy of Management Review, vol. 18 : "integration of research on job burnout", 1993 ISSN 0363-7425, p. 621–656). Les variables génératrices du syndrome d’épuisement professionnel se situent schématiquement à trois niveaux : organisationnel, interindividuel et intraindividuel. Il est à noter que le rôle des technologies de l'information et de la communication (TIC) est de plus en plus discuté par les sociologues. En effet, leur évolution pourrait contribuer au mélange des plages de travail et de repos (phénomène de "weisure = work + leisure"), conduisant ainsi à un enchainement inintérompu des causes sous-citées. Au niveau organisationnel, on étudie l’influence du contenu de l’activité et celle du contexte dans lequel elle se déroule. Au niveau interindividuel, c’est principalement l’effet de relations déséquilibrées, injustes, des conflits, mais aussi du soutien social ou de son absence qui est étudié. Étant donné le nombre élevé des emplois de services où les relations avec autrui sont capitales, ces variables sont importantes. La théorie de l’équité, celles du support social et de l’affiliation fournissent à ce niveau des grilles de lecture pertinentes. les caractéristiques individuelles jouent un rôle essentiel dans l’émergence de la réaction de stress. L’évaluation d’un stresseur (comme une tâche supplémentaire à réaliser, des horaires de travail qui changent, une organisation de travail différente, etc.) varie d’un individu à l’autre. Certains peuvent y voir un défi permettant d’exercer leurs compétences, d’autres ne retiennent que la menace. En outre, les caractéristiques individuelles agissent sur les capacités de faire face à ces exigences, sur les ressources que l’individu cherche à mobiliser. Certains se sentent plus aptes que d’autres à contrôler la situation, à mobiliser le soutien de leurs collègues et à utiliser ce support efficacement. Au niveau individuel, on s’intéresse aussi à la sphère attitudinale, notamment aux attentes des individus, ou à l’écart entre attentes et réalité de travail. Les variables sociodémographiques sont également prises en compte, lorsqu’on étudie les différences entre hommes et femmes, l’influence de l’âge, du sexe ou du statut matrimonial. Il va sans dire que, quel que soit le niveau d’analyse, on recherche les facteurs qui déclenchent le processus de "burnout", mais aussi ceux qui freinent sa progression. Les ressources disponibles ralentissent l’évolution du processus.

Compétition de parapente dans les Alpes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5070adab-competition-de-parpente-dans-les-alpes

Compétition de parapente dans les Alpes

Carte des Alpes avec la position de tous les participants au "Red Bull X-Alps" encore en course le 28 Juillet 2009 à 19h lorsque le vainqueur Christian Maurer a atteint le mont gros : le Red Bull X-Alps est une compétition internationale bisannuelle de vol-bivouac en parapente dont la première édition s'est déroulée en 2003.

Concorde : transfert de carburant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5d8f7-concorde-transfert-de-carburant

Concorde : transfert de carburant

Le transfert de carburant : A : décollage, B : croisière, C : retour en subsonique. En plus de l’alimentation des réacteurs, le carburant remplit une autre fonction : il est utilisé pour le centrage. Après le passage du mur du son, l’équilibre aérodynamique est modifié, le centre de poussée recule. Pour compenser cet effet, le centre de gravité de l’appareil est déplacé vers l'arrière. Sur Concorde, la seule masse déplaçable est le carburant. Le transfert du carburant se fait de l’avant vers l’arrière pour le vol supersonique et le contraire pour le retour en subsonique comme sur le Dassault Mirage IV. Trois réservoirs situés dans le fuselage, deux à l’avant et un à l’arrière servaient principalement à cette fonction. Le transfert s’effectue par deux conduits dits « main gallery » entre les trois réservoirs. Pendant ces transferts, le déplacement du carburant est entendu en cabine. À Mach 0,93, transfert vers l’arrière du carburant, aux environs de Mach 1,2, début du transfert vers l’avant. Pendant l'avitaillement, la séquence de chargement du carburant permet de ne pas « poser » l’avion sur la roulette de queue. Une table des volumes des réservoirs permet de connaître la répartition du carburant. Sur cet avion, le carburant est également utilisé pour le refroidissement de l’air de conditionnement de la cabine.

Dessin de chauve-souris. Source : http://data.abuledu.org/URI/566acf40-dessin-de-chauve-souris

Dessin de chauve-souris

Dessin de chauve-souris en vol.

Dessin de chauve-souris. Source : http://data.abuledu.org/URI/566acff8-dessin-de-chauve-souris

Dessin de chauve-souris

Dessin de chauve-souris.

Dessin de chauves-souris. Source : http://data.abuledu.org/URI/566acdb7-dessin-de-chauves-souris

Dessin de chauves-souris

Dessin de chauves-souris.

Différentes sortes d'ailes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5022aa6d-differentes-sortes-d-ailes

Différentes sortes d'ailes

John Romanes (1892): ''Darwin and after Darwin'' : Diagramme des os et de l'adaptation au vol des pattes antérieures de trois groupes de vertébrés volants récents et fossiles : 1 ptérosaure (Pterosauria), 2 chauve-souris (Chiroptera), 3 oiseau (Aves).

Échelle de couleur de radar météorologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232f131-echelle-de-couleur-de-radar-meteorologique

Échelle de couleur de radar météorologique

Expemple d'échelle de couleur associée avec une image de réflectivité pour un radar météorologique. On y retrouve l'intensité taux de précipitation et en correspondance en dBZ. En général, les images de réflectivité utilisent une variation de couleur similaire à celle de l’arc-en-ciel. Les intensités les plus faibles sont indiquée par le bleu pâle (cyan), les intensités modérées par le jaune et les fortes par le rouge puis le magenta. Les intensités peuvent être reliées à la réflectivité en dBZ ou à son équivalent en millimètres/centimètres par heure. Par exemple, les images disponibles sur le site du Service météorologique du Canada utilisent cette échelle : en hiver le violet représente le taux de précipitation le plus élevé (20 cm/h) alors que le bleu-vert du bas de l'échelle représente le taux le plus bas (0,1 cm/h). Durant les mois d'été, l'échelle de réflectivité est remplacée par celle des précipitations pluviales, en mm/h, qui va d'une trace à plus de 100 mm/h. Certains utilisateurs préfèrent cependant des codes numériques plus simples à interpréter. Ainsi, lorsqu'un pilote d'avion ou un contrôleur aérien décrivent l'intensité des échos de précipitations sur leur affichage radar, ils utilisent des niveaux : niveau 1 pour la précipitation faible, niveau 2 pour de la précipitation modérée possiblement reliée avec une basse visibilité et de la turbulence, niveau 3 pour de la pluie/neige forte reliée à des conditions de vol dangereuses. Certains affichages commerciaux indiquent le type de précipitations. Ainsi les images que l'on peut voir aux bulletins télévisés en hiver peuvent séparer les zones de pluie, de pluie verglaçante et de neige. Ceci n'est pas une information venant du radar mais une association avec les informations venant des stations météorologiques de surface. Un programme analyse la température, le point de rosée et le type de précipitation rapportés par les METAR sous une zone d'échos au radar et fait la division des zones. Cet analyse peut être améliorée en utilisant les données des modèles de prévision numérique du temps comme champ d'essai mais le tout reste sujet à des erreurs de lissage et ne tient pas compte des effets de petite échelle dans la distribution des types de précipitations (air froid emprisonné dans une vallée qui donne de la pluie verglaçante au lieu de pluie par exemple). Quand les données de double polarisation seront largement disponibles, une telle analyse sera plus fiable.

Éole de Clément Ader. Source : http://data.abuledu.org/URI/55a18623-eole-de-clement-ader

Éole de Clément Ader

Éole (du nom d'Éole, maître des vents dans la mythologie grecque) est le premier prototype d'avion – de type aérodyne – construit par Clément Ader. S'inspirant de la morphologie des chauves-souris, l'appareil fut testé le 9 octobre 1890, dans le parc du château de Gretz-Armainvilliers : il aurait réussi à s'élever à quelque 20 cm du sol, sur 50 mètres environ, marquant ainsi le début de l'aviation. Pionnier de l'aviation. - Inventeur. - Le 9 octobre 1890, il réussit pour la première fois à faire décoller son avion "Éole" ; réalisera deux autres prototypes : le Zéphyr et l'Aquilon. - Ne parlera de ses vols qu'en 1906, après celui de Santos-Dumont, car son invention relevait du domaine militaire (notice data-bnf).

Équilibre mécanique en parapente. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b12c17-equilibre-mecanique-en-parapente

Équilibre mécanique en parapente

Équilibre mécanique d'un parapente en vol droit stabilisé.

Espace aérien en Alsace. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b129bb-espace-aerien-en-alsace

Espace aérien en Alsace

Coupe verticale dans la direction NNE-SSW de l'espace aérien alsacien en 2009. En rouge : les espaces aérien controlés (CTR, TMA) dont l'accès nécessite l'autorisation de la tour de controle et la possession d'une radio aéronautique. Entre le sol et la base de l'espace aérien controlé, le vol libre est possible.

Espace aérien pour le parapente. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b123a8-espace-aerien-pour-le-parapente

Espace aérien pour le parapente

Espaces aériens autorisant la pratique du parapente en France : espaces de classe E et G où le vol à vue non contrôlé est possible.

Évasion mentale. Source : http://data.abuledu.org/URI/5393429f-evasion-mentale

Évasion mentale

Évasion mentale.

Faucon en vol. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e9d232-faucon-en-vol

Faucon en vol

Faucon en vol.

Hassan de Bassorah. Source : http://data.abuledu.org/URI/583b3033-hassan-de-bassorah

Hassan de Bassorah

Le conte d'Hassan de Bassorah, conte de fées d'inspiration folklorique collecté par Joseph Jacobs et illustré par John Dickson Batten, 1894 : la femme d'Hassan emporte ses enfants.

Hassan de Bassorah. Source : http://data.abuledu.org/URI/583b3678-hassan-de-bassorah

Hassan de Bassorah

Le conte d'Hassan de Bassorah, conte de fées d'inspiration folklorique collecté par Joseph Jacobs et illustré par John Dickson Batten, 1894 : le vol des femmes-cygnes.

Hirondelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53eb8a53-hirondelle

Hirondelle

Hirondelle en vol.

Illusion de magicien volant. Source : http://data.abuledu.org/URI/54c15ce0-illusion-de-magicien-volant

Illusion de magicien volant

Schéma explicatif de l'illusion du magicien volant David Copperfield.

L'effet Doppler : le paradoxe des jumeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a78dd8-l-effet-doppler-le-paradoxe-des-jumeaux

L'effet Doppler : le paradoxe des jumeaux

Tracés des cônes de lumière issus de la Terre (pointillés rouges) et du mobile (pointillés verts). La fréquence de réception, respectivement par le mobile, et par la Terre, traduit l'effet Doppler pour les phases aller et retour. Le schéma a été réalisé (pour simplifier la présentation - analyse des rapports de fréquence) dans le cas d'une vitesse égale à 0,8c. Des frères jumeaux sont nés sur Terre. L'un fait un voyage aller-retour dans l'espace en fusée à une vitesse proche de celle de la lumière. D'après le phénomène de dilatation du temps de la relativité restreinte, pour celui qui est resté sur Terre la durée du voyage est plus grande que pour celui qui est envoyé dans l'espace. Ce dernier rentre donc plus jeune que son jumeau sur Terre. Mais celui qui voyage est en droit de considérer, les lois de la physique étant identiques par changement de référentiel, qu'il est immobile et que c'est son frère et la Terre qui s'éloignent à grande vitesse de lui. Il pourrait donc conclure que c'est son frère qui est resté sur Terre qui est au final plus jeune. Ainsi chaque jumeau pense, selon les lois de la relativité restreinte, retrouver l'autre plus jeune que lui. Est-on tombé sur un véritable paradoxe ?

La grande course - 18. Source : http://data.abuledu.org/URI/555e6274-la-grande-course-18

La grande course - 18

"La Grande Course" - album de Cyri-L, avril 2015 : conte des origines du zodiaque chinois revisité. Le dragon s'envole au-dessus de la rivière des lotus au secours du lapin mouillé.

Le koala en kayak. Source : http://data.abuledu.org/URI/53787921-le-koala-en-kayak

Le koala en kayak

Le koala s'échappe en kayak, dessin d'Odysseus pour l'abécédaire 2014 de babytwit, colorisation Frédéric Adamczak, 20140518.

Le koala s'échappe. Source : http://data.abuledu.org/URI/536f4941-le-koala-s-echappe

Le koala s'échappe

Le koala prisonnier s'échappe en kayak, dessin d'Odysseus pour l'abécédaire 2014 de babytwit.

Le papangue mâle, ailes déployées. Source : http://data.abuledu.org/URI/521a0cea-le-papangue-male-ailes-deployees

Le papangue mâle, ailes déployées

Papangue, ou Pieds-Jaune ou Busard de Maillard (Circus maillardi) mâle, lithographie de Louis Antoine Roussin (1819-1894). Son nom vernaculaire est d'origine malgache. Il dériverait de papangoet. Il tire son nom spécifique de Maillard, l'auteur qui distingua cet oiseau des busards européens. Cet oiseau mesure 50 à 53 cm de longueur (femelle plus grande que le mâle) pour une envergure de 110 à 150 cm (le plus grand oiseau de La Réunion) et une masse de 650 à 1500 g. Le mâle est noir avec de grandes taches blanches et la femelle est brune. Le papangue aime vivre dans les champs de canne, entre 500 m et 1 500 m d'altitude. On le retrouve aussi sur les hautes plaines à l'est et au sud de l'île. Il est rare dans les cirques de Cilaos et Mafate, sans doute en raison des persécutions dont il est encore l'objet. Il se nourrit de rats, souris, jeunes tenrecs qu'il va talonner au sol et de tec-tecs, cardinaux et moineaux qu'il attrape au vol. Les busards pratiquent les échanges de nourriture en vol, appelés passes par les admirateurs des oiseaux chasseurs. Le mâle lâche sa prise comme par mégarde avant même que sa compagne n'arrive jusqu'à lui. Cette dernière arrive à se saisir de la minuscule proie au prix d'une extraordinaire accélération puis d'une virevolte quelque cinq ou six mètres au-dessous du point de lâché. Il fouille très souvent dans les poubelles. Seul oiseau prédateur de l'île, le papangue n'est pas aimé des Réunionnais qui pensent qu'il pourrait voler des poules dans les poulaillers : fait impossible vu son poids. Mais bien qu'il doive encore essuyer quelques coups de fusil, l'animal est protégé depuis 1989. Actuellement la population de cette espèce est d'environ 200 couples.

Le planeur de Cayley. Source : http://data.abuledu.org/URI/55a0b6f3-le-planeur-de-cayley

Le planeur de Cayley

Le planeur de Cayley, piloté par lui-même (ou un employé ?) presque 50 ans avant les frères Wright. Sir George Cayley (1773-1857) est un physicien, ingénieur, et politicien britannique, pionnier de l'aéronautique. Il fut le premier à identifier les quatre forces qui sont impliquées dans le vol : la poussée, la traînée, la portance et le poids. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Cayley

Max und Moritz 22. Source : http://data.abuledu.org/URI/5216902f-max-und-moritz-22

Max und Moritz 22

Le chien a beau aboyer, les garnements volent les quatre volailles, scène 2, Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908).

Max und Moritz 66. Source : http://data.abuledu.org/URI/52172259-max-und-moritz-66

Max und Moritz 66

Max et Moritz sont donc contraints de descendre par la cheminée : scène 6, Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908).

Moro sphinx en vol stationnaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/54fe88cb-moro-sphinx-en-vol-stationnaire

Moro sphinx en vol stationnaire

Moro shpinx ou sphinx colibri (Macroglossum stellatarum) C'est un petit Sphingidae marron beige au corps trapu. Le Moro sphinx possède une très longue trompe pour butiner les fleurs, souvent violettes, bleues ou blanches, en vol stationnaire à la manière des oiseaux-mouches. Il butine généralement le nectar des fleurs que les autres insectes ne peuvent atteindre. Il affectionne les sauges, les lavandes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Moro_sphinx

Moulin à eau romain. Source : http://data.abuledu.org/URI/51acb728-moulin-a-eau-romain

Moulin à eau romain

Schéma de la scierie de pierre romaine de Hiérapolis. Datant du IIIe siècle après J.-C., c'est la plus ancienne machine connue utilisant un système de bielles et manivelles. Source : Tullia Ritti, Klaus Grewe, Paul Kessener: "A Relief of a Water-powered Stone Saw Mill on a Sarcophagus at Hierapolis and its Implications", Journal of Roman Archaeology, Vol. 20 (2007), pp. 138–163 (148, fig. 10).

Oies cendrées en vol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134dfc4-oies-cendrees-en-vol

Oies cendrées en vol

Oies cendrées (Anser anser) en vol. L'oie cendrée est une espèce aquatique qui nage plus souvent que les autres oies. À terre, elle marche avec moins de dandinements que les canards et elle est capable de courir avec vélocité. Lors des migrations, les troupes d'oies volent généralement en formation en V. Le vol est puissant, rapide, régulier, avec des battements d'ailes assez lents. Cette espèce plane avant de se poser et, à la fin, chute brusquement. Le régime alimentaire des oies peut dépendre de leurs habitudes sur leur lieu de nidification. Les Oies cendrées qui nichent en Norvège s’alimentent surtout des parties aériennes de graminées et d’autres plantes prairiales comme Festuca, Agropyron, Lolium, Poa, Taraxacum, Sonchus et Chenopodium. Le régime alimentaire dépend aussi des zones où elles stationnent. Dans l'ouest de la France, l’oie cendrée se nourrit surtout sur les prairies pâturées, consommant les ivraies et puccinellie maritime (Puccinellia maritima) sur les prés à Pâturin maritime (Poa maritima) de la baie de l'Aiguillon, glanant dans les chaumes de maïs et plus occasionnellement sur les céréales d’hiver. Dans les marais d'Orx, les hivernants consomment les pousses de jonc épars et de baldingère faux-roseau et même de la jussie rampante.

Parachute coupole de secours. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b12257-parachute-coupole-de-secours

Parachute coupole de secours

Parachute de secours de type coupole utilisé en parapente.

Parachute de secours - effet miroir. Source : http://data.abuledu.org/URI/5399cf6b-parachute-de-secours-effet-miroir

Parachute de secours - effet miroir

Effet miroir entre un parachute de secours et une aile de parapente : les deux voiles s'alignent horizontalement à l'opposé l'une de l'autre, et par conséquent le taux de chute augmente beaucoup. Pour cette raison, l'aile principale doit être neutralisée lorsque le parachute est deployé.

Parachute de secours - parapente neutralisé. Source : http://data.abuledu.org/URI/5399cfc9-parachute-de-secours-parapente-neutralise

Parachute de secours - parapente neutralisé

Neutralisation du parapente en tirant sur les suspentes B pour éviter l'effet miroir.

Parachutisme - coupole. Source : http://data.abuledu.org/URI/5399cf08-parachutisme-coupole

Parachutisme - coupole

Parachute de secours de type coupole utilisé en parapente.

Parapente. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b1075e-parapente

Parapente

Schéma d'un parapente : 1 Extrados, 2 Intrados, 3 Nervure, 4 Cloison diagonale interne, 5 Suspente haute, 6 Suspente intermédiaire, 7 Suspente basse, 8 Élévateur. L'aile est fabriquée à partir d'un tissu résistant et léger. Elle est composée de « caissons » dans lesquels l'air s'engouffre afin de lui donner sa forme. L'aile est profilée comme une aile d'avion, ce qui génère la portance du parapente. Cette force, qui s'oppose à la gravité, permet au parapentiste de ralentir sa chute (verticale) à environ 1 mètre par seconde alors que dans le même temps le parapente s'est déplacé horizontalement de 8 mètres pour un parapente d'initiation, à plus de 12 mètres pour les engins de compétition (soit une finesse de 8 à plus de 12). L'avant de l'aile est appelé le bord d'attaque et l'arrière le bord de fuite. Le bord d'attaque est le côté par lequel l'air entre dans les alvéoles de l'aile. On dit « caisson » entre deux points d'attache de suspentes et « alvéole » entre deux cloisons internes. La partie supérieure est appelée l'extrados et la partie inférieure l'intrados.

Parapente avec oreilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b12cd4-parapente-avec-oreilles

Parapente avec oreilles

"Faire les oreilles" en parapente augmente la trainée, la résultante des forces aérodynamiques (RFA) restant constante. Or la RFA est la somme de la portance et de la trainée, et de plus la trainée est parallèle à la trajectoire (et perpendiculaire à la portance), donc la trajectoire s'incurve vers le bas et l'angle d'incidence augmente. Un angle d'incidence élevé peut être dangereux dans certaines conditions notamment en turbulences pour une aile de parapente car on s'approche de l'incidence de décrochage.

Parapente en 3D. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b10860-parapente-en-3d

Parapente en 3D

Schéma 3D d'un parapente. En vert clair : Extrados. En bleu clair : Intrados. En rose : l'ouverture en bord d'attaque qui permet au vent relatif de gonfler l'aile. L'aile est reliée à la sellette par les suspentes et les élévateurs. On parle alors d'un « cône de suspentage ». Les suspentes sont de fines ficelles dont le cœur était généralement constitué de kevlar (remplacé de nos jours par des matériaux tel que le dyneema qui sont des polyéthylènes moins fragiles) et qui sont attachées à de nombreux points de l'aile. Sur les ailes modernes, certaines suspentes sont colorées selon leurs emplacements sur l'aile, pour faciliter les manœuvres. Les freins (ou commandes) sont maintenant systématiquement mis à part, ainsi que les « A » (pour « avant », premières séries de suspentes en partant du bord d'attaque de l'aile), et ce même sur les voiles « école ». Le diamètre des suspentes et leur nombre ont une incidence directe sur la traînée et les performances d'un parapente.

Plan du château de Charleval. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e85b56-plan-du-chateau-de-charleval

Plan du château de Charleval

En 1570, Charles IX commanda à l'architecte Androuet du Cerceau la construction d'un château qui devait être le « premier bâtiment de France ». Inachevé. Charleval = le val de Charles. Source : Jacques Androuet du Cerceau, 1510-1594), "Les Plus excellents bastimens de France", vol. 2, Paris, 1579.

Portrait d'Étienne Montgolfier. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bd5c27-etienne-montgolfier

Portrait d'Étienne Montgolfier

Etienne Montgolfier, inventeur avec son frère Joseph d'un ballon à air chaud grâce auquel a été réalisé en 1783 le premier vol d'un être humain. Dessin au trait réalisé par Yvain Coudert (Ryxéo 2014) à partir d'une gravure.

Portrait de Clément Ader. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bd5ad7-clement-ader

Portrait de Clément Ader

Pionnier de l'aviation, Clément Ader (1841-1925) est l'auteur d'un controversé premier vol motorisé de l'histoire à bord de son Éole en 1890. Dessin au trait réalisé par Yvain Coudert (Ryxéo, juillet 2014). Source : photographie en noir et blanc sans auteur (http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Clement_Ader.jpg)

Portrait de Joseph Montgolfier. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bd5ca5-joseph-montgolfier

Portrait de Joseph Montgolfier

Portrait de Joseph Montgolfier, inventeur avec son frère Etienne d'un ballon à air chaud grâce auquel a été réalisé en 1783 le premier vol d'un être humain. Dessin au trait Yvain Coudert (Ryxéo 2014) à partir d'une gravure.

Portrait des frères Montgolfier. Source : http://data.abuledu.org/URI/53bd5d35-les-freres-montgolfier

Portrait des frères Montgolfier

Joseph et Etienne Montgolfier, inventeurs d'un ballon à air chaud grâce auquel a été réalisé en 1783 le premier vol d'un être humain.