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Contes de fées | Comtesse de Ségur (1799-1874) | Peinture | Dessins et plans | Fillettes | Princesses | Curiosité | Jardins | Arbres | Frontispice (typographie) | Garçons | Virginia Frances Sterrett (1900-1931) | Objets magiques | Princes | Balais et brosses | Fées | Pères et filles | Forêts | Mythologie grecque | Contes merveilleux | ...
Couverture des Contes de Tanglewood en 1921. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ee2c77-couverture-des-contes-de-tanglewood-en-1921

Couverture des Contes de Tanglewood en 1921

Couverture de Tanglewood Tales, 1921, de Nathaniel Hawthorne (1804-1864), par Virginia Frances Sterrett (1900-1931).

Frontispice des Contes de Tanglewood en 1921. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ee2bb9-frontispiece-des-contes-de-tanglewood-en-1921

Frontispice des Contes de Tanglewood en 1921

Illlustration de Tanglewood Tales, 1921, de Nathaniel Hawthorne (1804-1864), par Virginia Frances Sterrett (1900-1931).

Princesse Rosette de la Comtesse de Ségur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5407bf08-princesse-rosette-de-la-comtesse-de-segur

Princesse Rosette de la Comtesse de Ségur

Princesse Rosette de la Comtesse de Ségur sus son trône, "Old French Fairy Tales", Comtesse De Segur, 1920, illustrés par Virginia Frances Sterrett (1900-1931).

Blondine, Bonne-Biche et Beau-Minon. Source : http://data.abuledu.org/URI/531373ac-blondine-bonne-biche-et-beau-minon

Blondine, Bonne-Biche et Beau-Minon

Histoire de Blondine, de Bonne-Biche et de Beau-Minon de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Surprise, ravie, Blondine se jeta au cou de Bonne-Biche, embrassa tendrement Beau-Minon, et leur dit : "Oh ! mes bons, mes chers, mes vrais amis, que de reconnaissance ne vous dois-je pas pour avoir ainsi soigné mon enfance, développé mon esprit et mon cœur ! car je le sens, tout est amélioré en moi, et c’est à vous que je le dois."

Histoire de Blondine, de Bonne-Biche et de Beau-Minon. Source : http://data.abuledu.org/URI/531375c5-histoire-de-blondine-de-bonne-biche-et-de-beau-minon-

Histoire de Blondine, de Bonne-Biche et de Beau-Minon

Histoire de Blondine, de Bonne-Biche et de Beau-Minon de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931), chapitre X : Le voyage de Blondine dura, comme le lui avait dit la Tortue, six mois ; elle fut trois mois avant de sortir de la forêt ; elle se trouva alors dans une plaine aride qu’elle traversa pendant six semaines, et au bout de laquelle elle aperçut un château qui lui rappela celui de Bonne-Biche et de Beau-Minon.

La petite souris grise. Source : http://data.abuledu.org/URI/53138a7d-la-petite-souris-grise

La petite souris grise

Le conte de la petite souris grise de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931), chapitre I, La maisonnette : Le père de Rosalie avait de la fortune ; il vivait dans une grande maison qui était à lui : la maison était entourée d'un vaste jardin où Rosalie allait se promener tant qu'elle voulait. Elle était élevée avec tendresse et douceur, mais son père l'avait habituée à une obéissance sans réplique. Il lui défendait d'adresser des questions inutiles et d'insister pour savoir ce qu'il ne voulait pas lui dire. Il était parvenu, à force de soin et de surveillance, à presque déraciner en elle un défaut malheureusement trop commun, la curiosité. Rosalie ne sortait jamais du parc, qui était entouré de murs élevés.

La princesse Rosette. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313a36d-la-princesse-rosette

La princesse Rosette

La princesse Rosette, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : frontispice.

La princesse Rosette, chapitre I. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313858a-la-princesse-rosette-chapitre-i

La princesse Rosette, chapitre I

La princesse Rosette, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Un jour qu'elle était assise sur un banc devant la maison, elle vit arriver un homme en habit et chapeau galonnés, qui, s'approchant d'elle, lui demanda s'il pouvait parler à la princesse Rosette. "Oui, sans doute, répondit Rosette, car c'est moi qui suis la princesse Rosette." "Alors, princesse, reprit l'homme en ôtant son chapeau, veuillez recevoir cette lettre que le roi votre père m'a chargé de vous remettre."

La princesse Rosette, chapitre IV. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313881b-la-princesse-rosette-chapitre-iv

La princesse Rosette, chapitre IV

La princesse Rosette, chapitre IV, seconde journée, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Les applaudissements et l'enthousiasme pour Rosette devinrent si bruyants, que pour s'y soustraire elle se réfugia dans le jardin, ou Charmant la suivit ; ils se promenèrent le reste de la soirée et s'entretinrent de leurs projets d'avenir, si la fée Puissante permettait à Rosette d'unir sa vie à celle de Charmant. Les diamants de Rosette brillaient d'un tel éclat que les allées où ils marchaient, les bosquets où ils s'asseyaient, semblaient éclairés par mille étoiles.

La princesse Rosette, chapitre V. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313893e-la-princesse-rosette-chapitre-v

La princesse Rosette, chapitre V

La princesse Rosette, chapitre V, Troisième et dernière journée, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Charmant resta ébloui de la beauté de Rosette. La fée le tira de son extase en lui disant : "Vite, vite, marchons ; je n'ai plus qu'une demi-heure, après laquelle je dois me rendre près de la reine des fées, où je perds toute ma puissance pendant huit jours. Nous sommes toutes soumises à cette loi dont rien ne peut nous affranchir."

Le bon petit Henri, chapitre IV. Source : http://data.abuledu.org/URI/53138056-le-bon-petit-henri-chapitre-iv

Le bon petit Henri, chapitre IV

Le bon petit Henri, chapitre IV, La vendange, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Henri s'assit par terre et réfléchit à ce qu'il devait faire ; il se résolut à attendre. Il attendit pendant quarante-cinq jours ; au bout de ce temps il dit : "Dussé-je encore attendre cent ans, je ne bougerai pas d'ici !" A peine eut-il dit ces mots, qu'un pan de mur s'écroula avec un bruit effroyable et qu'il vit s'avancer, par cette ouverture, un géant qui brandissait un énorme bâton.

Le bon petit Henri, chapitre V. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313a25b-le-bon-petit-henri-chapitre-v

Le bon petit Henri, chapitre V

Le bon petit Henri, chapitre V, La chasse, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Henri fut sur la point de rejeter dans la forêt ce bâton inutile, mais il pensa que ce ne serait pas poli, il le prit en remerciant le Loup. «Monte sur mon dos, Henri», dit le Loup. Henri sauta sur le dos du Loup ; aussitôt le Loup fit un bond si prodigieux qu'il se trouva de l'autre côté du précipice. Henri descendit, remercia le Loup et continua sa marche.

Le bon petit Henri, chapitre VII. Source : http://data.abuledu.org/URI/53138440-le-bon-petit-henri-chapitre-vii

Le bon petit Henri, chapitre VII

Le bon petit Henri, chapitre VII, La plante de vie, conte de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Henri se souvint heureusement que la fée Bienfaisante lui avait dit d'appeler le docteur qui cultivait le jardin des fées, et il l'appela à haute voix. A peine l'eut-il appelé, qu'il entendit du bruit dans les plantes qui étaient près de lui, et qu'il en vit sortir un petit homme haut comme un balai de cheminée ; il tenait un livre sous le bras, avait des lunettes sur son nez crochu et portait un grand manteau noir de Docteur. "Que cherchez-vous, petit ? dit le Docteur en se redressant. Et comment avez-vous pu parvenir jusqu'ici ?"

Le conte d'Ourson, chapitre 1. Source : http://data.abuledu.org/URI/53138e76-le-conte-d-ourson-chapitre-1

Le conte d'Ourson, chapitre 1

Le conte d'Ourson, chapitre 1, Le crapaud et l'alouette, par la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Agnella et Passerose "Quelle infortune ! s'écria-t-elle. Quelle honte que l'héritier d'un beau royaume soit un ours ! Que dira le roi Féroce, votre époux, si jamais il vous retrouve ?" "Et comment me retrouverait-il, Passerose ! Tu sais qu'après notre fuite nous avons été emportées dans un tourbillon, que nous avons été lancées de nuée en nuée, pendant douze heures, avec une vitesse telle que nous nous sommes trouvées à plus de trois mille lieues du royaume de Féroce."

Le conte d'Ourson, chapitre 5. Source : http://data.abuledu.org/URI/53138f9a-le-conte-d-ourson-chapitre-5

Le conte d'Ourson, chapitre 5

Le conte d'Ourson, chapitre 5, Le crapaud encore, par la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Quand Ourson fut éloigné, Violette éprouva un malaise qu'elle attribua à la douleur que lui causait sa blessure. Une répulsion extraordinaire la portait à retirer son pied du ruisseau où il était plongé. Avant qu'elle se fut décidée à obéir à ce sentiment étrange, elle vit l'eau se troubler, et la tête d'un énorme Crapaud apparut à la surface ; les gros yeux irrités du hideux animal se fixèrent sur Violette, qui, depuis son rêve, avait toujours eu peur des crapauds. L'apparition de celui-ci, sa taille monstrueuse, son regard courroucé, la glacèrent tellement d'épouvante qu'elle ne put ni fuir ni crier. "Te voilà donc enfin dans mon domaine, petite sotte ! lui dit le crapaud. Je suis la fée Rageuse, ennemie de ta famille."

Le conte d'Ourson, chapitre 7. Source : http://data.abuledu.org/URI/53139d6c-le-conte-d-ourson-chapitre-7

Le conte d'Ourson, chapitre 7

Le conte d'Ourson, chapitre 7, Le sanglier, par la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Violette ne savait si elle devait fuir ou se cacher. Pendant qu'elle hésitait, le Sanglier l'aperçut, s'arrêta. Ses yeux flamboyaient, ses défenses claquaient, ses poils se hérissaient. Il poussa un cri rugissant et s'élança sur Violette. Par bonheur, près d'elle se trouvait un arbre vert dont les branches étaient à sa hauteur. Elle en saisit une des deux mains, sauta dessus et grimpa de branche en branche jusqu'à ce qu'elle fût à l'abri des attaques du Sanglier. A peine était-elle en sûreté que le Sanglier se précipita de tout son poids contre l'arbre qui servait de refuge à Violette.

Le conte d'Ourson, chapitre 7. Source : http://data.abuledu.org/URI/53139e4b-le-conte-d-ourson-chapitre-7

Le conte d'Ourson, chapitre 7

Le conte d'Ourson, chapitre 7, Le sanglier, par la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : Violette consentit volontiers à passer la nuit dans la forêt, d'abord parce qu'ils ne pouvaient faire autrement, ensuite parce qu'elle n'avait jamais peur avec Ourson, et qu'elle trouvait toujours bon ce qu'il avait décidé. Ourson arrangea donc de son mieux le lit de mousse de Violette ; il se dépouilla de son habit et l'en couvrit malgré sa résistance ; ensuite, après avoir vu les yeux de Violette se fermer et le sommeil envahir tous ses sens, il s'étendit à ses pieds et ne tarda pas lui-même à s'endormir profondément.

Le conte de la petite souris grise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313698e-le-conte-de-la-petite-souris-grise

Le conte de la petite souris grise

Le conte de la petite souris grise de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931) : "Attends, méchante bête !" s’écria Rosalie, hors d’elle de colère et d’effroi. Elle saisit un balai et allait en donner un coup violent sur la Souris, lorsque le balai devint flamboyant et lui brûla les mains ; elle le jeta vite à terre et le poussa du pied dans la cheminée pour que le plancher ne prît pas feu.

Le conte de la petite souris grise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5313713a-le-conte-de-la-petite-souris-grise-

Le conte de la petite souris grise

Le conte de la petite souris grise de la Comtesse de Ségur (1799-1874), illustré par Virginia Frances Sterrett (1900–1931), chapitre III : Rosalie regarda autour d’elle, ne vit personne, et, oubliant entièrement, dans son désir extrême de satisfaire sa curiosité, la bonté du prince et les dangers qui les menaçaient si elle cédait à la tentation, elle passa ses doigts dans une des ouvertures, tira légèrement : la toile se déchira du haut en bas avec un bruit semblable au tonnerre, et offrit aux yeux étonnés de Rosalie un arbre dont la tige était en corail et les feuilles en émeraudes ; les fruits qui couvraient l’arbre étaient des pierres précieuses de toutes couleurs, diamants, perles, rubis, saphirs, opales, topazes, etc., aussi gros que les fruits qu’ils représentaient, et d’un tel éclat que Rosalie en fut éblouie.