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Photographie | Gravure | Peinture | Dessins et plans | Antiquités | Fillettes | Ath (Belgique) | Samson | Géants | Albums pour enfants | Jordic (1876 - 1915) | Herbiers | Raisin -- Produits | Botanique | Histoires drôles bretonnes | Jardins -- Europe | Al-Andalus | Andalousie (Espagne) | Civilisation islamique (622-1258) | Art islamique | ...
Attelage chinois en terre cuite. Source : http://data.abuledu.org/URI/5399ffc7-attelage-chinois-en-terre-cuite

Attelage chinois en terre cuite

Attelage chinois en terre cuite : char avec conducteur sous un parasol, tiré par quatre chevaux : mausolée de l'empereur Qin du IIIème siècle avant J-C.

Carrière de marbre à ciel ouvert. Source : http://data.abuledu.org/URI/51439a0a-carriere-de-marbre-a-ciel-ouvert-

Carrière de marbre à ciel ouvert

Carrière de marbre de Carrare à ciel ouvert. Aux techniques traditionnelles d'abattage, par saignée au pic, au coin, à la masse réalisé à bras d'homme, succède le travail mécanique et « aveugle » des machines : la frappe mécanique du marteau-piqueur, la scie à chaîne (haveuse), la perforatrice rotative (de la tarière au rotary), le marteau perforateur, le jet d'eau sous pression voir le laser de puissance. Comparativement au travail à la main ou le mineur, à chaque coup choisit le point d'attaque le plus approprié, le travail de la machine est extrêmement dispendieux en énergie : l'abattage avec une machine ponctuelle consomme 76 fois plus, l'abattage à l'explosif dans des trous de mine est du même ordre. Une tarière de grand diamètre consomme 135 fois plus, la combinaison optimale, tarière, havage, et tir en forage réduit ce facteur à 20. Le marbre de Carrare (pour les Romains marmor lunensis, « marbre de Luni ») est un type de marbre, extrait des carrières des Alpes apuanes sur le territoire de Carrare, universellement connu comme un des marbres les plus prisés pour sa blancheur sans trop de veinage.

Colophane. Source : http://data.abuledu.org/URI/5131bd4a-colophane

Colophane

Différents types de colophane pour les archets de violon ou de violoncelle. La colophane est le résidu solide obtenu après distillation de la térébenthine, oléorésine (appelée aussi gemme), substance récoltée à partir des arbres résineux et en particulier les pins (le genre Pinus) par une opération que l'on appelle le gemmage. La colophane est utilisée pour les instruments à cordes frottées. On la frotte sur la mèche des archets pour permettre la mise en vibration de la corde, car sans colophane les crins glissent sans frottements sur la corde presque sans en tirer un son. Elle est aussi utilisée sur les archets des scies musicales afin de mieux frotter sur la lame. La colophane se présente sous la forme d'un petit bloc (cubique ou cylindrique) solide et transparent en général de couleur jaune ou noire (mais certaines fois de couleur rouge ou verte). « Cette résine de pin, autrefois produite à Colophon, en Asie Mineure, est indispensable au travail des crins : c'est elle qui leur confère l'aspérité dont ils ont besoin pour frotter les cordes du violon. Si la mèche de l'archet était enduite de savon, elle ne produirait aucun son. Ce sont les grattements de ces milliers de rugosités qui tirent la corde et la laissent repartir. Tout cela est bien évidemment invisible à l'œil nu, mais dans cette combinaison des crins et de la colophane, tout se passe comme si des milliers de petits doigts onglés exécutaient une sorte de pizzicato continu. Ainsi naît la vibration. De cette mécanique microscopique éclot la voix du violon. » Yehudi Menuhin, "La légende du violon".

Combat de la Dominique 1780. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f7228b-combat-de-la-dominique-1780

Combat de la Dominique 1780

Combat de la Dominique, 17 Avril 1780, tableau de Rossel de Cercy (1736-1804). L'invasion de la Dominique en 1778 est une invasion française réussie de l'île de la Dominique dans les Antilles, pendant la Guerre d'indépendance des États-Unis. Le 6 septembre, une flotte française, sous le commandement du marquis de Bouillé, débarque des troupes dans l'île. Le détachement britannique se rend le même jour sans tirer un coup de feu. La prise de la Dominique par la marine française a incité les Anglais à renforcer leur flotte nord-américaine. Ils ont alors saisi l'île de Sainte-Lucie en novembre, Savannah et la Géorgie en décembre.

Construction d'une pyramide, d'après Hérodote. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea448-construction-d-une-pyramide-d-apres-herodote

Construction d'une pyramide, d'après Hérodote

Interprétation du témoignage d'Hérodote sur la construction d'une grande pyramide. Source : Antoine-Yves Goguet, "L'origine des lois, des arts et des sciences", 1820. Lorsque Hérodote visite l'Égypte vers -450, le pays est sous domination perse depuis un peu moins d'un siècle (XXVIIe dynastie). Ne parlant pas la langue des Égyptiens, Hérodote doit faire appel à des traducteurs, ou bien se contenter des dires des colons grecs qui habitent le pays. Il est difficile de savoir quelle connaissance les Égyptiens de l'époque pouvaient avoir des méthodes de construction de monuments vieux déjà de plus de 2000 ans, et on ne peut que s'interroger sur la véracité des propos rapportés par Hérodote ; il apparaît peu probable qu'ils soient entièrement conformes à la réalité. « Les uns durent, depuis les carrières de la Chaîne Arabique, traîner jusqu'au Nil les blocs de pierre qu'on en tirait ; d'autres eurent la tâche de recevoir ces pierres, passées en barques sur l'autre rive, et de les traîner jusqu'à la montagne qu'on appelle la Chaîne Libyque. Cent mille hommes travaillaient à la fois, relevés tous les trois mois. » Hérodote, L'Enquête II-124, traduction d'Andrée Barguet.

Construction d'une pyramide, d'après Hérodote. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea589-construction-d-une-pyramide-d-apres-herodote

Construction d'une pyramide, d'après Hérodote

Interprétation du témoignage d'Hérodote sur "La machine". Source : "L'origine des lois, des arts et des sciences", 1820. « Voici comment on construisit cette pyramide, par le système des gradins successifs que l'on appelle tantôt krossai (corbeaux), tantôt bomides (plates-formes). On la construisit d'abord sous cette forme, puis on hissa les pierres de complément à l'aide de machines faites de courtes pièces de bois : on montait la pierre du sol jusqu'à la première plate-forme ; là, on la plaçait dans une autre machine installée sur le premier gradin, et on la tirait sur jusqu'au deuxième gradin, où une troisième machine la prenait. »

Coquillier sous voile à Brest 2008. Source : http://data.abuledu.org/URI/5461123d-coquillier-sous-voile-a-brest-2008

Coquillier sous voile à Brest 2008

"Général Leclerc", coquillier sous voile en rade de Brest, 2008, sloop coquillier, classé au titre des monuments historiques en 2005. Année de construction : 1948 ; Chantier : Auguste Tertu (Le Fret) ; Longueur : 11,4 m ; Largeur : 4,05 m ; Tirant d’eau : 1,9 m ; Propriétaire : Association Lenn Vo.

Fort des Basses-Perches. Source : http://data.abuledu.org/URI/5468d5d9-fort-des-basses-perches

Fort des Basses-Perches

Plan du fort des Basses Perches. Légende en français : Caserne A) corps de garde, salle de discipline, télégraphe, salle d'artifice ; Caserne B) latrines des officiers en temps de guerre, latrines de troupes, 5-8 casemates de troupe, casemates de sous-officiers, magasin aux vivres, cuisine de la troupe, magasin des ordinaires ; Autres : A abris-traverses, A1 plates-formes de tir, C urinoirs, D latrines de troupe en temps de paix, E latrines des officiers, M-N magasins à poudre, O salle d'artifice, P cartoucherie, F Forge, S-T coffres de contrescarpe, U rue du rempart. Le Fort des Basses Perches, de son vrai nom fort Valmy (François-Christophe Kellermann, duc de Valmy, maréchal, 1735-1820), a été construit entre 1874 et 1877. C'est un ouvrage faisant partie des fortifications de l'Est de la France du type Séré de Rivières. Il fait partie intégrante de la place forte de Belfort. Il est situé sur les communes de Danjoutin et de Belfort. Ce fort a la particularité d'être équipé de coffres de contrescarpe en lieu et place des caponnières, alors qu'à cette époque, les caponnières furent utilisées massivement. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_des_Basses_Perches À partir de 1893, ce fort fut relié à un certain nombre d'autres forts autour de Belfort grâce à un chemin de fer stratégique.

Il pleut, il pleut, bergère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50afdf42-il-pleut-il-pleut-bergere

Il pleut, il pleut, bergère

Illustration de la chanson ''Il pleut, il pleut, bergère'', écrite par Fabre d'Églantine (1750-1794). Source : Théophile Marion Dumersan, "Chansons nationales et populaires de France", vol. I, 1866. Cette chanson est tirée de l'opérette "Laure et Pétrarque" écrite en 1780 par Fabre d'Églantine. La musique est du messin Louis-Victor Simon. La bergère à laquelle la chanson fait référence est en fait la reine Marie-Antoinette d'Autriche. Elle aimait à jouer les bergères au hameau de la Reine dans le parc du château de Versailles. L'orage pourrait être une allusion aux troubles qui conduisirent à la Révolution française. La petite histoire veut qu'elle ait été chantée lors de la création de la garde nationale, au lendemain de la prise de la Bastille, et que son auteur l'ait fredonnée quelques années plus tard en montant à l'échafaud. Elle s'est d'abord fait connaître sous le titre "Le Retour aux champs" avant de s'imposer sous son titre actuel vers 1787. Cependant, elle est encore connue de certains sous le nom de "L'Orage".

Jardin à Grenade du Patio de los Arrayones. Source : http://data.abuledu.org/URI/5068a486-patio-de-los-arrayanes-jpg

Jardin à Grenade du Patio de los Arrayones

Jardins de la période islamique à Grenade (Espagne). Al-Andalus est le terme qui désigne l'ensemble des terres de la péninsule Ibérique et de la Septimanie qui furent sous domination musulmane au Moyen Âge (711-1492). L'Andalousie actuelle, qui en tire son nom, n'en constitua longtemps qu'une petite partie. La

Le géant Samson. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc31b4-le-geant-samson

Le géant Samson

Le géant Samson d'Ath en 2004 : il faut attendre 1804 pour que la procession reprenne vie et 1806-1807 pour que les géants renaissent sous les doigts du sculpteur Emmanuel Florent : L'Aigle, Samson, Goliath, sa femme et Tirant. En principe, les confréries sont abolies. Mais on retrouve différents corps de métiers accompagnés de leur protecteur ou de leur emblème. L'Aigle ainsi que Goliath et sa femme sont autonomes. Il n'est plus question des arbalétriers, ni des tailleurs. En revanche, Tirant est accompagné des archers et Samson des canonniers. Comme dans l'ancienne procession, les autorités civiles ou religieuses, les sociétés, les chars et les groupes religieux font également partie du défilé. Pendant d'entre-deux-guerres, Samson est costumé en homme d'armes du XVe siècle et porte le casque en cuivre. Il est suivi des arquebusiers ainsi que des canonniers avec leur pièce.

Marie aux sabots de bois se gage - 16. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bcd314-marie-aux-sabots-de-bois-se-gage-16

Marie aux sabots de bois se gage - 16

Marie aux Sabots de bois se gage - 16, Jordic (1876 - 1915) : ... en l'air, qui plonge soudain dans un grand tonneau de raisiné. On ne voit plus que deux pieds qui s'agitent en l'air désespérément. M. Poivre saisit les deux jambes et tire. Ohé ! hisse !! Marie est si enfoncée dans le raisiné qu'on n'arrive pas à la dégager de suite. "Ohé ! hisse !" M. Poivre, tout rouge, arrive enfin à retirer la petite bonne, mais dans quel état ! Le raisiné s'est collé à ses cheveux, son visage est enduit d'un masque gluant, elle a une robe de confiture. M. Poivre va chercher un seau d'eau, une des bonnes, obligeante, prend le grand balai de paille ; on frotte, on gratte, enfin on débarbouille Marie qui grelotte sous l'eau froide. Heureusement que la mère Mariannick la réchauffera bien vite avec quelques gifles qui lui éviteront un rhume. FIN

Plage à posidonies de Macinaggio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d207a1-plage-a-posidonies-de-macinaggio

Plage à posidonies de Macinaggio

Macinaggio, marine de Rogliano, plage avec dépot de posidonies. Tirant son nom du dieu de la mer grec Poséidon, elle joue plusieurs rôles fondamentaux pour le milieu marin littoral. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu. Lorsque les herbiers de posidonie se développent au fond de criques de très faible profondeur, les plantes affleurent la surface et peuvent créer un récif barrière, par analogie aux récifs coralliens, contribuant à la formation d'un biotope particulier.

Pompe à incendie du XVIIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/52fd5362-pompe-a-incendie-du-xviieme-siecle

Pompe à incendie du XVIIème siècle

Illustration tirée de cartes commerciales de John Keeling of Blackfriars (1670), montrant une pompe à incendie en action. Quatre hommes pompent l'eau de la citerne : Ces machines qui sont les meilleures pour éteindre les incendies... (These Engins which are the best to quinch great fires, are ...) avec comme sous-titre en latin : fait par John Keeling (John Keeling Fecit).

Utilisation des Pois secs en 2003. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d0c0da-utilisation-des-pois-secs-en-2003

Utilisation des Pois secs en 2003

Utilisations des pois secs (''Pisum sativum'') au niveau mondial en 2003. Source : FAOSTAT. Alimentation humaine 48% ; Alimentation animale 35% ; Semences 8% ; Transformés 5% ; Pertes 3% ; Variation de stock 1%. Concernant l'alimentation humaine, sur une consommation mondiale d'un peu moins de 4 millions de tonnes, le sous-continent indien en représente 37,2 %, dont 31,2 % pour l'Inde. Dans cette région du monde, les légumineuses jouent un rôle important dans l'apport en protéines dans l'alimentation, la majorité de la population étant végétarienne, toutefois le pois n'y joue qu'un rôle secondaire après de nombreuses autres espèces dont le pois chiche, le pois cajan, diverses sortes de haricots secs, les lentilles etc. Les autres consommateurs importants sont la Chine (12,8 %), le Royaume-Uni (5,8 %), la Russie (5,7 %), les États-Unis (4,1 %) et l'Éthiopie (3,7 %). L'Inde joue un rôle majeur sur le marché international du pois sec ; ce pays est en effet le premier consommateur mondial, le premier importateur et le quatrième producteur. L'Uttar Pradesh est la principale région productrice. Concernant l'alimentation animale, la consommation est fortement concentrée en Europe et en Chine. Les trois premiers pays consommateurs, Russie, France et Chine, totalisent près de 60 % du total (respectivement 22,1 %, 18,7 % et 17,7 %). La transformation industrielle des pois pour en tirer des dérivés amylacés et protéiques est relativement marginale. En France, le groupe Roquette Frères a créé en 2007 une usine de transformation de pois protéagineux en convertissant l'ancienne féculerie de Vic-sur-Aisne.