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Photographie | Dessins et plans | Main | Toucher | Anatomie humaine | Géographie | Peinture | Biologie | Cours d'eau | Interdictions alimentaires | Biologie animale | Interdits | Clip art | Meuniers | Vieux-Habitants (Guadeloupe) | Escrime au sabre | Français (langue) | Antilles, Mer des | Moulins à farine | Métiers traditionnels | ...
Interdiction de toucher. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bf5ba0-interdiction-de-toucher

Interdiction de toucher

Interdiction de toucher.

Interdiction de toucher, boitier sous tension. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bf5bfd-interdiction-de-toucher-boitier-sous-tension

Interdiction de toucher, boitier sous tension

Interdiction de toucher, boitier sous tension.

Vibrisses de lapin domestique. Source : http://data.abuledu.org/URI/535ae573-vibrisses-de-lapin-domestique

Vibrisses de lapin domestique

Gros plan sur le museau d'un lapin domestique : les nombreux poils longs appelés vibrisses présents sur la tête du lapin, notamment sur la lèvre supérieure et la partie antérieure de la joue, mais également au-dessus des yeux et dans la région temporale, ont un rôle essentiel dans la perception du toucher

Anatomie de la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf1c88-anatomie-de-la-main

Anatomie de la main

Les mains (du latin manus, pl. manūs) sont deux organes complexes et préhensiles situés à l'extrémité des bras des primates et munis de doigts. Elles sont les principaux organes utilisés pour saisir et manipuler des objets pris dans l'environnement, de la façon la plus brutale (brandir un gourdin) à la plus fine (enfiler une aiguille). L'extrémité des doigts contient l'une des plus fortes concentrations de terminaisons nerveuses du corps humain, ce qui fait de la main l'un des organes principaux du sens du toucher. Comme pour d'autres organes allant par paires, comme les yeux ou les oreilles, chaque main est principalement contrôlée par l'hémisphère opposé du cerveau. La main utilisée préférentiellement est l'aspect le plus visible de la latéralisation de chaque individu.

Anatomie de la main. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cf1d1b-anatomie-de-la-main

Anatomie de la main

Anatomie de la main, avec légende. Les mains (du latin manus, pl. manūs) sont deux organes complexes et préhensiles situés à l'extrémité des bras des primates et munis de doigts. Elles sont les principaux organes utilisés pour saisir et manipuler des objets pris dans l'environnement, de la façon la plus brutale (brandir un gourdin) à la plus fine (enfiler une aiguille). L'extrémité des doigts contient l'une des plus fortes concentrations de terminaisons nerveuses du corps humain, ce qui fait de la main l'un des organes principaux du sens du toucher. Comme pour d'autres organes allant par paires, comme les yeux ou les oreilles, chaque main est principalement contrôlée par l'hémisphère opposé du cerveau. La main utilisée préférentiellement est l'aspect le plus visible de la latéralisation de chaque individu.

Aulnes dans un lac polonais. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a08ce-aulnes-dans-un-lac-polonais

Aulnes dans un lac polonais

Aulnes (Alnus glutinosa) dans le lac de Bobięcińskie Wielkie, en Pologne. L'aulne est également nommé vergne ou verne. Les aulnes sont des arbres de taille moyenne, pouvant atteindre 20 à (rarement) 30 mètres, à feuilles caduques, croissant dans les bois humides ou marécageux, ou encore en bord de cours d'eau. Il doit son nom latin au fait que ses jeunes pousses printanières sont collantes au toucher ; il se distingue aussi par ses feuilles largement ovales, crénelées-dentées. Leur bois d'une couleur rouge caractéristique est imputrescible et léger, il est employé notamment pour les pieux de pontons. La couleur rouge puis rosée du bois fraichement coupé ou travaillé ne persiste pas. Elle est dégradée par la lumière. La rhizosphère de l'aulne encourage des bactéries fixatrices d'azote. L'aulne contribue aussi à la fixation et résilience écologique des berges et ripisylves.

Bourrache officinale. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb6d3-bourrache-officinale

Bourrache officinale

Planche botanique de la bourrache officinale (Borago officinalis), Atlas des Plantes de France, 1891. La bourrache est une herbe annuelle à tige cylindrique, épaisse, dressée, hérissée de poils raides, de 20 à 80 cm de haut. Les feuilles alternes, à surface ridée, ont un long pétiole à la base de la plante qui n'existe pas pour les feuilles supérieures. Toute la plante est recouverte de poils courts et fermes qui la rendent rude au toucher : c'est un des caractères de toute la famille des Boraginacées. Elle est assez commune dans les terrains vagues et les décombres des contrées à climat tempéré, ainsi que comme plante adventice dans les cultures sarclées et les jardins. C'est une excellente plante mellifère. Les fleurs de bourrache et les jeunes feuilles se consomment traditionnellement à l'état frais. La plante peut agrémenter des omelettes, des salades et remplacer les légumes accompagnant les viandes. Le goût des fleurs rappelle la saveur de l'huître, alors que celui des feuilles rappelle la saveur acidulée du concombre. À l'époque romaine, les légionnaires étaient parfois dopés avant les batailles avec un vin aromatisé aux fleurs ou feuilles de bourrache. Au Moyen Âge, la bourrache, était considérée comme une plante magique aphrodisiaque.

Chute libre : trois formes successives d'énergie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb2352-chute-libre-trois-formes-successives-d-energie

Chute libre : trois formes successives d'énergie

Dans la chute, de l'énergie potentielle devient de l'énergie cinétique. On peut utiliser le principe de conservation de l'énergie mécanique d'un système dans le cas d'une balle élevée à une certaine hauteur du sol. Initialement, elle possède de l'énergie potentielle gravitationnelle. En tombant, accélérée par la force gravitationnelle (une force conservative), son énergie potentielle devient graduellement de l'énergie cinétique. Juste au moment de toucher le sol, la différence d'énergie potentielle gravitationnelle, entre sa position initiale et celle qu'elle occupe, est devenue de l'énergie cinétique. Dans cet exemple, pour considérer que l'énergie est entièrement conservée, il faut négliger la résistance de l'air.

Emballages Furoshiki. Source : http://data.abuledu.org/URI/58530fb4-emballages-furoshiki

Emballages Furoshiki

Emballages Furoshiki : "Ne pas toucher s'il vous plait!".

Escrime au sabre. Source : http://data.abuledu.org/URI/53401559-escrime-au-sabre

Escrime au sabre

Escrime au sabre : En rouge, aire de touche au sabre. Le sabre est une arme d'estoc, de taille (coup porté avec le tranchant de la lame) et de contre-taille (coup porté avec le dos de la lame) ; les coups du plat de la lame sont aussi valables. C'est une arme conventionnelle comme le fleuret : le sabre répond aux mêmes règles d'engagement (conventions) que le fleuret, donnant la priorité à l'attaquant, et de même légèreté — 500 g pour une longueur totale de 105 cm maximum. En cas de touches simultanées, l'arbitre décide d'accorder la priorité à un des tireurs, ou à aucun des deux. Cette priorité dépend de la « phrase d'armes » et des conventions du sabre. La surface valable pour le sabre est tout ce qui se trouve au-dessus de la taille (à l'exception des 2 mains), car cette arme nous vient de la cavalerie, et qu'il était dans ce cas très difficile de toucher en dessous de la taille. Au sabre, comme au fleuret, il est strictement interdit de "substituer" une surface valable par une surface non valable. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Escrime

Farine de meunier. Source : http://data.abuledu.org/URI/5349c2d0-farine-de-meunier

Farine de meunier

Farine recueillie dans un bac en bois au moulin de l'écomusée de la Grande Lande à Marquèze (Landes). Inscription en français : MERCI DE NE PAS TOUCHER LA FARINE.

La Grande-Rivière des Vieux-Habitants en Guadeloupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276a532-la-grande-riviere-des-vieux-habitants-en-guadeloupe

La Grande-Rivière des Vieux-Habitants en Guadeloupe

Vue de la Grande Rivière des Vieux-Habitants en aval du lieu-dit de Schœlcher, en Guadeloupe. Elle prend naissance dans le Petit Sans Toucher, traverse la commune de Vieux-Habitants sur Basse-Terre et se jette dans la mer des Caraïbes en se séparant en deux bras dans le bourg principal de Vieux-Habitants.

Le chocolat chez les mayas. Source : http://data.abuledu.org/URI/5198730c-le-chocolat-chez-les-mayas

Le chocolat chez les mayas

Chocolat interdit : un responsable maya (assis à gauche) interdit à un homme (debout à droite) de toucher à un bol de chocolat.

Pétroglyphe en Guadeloupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5295ce3e-petroglyphe-en-guadeloupe

Pétroglyphe en Guadeloupe

Pétroglyphe Arawak, rivière Plessis (Guadeloupe). Baillif se situe dans le sud-ouest de l'île de la Basse-Terre en limite de la côte sous le vent par le nord, de l'agglomération de Basse-Terre par le sud et de Saint-Claude à l'est dont elle est séparée par la rivière des Pères. Elle s'étend sur le versant occidental du massif volcanique de Basse Terre qui se jette abruptement dans la mer des Caraïbes. La commune s'étend jusqu'au sommet du Grand Sans Toucher (à 1 354 m). Le climat y est de type tropical. Les Arawaks sont les premiers Amérindiens à avoir eu un contact avec les Espagnols du XVe siècle, c’est-à-dire Christophe Colomb et son équipage.

Rivière des Pères en Guadeloupe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5276a487-riviere-des-peres-en-guadeloupe

Rivière des Pères en Guadeloupe

Rivière des Pères vers le saut de Matouba, à Saint-Claude, dans le parc national de la Guadeloupe. La rivières des Pères — qui doit son nom au lieu-dit des Pères-Blancs de Baillif — prend naissance dans le Grand Sans Toucher, constitue la frontière entre les communes de Baillif et de Saint-Claude sur Basse-Terre, passe le saut de Matouba au niveau du lieu-dit éponyme et se jette dans la mer des Caraïbes à la jonction des communes de Baillif et de Basse-Terre au niveau de la pointe de Pères près de la Tour du Père-Labat. Elle a pour affluents la rivière Rouge, la Matouba et la rivière Saint-Louis.

Taupe à nez étoilé. Source : http://data.abuledu.org/URI/549defe4-taupe-a-nez-etoile

Taupe à nez étoilé

Taupe à nez étoilé du Canada (Condylura cristata, Linnaeus, 1758). Muséum de Toulouse. Le Condylure à nez étoilé est gris. Il a une longueur totale de 16,2 à 23,8 cm incluant une queue de 6 à 9,2 cm de long. Ses pieds mesurent entre 15 et 32 mm. Son museau qui mesure 1 cm de largeur a la forme d'un disque dénudé muni de 22 tentacules symétriques ; ceux-ci ne sont pas des organes d'odorat, mais plutôt des organes tactiles qui peuvent bouger dans tous les sens et qui servent à explorer l'environnement ou à chercher de la nourriture puisque la vue du Condylure à nez étoilé est très faible. De plus, le museau est doté de plus de 100 000 fibres nerveuses et 30 000 organes d'Eimer. Certains tentacules sont plus longs que d'autres, ce sont les premiers à entrer en contact avec la proie, alors que d'autres ne servent qu'à la diriger vers la bouche. D'autres encore peuvent être des électro-senseurs qui émettent des champs magnétiques. Les individus adultes ont un poids se situant entre 31,5 et 77 g tandis que les nouveau-nés pèsent 1,5 g. Les mâles et les femelles ont sensiblement la même taille. La longévité du Condylure à nez étoilé peut atteindre trois ans en milieu naturel. Il se nourrit de petits invertébrés aquatiques, de crustacés, de mollusques et de vers. Il lui arrive aussi de se nourrir de petits poissons. Il chasse dans ses galeries et perçoit ses proies grâce à son ouïe et son toucher, car il est dépourvu d'odorat. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Condylura_cristata

Vibraslap vu de face. Source : http://data.abuledu.org/URI/53049c8d-vibraslap-vu-de-face

Vibraslap vu de face

Vibraslap vu de face : instrument de percussion, composé d'une poignée en métal en forme de « U » avec d'un côté une boule de bois et de l'autre, une caisse de résonance, en bois également. Celle-ci est pourvue de parties mobiles (les petites tiges métalliques visibles sur la photo) qui viennent toucher les parois de la caisse lorsqu'on utilise l'instrument. Le vibraslap se tient fermement par la poignée ou se fixe sur un support. Le fait de frapper la boule, ou d'appuyer dessus pour la relâcher brusquement, provoque une vibration le long de la poignée, qui se transmet ensuite à la caisse de résonance et provoque une stridulation plus ou moins forte.