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Botanique | Plantes | Peinture | Photographie | Dessins et plans | Tiges (botanique) | Dessin en noir et blanc | Coloriages | Fleurs | Equisetum arvense | Tiges (botanique) -- Ramification | Rouge | Prêles | Plantes des jardins | Anis (graine) | Printemps | Polygonacées | Anis vert | Renouées | Apiacées | ...
Anémone. Source : http://data.abuledu.org/URI/53eb9a79-anemone

Anémone

Anémone.

Branche, tige et feuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b986d6-branche-tige-et-feuille

Branche, tige et feuille

Branche, tige et feuille. Traduction als.

Dessin de pomme de terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/505da941-dessin-de-pomme-de-terre

Dessin de pomme de terre

Croquis de la partie basse de la plante (tiges aériennes, stolons, tubercules et racines souterraines) : en noir le tubercule "mère".

Planche botanique de l'anis vert en 1885. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ec98ce-planche-botanique-de-l-anis-vert-en-1885

Planche botanique de l'anis vert en 1885

Planche botanique de l'anis (Pimpinella anisum). Source : "Flora von Deutschland, Österreich und der Schweiz 1885", Gera.

Planche botanique Deyrolle des tiges. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f8204e-planche-botanique-deyrolle-des-tiges

Planche botanique Deyrolle des tiges

Planche botanique Deyrolle des tiges.

Tige, fleur et graine d'anis vert. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ec97a4-tige-fleur-et-graine-d-anis

Tige, fleur et graine d'anis vert

Tige, fleur et graine d'anis vert, plante condimentaire utilisée pour ses feuilles et ses graines aromatiques. Traduction als-33. Source : "Anise", by Pearson Scott Foresman, donated to the Wikimedia Foundation.

Angélique à Coulon. Source : http://data.abuledu.org/URI/544ea7a8-angelique-a-coulon-

Angélique à Coulon

Angélique (Angelica Archangelica) à Coulon (Deux-Sèvres) au bord de la Sèvre niortaise dans le Marais poitevin : cultivée comme plante condimentaire et médicinale pour ses pétioles, tiges et graines très aromatiques et stimulantes et pour sa racine utilisée en phytothérapie. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ang%C3%A9lique_officinale

Bois de rempart réunionnais. Source : http://data.abuledu.org/URI/52284611-bois-de-rempart-reunionnais

Bois de rempart réunionnais

Le bois de rempart (Agarista salicifolia) est un arbre de l'Afrique tropicale, de la famille des Éricacées. Toutes les parties de la plante sont extrêmement toxiques et peuvent tuer le bétail. Appliqué contre une simple écorchure, le bois provoquerait une sensation de brûlure. Le bois de rempart est un arbuste à tiges ramifiées et bourgeons foliaires rougeâtres. Son écorce est grisâtre et est très crevassée sur les spécimens âgés. Il ne dépasse pas souvent les huit mètres, étant très concurrencé dans les forêts denses par des espèces mieux adaptées. Bien que toxiques, les feuilles et les graines seraient utilisées contre les éruptions comme l'eczéma et en cas de gale. Les branches serviraient aussi à traiter les rhumatismes et à soigner les plaies en général. D'un point de vue agricole, la plante présente l'intérêt d'être insecticide et de stabiliser les sols. Le bois peut être utilisé pour la construction, mais sa qualité est médiocre. On s'en sert davantage pour fabriquer du charbon de bois.

Bourrache printanière. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad4293-bourrache-printaniere

Bourrache printanière

Omphalodes verna ou bourrache printanière, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. Il s'agit d'une plante herbacée vivace, de 10 à 30 centimètres de haut, formant une touffe stolonifère. Les tiges, grêles, érigées, non ramifiées, portent des feuilles alternes, lancéolées vert-clair, minces, à une nervure centrale et pubescentes. Le limbe atteint 7 cm. La floraison s'étend de mars à juin. Les fleurs sont bleues à œillet blanc, de cinq à vingt en racème de cymes unipares hélicoïdes. La corolle de la fleur est large de dix à quinze millimètres, une à deux fois plus longue que le calice. Cette espèce compte 48 chromosomes : il s'agit d'une espèce tétraploïde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Omphalodes_verna

Céphalanthère rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/5063fd20-cephalanthere-rouge

Céphalanthère rouge

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891 : Céphalanthère rouge (Cephalanthera rubra). C'est une plante grêle, aux tiges teintées de rouge, aux feuilles étroites, lancéolées, aux nombreuses bractées. Les fleurs sont rose vif ou pourprées, les sépales et pétales de même forme, pointus, les sépales latéraux souvent écartés. Le labelle porte à sa base des rides jaunes. Il n'y a pas d'éperon.

Classification des végétaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6b9e1-classification-des-vegetaux

Classification des végétaux

Types biologiques de Raunkiær : 1. Phanérophyte 2-3. Chamaephytes 4. Hémicryptophyte 5-9. Cryptophytes 5-6. Géophytes 7. Hélophyte 8-9. Hydrophytes. (thérophyte, aérophyte ou épiphyte non montrés). Christen Christiansen Raunkiær (1860–1938) est un botaniste danois, connu surtout pour son système de classification écologique des plantes, le système de Raunkiær, classification fondée sur la position hivernale des bourgeons.Persistance d'une partie de l'appareil végétatif pendant la mauvaise saison : Phanérophytes (du grec phaneros : apparent ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à plus de 50 cm de la surface du sol. Plante affrontant l'hiver en exposant à ses rigueurs des tiges porteuses de bourgeons (ex. le pin, le hêtre, l'abricotier, le noisetier) Chamaephytes (du grec khamai : à terre ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à moins de 50 cm de la surface du sol. On distingue les chamaephytes frutescents (buissonnants, plus ou moins dressés) et les chamaephytes herbacés (beaucoup plus proches du sol) (ex. le myrtiller). Hémicryptophytes (du grec hemi : à demi ; kryptos : caché ; phuton : plante) : bourgeons dormants à la surface du sol. À la « belle saison », un hémicryptophyte développe une touffe de pousses s'il est cespiteux, une rosette de feuilles, plus ou moins prostrées s'il est à rosettes, une tige érigée qui prend appui sur des supports variés s'il est grimpant (ex. la pâquerette est un hémicryptophyte à rosette). Géophytes (du grec gê : terre, phuton : plante) ou cryptophytes : bourgeons dormants sous la surface du sol (distinguer selon la nature de l'organe de conservation souterrain : géophyte à bulbe, à tubercule, à rhizome) (ex. Crocus sativus). Hydrophytes : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles immergées. Hélophytes (du grec halos : sel, phuton : plante) : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles émergées au moins en partie. Végétaux capables de prospérer en milieux saumâtres et eaux douces. (bords de mer, estuaires, chotts, marais, rivière). (ex. salicornes, spartine).

Clerodendron javanais en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/54cffaf8-clerodendron-javanais-en-fleurs

Clerodendron javanais en fleurs

Clerodendrum speciosissimum en fleurs, Grugaark, Essen (Allemagne). C'est un arbuste pouvant atteindre environ 4 m de haut. Les tiges sont quadrangulaires. Les grandes feuilles cordées peuvent mesurer jusqu'à 30 cm de long. Il est cultivé comme plante ornementale pour ses grands panicules de fleurs rouge écarlate. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Clerodendrum_speciosissimum

Figuier des banians. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b99865-figuier-des-banians

Figuier des banians

Le figuier des banians est une espèce voisine du figuier qui peut se développer en arbres géants pouvant couvrir plusieurs hectares. Il peut avoir jusqu'à 350 gros troncs et 3 000 petits. Il est originaire de l'Inde, du Pakistan et du Sri Lanka, mais a été aussi importé dans d'autres régions du monde. Le banian commence comme épiphyte d'un autre arbre, où un oiseau mangeur de figue dépose la graine. Il émet des racines aériennes depuis les branches, qui se développent en pleines tiges une fois qu'elles touchent terre, ce qui permet à l'arbre de se répandre dans un grand secteur. Cette espèce fait partie des figuiers étrangleurs. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Figuier_des_banians

Forêt de bambous. Source : http://data.abuledu.org/URI/5102b0a5-foret-de-bambous

Forêt de bambous

Forêt de bambous. Tous les bambous ont des tiges souterraines, appelées rhizomes. Ils permettent à la plante de croître en formant des touffes plus ou moins serrées. C'est aussi un organe de réserve. Les racines sont adventives et se développent autour des nœuds du rhizome. La tige principale est un chaume, ou canne, lignifié, fistuleux (c'est-à-dire en tube) cloisonné aux nœuds. La cicatrice visible aux nœuds est la trace de la gaine des feuilles tombées. Le chaume peut se diviser en rameaux feuillés, eux-mêmes divisés en ramuscules. Le bois des chaumes, riche en silice, est très dur et très résistant. La taille des tiges varie selon les espèces de moins d'un mètre à près de 10 m. La vitesse de croissance peut chez certaines espèces être spectaculaire, jusqu'à un mètre par jour. Les chaumes se balancent aux vents forts et se plient sous le poids de la neige mais ils se cassent rarement. Cette flexibilité est due aux entrenœuds creux de chacun des chaumes.

Garance. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050d061-garance

Garance

Planche botanique de la garance des teinturiers (Rubia tinctorum), Atlas des Plantes de France, 1891, qui fut largement cultivée pour la teinture rouge extraite de ses racines : les racines et les tiges souterraines contiennent de l'alizarine, qui a la propriété de donner aux tissus une belle couleur rouge. Les uniformes de l'armée française l'employaient abondamment avant la première guerre mondiale. En 1829, Charles X avait imposé au troupier français le pantalon et képi rouge garance afin de favoriser la culture française de la garance et d'avoir une couleur moins salissante (mais voyante) que le blanc. La garance a longtemps été utilisée en peinture en tant que pigment, pour la confection de la laque de garance, un rouge rosé transparent très prisé à l'huile comme à l'aquarelle.

Grandes mauves en fleurs en bordure d'un chenal. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ae2e3-grandes-mauves-en-fleurs-en-bordure-d-un-chenal

Grandes mauves en fleurs en bordure d'un chenal

Grandes mauves en fleurs (Malva sylvestris) en bordure d'un chenal, le 4 juin 2011, sur les bords du Bassin d'Arcachon (Gironde). C'est une plante poilue, aux tiges souvent étalées, de 30 à 60 cm, aux feuilles crénelées, ressemblant un peu à celles du lierre, aux fleurs rose-pourpre avec des nervures plus foncées sur les pétales. Cette mauve était appelée autrefois, en latin, Omnimorbia soit toutes les maladies, en raison de ses propriétés adoucissantes pour les voies respiratoires utiles pour le traitement de nombre de symptômes. La substance active recherchée dans cette plante est le mucilage. Les principaux effets de la mauve sont émollients et désinfectants. On l'utilise pour apaiser toux, maux de gorge, aphtes, bronchites, enrouements et laryngites. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_mauve

Lierre terrestre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071cbd3-lierre-terrestre

Lierre terrestre

Planche botanique N°261 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Lierre terrestre (Glechoma hederacea). Toute la plante émet une odeur balsamique agréable, et a un goût aromatique rappelant la menthe avec une pointe d'amertume ou d'âcreté pour les feuilles et tiges ; la fleur est plus suave. C'est une plante mellifère dont le goût peut relever les salades ou les soupes. Les fleurs servent parfois pour décorer les gâteaux. Sa floraison précoce en mars-avril et durant jusqu'à l'automne, en fait l'une des premières fleurs de l'année et d'autant plus précieuse pour les insectes se nourrissant de nectar et notamment les bourdons. Elle a longtemps servi à clarifier, aromatiser et préserver la bière, avant l'utilisation du houblon. L'un de ses noms communs liés à la fabrication de la bière en anglais, est « gill », qui vient du français « guiller » (dit de la bière en fermentation). Elle a également été longtemps considérée comme une panacée : La « couronne de terre » est toute bénéfique. Placée sous la couche des jeunes mères, avec d'autres herbes, elle leur redonne des forces après le travail de l'enfantement d'après la tradition.

Morelle douce-amère. Source : http://data.abuledu.org/URI/505da451-morelle-douce-amere

Morelle douce-amère

Planche botanique de la Douce-Amère ou Morelle douce-amère (Solanum dulcamara), Atlas des Plantes de France, 1891. Les tiges ligneuses peuvent atteindre jusqu'à 3 mètres et demi de longueur et s'élever au-dessus du sol avec l'aide d'un support, ses rameaux volubiles lui permettant de s'agripper aux arbres et arbustes de son entourage. La floraison s'étendant sur une longue période, il arrive de pouvoir observer sur un même plant des fleurs violettes aux étamines jaunes et, selon leur degré de maturité, de jeunes fruits allant du vert à l'orange et au rouge. Ceux-ci sont toxiques mais le niveau de toxicité peut s'atténuer avec la fin de la saison, ce qui permet à certains volatiles de se nourrir des derniers fruits encore accrochés l'hiver venu.

Onagre bisannuelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e5508-onagre-bisannuelle

Onagre bisannuelle

Planche botanique de l'Onagre bisannuelle (Oenothera biennis), Atlas des Plantes de France, 1901. Etymologie : du grec oinos (vin) et thêr (animaux sauvages) ; on disait que la racine d’onagre trempée dans du vin était apte à apprivoiser les animaux sauvages. Est aussi appelée communément "Belle de nuit", "Herbe aux ânes", "Primevère du Soir", ou bien "Jambon de Saint Antoine" et "Jambon du jardinier" car la racine une fois cuite ressemble à du jambon cuit. Les Anglais appellent l'onagre « King’s cure-all » ou panacée royale à cause de son efficacité contre les rhumes en faisant infuser 5 ml (1 c. à thé) de feuilles et de tiges finement hachées et séchées dans 250 ml (1 tasse) d’eau bouillante. Son huile est utilisée par l’industrie cosmétique.

Plant de violettes. Source : http://data.abuledu.org/URI/514cd2ec-plant-de-violettes

Plant de violettes

Plant de violettes. La Violette odorante (Viola odorata) est une petite plante vivace de la famille des Violaceae formant des colonies plus ou moins étendues, aux tiges formant des stolons, aux feuilles ovales, en cœur à la base, munies d'un long pétiole et aux fleurs odorantes, au bout d'une mince tige, fleurissant de février à mai, formées de cinq pétales violet dont l'inférieur est muni d'un éperon qui sont stériles (alors que de petites fleurs verdâtres et tardives forment des graines). Elle colonise les prés, les bois et les haies. La violette odorante est utilisée en parfumerie. On ne distille toutefois pas les fleurs mais les feuilles. Le produit obtenu possède une note verte, poudrée, légèrement cireuse. La note 'fleur de violette', typique et plus douce est obtenue grâce à des molécules de synthèse.

Pourpier maraîcher. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e6091-pourpier-maraicher

Pourpier maraîcher

Planche botanique de Pourpier maraîcher (Portulaca oleracea), Atlas des Plantes de France, 1891 : plante aux tiges rampantes, cultivée pour l'alimentation et utilisée en phytothérapie.

Prêle des champs. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ee7ae7-prele-des-champs

Prêle des champs

La Prêle des champs (Equisetum arvense), parfois appelée Queue de rat, Queue de Renard ou Queue de Cheval, est une espèce végétale de la famille des Equisetaceae. Les tiges stériles, vertes, se forment à partir d'avril - mai à partir d'un rhizome souterrain qui se multiplie rapidement. Ces tiges sont grêles, à petite lacune centrale. Elles portent au niveau de leurs nœuds des verticilles de rameaux grêles, à section quadrangulaire ayant la forme d'une étoile à quatre branches. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%AAle_des_champs

Prêles des champs. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ee7bae-preles-des-champs

Prêles des champs

Les tiges fertiles des prêles des champs ne sont pas ramifiées et ne portent donc pas de verticilles de rameaux. Elles portent par contre un épi terminal oblong constitué de sporangiophores (structure portant des sporanges) disposés en verticilles et pédonculés, ils produisent des spores vertes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%AAle_des_champs.

Renouée bistorte. Source : http://data.abuledu.org/URI/506ffc35-renouee-bistorte

Renouée bistorte

Planche botanique N°279 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Renouée bistorte (Polygonum bistorta) à fleurs roses en épi unique terminant la tige et larges de 1 à 3 cm. Polygonum : du grec "polus" = beaucoup, et "gonu" = genou : tiges très noueuses ; Bistorta : du latin "bistortus" = deux fois tordu (forme de la racine). Appellations populaires en France : Feuillotte, Serpentaire rouge, Bistorte, Andresse, Couleuvrée, Langue de bœuf, Faux épinard. Cette plante est comestible : le rhizome a fréquemment été consommé cuit (ou cru, bien qu'il soit souvent amer) en Russie, Sibérie et Alaska1 : après l'avoir fait macérer, on le faisait cuire sous la braise. Pour éliminer son amertume, il peut être nécessaire de le cuire dans plusieurs eaux. Comme pour la plupart des renouées, les jeunes pousses et feuilles sont également comestibles. En vieillissant, elles deviennent amères, il conviendra donc, comme pour le rhizome, de les faire bouillir à plusieurs eaux. L'usage médicinal de la bistorte est ancien, comme l'atteste sa présence dans le Capitulaire De Villis, ordonnance émanant de Charlemagne, qui réclame de la part de ses domaines de cultiver un certain nombre de plantes médicinales et condimentaires dont la "dragantea" identifiée actuellement comme la bistorte renouée. Plante mellifère.

Renouée bistorte en fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/54dbb632-renouee-bistorte-en-fleur

Renouée bistorte en fleur

Renouée bistorte (Bistorta officinalis), Gemeindealpe bei Mitterbach, Niederösterreich. Bistorta : du latin "bistortus" = deux fois tordu (forme de la racine) ; Polygonum : du grec "polus" = beaucoup, et "gonu" = genou : tiges très noueuses. Appellations populaires en France : Feuillotte, Serpentaire rouge, Bistorte, Andresse, Couleuvrée, Langue de bœuf, Faux épinard, Bouïne (Région du Mézenc en Haute-Loire). Commune en montagne, jusqu'à 2 400 m d'altitude : de l'étage collinéen à l'étage alpin. Fleurit de mai à octobre. Hémicryptophyte ou géophyte (rhizome). Le rhizome a fréquemment été consommé cuit (ou cru, bien qu'il soit souvent amer) en Russie, Sibérie et Alaska : après l'avoir fait macérer, on le faisait cuire sous la braise. Pour éliminer son amertume, il peut être nécessaire de le cuire dans plusieurs eaux. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Renou%C3%A9e_bistorte