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Dessins et plans | Photographie | Terre | Géologie | Physique | Terre -- Surface | Météorologie | Cartes du monde | Terre -- Figure | Atmosphère | Biologie | Ouragans | Cyclones | Théorèmes -- Démonstration automatique | Gravure de portraits | Interaction sol-atmosphère | Yan Dargent (1824-1899) | Reptiles | Géographie | Polluants atmosphériques | ...
Coupe de la Terre et de l'atmosphère. Source : http://data.abuledu.org/URI/506c6622-coupe-de-la-terre-et-de-l-atmosphere

Coupe de la Terre et de l'atmosphère

Coupe de la terre (noyau interne, noyau externe, manteau interne, manteau externe, crôute) et de l'atmosphère (troposphère, stratosphère, mésosphère, thermosphère, exosphère) ; échelle non respectée.

Image de la surface de la terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/509564b4-image-de-la-surface-de-la-terre

Image de la surface de la terre

Image de la surface de la Terre. Source : World Data Center for Marine Geology & Geophysics, Boulder.

Circulation de l'air atmosphérique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be4541-circulation-de-l-air-atmospherique

Circulation de l'air atmosphérique

Circulation atmosphérique générale : cellule de Hadley, cellule de Ferrel, cellule polaire. La circulation atmosphérique est le mouvement à l'échelle planétaire de la couche d'air entourant la Terre qui redistribue la chaleur provenant du Soleil en conjonction avec la circulation océanique. En effet, comme la Terre est un sphéroïde, la radiation solaire incidente au sol varie entre un maximum aux régions faisant face directement au Soleil, situé selon les saisons plus ou moins loin de l'équateur, et un minimum à celles très inclinés par rapport à ce dernier proches des Pôles. La radiation réémise par le sol est liée à la quantité d'énergie reçue. Il s'ensuit un réchauffement différentiel entre les deux régions. Le déséquilibre ainsi créé a pour conséquence des différences de pression, qui sont à l'origine des circulations atmosphériques. Celle-ci, combinée aux courants marins, est le moyen qui permet de redistribuer la chaleur sur la surface de la Terre. Les détails de la circulation atmosphérique varient continuellement, mais la structure de base reste assez constante.

Classification des végétaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6b9e1-classification-des-vegetaux

Classification des végétaux

Types biologiques de Raunkiær : 1. Phanérophyte 2-3. Chamaephytes 4. Hémicryptophyte 5-9. Cryptophytes 5-6. Géophytes 7. Hélophyte 8-9. Hydrophytes. (thérophyte, aérophyte ou épiphyte non montrés). Christen Christiansen Raunkiær (1860–1938) est un botaniste danois, connu surtout pour son système de classification écologique des plantes, le système de Raunkiær, classification fondée sur la position hivernale des bourgeons.Persistance d'une partie de l'appareil végétatif pendant la mauvaise saison : Phanérophytes (du grec phaneros : apparent ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à plus de 50 cm de la surface du sol. Plante affrontant l'hiver en exposant à ses rigueurs des tiges porteuses de bourgeons (ex. le pin, le hêtre, l'abricotier, le noisetier) Chamaephytes (du grec khamai : à terre ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à moins de 50 cm de la surface du sol. On distingue les chamaephytes frutescents (buissonnants, plus ou moins dressés) et les chamaephytes herbacés (beaucoup plus proches du sol) (ex. le myrtiller). Hémicryptophytes (du grec hemi : à demi ; kryptos : caché ; phuton : plante) : bourgeons dormants à la surface du sol. À la « belle saison », un hémicryptophyte développe une touffe de pousses s'il est cespiteux, une rosette de feuilles, plus ou moins prostrées s'il est à rosettes, une tige érigée qui prend appui sur des supports variés s'il est grimpant (ex. la pâquerette est un hémicryptophyte à rosette). Géophytes (du grec gê : terre, phuton : plante) ou cryptophytes : bourgeons dormants sous la surface du sol (distinguer selon la nature de l'organe de conservation souterrain : géophyte à bulbe, à tubercule, à rhizome) (ex. Crocus sativus). Hydrophytes : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles immergées. Hélophytes (du grec halos : sel, phuton : plante) : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles émergées au moins en partie. Végétaux capables de prospérer en milieux saumâtres et eaux douces. (bords de mer, estuaires, chotts, marais, rivière). (ex. salicornes, spartine).

Deux lignes d'univers. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c43553-deux-lignes-d-univers

Deux lignes d'univers

Deux exemples de lignes d'univers : En physique, la ligne d'univers d'un objet est la trajectoire d'un objet lorsqu'il voyage à travers l'espace-temps en 4 dimensions. Le concept de ligne d'univers se distingue du concept de l'« orbite » ou de la « trajectoire » (tel que l'orbite d'un corps dans l'espace ou la trajectoire d'un camion sur une route) par la dimension temporelle. L'idée des lignes d'univers trouve son origine dans la physique et Einstein en fut le pionnier. Le terme est maintenant utilisé le plus souvent dans les théories de la relativité (générale ou restreinte, par exemple). Cependant, les lignes d'univers sont une manière de représenter le cours des événements. Son utilisation n'est pas liée à une théorie spécifique. Dans un usage général, une ligne d'univers est un chemin séquentiel d'événements (avec le temps et l'endroit comme dimensions) qui marquent l'histoire d'un objet. Le carnet de bord d'un navire est une description de sa ligne d'univers, pour autant qu'il comprenne une « étiquette de temps » attachée à chaque position. Il en va de même pour la vitesse d'un navire selon une mesure de distance (appelée métrique) appropriée à la courbe de la surface de la Terre.

Échantillon de gabbro. Source : http://data.abuledu.org/URI/50954362-echantillon-de-gabbro

Échantillon de gabbro

Echantillon de Gabbro (Rock Creek Canyon, est de la Sierra Nevada, Californie). Le gabbro est une roche plutonique issue de la fusion partielle de la péridotite mantellique au niveau de la dorsale ayant subi, contrairement au basalte, un refroidissement lent, donc une cristallisation complète (on note la présence de phénocristaux). Le gabbro est le constituant principal de la couche inférieure de la croûte océanique, mais on le trouve ailleurs que sur la terre ; le gabbro compose une partie des roches de la surface de la Lune. Un gabbro est une roche à structure grenue de couleur verte à noire, composée de plagioclase, de pyroxène, d'amphibole et d'olivine.

Effet de Serre. Source : http://data.abuledu.org/URI/518bee8d-effet-de-serre

Effet de Serre

Représentation schématique et simplifiée des échanges d'énergie entre l'espace, l'atmosphère terrestre, et la surface de la Terre.

Goutte d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/505ec33c-goutte-d-eau

Goutte d'eau

Une goutte d'eau : L'eau est selon Thalès le principe explicatif de toute chose. On attribue parfois à Thalès une conception de l'univers assez séduisante : celui-ci serait un genre de bulle d'air hémisphérique formée par la concavité du ciel et la surface plane de la Terre, qui flotte elle-même sur l'eau. Le mouvement de la Terre sur l'eau expliquerait les tremblements de terre rapporte Sénèque. Thalès « place donc l'eau (ὕδωρ) en tant que principe, sans contexte mythique, à l'origine des choses. » Nietzsche, dans La naissance de la philosophie à l'époque de la tragédie grecque, a dit qu'à travers l'eau, Thalès a su discerner l'unité de l'être, c'est-à-dire un principe explicatif rationnel.

Herse. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c46154-herse

Herse

Une herse est un instrument agricole constitué d'un châssis en forme de grille, formée par deux séries de barres, les unes verticales, les autres horizontales, parallèles entre elles et fixées aux points de croisement. Cet outil est muni de dents courtes et proches les unes des autres qui permettent de travailler la terre en surface pour préparer un lit de semence ou pour le recouvrir. Son passage aplanit le sol, en pulvérisant les mottes, et en enlevant tout ce qui pourrait gêner la germination de la semence.

Horizon du radar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232fa56-horizon-du-radar

Horizon du radar

Les ondes électromagnétiques suivent les règles de l’optique pour les hautes fréquences (>100 MHz). Même le faisceau d’un radar pointant vers l’horizon va s’éloigner de la surface de la Terre parce que celle-ci a une courbure. Une cible qui se trouve à une distance à l’intérieur de la portée maximale du radar mais sous l’horizon du radar ne pourra donc pas être détectée, elle se trouve dans la «zone d’ombre». Cependant, l’horizon du radar est à une plus grande distance que l'horizon optique en ligne directe parce que la variation de l’indice de réfraction avec l’altitude dans l’atmosphère permet à l’onde radar de courber. Le rayon de courbure de la trajectoire de l’onde est ainsi plus grand que celui de la Terre ce qui permet au faisceau radar de dépasser la ligne de visée directe et donc de réduire la zone d’ombre. Le rayon de courbure de la Terre est de 6,4×106 m alors que celui de l’onde radar est de 8,5×106 m.

Indicatrices de Tissot sur le planisphère de Mollweide. Source : http://data.abuledu.org/URI/5096b065-indicatrices-de-tissot-sur-le-planisphere-de-mollweide

Indicatrices de Tissot sur le planisphère de Mollweide

Indicatrices de Tissot sur le planisphère de Mollweide. Chaque cercle rouge a un rayon de 500 km. Échelle : 1:5,000,000. La projection de Mollweide est une projection cartographique pseudo-cylindrique employée le plus souvent pour les planisphères de la Terre (ou du ciel). Connue aussi sous le nom de projection de Babinet ou projection elliptique, le qualificatif de projection équivalente de Mollweide indique qu'elle privilégie la conservation des surfaces à la conservation des angles (projection conforme) : c'est pourquoi on y recourt principalement pour les cartes de l'ensemble de la sphère reproduites sur une surface réduite. Cette projection fut publiée pour la première fois en 1805 par le mathématicien et astronome prussien Karl (ou Carl) Brandan Mollweide (1774 – 1825) de Leipzig, en tant qu’alternative à la projection de Mercator. Jacques Babinet en vulgarisa l’emploi en 1857, sous le nom de projection homolographique.

Jeune pétrel noir de Bourbon. Source : http://data.abuledu.org/URI/521bfad6-jeune-petrel-noir-de-bourbon

Jeune pétrel noir de Bourbon

Ce jeune Pétrel noir de Bourbon (Pseudobulweria aterrima) trouvé échoué au pied de lampadaires a été relâché en bordure de mer. C'est l'une des quatre espèces de Procellariidae nicheuses de l'île de La Réunion et la plus rare. Elle figure depuis 1994 sur la liste rouge de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) comme espèce en danger critique d'extinction. Comme la plupart des pétrels et puffins, le Pétrel de Bourbon est un oiseau qui, sur les sites de nidification et pour aller et venir jusqu'à la mer, est effectivement actif uniquement la nuit. Il fait ainsi partie des espèces qui peuvent être leurrées par les éclairages artificiels nocturnes, prenant ceux-ci, selon les hypothèses, pour des proies (des bancs de calmars bioluminescents) ou simplement pour les reflets du ciel à la surface de l'océan. Il s'échoue alors à terre et est ensuite incapable de reprendre son envol.

La Terre au solstice d'hiver. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e89cd6-la-terre-au-solstice-d-hiver

La Terre au solstice d'hiver

La Terre lors du solstice d'hiver de l'hémisphère nord. L'eurasie à midi (heure d'hiver d'Europe centrale — CET) le jour du solstice d'hiver dans l'hémisphère nord, du solstice d'été dans l'hémisphère sud. Cette image se base sur les données : Earth's City Lights ; et The Blue Marble: Land Surface, Ocean Color and Sea Ice. Ces images proviennent de la NASA, une agence gouvernementale américaine, et sont dans le domaine public. Les zones éclairées ont été créées par Home Planet de John Walker. Image francisée, auteur original : Przemyslaw "Blueshade" Idzkiewicz. Le solstice est un événement astronomique qui se produit lorsque la position apparente du Soleil vu de la Terre atteint son extrême méridional ou septentrional. Les jours avoisinants le solstice d'été sont les plus longs de l'année, tandis que ceux proches du solstice d'hiver sont les plus courts de l'année. Les dates des solstices d'hiver et d'été sont inversées pour les hémisphères nord et sud, ainsi bien sûr que les saisons. Une année connaît deux solstices : le premier entre le 20 et le 22 juin, le deuxième entre le 20 et le 22 décembre. Par extension, les solstices désignent les jours de l'année pendant lesquels ils se produisent. La date des solstices correspond au début de l'été ou de l'hiver astronomique.

Mouvement de précession de la Terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b09e32-mouvement-de-precession-de-la-terre

Mouvement de précession de la Terre

La précession des équinoxes est le lent changement de direction de l'axe de rotation de la Terre. Ce changement de direction est provoqué par le couple qu'exercent les forces de marées de la Lune et du Soleil sur le renflement équatorial de la Terre. Ces forces tendent à amener l'excès de masse présent à l'équateur vers le plan de l'écliptique. La Terre étant en rotation, ces forces ne peuvent changer l'angle entre l'équateur et l'écliptique mais provoquent un déplacement de l'axe de rotation de la Terre dans une direction perpendiculaire à cet axe et au couple. Mis à part les petites perturbations agissant sur ce déplacement (par exemple la nutation), l'axe de la Terre décrit la surface d'un cône ou « entonnoir » à la manière d'une toupie. Ce mouvement aboutit à déplacer l'orientation du pôle Nord parmi les étoiles, en sorte que, au fil des siècles, nous changeons d'étoile polaire. Ce mouvement de l'axe des pôles terrestres entraîne avec lui celui de l'équateur, et de ce fait, le point vernal, ou point équinoxial, précède chaque année sa position antérieure sur l'équateur par rapport à l'écliptique. Pour cette raison ce mouvement est appelé précession des équinoxes. Le point équinoxial effectue de la sorte à reculons un tour complet de l'écliptique en plus ou moins 25 800 années et l'axe de la Terre décrit en ce même temps un cône complet.

Orogénèse. Source : http://data.abuledu.org/URI/503d3a5c-orogenese

Orogénèse

L’orogenèse est le terme scientifique désignant l'ensemble des mécanismes de formation des montagnes, divers systèmes théoriques (modèles géodynamiques) englobant ces processus de formation des reliefs, et des ensembles d'orogènes (systèmes montagneux sur une portion de croûte terrestre ayant subi d'importantes contraintes compressives engendrant plis et nappes de charriage) se succédant à travers les temps géologiques encore appelés phases orogéniques. En ce qui concerne ces regroupements temporels et géographiques effectivement constatés, les cycles de Wilson donnent un cadre explicatif cohérent basé sur la tectonique des plaques et la finitude de la surface sub-sphérique de la Terre.

Portrait de Blaise Pascal. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b6c1d8-portrait-de-blaise-pascal

Portrait de Blaise Pascal

Portrait de Blaise Pascal (1623-1662). Illustration par Yan Dargent (1824-1899), in Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, p.135, Firmin-Didot, 1883 (wikisource) : Les couches supérieures de l’air, pesant de tout leur poids sur les couches inférieures, leur donnent des densités proportionnelles aux pressions qu’elles éprouvent ; la densité de l’air va donc en décroissant de la surface de la terre aux limites de l’atmosphère ; c’est ce que démontre l’expérience de Pascal...

Profil d'ouragan. Source : http://data.abuledu.org/URI/52c7cae0-profil-d-ouragan

Profil d'ouragan

Profil d'ouragan : Cyclone tropical vu de profil. L'oeil d'un cyclone correspond à une singularité de même nature que celle qu'impose le théorème de la boule chevelue. Ce théorème possède en effet une conséquence météorologique. Le vent, sur la surface du globe se décrit par une fonction continue. Une modélisation schématique le représente par un champ de vecteurs bi-dimensionnel. Relativement au diamètre de la terre, la composante verticale du vent est en effet négligeable. Une première manière de satisfaire le théorème de la boule chevelue consiste à imaginer l'existence d'un point de la surface terrestre absolument sans vent. Une telle hypothèse est physiquement irréaliste. Une modélisation physiquement plus en cohérence avec l'observation implique l'existence d'un complexe cyclonique ou anticyclonique. Le théorème de l'article impose l'existence permanente d'un point sur terre où le vent se modélise par un système tourbillonnant avec, en son centre un œil où la composante horizontale du vent est nulle. Cette conséquence est de fait observée dans la réalité. Le théorème n'offre aucune indication sur la taille de l'œil ou sur la puissance des vents qui l'entourent. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9or%C3%A8me_de_la_boule_chevelue.

Proportions des gaz dans l'atmosphère. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be1f4b-proportions-des-gaz-dans-l-atmosphere

Proportions des gaz dans l'atmosphère

Proportion actuelle des gaz atmosphériques (moyennes variant régionalement et saisonnièrement). Les gaz de l'atmosphère sont continuellement brassés, l'atmosphère n'est pas homogène, tant par sa composition que par ses caractéristiques physiques. La concentration des composants minoritaires, et en particulier les polluants, est très hétérogène sur la surface du globe, car des sources d'émission très locales existent, soit liées à l'activité humaine (usines, air intérieur ou extérieur, etc.) soit à des processus naturels (géothermie, décomposition de matières organiques, etc.). Au niveau de la mer, l'air sec est principalement composé de 78,1 % de diazote, 20,9 % de dioxygène, 0,93 % d'argon et de 0,034 % de dioxyde de carbone pour les gaz majeurs. Toutefois, il comporte aussi des traces d'autres éléments chimiques, les gaz mineurs, dont la proportion varie avec l'altitude. Les gaz à effet de serre majeurs sont la vapeur d'eau, le méthane, l'oxyde d'azote et l'ozone. Les concentrations en dioxyde de carbone s'élèvent, en 2011, à 0,0392 %, soit 392 ppm alors qu'en 1998, elle était de 345 ppm. D'autres éléments d'origine naturelle sont présents en plus faible quantité, dont la poussière, le pollen et les spores ainsi que des virus, bactéries.

Répartition mondiale des espèces de reptiles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f73011-repartition-mondiale-des-especes-de-reptiles

Répartition mondiale des espèces de reptiles

Répartition mondiale du nombre d'espèces de reptiles par continents. Les reptiles sont présents sur quasiment l'intégralité de la surface du globe, à l'exception des zones trop froides à proximité des pôles. Comme ce sont des animaux à sang froid, ils préfèrent tout de même les températures assez élevées, et leur présence et leur diversité deviennent plus importante à proximité des tropiques. Ainsi, les continents les plus riches en reptiles sont l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Sud. Les reptiles peuvent s'adapter à des habitats très différents. On les trouve très présents dans les forêts tropicales, avec une très forte diversité d'espèces, mais ils peuplent également les déserts, où l'on retrouve des lézards et des serpents qui s'abritent durant la journée et sortent la nuit. Dans les zones montagneuses les lézards aiment se cacher dans des amas de pierres, et certains serpents se sont spécialisés dans les zones d'altitude comme la Vipère d'Orsini (Vipera ursinii) que l'on trouve dans les hautes montagnes d'Europe à des altitudes avoisinant 2 000 m. Certains reptiles sont dits fouisseurs et passent une partie de leur vie sous la terre comme les amphisbènes. Les reptiles ont également colonisé les milieux aquatiques : les crocodiliens, certaines tortues comme la Cistude d'Europe et certains serpents comme l'anaconda, le Mocassin d'eau et les couleuvres sont à leur aise dans les rivières et lacs d'eau douce, quand les tortues marines sont présentes dans tous les océans du monde, et ne rejoignent la terre ferme que pour se reproduire. Les serpents marins représentent un niveau d'adaptation supérieur, puisqu'ils ne retournent plus du tout à terre pour la plupart d'entre eux, et ont adopté un cycle de vie exclusivement marin. De nombreuses espèces ont des mœurs arboricoles, comme les serpents ou les lézards. Certains peuvent se déplacer d'arbre en arbre en « planant » comme les dragons volants et dans une moindre mesure certains serpents comme les couleuvres volantes.

Spectre d'irradiance solaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5218facb-spectre-d-irradiance-solaire

Spectre d'irradiance solaire

Le Soleil émet un rayonnement électromagnétique dans lequel on trouve notamment les rayons cosmiques, gamma, X, la lumière visible, l’infrarouge, les micro-ondes et les ondes radios en fonction de la fréquence d’émission. Tous ces types de rayonnement électromagnétique émettent de l’énergie. Le niveau d’irradiance (le flux énergétique) arrivant à la surface de la Terre dépend de la longueur d’onde du rayonnement solaire.

Surfaces de repérage sur la Terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50969a7f-cd-surfref-png

Surfaces de repérage sur la Terre

Croquis des différentes surfaces de repérage sur la Terre. Dans l'acception française du terme, la géodésie s'occupe de la détermination de la forme et des dimensions de la Terre dans son ensemble (autrement dit, de la "figure de la Terre"), ainsi que de son champ de pesanteur (pour l'étude duquel on emploie actuellement le terme de géodésie physique). On définit le géoïde comme étant une surface équipotentielle du champ de pesanteur, choisie arbitrairement, mais très proche du niveau des océans que, par la pensée, nous pouvons prolonger sous les continents. On introduit des systèmes de référence pour décrire le mouvement de la Terre dans l'espace (« système céleste »), ainsi que la géométrie de surface et le champ de pesanteur de la Terre (« système terrestre »). Le choix des meilleurs systèmes de référence, compte tenu des progrès spectaculaires de la métrologie actuelle, est devenu l'une des grandes avancées de la géodésie, la géométrie globale de la Terre étant désormais mesurée à mieux que 1 cm.

Taille de quatre planètes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e34f31-taille-de-quatre-planetes

Taille de quatre planètes

Les planètes telluriques, de gauche à droite : Mercure, Vénus, Terre, et Mars. La Terre est une planète tellurique, c'est-à-dire une planète essentiellement rocheuse à noyau métallique, contrairement aux géantes gazeuses, telles que Jupiter, essentiellement constituées de gaz légers (hydrogène et hélium). Il s'agit de la plus grande des quatre planètes telluriques du Système solaire, que ce soit par la taille ou la masse. De ces quatre planètes, la Terre a aussi la masse volumique globale la plus élevée, la plus forte gravité de surface, le plus puissant champ magnétique global, la vitesse de rotation la plus élevée et est probablement la seule avec une tectonique des plaques active.

Trois chiens terre-neuve chargés de sauvetage en mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e186f6-trois-terre-neuves-charges-de-sauvetage-en-mer

Trois chiens terre-neuve chargés de sauvetage en mer

Pour le sauvetage en mer, plusieurs conditions sont requises : il faut que le chien soit assez costaud pour ramener un être humain. Son poil est double : la sous-couche isolante lui permet de lutter contre le refroidissement en eau glacée et le poil de surface résiste à l’eau. Le terre-neuve peut ainsi nager pendant des heures (dit-on…) tout en restant au sec et au chaud. De plus, le chien doit aimer l’eau, ou du moins, il doit être capable de se jeter à l’eau sans crainte et il doit nager volontiers. Avec ses pieds palmés, il prend appui dans l’eau et avance plus aisément (sa musculature doit être suffisamment développée pour donner l’impulsion et la puissance au mouvement dans l’eau). Finalement, le terre-neuve doit être très résistant à l’épuisement musculaire. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Terre-neuve.

Un triangle sur un globe. Source : http://data.abuledu.org/URI/505b6915-un-triangle-sur-un-globe

Un triangle sur un globe

Sur une sphère, la somme des angles d'un triangle n'est pas égale à 180° : une sphère n'est pas un espace euclidien. Par contre, les lois de la géométrie euclidienne sont de bonnes approximations locales. Pour un petit triangle sur la surface de la Terre, la somme des angles est proche de 180°.

Variations des températures depuis 1880. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c76f41-variations-des-temperatures-depuis-1880

Variations des températures depuis 1880

Variations des températures de surface depuis 1880 : Ce graphique montre bien l'écart minimal de l'élévation des températures entre des causes de réchauffement naturel et des causes liées aux gaz à effet de serre selon le GIEC. Une élévation de la température moyenne de +0,8°C dans les décennies à venir deviendrait très difficile à expliquer par des causes naturelles. Le GIEC prévoit une température moyenne à +0,8°C dès 2020. Entre les 2 courbes, on aurait un réchauffement climatique engendré par des causes naturelles et anthropiques, qui sont des théories soutenues par d'autres sceptiques des thèses du GIEC. --cartedd # 10 mars 2010 à 12:59 (CET)