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Photographie | Dessins et plans | Gravure | Dix-neuvième siècle | Alice au pays des merveilles - Lewis Carroll (1832-1898) | Lewis Carroll (1832-1898) | Dugald Stewart Walker (1883-1937) | Dessin en noir et blanc | Littérature pour la jeunesse | Hans Christian Andersen (1805-1875) | Peinture | Contes de fées | Art nouveau (décoration) | Coloriages | Fillettes | Chlorophylle | Dix-huitième siècle | Temps (météorologie) | Amérindiens | Botanique | ...
Absorption de la chlorophylle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e41760-absorption-de-la-chlorophylle

Absorption de la chlorophylle

Grahique du spectre d'absorption de la chlorophylle : en vert le spectre d'absorption de la chlorophylle a et en rouge le spectre d'absorption de la chlorophylle b. Le spectre visible se situe approximativement entre 380 nm à 780 nm bien qu'une gamme de 400 nm à 700 nm soit plus commune. La lumière perçue comme « verte » par l’œil et le cerveau humain a une longueur d'onde, selon les notions de la couleur « verte », approximativement entre 490 et 570 nanomètres. On remarque sur le graphique que l’absorbance de la chlorophylle est moindre pour cette plage du spectre électromagnétique. La chlorophylle absorbe donc la majeure partie du spectre visible sauf la lumière verte. La lumière rouge a une longueur d'onde de 620-750nm et une fréquence de 400-484THz. La région du rouge atteint un maximum de 660-670 nm pour la Chlorophylle A et aux alentours de 635-645 nm pour la Chlorophylle B. Les plantes ont un grande besoin des ondes rouges sauf celles beaucoup plus longues que 670 nm. La lumière bleue a une longueur d'onde de 450-495nm et une fréquence de 606-668THz. La photosynthèse fonctionne le mieux grâce aux ondes de la couleur rouge, et à moindre degré à celles de la couleur bleue. Mais certaines plantes ont un plus grand besoin de bleu que d'autres pour une croissance saine - notamment pour que les fleurs éclosent et pour que les fruits poussent.

Ah, vous dirai-je ma soeur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f27fb7-ah-vous-dirai-je-ma-soeur

Ah, vous dirai-je ma soeur

Illustration de la chanson du chapeler fou d'Alice. Source : 26 Illustration d'origine (1865), par John Tenniel (28 février 1820 – 25 février 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : « Ah ! vous dirai-je, ma sœur, Ce qui calme ma douleur ! C’est que j’avais des dragées, Et que je les ai mangées. » Traduction littérale : Brille, brille petite chauve-souris ! Comme je me demande ce que tu manigances. Tu survoles de haut le monde Comme un plateau à thé dans le ciel...

Alice et la petite clef. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf7e7f-alice-et-la-petite-clef

Alice et la petite clef

Alice et la petite clef, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Tout à coup elle rencontra sur son passage une petite table à trois pieds, en verre massif, et rien dessus qu’une toute petite clef d’or. Alice pensa aussitôt que ce pouvait être celle d’une des portes ; mais hélas ! soit que les serrures fussent trop grandes, soit que la clef fût trop petite, elle ne put toujours en ouvrir aucune. Cependant, ayant fait un second tour, elle aperçut un rideau placé très-bas et qu’elle n’avait pas vu d’abord ; par derrière se trouvait encore une petite porte à peu près quinze pouces de haut...

Alice fait tomber le lapin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8f07-alice-fait-tomber-le-lapin

Alice fait tomber le lapin

Alice fait tomber le lapin blanc, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (28 février 1820 – 25 février 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Elle attendit un peu ; puis, quand elle crut que le Lapin était sous la fenêtre, elle étendit le bras tout à coup pour le saisir ; elle ne prit que du vent. Mais elle entendit un petit cri, puis le bruit d’une chute et de vitres cassées (ce qui lui fit penser que le Lapin était tombé sur les châssis de quelque serre à concombre)...

Alice grandit encore. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cf8d70-alice-grandit-encore

Alice grandit encore

Alice grandit encore, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Tout en causant ainsi, Alice était entrée dans une petite chambre bien rangée, et, comme elle s’y attendait, sur une petite table dans l’embrasure de la fenêtre, elle vit un éventail et deux ou trois paires de gants de chevreau tout petits. Elle en prit une paire, ainsi que l’éventail, et allait quitter la chambre lorsqu’elle aperçut, près du miroir, une petite bouteille. Cette fois il n’y avait pas l’inscription BUVEZ-MOI — ce qui n’empêcha pas Alice de la déboucher et de la porter à ses lèvres. « Il m’arrive toujours quelque chose d’intéressant, » se dit-elle, « lorsque je mange ou que je bois. Je vais voir un peu l’effet de cette bouteille. J’espère bien qu’elle me fera regrandir, car je suis vraiment fatiguée de n’être qu’une petite nabote ! » C’est ce qui arriva en effet, et bien plus tôt qu’elle ne s’y attendait. Elle n’avait pas bu la moitié de la bouteille, que sa tête touchait au plafond et qu’elle fut forcée de se baisser pour ne pas se casser le cou. Elle remit bien vite la bouteille sur la table en se disant : « En voilà assez ; j’espère ne pas grandir davantage. Je ne puis déjà plus passer par la porte. Oh ! je voudrais bien n’avoir pas tant bu ! » Hélas ! il était trop tard ; elle grandissait, grandissait, et eut bientôt à se mettre à genoux sur le plancher. Mais un instant après, il n’y avait même plus assez de place pour rester dans cette position, et elle essaya de se tenir étendue par terre, un coude contre la porte et l’autre bras passé autour de sa tête. Cependant, comme elle grandissait toujours, elle fut obligée, comme dernière ressource, de laisser pendre un de ses bras par la fenêtre et d’enfoncer un pied dans la cheminée en disant : « À présent c’est tout ce que je peux faire, quoi qu’il arrive. Que vais-je devenir ? »

Alice, la reine et les jardiniers. Source : http://data.abuledu.org/URI/532d9f62-alice-la-reine-et-les-jardiniers

Alice, la reine et les jardiniers

Alice, la reine et les jardiniers (chapitre 8, le croquet de la reine), 1909, illustration par Arthur Rackham (1867–1939) : Et qui sont ceux-ci ? dit la Reine, montrant du doigt les trois jardiniers étendus autour du rosier. Car vous comprenez que, comme ils avaient la face contre terre et que le dessin qu’ils avaient sur le dos était le même que celui des autres cartes du paquet, elle ne pouvait savoir s’ils étaient des jardiniers, des soldats, des courtisans, ou bien trois de ses propres enfants.

Alose. Source : http://data.abuledu.org/URI/52013ef9-alose

Alose

Alose (Alosa fallax) : L'alose est un poisson anadrome de la famille des Clupeidae, qui comprend également la sardine et le hareng, notamment. On en trouve dans les eaux littorales et continentales des façades de la Manche et de l’Atlantique ainsi que dans les estuaires de la façade atlantique, particulièrement celui de la Gironde. D'avril à juin, l'alose remonte le cours des fleuves côtiers et de leurs affluents de la façade atlantique française pour s'y reproduire. La ponte est dite « active ». La durée de ponte s’étend de 23 heures à 5 heures du matin, mais la période de plus forte activité se situe entre 1 heure et 3 heures du matin, quand la température de l’eau atteint au moins 18°C. Le mâle et la femelle remontent en surface, se positionnent face à face et tournent sur eux-mêmes en frappant violemment la surface de l’eau avec leur nageoire caudale, créant beaucoup de bruit et de remous. C’est pendant cette phase, appelée « bull », que la femelle expulse ses œufs et que le mâle les féconde. Le comptage acoustique des bulls est utilisé pour évaluer l'intensité de la reproduction et son évolution dans le temps.

Ampèremètre analogique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bcac2d-amperemetre-analogique

Ampèremètre analogique

Ampèremètre analogique : Un ampèremètre est un appareil de mesure de l'intensité d'un courant électrique dans un circuit. L'unité de mesure de l'intensité est l'ampère, symbole : A. Ils sont de plus en plus remplacés par des ampèremètres numériques. Pourtant, en pratique, l'observation de leur aiguille peut fournir des informations sur les variations du courant mesuré que l'affichage numérique ne donne que difficilement. Le terme analogique désigne les phénomènes, appareils électroniques, composants électroniques et instruments de mesure qui représentent une information par la variation d'une grandeur physique (ex. une tension électrique). Ce terme provient du fait que la mesure d'une valeur naturelle (ou d'un élément de signal électrique ou électronique) varie de manière analogue à la source.

Avion en papier. Source : http://data.abuledu.org/URI/518f765a-avion-en-papier

Avion en papier

Fabrication d'un avion en papier par pliage. Un avion en papier est un origami (ou pliage) que l'on fabrique artisanalement en pliant du papier de manière à ce qu'il puisse planer comme le ferait un planeur. Sa popularité est due au fait que c'est l'un des types les plus simples d'origami et des plus faciles à maîtriser par un débutant. Dans sa version la plus simple, il ne requiert que six étapes pour être achevé correctement.

Bande brillante sur radar météorologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232e922-bande-brillante-sur-radar-meteorologique

Bande brillante sur radar météorologique

En haut, CAPPI de 1,5km d'altitude montrent de forts échos radar, en jaune, parmi des échos plus faibles en vert. Dans la partie du bas, la coupe verticale à travers les données radar montre que ces intensités sont dues à la présence d'une zone de réflectivité plus intense se situant entre 1,5 km à 2,5 km d'altitude. Cette bande brillante est causée par de la neige fondante. Source: Meteorological Service of Canada (Environment Canada). Le retour de réflectivité est proportionnel au diamètre, au nombre et à la constante diélectrique de la cible. Entre un flocon de neige et une goutte de pluie de même masse, il y a une différence importante de ces trois variables. Ainsi le diamètre d'un flocon est beaucoup plus grand que celui de la goutte mais la constante diélectrique est beaucoup plus petite. Les flocons tombant plus lentement, ils ont une plus grande concentration que les gouttes mais celles-ci se combinent souvent par collisions pour donner de plus grosses cibles. Lorsque l'on tient compte de tous ces facteurs et que l'on calcule la réflectivité de chacune de ces deux cibles, on se rend compte que la différence est d'environ 1,5 dBZ en faveur de la goutte. Lorsque de la neige, en altitude, descend vers le sol et rencontre de l'air au-dessus du point de congélation, elle se transforme en pluie. Donc on s'attend à ce que la réflectivité augmente d'environ 1,5 dBZ entre une donnée radar prise dans la neige et une autre prise dans la pluie. À l'altitude où la neige commence à fondre, il y a cependant un rehaussement des réflectivités jusqu'à 6,5 dBZ. Qu'arrive-t-il? À ce niveau, nous avons affaire à des flocons mouillés. Ils ont encore un diamètre important, se rapprochant de celui des flocons de neige, mais leur constante diélectrique s'approche de celle de la pluie et ils tombent lentement. Nous avons alors les trois facteurs favorisant une plus grande réflectivité. Il en résulte une zone qu'on appelle la bande brillante. Dans les données radar, sur PPI ou CAPPI, qui croisent ce niveau, l'on verra alors un rehaussement des intensités des précipitations qui n'est pas réel. Utiliser les taux de précipitations contaminés par la bande brillante conduira donc à une surestimation des quantités de pluie au sol. Plusieurs techniques ont été développées pour filtrer cet artéfact par plusieurs services météorologiques. Le principe général est de repérer le niveau de la bande brillante et d'essayer d'utiliser les données dans la pluie sous celle-ci, si possible, ou sinon dans la neige au-dessus, mais avec correction.

Bouteille de Klein en verre. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f2be44-bouteille-de-klein-en-verre

Bouteille de Klein en verre

Réalisation de l'immersion de la bouteille de Klein, en verre. On peut en quelque sorte considérer que la bouteille de Klein est une surface qui fait un « nœud ». En tant que surface (objet à 2 dimensions), il lui faut 4 dimensions pour faire un nœud, de même que pour une courbe (objet à une dimension) il faut 3 dimensions pour faire un nœud.

Brouette en équilibre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51de5fca-brouette-en-equilibre

Brouette en équilibre

Schéma d'équilibre statique d’une brouette. Comme le poids et l’action du sol sont verticaux, nécessairement pour que l’égalité vectorielle (1) soit possible, l’action du pousseur l’est aussi. Au niveau de la position du rouleur, l’équilibre est obtenu lorsque les articulations des épaules se trouvent dans un même plan vertical que les poignets et les appuis au sol. Alors l’équation traduit le fait que la roue et le pousseur se partagent la charge. La statique du solide est la branche de la statique étudiant l'équilibre des pièces dans un mécanisme. C'est un maillon essentiel dans le dimensionnement des systèmes mécaniques réels.

Buste d'Épicure. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bd0177-buste-d-epicure

Buste d'Épicure

Buste d'Épicure, fondateur de l'épicurisme, copie romaine d'un original hellénistique. Épicure (en grec Ἐπίκουρος) est un philosophe grec, né fin -342 ou début -341 et mort en -270. Il est le fondateur, en -306, de l'épicurisme, l'une des plus importantes écoles philosophiques de l'Antiquité. En physique, il soutient que tout ce qui est se compose d'atomes indivisibles. Les atomes se meuvent aléatoirement dans le vide et peuvent se combiner pour former des agrégats de matière. L'âme en particulier serait un de ces agrégats d'atomes, et non une entité spirituelle, notamment d'après son disciple Lucrèce. En éthique, le philosophe grec défend l'idée que le souverain bien est le plaisir, défini essentiellement comme « absence de douleur ». En logique ou épistémologie, Épicure considère que la sensation est à l'origine de toute connaissance et annonce ainsi l'empirisme. La doctrine d'Épicure peut être résumée par ce que les épicuriens ont appelé le tetrapharmakon (quadruple-remède, ou "quadruple-poison" : car tout est question de posologie), que fit graver Diogène d'Œnoanda sur le mur d'un portique, formulé ainsi : on ne doit pas craindre les dieux ; on ne doit pas craindre la mort ; le bien est facile à atteindre ; on peut supprimer la douleur. Épicure classait les besoins et aspirations en quatre catégories : Besoins naturels indispensables à la vie (boire, manger, dormir), au bien-être (maison, hygiène, diététique, affection), et au bonheur (philosophie, amitié, sagesse) ; Aspirations naturelles dont on peut à la rigueur se passer (le sexe, l'amour, jeux, arts, sciences, etc.) ; Aspirations de création humaine et donc artificielles (richesse, gloire, etc.) ; Aspirations mystiques et non réalisables (désirs d'immortalité, etc.).

Cadran britannique de berger. Source : http://data.abuledu.org/URI/524c3375-cadran-britannique-de-berger

Cadran britannique de berger

Cadran britannique de berger sur un cylindre (d'août à novembre). Source : Encyclopædia Britannica, 1911, Volume 8, Slice 3. Un cadran de berger est un cadran solaire de hauteur, portable, permettant de lire l´heure sur une surface verticale. Pour lire l´heure, il faut procéder en 3 temps : 1) d'abord faire tourner la lame sur le dessus du cylindre de façon à ce qu'elle soit située en face de la date du jour ; 2) puis tenir le cylindre bien verticalement (certains modèles disposent d'un fil permettant de suspendre le cylindre - comme on le fait lorsque l'on tient un fil à plomb) ; 3) et enfin orienter le cylindre vers le Soleil de façon que l'ombre de la lame soit verticale et donc aussi mince que possible. L´extrémité de l'ombre de la lame sur le cylindre se trouve alors sur une courbe horaire correspondante à l´heure solaire (angle horaire du soleil) du moment, celle-ci permettant après correction d'obtenir l'heure légale officielle. Un cadran de berger est conçu pour une latitude donnée. Il ne donne donc l'heure que si l'on ne s'éloigne pas trop du parallèle correspondant.

Carte de Cassini Lourdes Est. Source : http://data.abuledu.org/URI/5156a4da-carte-de-cassini-lourdes-est

Carte de Cassini Lourdes Est

Extrait d'une carte de Cassini : César-François Cassini (1714-1784) et Jean-Dominique Cassini (1748-1845) ; version établie sous le premier Empire, vers 1810. Elle recouvre le territoire de la Baronnie des Angles et correspond en partie à l'actuel canton de Lourdes Est. Elle livre les noms des paroisses, des succursales de paroisse avec église (succ) telle que Bourréac et des noms de hameaux sans église. L'orthographe des noms peut avoir changé par rapport à celle que l'on note dans des documents du siècle précédent. On notera que Bourréac, écrit Bourriac dans le siècle précédent, a son orthographe d'aujourd'hui et que le hameau de Récahorts est alors appelé Réquehor qui est une forme de transition succèdant à Roquehort du siècle précédent.

Causes de l'épuisement professionnel. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d23d04-causes-de-l-epuisement-professionnel

Causes de l'épuisement professionnel

Schéma des causes de syndrome d'épuisement professionnel d'après le modèle de recherche de Carol Cordes et Thomas Dougherty (Carol Cordes, Thomas Dougherty, Academy of Management Review, vol. 18 : "integration of research on job burnout", 1993 ISSN 0363-7425, p. 621–656). Les variables génératrices du syndrome d’épuisement professionnel se situent schématiquement à trois niveaux : organisationnel, interindividuel et intraindividuel. Il est à noter que le rôle des technologies de l'information et de la communication (TIC) est de plus en plus discuté par les sociologues. En effet, leur évolution pourrait contribuer au mélange des plages de travail et de repos (phénomène de "weisure = work + leisure"), conduisant ainsi à un enchainement inintérompu des causes sous-citées. Au niveau organisationnel, on étudie l’influence du contenu de l’activité et celle du contexte dans lequel elle se déroule. Au niveau interindividuel, c’est principalement l’effet de relations déséquilibrées, injustes, des conflits, mais aussi du soutien social ou de son absence qui est étudié. Étant donné le nombre élevé des emplois de services où les relations avec autrui sont capitales, ces variables sont importantes. La théorie de l’équité, celles du support social et de l’affiliation fournissent à ce niveau des grilles de lecture pertinentes. les caractéristiques individuelles jouent un rôle essentiel dans l’émergence de la réaction de stress. L’évaluation d’un stresseur (comme une tâche supplémentaire à réaliser, des horaires de travail qui changent, une organisation de travail différente, etc.) varie d’un individu à l’autre. Certains peuvent y voir un défi permettant d’exercer leurs compétences, d’autres ne retiennent que la menace. En outre, les caractéristiques individuelles agissent sur les capacités de faire face à ces exigences, sur les ressources que l’individu cherche à mobiliser. Certains se sentent plus aptes que d’autres à contrôler la situation, à mobiliser le soutien de leurs collègues et à utiliser ce support efficacement. Au niveau individuel, on s’intéresse aussi à la sphère attitudinale, notamment aux attentes des individus, ou à l’écart entre attentes et réalité de travail. Les variables sociodémographiques sont également prises en compte, lorsqu’on étudie les différences entre hommes et femmes, l’influence de l’âge, du sexe ou du statut matrimonial. Il va sans dire que, quel que soit le niveau d’analyse, on recherche les facteurs qui déclenchent le processus de "burnout", mais aussi ceux qui freinent sa progression. Les ressources disponibles ralentissent l’évolution du processus.

Ce que vit la lune d'Andersen - 02. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ca5645-ce-que-vit-la-lune-d-andersen-02

Ce que vit la lune d'Andersen - 02

Ce que vit la lune, conte de fées de Hans Christian Andersen (1805-1875), illustré par Dugald Stewart Walker (1883-1937), (1914, Garden City, N.Y. : Doubleday), page 198.

Ce que vit la lune d'Andersen en 1914. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ca54f6-ce-que-vit-la-lune-d-andersen-en-1914

Ce que vit la lune d'Andersen en 1914

Frontispice de "Ce que vit la lune", conte de fées de Hans Christian Andersen (1805-1875), illustré par Dugald Stewart Walker (1883-1937), (1914, Garden City, N.Y. : Doubleday), page 160.

Ce que vit la lune d'Andersen en 1914. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ca5cc1-ce-que-vit-la-lune-d-andersen-en-1914

Ce que vit la lune d'Andersen en 1914

Ce que vit la lune, conte de fées de Hans Christian Andersen (1805-1875), illustré par Dugald Stewart Walker (1883-1937), (1914, Garden City, N.Y. : Doubleday), page 192.

Ce que vit la lune d'Andersen en 1914 - 01. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ca55b0-ce-que-vit-la-lune-d-andersen-en-1914-01

Ce que vit la lune d'Andersen en 1914 - 01

Ce que vit la lune, conte de fées de Hans Christian Andersen (1805-1875), illustré par Dugald Stewart Walker (1883-1937), (1914, Garden City, N.Y. : Doubleday), page 179.

Changement de couleur d'une feuille de vigne en automne. Source : http://data.abuledu.org/URI/52784da1-changement-de-couleur-d-une-feuille-de-vigne-en-automne

Changement de couleur d'une feuille de vigne en automne

Changement de couleur d'une feuille de vigne au automne (octobre 2004) : les nervures sont restées vertes tandis que les autres tissus sont devenus rouges. À la fin de l'été, les nervures qui assurent le transport de fluides vers l'intérieur et l'extérieur de la feuille sont progressivement obstruées par un bouchon de liège à la base des feuilles, à l'endroit où précisément le pétiole se brisera. Avec le développement de cette couche de liège, l'afflux d'eau et de minéraux se réduit de plus en plus rapidement. C'est durant cette période que le niveau de chlorophylle commence à décroître. C'est alors que les autres pigments, qui étaient présents dans les cellules durant toute la vie de la feuille, commencent à être visibles. Ce sont les caroténoïdes, qui émettent dans des couleurs jaunes, rouges, brunes et orange.

Communication entre émetteur et récepteur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ee63c0-communication-entre-emetteur-et-recepteur

Communication entre émetteur et récepteur

Communication du type émetteur - message - receveur : Cette forme de communication n'a été formalisée qu'aux cours des deux derniers siècles. La communication interpersonnelle est fondée sur l'échange de personne à personne, chacune étant à tour de rôle l'émetteur et/ou le récepteur dans une relation de face à face : la rétroaction est censée être facilitée sinon quasi-systématique. On dit parfois que la communication est « holistique », c'est-à-dire qu'elle fait intervenir le tout de l'homme (communication verbale et non verbale), ainsi que l'environnement (possibilité d'interférences environnementales dans la communication). Pour l'école de Palo Alto, la communication est fondamentale et essentielle pour l'homme : « on ne peut pas ne pas communiquer ». Que l'on se taise ou que l'on parle, tout est communication. Nos gestes, notre posture, nos mimiques, notre façon d'être, notre façon de dire, notre façon de ne pas dire, toutes ces choses « parlent » à notre récepteur. La communication est aussi une forme de manipulation. Quand bien même notre intention première voire délibérée n'est pas de manipuler, nous communiquons souvent dans l'intention d'influencer ou de modifier l'environnement ou le comportement d'autrui.

Composition de Kandinsky en 1913. Source : http://data.abuledu.org/URI/54d4923e-composition-de-kandinsky-en-1913

Composition de Kandinsky en 1913

Composition n°6 de Kandinsky en 1913. Son premier grand ouvrage théorique sur l’art, intitulé "Du spirituel dans l’art et dans la peinture en particulier", paraît fin 1911. Il expose dans ce court traité sa vision personnelle de l’art dont la véritable mission est d’ordre spirituel, ainsi que sa théorie de l’effet psychologique des couleurs sur l’âme humaine et leur sonorité intérieure. "L’Almanach du Cavalier Bleu" est publié peu de temps après. Ces écrits de Kandinsky servent à la fois de défense et de promotion de l’art abstrait, ainsi que de démonstration que toute forme d’art authentique était également capable d’atteindre une certaine profondeur spirituelle. Il pense que la couleur peut être utilisée dans la peinture comme une réalité autonome et indépendante de la description visuelle d’un objet ou d’une autre forme. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vassily_Kandinsky

Condorcet, Essai de. Source : http://data.abuledu.org/URI/50acaecd-condorcet-essai-de-

Condorcet, Essai de

Page de titre de l'Essai de Condorcet de 1785. Dans de nombreux ouvrages, (Essai sur l’application de l’analyse à la probabilité des décisions rendues à la pluralité des voix - Essai sur la constitution et les fonctions des assemblées provinciales - Sur les élections ), Condorcet s’intéresse à la représentativité des systèmes de vote. Il démontre que le vote à la pluralité peut très bien ne pas représenter les désirs des électeurs dès lors que le premier candidat ne récolte pas plus de la moitié des voix. Il propose son propre système de vote, la méthode Condorcet, dans lequel l'unique vainqueur est celui, s'il existe, qui comparé tour à tour à tous les autres candidats, s'avèrerait à chaque fois être le candidat préféré. Néanmoins, il admet que ce système est peu réalisable à grande échelle et échange une correspondance très riche avec Jean-Charles de Borda concepteur d’un autre système, la méthode Borda. Il met en évidence une faille dans son propre système de vote — le paradoxe de Condorcet — qui prouve l’impossibilité, dans son système, de dégager avec certitude une volonté générale à partir d’une somme de volontés individuelles. Kenneth Arrow prouvera par la suite que cette impossibilité est inhérente à tout système de vote (Théorème d'impossibilité d'Arrow).

Construction du nombre chez l'enfant. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d2484b-construction-du-nombre-chez-l-enfant

Construction du nombre chez l'enfant

Construction du nombre chez l'enfant à l'aide de marionnettes : Expérience de Wynn sur les réactions aux événements impossibles. Wynn6, en 1992, a établi une procédure expérimentale, afin d’étudier chez des bébés de quatre et cinq mois leur capacité à faire des calculs simples tels que l’addition et la soustraction. Ainsi elle utilise un petit théâtre de marionnettes, avec des personnages attirant l’attention des enfants, et elle introduit des événements impossibles afin de mesurer le temps de fixation de l’enfant. Ce temps devra déterminer si l’enfant « estime » l’événement possible, ou transgressant une loi physique. Dans la situation d’addition, les enfants réagissent à l’événement impossible (1+1=1), en fixant la scène plus longtemps. Dans la situation de soustraction, l’auteur constate qu’il en est de même pour l’évènement (2 -1=2). Ainsi Wynn en conclut que les enfants de quatre et cinq mois ont des capacités précises du nombre, et pas seulement une dichotomie entre unique et plusieurs. De plus, on peut noter que pour réussir l’épreuve, les bébés devaient avoir acquis la permanence de l'objet.

Culture du Taro. Source : http://data.abuledu.org/URI/529bba76-culture-du-taro-

Culture du Taro

Culture du Taro (Colocasia esculenta) à Keanae, Maui, Hawaii (août 2002). La plantation doit être faite au début de la saison des pluies. On l'associe avec d'autres plantes telles que l'igname et l'aubergine. Son cycle végétatif s'étend de 8 à 18 mois. La plante exige une humidité suffisante du sol. On récolte les jeunes feuilles dès que le besoin se fait sentir. La récolte des tubercules peut s'effectuer dès que les feuilles les plus âgées dépérissent : 6 à 7 mois après plantation pour le taro. La production est très souvent vivrière, assez rarement commercialisée.

Dessin de chouette. Source : http://data.abuledu.org/URI/5072a8b9-dessin-de-chouette

Dessin de chouette

Dessin de chouette de Gessner (1555) : Son ouvrage le plus célèbre est son Historia animalium, qu'il commence à publier en 1551. Le dernier volume, posthume, paraîtra 22 ans après sa mort. Il s'agit certainement du plus important ouvrage de zoologie qui fut jamais publié, c'est pour cette raison qu'il fut surnommé le « Pline suisse ». Dans cette Histoire des animaux, œuvre immense de 3 500 pages, chaque espèce est décrite suivant huit chapitres. Gessner donne son nom dans différentes langues (vivantes ou mortes), son habitat et son origine ainsi que sa description anatomique, sa physiologie, les qualités de son âme, les divers usages que l'on peut en tirer, son intérêt alimentaire et médicale, ainsi que son utilisation par les poètes et les philosophes...

Diagrame de Minkowski. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad7f14-diagrame-de-minkowski

Diagrame de Minkowski

Diagrame de Minkowski : représentation symétrique, avec les lignes de simultanéité pour chaque observateur. Il existe une représentation symétrique du diagramme de Minkowski (appelée également diagramme de Loedel d'après le physicien Enrique Loedel Palumbo qui a introduit le premier cette représentation symétrique) où aucun référentiel n'est privilégié. Les deux systèmes d'axes sont représentés symétriquement par rapport aux directions orthogonales, et sont séparés par un angle \beta tel que : \sin(\beta) = \frac{v}{c}. Contrairement à la représentation asymétrique, l'échelle et la graduation des axes des deux référentiels est la même, ce qui facilite l'interprétation des figures. Cette représentation apparaît plus proche de l'esprit de la relativité où aucun référentiel n'est privilégié : en effet, dans la représentation asymétrique, le fait de prendre les axes Ot et Ox orthogonaux est arbitraire, alors que dans la représentation symétrique, l'orthogonalité de Ot avec Ox' et de Ot' avec Ox résulte des symétries, et donne immédiatement l'invariance de la distance de Minkowski entre deux événements. Par définition, tous les événements situés sur l'axe (0,x) sont simultanés (possèdent le même temps t = 0). En conséquence, toutes les droites parallèles à (O,x) sont des lignes de simultanéité de l'observateur situé dans le référentiel (x,t). De même, toutes les droites parallèles à (O,x') sont les lignes de simultanéité pour l'observateur situé dans le référentiel (x',t'). Tous les événements situés sur ces droites se passent "au même instant" pour un observateur donné. Cette simultanéité de 2 événements distants spatialement et qui dépendent du référentiel correspond bien à celle proposée par Einstein à l'aide de signaux lumineux. Le diagramme de Minkowski illustre la relativité de la simultanéité. La théorie de la relativité restreinte stipule en effet que deux événements peuvent être vus comme simultanés pour un observateur, et non simultanés pour un autre en déplacement par rapport au premier. Il est même possible, quand les deux événements sont séparés par un intervalle de genre espace que deux événements soient vus dans un certain ordre par un observateur, et dans l'ordre inverse par un autre.

Diagrame de Minkowski, dilatation temporelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad7fd2-diagrame-de-minkowski-dilatation-temporelle

Diagrame de Minkowski, dilatation temporelle

Dilatation temporelle : les deux observateurs considèrent que le temps passe plus lentement dans l'autre référentiel. Selon la théorie de la relativité restreinte, une horloge animée d'une certaine vitesse par rapport à un référentiel qualifié de fixe sera observée comme battant le temps à un rythme plus lent que celui des horloges de ce référentiel. Cette constatation est réciproque, c'est-à-dire que l'horloge dans le repère "fixe" sera également observée comme plus lente que celles du référentiel en mouvement, à partir de ce dernier référentiel, ce qui semble à première vue paradoxal. Ceci peut être visualisé avec un diagramme de Minkowski. Pour un observateur en A, le temps "simultané" de l'autre référentiel est le temps en B qui est inférieur à A. L'observateur en A peut donc logiquement conclure que le temps se passe plus lentement dans l'autre référentiel. Réciproquement, pour un observateur en B, le temps « simultané » de l'autre référentiel est en C, qui est inférieur à B, et observe également un ralentissement du temps dans l'autre référentiel.

Éléphant d'Afrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f2a13-elephant-d-afrique

Éléphant d'Afrique

Le terme d'Éléphant d’Afrique est utilisé pour regrouper les deux espèces d'éléphants d'Afrique appartenant au genre Loxodonta : l'éléphant de savane et l'éléphant de forêt. L'Éléphant de savane d'Afrique — Loxodonta africana (Blumenbach, 1797) —, l'espèce africaine la plus connue, a des oreilles plus longues et plus grandes que celles de son cousin, l'Éléphant d'Asie (Elephas maximus). Il présente également une taille moyenne plus importante et un dos concave. Les mâles et les femelles ont des défenses externes, et sont d'habitude moins poilus que leurs cousins asiatiques. L'Éléphant de forêt d'Afrique — Loxodonta cyclotis (Matschie, 1900) — possède des oreilles généralement plus petites et plus circulaires que l'espèce de savane et des défenses plus minces et plus droites. Il peut peser jusqu'à cinq tonnes, et mesurer 3,5 mètres. Cette espèce, moins connue en raison des obstacles écologiques et politiques, est plus difficile à étudier et à protéger. Elle se rencontrent généralement en forêt dense d'Afrique centrale et d'Afrique de l'Ouest, mais se trouve aussi parfois en lisière de territoire forestier, comme les éléphants de savane.

Fossile du dinosaure Meilong. Source : http://data.abuledu.org/URI/53392b60-fossile-du-dinosaure-meilong

Fossile du dinosaure Meilong

Fossile du dinosaure Meilong (Anchiornis huxleyi). Il a été trouvé en 2004, en Chine où il vivait il y a quelques 125 millions d'années, au début du Crétacé, alors qu'il y avait de grands volcans dans cette partie du monde. Le spécimen caractéristique que l'on a retrouvé, à Liaoning, est celui d'un petit, particulièrement bien conservé, qui mesure environ 40 cm de long. Le nom qui lui a été donné de "dragon endormi" provient du fait que le spécimen retrouvé semble dormir avec le bout de sa tête sous l'un de ses membres avant, comme le font aujourd'hui certains oiseaux. Il s'agit là d'une caractéristique comportementale qui rapproche encore davantage oiseaux et dinosaures. L'analyse de la roche qui porte le fossile, ainsi que l'attitude de l'animal, indiquent que l'animal a probablement été englouti instantanément par de la cendre volcanique, alors qu'il était encore en vie. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mei_%28dinosaure%29.

Gaufres de Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc3b4f-gaufres-de-dunkerque

Gaufres de Dunkerque

Gaufres dunkerquoises. Il s'agit d'une gaufre ronde, sèche et dure, qui est généralement parfumée au rhum (voire au genièvre). Ces gaufres sont aussi appelées strin. On mélange de la vergeoise et de la farine, puis on ajoute des œufs, du beurre fondu, de la cannelle, du sucre vanillé et du rhum. On mélange jusqu'à ce que la pâte soit dense et collante, et on laisse reposer une journée pour que la pâte soit dure. On fait ensuite des boules de pâte que l'on cuit quelques minutes au gaufrier. Ensuite, on les garnit avec de la vergeoise ou de la vanille. Traditionnellement, on présente ces gaufres dans une boîte métallique.

Générateur électrostatique de Van Marum. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c27adf-generateur-electrostatique-de-van-marum

Générateur électrostatique de Van Marum

Grande machine électrostatique de Van Marum, exposée au musée Teyler, à Haarlem, Pays-Bas. À droite, batterie de bouteilles de Leyde. La machine électrostatique est ainsi nommée parce qu'elle fait appel aux lois de l'électrostatique à la différence des machines dites électromagnétiques. Bien que des moteurs électrostatiques aient été imaginés (ils fonctionnent sur le principe de la réciprocité des générateurs électrostatiques), ils n'ont pas eu de succès. La puissance des machines du XVIIIe siècle et du XIXe siècle était en effet infime (quelques watts) et les frottements mécaniques ne leur laissaient qu'un très mauvais rendement. La raison en est que la densité maximale d'énergie du champ électrique dans l'air est très faible. Les machines électrostatiques ne peuvent être utilisables (de manière industrielle) que si elles fonctionnent dans un milieu où la densité d'énergie du champ électrique est assez élevée, c'est-à-dire pratiquement dans un gaz comprimé. L'invention du condensateur électrique sous la forme de la bouteille de Leyde (par E.-G. Kleist, Van Musschenbroek et son élève Cuneus, améliorée par sir William Watson, 1745-1747) permet de renforcer l'intensité des décharges : 1768, machine de Ramsden ; 1784, la machine de Van Marum.

Girelle commune. Source : http://data.abuledu.org/URI/548c1a7d-girelle-commune

Girelle commune

La girelle royale est un poisson hermaphrodite protérogyne, qui passe de femelle à mâle à un stade particulier de sa vie, et le demeure jusqu'à la fin. Sa reproduction est donc sexuée, et les femelles sont plus nombreuses que les mâles. Elle vit sur les côtes Méditerranéennes, où elle est très commune, à l'est de l'Atlantique (déjà vue en Bretagne), du Gabon au nord de l'Écosse, ainsi que sur les côtes des îles du Cap-Vert, des îles Canaries et des Açores. Le nom de girelle royale s'applique aux individus mâles, et le nom de girelle commune aux femelles. Le nom de Girelle royale n'est pas choisi au hasard : en effet les mâles, contrairement aux femelles, arborent des couleurs vives, alors que les femelles, elles, possèdent des couleurs plus fades. Lors de la transformation d'une femelle en mâle, la girelle finira par adopter les couleurs vives définitives. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Coris_julis

Grande maison amérindienne et ses totems. Source : http://data.abuledu.org/URI/51153f15-grande-maison-amerindienne-et-ses-totems

Grande maison amérindienne et ses totems

Wawadit'la, ou la maison de Mungo Martin, une "Grande maison" des Kwakwaka'wakw, avec ses totems. Monuments construits par le chef sculpteur Mungo Martin assisté de David Martin et Mildred Hunt en 1953 à Thunderbierd park, Victoria, en Colombie Britannique. Les Kwakwaka'wakw (ou Kwakiutl) sont un peuple amérindien de la province de Colombie-Britannique au Canada. Ils vivent principalement au nord de l'île de Vancouver et sur le continent. On estime leur nombre à 5 500 personnes. La langue traditionnelle des indiens Kwakwaka'wakw s'appelle le kwakiutl ou le kwak'wala. Lors du 60e anniversaire de l'UNESCO, le 16 novembre 2005, Claude Lévi-Strauss témoigne : « Or je devais recevoir l’an dernier du chef des nations Kakwaka’wakw un appel à l’aide. Sa langue, le kwakwala, m’écrivait-il, n’était plus parlée que par 200 personnes à peine. Par d’autres exemples, nombreux hélas, l’Unesco a pu se convaincre que les langues sont un trésor, d’abord en elles-mêmes, et parce que leur disparition entraîne celle de croyances, savoirs, usages, arts et traditions qui sont autant de pièces irremplaçables du patrimoine de l’humanité. »

Grenouille du nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/5356b23d-grenouille-du-nord

Grenouille du nord

Grenouille du nord (Rana septentrionalis), été 2010 : Elle mesure entre 48 et 76 mm. Sa coloration générale est verte avec des taches vert foncé ou brunes. Son ventre est de couleur crème, jaune et blanchâtre. Les mâles présentent typiquement une gorge jaune brillante alors que la gorge des femelles est blanchâtre. Les tympans du mâle sont plus grands que leurs yeux alors que ceux de la femelle sont d'une taille équivalente. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grenouille_du_Nord

Gros plan de fraise de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/534ba537-gros-plan-de-fraise-de-jardin

Gros plan de fraise de jardin

Gros plan de fraise (Fragaria ananassa). Une fraise est formée par l'ensemble du réceptacle charnu de la fleur. Elle a une couleur rouge ou jaune blanchâtre selon les variétés, et une forme ovoïde oblongue plus ou moins arrondie. Au sens botanique du terme, les vrais fruits sont en fait les akènes, ces petits grains secs (communément appelés à tort pépins alors que ce dernier terme ne devrait désigner que leur minuscule graine centrale) disposés régulièrement dans des alvéoles plus ou moins profondes sur la fraise, de couleur verte à brune, et renfermant chacun soit un ovule (non fécondé) soit une graine (qui porte alors un germe lorsque la fraise arrive à maturité). Le corps charnu de la fraise étant formé par le réceptacle floral est ce que l'on consomme avec ou sans les akènes (l’épépinage des fraises consiste à ôter ces fruits secs du reste de la chair pulpeuse pour la préparation de gelées). Ce sont les akènes qui produisent une hormone permettant au faux-fruit de grossir. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fraise_%28fruit%29

Haricot de Lima. Source : http://data.abuledu.org/URI/5471e241-haricot-de-lima

Haricot de Lima

Haricot de Lima Vilmorin-Andrieux 1904. Tige grimpante, s’élevant à environ 3 mètres de hauteur ; feuilles composées de trois folioles triangulaires, plus longues et beaucoup plus étroites que celles du haricot ordinaire ; fleurs petites, d’un blanc verdâtre, en grappes nombreuses, raides et allongées. Cosses courtes, très aplaties et très larges, rudes extérieurement comme celles du Haricot d’Espagne. Grain aplati, court, légèrement en forme de rognon, ayant presque toujours une moitié un peu plus développée que l’autre, et habituellement marqué de rides ou stries se dirigeant de l’ombilic vers la circonférence. Culture. — Les diverses variétés potagères du Phaseolus lunatus se cultivent comme les haricots à rames ordinaires, mais elles sont plus tardives, et ne mûrissent que très rarement sous le climat de Paris. Usage. — On consomme le grain frais ou sec. Il est très farineux et particulièrement estimé aux États-Unis et dans les pays chauds. Source : https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Plantes_potag%C3%A8res/Haricot_de_Lima

Haut-fourneau au XIXème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d954e-haut-fourneau-au-xixeme-siecle

Haut-fourneau au XIXème siècle

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.112 ; manuel scolaire, édition de 1904 : UN HAUT FOURNEAU. - Les hauts fourneaux sont des espèces de tours solides qu'on remplit par en haut de minerai de fer. Une fois que le haut fourneau est allumé, on le remplit jour et nuit sans interruption pour avoir la plus grande chaleur possible jusqu'à ce que les murs usés se fendent et éclatent. A mesure que le fer se fond, il tombe en dessous, dans un réservoir.

Hibou Grand-duc européen. Source : http://data.abuledu.org/URI/522f0474-hibou-grand-duc-europeen

Hibou Grand-duc européen

Le Hibou grand-duc appelé aussi Grand-duc d'Europe (Bubo bubo) est une espèce de rapaces nocturnes que l'on rencontre notamment en Europe. Avec ses 75 cm de haut, le Grand-duc est le plus grand des rapaces nocturnes d'Europe : il fait le double de son congénère le hibou moyen-duc. Qualifiée d'aristocratique, sa silhouette est massive, sa tête, piquée de deux gros yeux rouge-orangé est surmontée d'aigrettes de 8 cm environ (normalement horizontales et un peu repliées vers l'arrière), que l'oiseau dresse verticalement s'il est excité ou dérangé. Rappelons que ces aigrettes ne jouent aucun rôle dans l'audition.

Horizon du radar. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232fa56-horizon-du-radar

Horizon du radar

Les ondes électromagnétiques suivent les règles de l’optique pour les hautes fréquences (>100 MHz). Même le faisceau d’un radar pointant vers l’horizon va s’éloigner de la surface de la Terre parce que celle-ci a une courbure. Une cible qui se trouve à une distance à l’intérieur de la portée maximale du radar mais sous l’horizon du radar ne pourra donc pas être détectée, elle se trouve dans la «zone d’ombre». Cependant, l’horizon du radar est à une plus grande distance que l'horizon optique en ligne directe parce que la variation de l’indice de réfraction avec l’altitude dans l’atmosphère permet à l’onde radar de courber. Le rayon de courbure de la trajectoire de l’onde est ainsi plus grand que celui de la Terre ce qui permet au faisceau radar de dépasser la ligne de visée directe et donc de réduire la zone d’ombre. Le rayon de courbure de la Terre est de 6,4×106 m alors que celui de l’onde radar est de 8,5×106 m.

Houblon grimpant. Source : http://data.abuledu.org/URI/506dfaeb-houblon-grimpant

Houblon grimpant

Planche botanique n°294 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Houblon grimpant (Humulus lupulus). Le houblon grimpant est une plante herbacée vivace grimpante de la famille des Cannabaceae. Elle est parfois appelée couleuvrée ou vigne du Nord. Humulus provient du nom slave khmel' (хмель) (utilisation du houblon pour la préparation des bières dans le Caucase). Les Romains, croyant que le houblon suçait la sève des arbres sur lesquels il grimpait, l'appelèrent lupulus (« petit loup »). Le houblon sauvage semble avoir eu autrefois une certaine importance pour les forestiers. Les archives conservent en effet des témoignages d'amendes données à des personnes ayant coupé du houblon en forêt sans « licence » (sans autorisation). Hildegarde de Bingen (1098-1179) découvrit les vertus aseptisantes et conservatrices du houblon (ainsi que son amertume). Il permettait ainsi à la bière de se conserver mieux et plus longtemps. Auparavant, un mélange d'herbes et d'épices était utilisé pour fabriquer ce que l'on appelait alors la cervoise.

Indiens Kalina à Paris en 1892. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ef559b-kalina-paris-1892-jpg

Indiens Kalina à Paris en 1892

Portrait des indiens Kali'na exhibés au Jardin d'acclimatation de Paris en 1892. Source : Photothèque, Musée de l'Homme, Paris ("Pau:wa itiosan:bola: Des Galibi à Paris"). Les Kali’nas (anciennement Galibis ou Karib) sont une ethnie amérindienne que l’on retrouve dans plusieurs pays de la côte caraïbe d’Amérique du Sud. Ils sont de langue et de culture caraïbes. L’origine du nom que les Européens leur donnèrent, Galibi, est inconnue, mais eux-mêmes préfèrent s’appeler Kali’na tilewuyu, c’est-à-dire "les vrais Kali’na", en partie pour se différencier des métis Marron-Kali’na habitant le Suriname. L’emploi de "Kali’na" n’est devenu habituel dans les publications que récemment. Mettre en lien avec un texte de George Sand, "Relation d'un voyage chez les sauvages de Paris".

Influence de l'Allongement sur une voile. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0d9e4-influence-de-l-allongement-sur-une-voile

Influence de l'Allongement sur une voile

Influence de l'Allongement sur une voile : La traînée induite est en relation directe avec la longueur des extrémités. Plus la corne est longue plus la traînée induite est forte. Inversement une voile peut prendre des ris, c'est-à-dire que la surface de la voile se réduit sans que la longueur de la corne change. Cela signifie que la valeur de la traînée induite sera sensiblement la même. Pour une même longueur de corne, plus la voile est grande, plus le ratio traînée induite sur coefficient aérodynamique est faible. C'est-à-dire plus la voile est allongée, plus la traînée induite modifie faiblement la valeur du coefficient aérodynamique.

Inselberg au Zimbawe. Source : http://data.abuledu.org/URI/52778615-inselberg-au-zimbawe

Inselberg au Zimbawe

Inselberg de Granite de la région de Mbalabala au Zimbabwe. Les kopjes sont souvent occupés par de nombreux animaux, telles que les éléphants, les lions ou les guépards. Paradoxalement, on constate que de nombreux herbivores y viennent car la surélévation des lieux permet de voir venir les prédateurs de loin, alors que ces mêmes prédateurs les utilisent pour pouvoir guetter leurs futures proies.

Joueur de percussions en os musicaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/53072097-joueur-de-percussions-en-os-musicaux

Joueur de percussions en os musicaux

Joueur de percussions en os musicaux. Les os sont joués en les maintenant entre les doigts, les surfaces convexes se faisant face, et en bougeant le poignet de façon à ce que les os s'entrechoquent. D'ordinaire, les os sont placés de part et d'autre du majeur, deux tiers de leur longueur s'étendant vers le bas, le long de la paume, alors que l'autre extrémité dépasse du dos de la main. La main forme un poing souple, avec les os et les doigts parallèles à la paume. L'os situé à côté de l'annulaire est maintenu contre la paume par ce dernier doigt appuyant sur sa tranche, alors que l'autre os peut se mouvoir librement dans la pince souple formée par l'index et le majeur. La combinaison du double et triple battement permet de créer des rythmes complexes, qui peut être encore amplifié par l'utilisation d'une seconde paire d'os dans la seconde main. L'effet obtenu est assez proche de celui des claquettes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Os_%28instrument%29.

Kokeshi japonaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/52016ea6-kokeshi-japonaise

Kokeshi japonaise

Kokeshi, poupée japonaise traditionnelle. Les kokeshi ont été créées il y a 150 ans, par les kiji-shi (en japonais : artisans du bois) dans le nord de Honshū (la plus grande île du Japon), dans la région de Tōhoku. Leur origine remonte à la fin de l'ère Edo, leur fabrication est artisanale. Les kokeshi sont peintes et décorées de fleurs, puis recouvertes de laque. Elles sont à l'origine fabriquées en bois (cerisier, poirier, cornus ou érable). Afin de pouvoir créer une poupée kokeshi, le bois doit être séché pendant 1 an à 5 ans, pour qu'il soit apte à la sculpture. « Il y a bien longtemps, lorsque les gens de son village vivaient encore dans une très grande misère, il pouvait arriver que les femmes tuent leurs propres enfants, juste après la naissance, pour ne pas les condamner à mourir de faim. Pour chaque enfant ainsi tué, on fabriquait une kokeshi, ce qui veut dire 'faire disparaître l'enfant', afin que les gens n'oublient jamais que c'est grâce au sacrifice de ces enfants qu'ils avaient survécu. »

L'effet Doppler : le paradoxe des jumeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a78dd8-l-effet-doppler-le-paradoxe-des-jumeaux

L'effet Doppler : le paradoxe des jumeaux

Tracés des cônes de lumière issus de la Terre (pointillés rouges) et du mobile (pointillés verts). La fréquence de réception, respectivement par le mobile, et par la Terre, traduit l'effet Doppler pour les phases aller et retour. Le schéma a été réalisé (pour simplifier la présentation - analyse des rapports de fréquence) dans le cas d'une vitesse égale à 0,8c. Des frères jumeaux sont nés sur Terre. L'un fait un voyage aller-retour dans l'espace en fusée à une vitesse proche de celle de la lumière. D'après le phénomène de dilatation du temps de la relativité restreinte, pour celui qui est resté sur Terre la durée du voyage est plus grande que pour celui qui est envoyé dans l'espace. Ce dernier rentre donc plus jeune que son jumeau sur Terre. Mais celui qui voyage est en droit de considérer, les lois de la physique étant identiques par changement de référentiel, qu'il est immobile et que c'est son frère et la Terre qui s'éloignent à grande vitesse de lui. Il pourrait donc conclure que c'est son frère qui est resté sur Terre qui est au final plus jeune. Ainsi chaque jumeau pense, selon les lois de la relativité restreinte, retrouver l'autre plus jeune que lui. Est-on tombé sur un véritable paradoxe ?

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfe81e-l-invitation-pour-mme-la-duchesse-d-alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, d'Alice

L'invitation pour Mme la Duchesse, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Alice resta une ou deux minutes à regarder à la porte ; elle se demandait ce qu’il fallait faire, quand tout à coup un laquais en livrée sortit du bois en courant. (Elle le prit pour un laquais à cause de sa livrée ; sans cela, à n’en juger que par la figure, elle l’aurait pris pour un poisson.) Il frappa fortement avec son doigt à la porte. Elle fut ouverte par un autre laquais en livrée qui avait la face toute ronde et de gros yeux comme une grenouille. Alice remarqua que les deux laquais avaient les cheveux poudrés et tout frisés. Elle se sentit piquée de curiosité, et, voulant savoir ce que tout cela signifiait, elle se glissa un peu en dehors du bois afin d’écouter. Alice par John Tenniel 20.png Le Laquais-Poisson prit de dessous son bras une lettre énorme, presque aussi grande que lui, et la présenta au Laquais-Grenouille en disant d’un ton solennel : « Pour Madame la Duchesse, une invitation de la Reine à une partie de croquet. » Le Laquais-Grenouille répéta sur le même ton solennel, en changeant un peu l’ordre des mots : « De la part de la Reine une invitation pour Madame la Duchesse à une partie de croquet ; » puis tous deux se firent un profond salut et les boucles de leurs chevelures s’entremêlèrent.

La cour impériale d'Amarapura en Birmanie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b6d0f0-la-cour-imperiale-d-amarapura-en-birmanie

La cour impériale d'Amarapura en Birmanie

La cour impériale à Ummerapoura. Illustration par Yan Dargent (1824-1899), in Jean Rambosson, Histoire des météores et des grands phénomènes de la nature, p.369, Firmin-Didot, 1883 (wikisource) : Il y a quelques années, M. Babinet, de l’Institut, a présenté à l’Académie des sciences, de la part de M. Marchal, de Lunéville, la figure d’un des appareils qui, en Chine, accompagnent toujours les flèches aiguës qui couronnent les tours nombreuses de ce pays, où chaque ville a la sienne. Suivant l’auteur, les chaînes qui accompagnent la flèche, et qui, partant de son pied, vont rejoindre les angles saillants de la tour, sont de vrais conducteurs de l’agent électrique, dont l’expérience peut avoir fait reconnaître l’efficacité à un peuple bien plus observateur que théoricien. Il a remarqué que dans la construction des tours chinoises il n’entre point de substances métalliques, pas plus que dans leurs maisons et leurs palais. L’appareil des chaînes offre donc une sorte d’enveloppe conductrice qui préserve la tour de l’introduction de l’électricité. Ces tours, d’ailleurs, n’ont jamais été frappées de la foudre. La fameuse tour de porcelaine de Nankin a quinze siècles d’existence. M. Marchal rapproche la construction chinoise de la méthode italienne, qui consiste à consolider les flèches par des haubans métalliques allant se fixer aux angles du bâtiment ; il ajoute que la flèche de l’appareil chinois se termine en flamme dorée, et, par suite, conductrice.