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Peinture | Enfants | Vulgarisation scientifique | Littérature et franc-maçonnerie | Franc-maçonnerie -- France | Jean Macé (1815-1894) | Serpents | Adolescents | Analyse combinatoire | Échelles | Jeux de plateau | Jeux de pions | Jeux de société | Franc-maçonnerie -- Symbolisme | Franc-maçonnerie | Art africain | Attributs (symbolisme) | Formes -- Aspect symbolique | Coiffure | Afrique | ...
Symboles d'art Adinkra. Source : http://data.abuledu.org/URI/530cbd3d-symboles-d-art-adinkra

Symboles d'art Adinkra

Symboles d'art Adinkra relevés par Robert Sutherland Rattray (1881-1938) en 1927, "Religion and Art in Ashanti" (Oxford, 1927), p. 265. 1. Gyawu Atiko, lit. l'arrière de la tête de Gyawu, chef Bantama qui avait cette coupe de cheveux pour la cérémonie annuelle Odwira ; 2. Akoma ntoaso, lit. les coeurs joints ; 3. Epa, menottes ; 4. Nkyimkyim, le motif mélangé ; 5. Nsirewa, coquillages ; 6. Nsa, tissu nsa ; 7. Mpuannum, lit. cinq touffes de cheveux ; 8. Duafe. le peigne en bois ; 9. Nkuruma kese, lit. graines d'okra sèches ; 10. Aya, la fougère ou "je n'ai pas peur de vous", ou "Je ne dépends pas de vous" ; 11. Aban, maison à deux étages, château, motif réservé à l'origine au roi Ashanti ; 12. Nkotimsefuopua, pour serviteurs de la reine mère ; 13 et 14, Sankofa, lit. retourne-toi et va chercher ; 15. Kuntinkantan, lit. plié et dispersé ; nkuntinkantan veut dire "ne pas se vanter, ne pas être arrogant" ; 16. Epa, menottes.

Jean Macé franc-maçon. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f42dee-jean-mace-franc-macon

Jean Macé franc-maçon

Tablier brodé et cordon de maître franc-maçon de Jean Macé (exposition temporaire au Musée historique de Strasbourg, prêt de la mairie de Beblenheim). Fils d’ouvriers, Jean Macé a reçu une grande éducation au collège Stanislas de Paris et travaille entre autres pour le journal "La République". Il quitte la capitale après le coup d’État du 2 décembre 1851 de Louis-Napoléon Bonaparte. Enseignant, il a l’idée d’écrire pour les enfants des ouvrages de vulgarisation scientifique comme "L’Histoire d’une bouchée de pain, lettres à une petite fille sur nos organes et nos fonctions", publié en 1861 et qui connaît un grand succès. Il écrit alors des articles dans "L'Économiste français", hebdomadaire économique fondé en 1862 par Jules Duval (1813-1870). Il œuvre pour l’instruction des masses en fondant "Le Magasin d'éducation et de récréation" en 1864 avec l'éditeur Pierre-Jules Hetzel, puis en créant "la Ligue de l'enseignement" en 1866 qui se bat pour l’instauration d’une école gratuite, obligatoire et laïque. C'est à cette époque qu'il se lie d'amitié avec l'officier Louis-Nathaniel Rossel (futur délégué à la guerre de la Commune de Paris), partisan de l'éducation des classes ouvrières, puis Maurice Berteaux, député de Seine-et-Oise. Il est élu sénateur inamovible en 1883. Jean Macé était franc-maçon. Il fut actif aux loges de la Parfaite Harmonie de Mulhouse et de la Fidélité de Colmar et membre des Frères Réunis à Strasbourg. Suite à la défaite de 1870, il influença le Grand Orient de France en un sens patriote et chauvin.

Le jeu des serpents et des échelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eb221c-le-jeu-des-serpents-et-des-echelles

Le jeu des serpents et des échelles

Version indienne du XIXème siècle du jeu des serpents et des échelles (Gouache sur tisse). Serpents et échelles ou le jeu de l'échelle est un jeu de société populaire consistant à déplacer les jetons sur un tableau de cases avec un dé en essayant de monter les échelles et en évitant de trébucher sur les serpents. Il est suggéré que l'origine du jeu est moksha-patamu, un ancien jeu hindou remontant au deuxième siècle av. Jésus-Christ, créé par des enseignants hindous spirituels, où les serpents et échelles sont des symboles pour la moralité et spiritualité de la vie. Le jeu est une représentation d'un chemin spirituel que les humains prennent pour atteindre le ciel. Avec des bons gestes, le chemin est raccourci (ce que symbolise les échelles), tandis qu'avec le contraire, le chemin est allongé (d'où vient le symbolisme des serpents). Les différentes cultures ont perçu dans le jeu une valeur éducative et spirituelle, la raison commune pour laquelle ce jeu est surtout présenté aux enfants et adolescents. Les sanscrits avaient un jeu semblable appelé Dapasada. La forme moderne du jeu a été inventée par un Britannique appelé John Jaques qui travaillait pour la société Jaques of London. L'édition la plus connue du jeu est celle de Milton Bradley et Hasbro. La trajectoire suivie par les jetons suit habituellement celle d'un boustrophédon. La forme du jeu peut être mathématiquement représentée par une chaîne de Markov. Elwyn Berlekamp, John Horton Conway et Richard K. Guy ont écrit un livre pour montrer que ce jeu pouvait être traité comme un jeu impartial dans la théorie des jeux combinatoires.