Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Apiculture | Plantes | Bruyère commune | Calluna vulgaris | Drainage | Crastes | Landes | Norvège | Peinture | Farine | Graminées | Alimentation | Sri Lanka | Poches en plastique | Poacées | Sri Lankais |
Poche de farine d'éleusine au Sri Lanka. Source : http://data.abuledu.org/URI/5349cbf9-poche-de-farine-d-eleusine-au-sri-lanka

Poche de farine d'éleusine au Sri Lanka

Poche de farine d'éleusine Kurakkan au Sri Lanka. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89leusine

Callune ou bruyère. Source : http://data.abuledu.org/URI/5058d8b7-callune-ou-bruyere

Callune ou bruyère

Planche botanique de callune (Calluna vulgaris), Atlas des Plantes de France, 1891. Cette plante vivace est parfois appelée : Béruée, Brande, Bruyère commune, Bucane, Fausse Bruyère, Grosse Brande, Péterolle ou Bruyère callune. C'est la fleur nationale de la Norvège. Le nom « Calluna » vient du grec ancien « καλλύνω », kallúnô, qui signifie « orner, parer, embellir ». Dans les landes bretonnes, elle éloigne les esprits fantomatiques. En Écosse, si une jeune fille trouve un brin de bruyère blanche, elle est sûre de se marier dans l'année1. Plante mellifère, la bruyère est utilisée en apiculture car son nectar contient 24 % de sucre, principalement du saccharose, chaque fleur produisant une moyenne de 0,12 mg de sucre par jour.

Craste dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5074b84e-craste-dans-les-landes

Craste dans les Landes

Craste en pays de Born (Landes, France) : Une craste (du gascon crasta, issu du latin castrum) désigne, dans les Landes de Gascogne, un fossé de drainage, généralement creusé dans le sable, aménagé pour assainir la lande humide. En usage depuis des siècles, la craste se généralise au milieu du XIXe siècle afin de faciliter l’écoulement des eaux et rendre possible la mise en culture du pin maritime. Le terme est passé dans le vocabulaire régional courant. Avant la loi relative à l'assainissement et de mise en culture des Landes de Gascogne de 1857, des crastes se trouvaient derrière chaque airial, en limite des champs. Elles s'accompagnaient invariablement du barrat, nom de la levée faite avec la terre retirée du fossé, d'où l'expression gasconne : « Si i a barrat, i a crasta » (S’il y a barrat, il y a craste). Les Landais en font par la suite un des éléments essentiels du drainage des vastes étendues marécageuses composant leur territoire. Saint-Amans les cite en 1818 sous leur nom gascon : « Le moyen de remédier à ces inconvénients (eaux stagnantes) d’une manière aussi prompte d’efficace serait (…) d’y ouvrir beaucoup de ces larges fossés nommés « crastes » dans le langage du pays ». Après la loi du 19 juin 1857, les services départements de Gironde créent au total 2190 km de crastes dans ce département, quitte aux communes de s’y raccorder par la suite.