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Ancien phare de Fatouville-Grestain sur l'estuaire de la Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e27ac-phare-de-fatouville

Ancien phare de Fatouville-Grestain sur l'estuaire de la Seine

Le phare de Fatouville a été construit sur la commune de Fatouville-Grestain, Eure. Il guidait les bateaux sur l'estuaire de la Seine. Le phare fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 13 septembre 2011. La construction du phare commença en 1839 pour se terminer en 1850 et fut éteint en 1907. En 1923 il a été mis aux enchères par l'État, il est aménagé en chambres d'hôtes. Hauteur : 32 m - Elévation : 132 m - portée : 40 km. Feu éteint depuis 1907 - Optique : Fresnel. Source :

Balise lumineuse en mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/53b99dd2-balise-lumineuse-en-mer

Balise lumineuse en mer

Balise lumineuse en mer.

Corne de brume embarquée ancienne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5347f4f6-corne-de-brume

Corne de brume embarquée ancienne

Corne de brume embarquée : modèle embarqué sur les bateaux de pêche du début du 20ème siècle (Musée d’Histoire de la Ville et du Pays Malouin). Une corne de brume est un instrument de signalisation maritime, émettant des signaux sonores par temps de brume pour signaler un obstacle ou danger (récif, banc, jetée..) ou pour signaler leur présence. Il s'agissait autrefois d'une corne animale, remplacée depuis par des cornes en laiton puis en plastique, puis par des cornes alimentées par une cartouche de gaz comprimé. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Corne_de_brume

Phare d'Ailly en Haute-Normandie. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e1ec1-phare-de-ailly

Phare d'Ailly en Haute-Normandie

Le phare moderne d'Ailly a été construit sur la pointe d'Ailly, au sud-ouest de Dieppe, sur une falaise soumise à érosion. Les travaux débutent en 1951. On place cinquante deux pieux de huit mètres en béton dont la tête est coulée sous un radier de 1,60 mètre d'épaisseur. Ils sont destinés à recevoir les 1 000 tonnes du phare. La tour carrée en pierres de Mignac est revêtue, à l'intérieur, d'un parement de béton de porphyre rouge bouchardé. Le porche de la tour est en granit. L'ensemble est sobre et ses lignes pures. La lanterne à coupole est peinte en vert. Elle s'élève à 16,53 mètres du sol et à 94,58 mètres de la mer. Le vieux phare de 1775 reste en service jusqu'au 22 avril 1958, date à laquelle le phare actuel est allumé. Depuis 2001, le phare est équipé de capteurs atmosphériques destinés à mesurer la qualité de l'air. Il faut gravir 91 marches pour admirer un panorama exceptionnel : depuis les falaises de Saint-Valery-en-Caux jusqu’à la baie de Somme. Depuis le 24 novembre 2010 le phare est en totalité inscrit monument historique, à savoir : la tour, le bâtiment technique, la maison du gardien, le portail d’entrée ainsi que le tronc de la Société nationale de sauvetage en mer. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Ailly

Phare de Fécamp en Pays de Caux. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e2247-phare-de-fecamp

Phare de Fécamp en Pays de Caux

Le phare de Fécamp se situe à l'extrémité de la jetée nord, dite pointe Fagnet, de l'entrée du port de Fécamp, à 40 km environ au nord du Havre en Seine-Maritime, sur le littoral du pays de Caux. C'est un feu de port, couplé avec celui de la jetée sud, sur l'ancien sémaphore. hauteur 14.50 m - Elévation : 21 m - feux : fixe - automatisation : oui. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_F%C3%A9camp

Phare de Gatteville dans la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6d79-phare-de-gatteville

Phare de Gatteville dans la Manche

Le phare de Gatteville, ou phare de Gatteville-Barfleur, est situé sur la pointe de Barfleur (commune de Gatteville-le-Phare), dans la Manche. Il signale les forts courants du raz de Barfleur. L'architecte Charles-Félix Morice de la Rue (1800-1880), sous le règne de Charles X, qui dessinera ensuite le phare de la Hague, conçoit les plans du plus haut phare de l'époque (dépassé depuis par le phare de l'Île Vierge). La pose de la pierre centrale a lieu le 14 juin 1828 et les travaux s'étaleront jusqu'en 1835. C'est en effet le 1er avril 1835 qu'il fut allumé pour la première fois. Il comporte autant de marches que de jours dans l'année, autant de fenêtres que de semaines et autant de niveaux (représentés par le nombre de fenêtres en façade) que de mois. Il est électrifié en 1893. Hauteur 74,75 m - Elévation 78,85 m - Portée : 29 milles (53 km) ; Feux : 2 éclats blancs 10 secondes - Optique : 2 lentilles de Fresnel à 4 panneaux 1/4 jumelés, focale 0.30 m ; Lanterne : lampes au xénon 1600 w 1 par temps clair, 2 si brume. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Gatteville

Phare de Honfleur sur l'estuaire de la Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e60fd-phare-de-honfleur

Phare de Honfleur sur l'estuaire de la Seine

Le phare de Honfleur, appelé aussi phare de la Falaise des Fonds ou phare du Butin, se situe sur la commune de Honfleur, département du Calvados, sur la rive sud de l'estuaire de la Seine en aval du pont de Normandie. En 1908, ce phare fut réalisé à l'extinction du phare de Fatouville pour signaler l'entrée ouest du port de Honfleur. Il fut équipé d'un feu à 2 occultations/8 secondes (3 secteurs blancs, 2 secteurs rouges et un secteur vert). En 1933, il est électrifié et modifié en feu à 2 occultations/12 secondes (secteurs colorés : 3 blancs, 2 rouges, 1 vert). Il est éteint durant la guerre et rallumé en 1951. Le phare de Honfleur a été légèrement modifié après la guerre, lors de la construction de la route. C'est une tour carrée blanche en maçonnerie de pierres apparentes, corniche et chaînage d'angle en pierre de taille de granit de Cherbourg. Elle est rehaussée de la lanterne verte et l'appareillage provenant de l'ancien phare de l'Hôpital. Elle est équipée d'un feu à 3 éclats/12 secondes (secteurs colorés blancs, rouges, verts). Un feu rouge, présent sur la jetée, complète la signalisation. Hauteur : 14.50 m - Elévation : 17.50 m ; feux : 3 éclats/12 secondes (secteurs blancs, rouges et verts) ; Optique : tambour 360°/0.50 m de focal. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Honfleur

Phare de la Hève en Seine-Maritime. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e2456-phare-de-la-heve

Phare de la Hève en Seine-Maritime

Le phare de la Hève est un phare moderne s'élevant sur les hautes falaises crayeuses du nord de l'estuaire de la Seine, sur le cap de la Hève, dans la commune de Sainte-Adresse. Il a été mis en service en 1951 ; un escalier de 161 marches mène à sa lanterne. Après un effondrement de falaise, deux phares identiques de 17 mètres de hauteur furent construits en 1775 à une centaine de mètres de la falaise. Ils furent les premiers phares électrifiés de France en 1863. Ils furent détruits pendant la Seconde Guerre mondiale en 1944. Hauteur : 32 m - élévation : 102.5 m - portée : 27 milles marins (50 kms) Feux : 1 éclat blanc 5 secondes - Optique : tournante à 4 panneaux focale 0.30m ; lanterne : halogènes 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_la_H%C3%A8ve

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne . Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6233-phare-de-ouistreham-

Phare de Ouistreham, gardien de l'estuaire de l'Orne

Le phare de Ouistreham) est un phare à terre, cylindrique, mesurant 38 m de haut, fabriqué en granite et peint en rouge et blanc. Il fut mis en service en 1905. Il a été construit à côté de l'usine hydraulique, fonctionnant à l'époque et toujours visible de nos jours. Le phare d'Ouistreham est le "gardien de l'estuaire de l'Orne", il est visible à 16 milles marins à la ronde. La "signature" lumineuse du phare est de trois secondes de lumière blanche suivi d'une seconde d'obscurité. Le phare indique les dangereux rochers des Essarts grâce à un secteur rouge montrant la direction aux marins. Grâce à ses 171 marches de granite bleu de Vire, on accède à l'optique, une lampe halogène derrière une demi-lentille de Fresnel. Il est automatisé, gardienné et visitable. Au cours de l'été 2005, à l'occasion du centenaire, un jeu de lumière a été installé sur le phare. Il éclaire la base de l'édifice, et permet aux Ouistrehamais, en fonction de la couleur, de savoir si la mer est montante ou descendante : il est bleu lors de la marée montante, blanc le reste du temps. Il est peint en rouge en son haut, en écho aux balises latérales bâbord de la zone A. En effet, il est implanté sur la gauche du chenal quand on entre au port. Hauteur : 38.20 m - Elévation : 43 m - Portée : 16 milles nautiques ; Feux : lancs 1 occ., 4 secondes secteurs blanc et rouge ; Optique : demi-lentille de Fresnel, focale 0.25 m. ; Lanterne : lampe halogène 1 500 w. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ouistreham

Phare de Ver-sur-Mer en baie de Seine. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e6a5f-phare-de-ver-sur-mer

Phare de Ver-sur-Mer en baie de Seine

Le phare de Ver-sur-Mer se trouve en baie de Seine, sur la commune de Ver-sur-Mer, dans le département du Calvados. Il a été mis en service au début des années 1900, endommagé en 1944 et remis en état après la guerre. C'est aussi un radiophare (indicatif éR-fréquence 310 kHZ - portée 20 miles). Hauteur : 13 m - Elévation : 42 m ; Portée : 26 milles (48 km) ; Feux : 3 éclats blancs 15 s - Optique : lentille à 6 panneaux focale 0.50 m -Lanterne : 650 W. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Ver-sur-Mer

Phare du Cap Lévi sur la Manche. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e71e6-phare-du-cap-levi

Phare du Cap Lévi sur la Manche

Le phare du cap Lévi est situé au cap Lévi, sur la commune de Fermanville, dans la Manche. Il sert de relais entre le phare de la Hague et le phare de Gatteville. La tour est édifiée en 1947 sur les dessins des architectes Levasseur et Chauliat qui ont gardé le type de construction du phare détruit en 1944. La nouvelle tour est plus petite (28 mètres contre 31), mais a été construite à 2 mètres de plus au-dessus de la mer. Hauteur : 28 m - Elévation : 36 m - Portée 20 milles ; Feux : rouge à éclats, 5 secondes - Optique : type STPB en verre moulé à 4 panneaux, focale 0.375 m monture en aluminium Lanterne : lampe halogène 650 W. Kapelwic "l'anse de la chapelle" au Moyen Âge est le nom primitif d'un hameau dans une anse (vik en norrois) à proximité ; le nom est d'abord devenu "Caplevy" par métathèse de L et amuïssement du C. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_du_Cap_L%C3%A9vi

Phare en Islande. Source : http://data.abuledu.org/URI/54caaca8-phare-en-islande

Phare en Islande

Holmbergs lighthouse, Vestfirðir en Islande.

Phare en Islande. Source : http://data.abuledu.org/URI/54caaef6-phare-en-islande

Phare en Islande

Phare de Dyrhólaey, Suðurland, Islande.

Remorqueur. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b8901d-remorqueur

Remorqueur

Les remorqueurs sont des bateaux relativement petits, très puissants et très manœuvrables, servant à guider, tirer, pousser les gros bateaux entrant et sortant des ports ; ils les aident aussi lors des manœuvres d'accostage.

Ile des Rimains en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5358cf32-ile-des-rimains-

Ile des Rimains en Bretagne

L'île des Rimains est une petite île au large de Cancale. Elle est située à environ 700 m à l'est de la pointe de la Chaîne, à l'extrémité de la Grande Rade de Cancale qui termine à l'ouest la Baie du mont Saint-Michel. Au sud-ouest, à mi-distance de la côte se trouvent deux autres îlots, le Châtellier et le Rocher de Cancale. Un fort maritime y a été construit à la fin du XVIIIe siècle sur des plans de Vauban pour défendre la passe de Cancale et assurer la sécurité de la baie du Mont Saint-Michel. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_des_Rimains

Phare à Saint-Valery-en-Caux en Haute-Normandie. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e1f8d-phare-a-saint-valery-en-caux

Phare à Saint-Valery-en-Caux en Haute-Normandie

Le phare de Saint-Valery-en-Caux (Seine-Maritime, France) est une tour blanche avec haut vert sur la jetée-Ouest. Il a été construit en 1872 puis modifié en 1914. Sa portée varie de 5 à 15 milles selon le temps. Il est alimenté électriquement depuis 1958. Le feu rouge de la jetée est un candélabre en fonte datant de 1857. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Saint-Valery-en-Caux

Tour génoise de la Parata à Ajaccio. Source : http://data.abuledu.org/URI/51caa47f-tour-genoise-de-la-parata-a-ajaccio

Tour génoise de la Parata à Ajaccio

Tour génoise de La Parata à Ajaccio (1550). La garnison d'une tour se constituait de deux à six hommes (les torregiani) recrutés parmi les habitants et payés sur les taxes locales. Ces gardiens devaient résider en permanence dans la tour. Ils ne pouvaient s'en éloigner que deux jours maximum, pour le ravitaillement et la paye, et un par un. Ils assuraient la vigie avec les feux et signaux réglementaires: ils montaient matin et soir sur la plate-forme, renseignaient navigateurs, bergers et laboureurs sur la sécurité, communiquaient par feux avec les tours les plus proches astucieusement positionnées à portée de vue, et surveillaient l'arrivée d'éventuels pirates. En cas d'alerte, le signal donné sur la terrasse au sommet de la tour, sous forme de fumée, de feu ou d'un son de culombu (grande conque marine), prévenait les environs de l'approche d'un navire hostile. S'ensuivait le repli général des bêtes et des gens vers l'intérieur. Les deux tours les plus proches s'allumaient alors et ainsi de suite, ce qui permettait de mettre toute l'île en alerte en quelques heures. Les tours étaient toujours insuffisamment armées. Elles servaient principalement de postes douaniers et d'amers. Les torregiani négligeaient souvent leur rôle militaire, pour se concentrer sur le contrôle du commerce maritime et la perception de diverses taxes. Ils pratiquaient aussi le négoce du bois et l'agriculture sur les terres environnantes.