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Gravure, Art nouveau (décoration), Décoration et ornement -- Art nouveau, Cornes d'abondance, Ex-libris d'artistes, Roumanie, Vratislav H. Brunner (1886-1928)
Ex libris de Jaroslav Jarousek en 1900 ; 142 x 100 mm, par Vratislav H. Brunner (1886-1928).
Photographie, Agriculteurs, Râteaux, Fermiers, Montagnes -- Roumanie, Agriculture, Roumanie -- Ethnologie, Călineşti (Roumanie), Carpates (Roumanie), Fourches, Maramures (Roumanie), Roumanie
Un couple de fermiers rentre des champs, rateau et fourche sur l'épaule, Călineşti dans les Maramureş (Carpates)
Photographie de transport hippomobile de fourrage en ville (Râșnov, Roumanie).
Photographie, Musique, Cithare, Musique de, Cithare, Instruments à cordes, Instruments à cordes frappées, Cimbalom, Cymbalum, Czimbalum, Tambal, Tympanon, Tympanon, Musique de, Hongrie -- Ethnologie
Le cymbalum, czimbalum, cimbal (Slovaquie), cimbalom (Hongrie), țambal (Roumanie et Moldavie), ou tsymbaly (Biélorussie, Pologne et Ukraine), cimbole (Lettonie), cimbolai (Lituanie) est un instrument à cordes frappées faisant partie de la famille des cithares sur table. On l'appelle aussi le piano tsigane. Formé d'une caisse de résonance en bois en forme de trapèze, sur laquelle reposent des séries de chevalets (soudés généralement), il est serti d'une centaine de cordes métalliques, frappées à l'aide de petits marteaux ou mailloches tenus entre les doigts. L'accord est le plus souvent, chromatique. Il se rencontre en deux variétés : portable et de concert. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cymbalum.
Photographie, Musique, Instruments de musique, Instruments à cordes frottées, Cordes (musique), Instruments à cordes, Roumanie -- Ethnologie, Cobza
Le cobza, cobsa, kobuza, kobuz ou coboz est un instrument de musique à cordes de Roumanie. Il s'agit d'une version locale du oud apporté par les Ottomans qu'on peut retrouver en Moldavie ou en Hongrie et dont le nom dérive du kopuz d'Asie Centrale. Il ne faut pas le confondre avec la kobza ukrainienne, qui est plus proche d'une cithare à manche ou de la bandura. Le cobza est joué avec un plectre en plume par les tziganes de Roumanie, mais est devenu de plus en plus rare aujourd'hui.
Couple de canards en automne, la femelle est à gauche. On rencontre le Tadorne casarca depuis la Roumanie et l'Ukraine jusqu'à la Chine et la Mongolie en passant par les steppes de l'Altaï, où il est appelé "canard rouge". La plupart des oiseaux hivernent en Inde et dans le sud-est de l'Asie.
Photo d'une cuillère en bois à manche sculpté (oiseau) trouvé en Roumanie : culture néolithique de Cucuteni.
Photographie, Bassins hydrographiques, Bassins versants, Cours d'eau -- Roumanie, Montagnes -- Roumanie
Bassin versant de "al Râului Latorița", en Roumanie. : affluent du fleuve Lotru. Carte légendée en anglais : ligne rouge = limites du bassin versant.
Photographie, Meules (agriculture), Chapeaux d'homme, Râteaux, Agriculture, Meules de foin, Călineşti (Roumanie), Carpates (Roumanie), Fourches, Maramures (Roumanie), Objets en paille
Fermier roumain, fourche et rateau sur l'épaule, Călineşti dans les Maramureş (Carpates).
Fils en laine de Martenitsa suspendus dans un arbre en fleurs.
Gravure, Météorologie, Inondations, Bucarest (Roumanie), Inondations -- Ravages, Theodor Aman (1831–1891)
Inondation à Bucarest en 1862 : Le prince Alexandre à cheval visitant le quartier des tabaches. D'après un croquis de Theodor Aman (1831–1891).
Peinture, Dix-huitième siècle, Cuisine (semoule), Peintres italiens, Pietro Longhi (1702–1785), Millas (Pyrénées-Orientales), Polenta (cuisine)
La polenta, Pietro Longhi (1702–1785), peintre vénitien. La polenta (ou polente) est une farine de maïs, originaire du nord de l'Italie ; elle se présente sous forme de galette ou de bouillie à base de semoule ou de farine de maïs. La polenta est connue sous d'autres noms notamment en Languedoc sous le nom de milhàs, en Gascogne sous le nom de cruchade, en Roumanie et Moldavie sous le nom de mamaliga, ou encore à l'île de la Réunion sous le nom de sosso maïs. Nature ou crémeuse, elle peut être servie chaude, cuite au bouillon ou au lait ou encore en galettes revenues à la poêle.
Marteniza rouge et blanc en laine. Dans les premiers jours de mars, les Bulgares/Macédoniens et les Roumains/Moldaves s’offrent les uns les autres des martenitsi/mărțișoare (le plus souvent, ce sont les hommes qui en offrent aux femmes) formées d’un fil rouge et d’un fil blanc parfois tressés ensemble. Les deux couleurs peuvent avoir plusieurs symboliques : la santé et la force du sang, le blanc d'une longue vie ; la chaleur du soleil printanier et la neige hivernale qui fond ; la lumière et l’eau, deux éléments essentiels à la vie ; l'amour (ou l'amitié) et la pureté (ou la droiture, ou le respect) ; la vie et la paix… Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%AAte_du_1er_mars_en_Europe_du_Sud-Est
Gravure, Peintres français, Dix-neuvième siècle, Musiciens tsiganes, Auguste Raffet (1804-1860), Valachie (Roumanie), Valaques istro-roumains
Musiciens du 2ème régiment, Bucarest, 1837, par Auguste Raffet (1804-1860) : Ronde valaque exécutée par des tsiganes et dansée par les Musiciens du 2e Régt. chez le Prince Ghika, Gospodar de Valachie.
La fanfare de Roumanie ''Fanfara Lui Craciun'' lors du festival de Musiques de Rues de Besançon 2006.
Peinture, Femmes peintres, Marianne Stokes (1855-1927), Art et anthropologie, Transylvanie (Roumanie)
Portrait d'une roumaine de Desze ou Desesti, 1909, par Marianne Stokes (1855-1927). Un séjour à Ždiar dans les Carpates est suivi de la parution de l'ouvrage Hongrie en 1909. Il contient des études, de la main de Marianne Stokes, de paysannes slovaques qui demeurent encore aujourd'hui un important témoignage ethnographique.
Photographie, Instruments à vent, Touches (instruments de musique), Art hongrois, Instruments de musique anciens, Taragot, Taragote, Tárogató, Tárogató, Musique de, Vents (instruments de musique)
Le tárogató, taragot ou torogoata (en français: taragote) est un instrument de musique à vent d'origine hongroise répandu en Ukraine et en Roumanie aussi. Le terme désigne deux instruments différents, tous deux d'origine hongroise : 1) du XVe siècle jusqu'au XVIIIe siècle environ, le tárogató — appelé aussi töröksíp, « flûte turque » — était un type de hautbois avec une anche double, une perce conique, et aucune clef. 2) dès 1890, c'est un bois à anche simple, inventé par le facteur d'instruments Vencel József Schunda. En raison de sa sonorité extrêmement forte et rauque, l'ancien tárogató a été employé comme instrument de signalisation pendant les batailles et les soulèvements nationaux (comme le bugle et la cornemuse). Le tárogató moderne est accordé en Si bémol. Son étendue chromatique est de plus de 2 octaves. Son doigté est proche de celui du saxophone. La forme de sa perce fait que le tárogató est un instrument octaviant. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A1rogat%C3%B3.
Photographie, Géométrie, Bleu, Architecture domestique, Volets, Architecture, Architecture -- Décoration et ornement, Architecture -- Détails, Art roumain, Bucarest (Roumanie), Contrevents
"Fenêtre bleue" aux volets peints de Jurilovca, 1898, au Musée du Village Roumain (Muzeul National al Satului Dimitrie Gusti) de Bucarest : Un contrevent est un dispositif habituellement installé en extérieur devant une fenêtre ou une porte, qui peut être fermé pour se protéger de la lumière, des intrusions, des projectiles, des regards extérieurs ou comme élément d'isolation contre la chaleur, le froid, le vent et la pluie. Il est en général confondu dans le langage courant avec le volet, qui lui est installé en intérieur. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Contrevent Les contrevents sont traditionnellement composés d'un panneau en bois plein sans fentes avec des gonds métalliques qui les fixent au mur à l'extérieur de la baie (le contrevent battant), ce qui permet de les placer de façon à obstruer l'ouverture. Historiquement, ces contrevents ont pu être des panneaux simplement accrochés par des pitons ; puis ils furent ensuite articulés avec des charnières et rabattus.