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Le Rat qui s'est retiré du monde. Source : http://data.abuledu.org/URI/519bfa8d-le-rat-qui-s-est-retire-du-monde

Le Rat qui s'est retiré du monde

Le Rat qui s'est retiré du monde. Source : Cent fables de Jean de La Fontaine (1621-1695) illustrées par P. J. Billinghurst (Gutenberg), 1901.

Commanderie des Vieux-joncs. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e8e24-commanderie-des-vieux-joncs

Commanderie des Vieux-joncs

Commanderie des vieux-Joncs à Oude Biesen (Belgique). Source : Bibliotheca regia Monacensis. Une description précise accompagne cette gravure : Entre les villes de Tongres, Bilsen et Maestricht on trouve un terrain inégal et varié, qui ne tient ni de l'aridité de la Campine, ni de l'uniformité de la Hesbaye. Dans cet agréable lieu, les bois n'ont rien de sauvage, et les collines, loin de ressembler aux rochers de la Meuse, ne sont composées que d'une terre douce et fertile, qui, sans attendre les soins de l'habitant, se couvre partout d'une riante verdure dont ce paysage tire son plus grand agrément. Le sommet d'une de ces collines, creusé par les mains de la nature, forme un vaste bassin, au fond duquel est bâti un grand et magnifique château, environné d'un parc fermé de murailles, qui sert de retraite à plusieurs espèces de bêtes fauves. Une longue avenue de haute futaie le traverse de part en part, et mène à une porte d'une belle architecture par où on entre dans une vaste cour, plantée de sapins d'une hauteur étonnante. On y voit à gauche une galerie en portiques, qui communique à une grande chapelle d'une architecture noble et bien entendue; le côté gauche est borné par divers bâtiments qui lui sont communs avec une seconde cour très-vaste, destinée aux usages rustiques. En face on trouve l'accès d'une troisième cour, qui borde un large fossé revêtu de maçonnerie et plein d'eau. Un semblable fossé fait l'enceinte du donjon, qui est carré et flanqué de quatre grosses tours rondes. Ce grand édifice renferme une quatrième cour carrée, belle et spacieuse, où l'on entre par deux ponts-levis, dont l'un regarde les cours et l'autre un parterre et d'autres jardins très agréables situés à l'occident. Les appartements y sont en grand nombre et remarquables, tant par la grandeur et l'élégance qui y brille, que par la richesse des meubles et la commodité des dégagements.

Crispin par Belleroche. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c17447-crispin-par-belleroche

Crispin par Belleroche

Crispin joué par Raymond Poisson (Belleroche), Gravure de Gérard Edelinck, d'après Caspar Netscher (1639-1684). Image CÉSAR. Remarqué par Louis XIV dans un de ses voyages, il intègre la troupe de l'Hôtel de Bourgogne en 1660, afin d'y jouer les premiers rôles comiques. Il y jouera sans discontinuer jusqu'à sa retraite à Pâques 1685. C’est dans le rôle du valet Crispin que Poisson se distingua particulièrement. Il créa pratiquement ce type, lui donna son physique et le fit évoluer, tout au long de sa carrière, par son jeu et la personnalité qu’il lui conféra - grimaces, bredouillement, acrobaties. Le public aimait tant voir Poisson dans ce rôle qu’on vit ce personnage devenir de plus en plus souvent un premier rôle dans les comédies qui s’écrivirent dès le début des années 1660. À partir des années 1670, Le nom de ce valet apparut même dans les titres des pièces. Acteur comique également reconnu par ses pairs, ses talents d’improvisation lui permirent de jouer à plusieurs reprises aux côtés des farceurs italiens, notamment de Scaramouche et Arlequin en 1681.

Forgerons. Source : http://data.abuledu.org/URI/51acb7bf-forgerons

Forgerons

''La forge à Fernand'' Saint-Estèphe, Dordogne. La forge a été laissée dans l'état dans lequel Fernand l'a laissée quand il a pris sa retraite. On y voit les traces de 100 ans d'utilisation du lieu.

Glacier en recul. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f48552-glacier-en-recul

Glacier en recul

Cette illustration rend compte des effets du recul d'un glacier sur le paysage proche : substrat rocheux, moraine de fond, kames, kettles (chaudrons, dépressions), sandur (alluvions glaciaires), moraine frontale, drumlin (formes de dos de baleines), esker (moulage des anciens tunnels glaciaires), glacier en recul. Lors de la retraite du front d'un glacier, d'une calotte glaciaire ou d'une nappe de glace, la retraite s'arrête de temps en temps, ce qui provoque la formation d'une série de moraines de récession. Lors de la retraite du front de la glace, qui se produit lorsque la glace fond plus rapidement qu'elle ne se remplace en coulant, les éclats de la roche fracassée sont séparés par des cours d'eau de fonte. On les classifie alors comme sédiments à l'eau telles que des eskers et des kames. Mais il en reste des sédiments déposés directement par la glace fondante. Sur les terrains recouverts autrefois de nappes de glace, on trouve des couches de dépôts argileux erratiques très répandues qui représentent la moraine de fond. À la ligne d'avance maximale d'une nappe de glace d'autrefois, il y a généralement, une ride de sédiment grossier qui représente la moraine frontale. Auteurs : Luis María Benítez (PNG en), Lycaon (vectorisation), WeFt (Fr).

La fente en escrime. Source : http://data.abuledu.org/URI/534018ae-la-fente-en-escrime

La fente en escrime

Les trois principaux déplacements, appelés fondamentaux en escrime, sont la marche, la retraite et la fente. La fente (ce n'est pas un déplacement classique mais plutôt une amorce offensive) permet de « fondre » sur l'adversaire d'abord en allongeant son bras puis en relevant son pied avant (l'adversaire peut voir le dessous de soulier durant cette étape) et en avançant celui-ci d'environ 90 centimètres en poussant le plus fortement possible de la jambe arrière. Le genou avant doit demeurer aligné avec le pied (s'il est plus avancé il y a déséquilibre). Cette action de l'allongement du bras suivi de la fente est appelé développement. Correctement exécutée, la touche s'exécute avant que le pied avant ne touche le sol à la fin de la fente. La vitesse et la puissance de ce mouvement en font une action très efficace. L'arme, si la touche est placée, prend une légère courbure que l'on appelle la flèche. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Escrime

Le géant Totor. Source : http://data.abuledu.org/URI/51dc84de-le-geant-totor

Le géant Totor

Le géant Totor de Steenwerck (Nord) avec haut-de-forme, nœud papillon et smoking noir. Totor est un géant de processions et de cortèges inauguré en 1933 à l'initiative de 3 jeunes musiciens. Une chanson populaire de l'époque avait pour titre "Totor, t'as tort". Avec quelques arrangements locaux, elle devint "la chanson de Totor" qui donna son nom au géant. Son corps était en bois, fourni et coupé par le menuisier du village et cintré par le tonnelier. Sa tête en carton avait été achetée à Lille et ramenée à Steenwerck à bicyclette. Son chapeau haut de forme était fait de cordes de piano assemblées et recouvertes d'une toile noire raidie. Il portait au bras un parapluie. Il mesurait 4.75m et pesait 60kg. Il disparut pendant le 2ème guerre mondiale. Plus petit que son ainé et installé sur un char, Totor 2 vit le jour en 1947. Une chaine de montre reliait la poche de sa redingote au premier des deux boutons qui la fermaient. Il portait une jupe de toile à carreaux noirs et blancs. Les fêtes populaires disparaisant, il prit sa retraite dans une remise où l'humidité et les rongeurs mirent fin à son existence. Réalisé en 1978 par le vannier du village, Totor 3 mesure 5.70m, pèse 120 kg habillé (93 kg nu) et est porté par 5 porteurs. Ses vêtements se composent d'un plastron en ottoman à dix plis plats, d'un nœud papillon noir, d'une veste de tergal noire et d'une jupe de nylon beige. Depuis plusieurs années, il laisse son parapluie au vestiaire. Il passe maintenant une retraite bien méritée au Musée de le Vie Rurale de Steenwerck. Entièrement réalisé à l'identique de Totor 3, Totor 4 a vu le jour le 24 septembre 2006. Silhouette noire et blanche, Totor arbore un haut-de-forme, un nœud papillon, un smoking et des gants. Il a les yeux écarquillés et, pratiquement, la seule variante de couleur est le rouge de ses lèvres qui souligne son léger sourire ... ou sa satisfaction. Comme pour tous les géants d'une telle taille, son équipe d'accompagnateurs doit comporter au moins une personne chargée de soulever les fils électriques lors de son passage.

Phare de Gravelines en mer du Nord. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591584-phare-de-graveline

Phare de Gravelines en mer du Nord

Le phare de Gravelines est situé dans le département du Nord, à Petit-Fort-Philippe, à l'origine hameau incorporé ensuite dans la commune de Gravelines. Il a été en service de 1843 à 1985. Le phare fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 décembre 2010. Construit en 1843, il est en briques et enduit d’un badigeon qui le protège des embruns et de la pluie. Il mesure 29 mètres de haut et la maison des gardiens se trouve au pied de la tour. Pour atteindre son sommet, il faut préalablement gravir 116 marches. Jusqu’en 1932, le phare est peint en blanc. De cette manière, pense t-on, il se détache mieux sur le fond du paysage de Petit-Fort Philippe. Après sa restauration, en 1931 – 1932, il acquiert sa couleur actuelle qui le rend reconnaissable entre tous grâce à sa spirale noire et blanche qui lui valut le surnom de "Black and White". Le phare, qui échappe à la destruction durant la Seconde Guerre mondiale, est éteint au départ en retraite de Maurice Bienaimé en 1985. Il ne guide plus les marins mais fait toujours partie intégrante du paysage du hameau. Il offre une vue imprenable, du haut de son sommet. Hauteur : 25.5 m - Elévation : 29 m - Portée : 15 milles. Feux : fixe. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Gravelines

Plan anglais de la bataille de Camaret. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4cbdf-plan-anglais-de-la-bataille-de-camaret

Plan anglais de la bataille de Camaret

Plan anglais de la bataille de Camaret : A: la flotte à l'ancre, B: navires destinés à attaquer les batteries de l'ennemi, C: les mêmes navires attaquant les batteries ennemies pour favoriser l'accostage, D: bâteaux de soldats pour l'aterrissage, E: rochers avec sept de nos navires échoués, F: retranchements de l'ennemi défendus par l'infanterie, G: batterie à l'arrière, H: tour ronde avec canon, I et L: Batteries, M: Cavalerie d'observation, N: Cavalerie arrivée après notre retraite, O: navires ennemis désarmés dans la rade de Brest.

Toile d'araignée en filet. Source : http://data.abuledu.org/URI/519dce0a-toile-d-araignee-en-filet

Toile d'araignée en filet

Toile d'araignée en filet un matin d'automne. Les Linyphiidae sont des araignées de très petite taille. La famille est beaucoup plus diversifiée dans les régions froides. Ses membres tissent des toiles en nappe, sans retraite, éventuellement surmontée d'un réseau enchevêtré, sous laquelle se tient l'araignée en position renversée. Elles font souvent des « fils de la vierge » au bout desquels elles se déplacent.