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Tortue verte à La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d05d99-tortue-verte-a-la-reunion

Tortue verte à La Réunion

Gros-plan sur une tortue verte (Chelonia mydas) albinos à La Réunion, une des pensionnaires de Kelonia, l'aquarium de Saint-Leu.

Anses d'un canon prussien de 1800. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e2845b-anses-d-un-canon-prussien-de-1800

Anses d'un canon prussien de 1800

Anses d'un canon figurant des basilics, ou des griffons marins, env. 1800, Hôtel des Invalides.

Gavial. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ead10d-gavial

Gavial

Gavialis gangeticus, le Gavial du Gange, est une espèce de crocodiliens de la famille des Gavialidae1, la seule du genre Gavialis. Sa longueur peut atteindre plus de 6 mètres, soit autant que le crocodile marin. Il est reconnaissable à ses mâchoires particulièrement étroites et allongées. Chez les mâles de plus de 4 mètres, la longueur de la protubérance spongieuse sous le museau peut atteindre jusqu'à six fois sa largeur. Le Gavial du Gange a 29 dents de chaque côté de la mâchoire supérieure et 26 dents de chaque côté de la machoire inférieure. II porte des plaques osseuses sur les côtés de la nuque et du dos. C'est le plus adapté à la vie aquatique des crocodiliens. Revers de la médaille, il ne semble pas capable de marcher comme le font les autres membres du groupe lorsqu'ils sortent de l'eau. Les œufs de gavial sont plus gros que ceux des autres crocodiliens. A l'éclosion, les jeunes mesurent environ 35 cm de long. La taille du jeune gavial augmente en moyenne tous les deux à trois ans d'environ un mètre, dans un milieu sans présence humaine.

Jeune tortue marine. Source : http://data.abuledu.org/URI/5184ce83-young-honu-kahala-png

Jeune tortue marine

Jeune tortue verte (Chelonia mydas) à Honu-Kahala (Hawaï).

Répartition mondiale des espèces de reptiles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f73011-repartition-mondiale-des-especes-de-reptiles

Répartition mondiale des espèces de reptiles

Répartition mondiale du nombre d'espèces de reptiles par continents. Les reptiles sont présents sur quasiment l'intégralité de la surface du globe, à l'exception des zones trop froides à proximité des pôles. Comme ce sont des animaux à sang froid, ils préfèrent tout de même les températures assez élevées, et leur présence et leur diversité deviennent plus importante à proximité des tropiques. Ainsi, les continents les plus riches en reptiles sont l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Sud. Les reptiles peuvent s'adapter à des habitats très différents. On les trouve très présents dans les forêts tropicales, avec une très forte diversité d'espèces, mais ils peuplent également les déserts, où l'on retrouve des lézards et des serpents qui s'abritent durant la journée et sortent la nuit. Dans les zones montagneuses les lézards aiment se cacher dans des amas de pierres, et certains serpents se sont spécialisés dans les zones d'altitude comme la Vipère d'Orsini (Vipera ursinii) que l'on trouve dans les hautes montagnes d'Europe à des altitudes avoisinant 2 000 m. Certains reptiles sont dits fouisseurs et passent une partie de leur vie sous la terre comme les amphisbènes. Les reptiles ont également colonisé les milieux aquatiques : les crocodiliens, certaines tortues comme la Cistude d'Europe et certains serpents comme l'anaconda, le Mocassin d'eau et les couleuvres sont à leur aise dans les rivières et lacs d'eau douce, quand les tortues marines sont présentes dans tous les océans du monde, et ne rejoignent la terre ferme que pour se reproduire. Les serpents marins représentent un niveau d'adaptation supérieur, puisqu'ils ne retournent plus du tout à terre pour la plupart d'entre eux, et ont adopté un cycle de vie exclusivement marin. De nombreuses espèces ont des mœurs arboricoles, comme les serpents ou les lézards. Certains peuvent se déplacer d'arbre en arbre en « planant » comme les dragons volants et dans une moindre mesure certains serpents comme les couleuvres volantes.

Tortue de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/5184bb85-tortue-de-mer

Tortue de mer

Tortue de mer. Les tortues marines, comme les autres tortues (Testudines) sont des reptiles ectothermes disposant d'un système respiratoire pulmonaire, qui correspondait à une adaptation complète à la vie terrestre. En supplément des reins, des glandes près de leurs yeux sont capables d'expulser les excédents de sel de leur circulation sanguine. Leur métabolisme est capable de supporter des fortes concentrations de CO2 lors des plongées profondes. Elles peuvent extraire 35 à 52 % de l'oxygène de leur respiration. Leur vision est très développée. Les yeux sont protégés par trois paupières, leur ouïe est particulièrement fine même si elles n'ont pas d'oreilles externes, mais une oreille interne, sous une plaque auditive. Leur odorat est en revanche assez peu performant. Les tortues marines n'ont qu'un seul orifice excréteur, qui sert également pour la reproduction.

Tortue marine et poisson rémora. Source : http://data.abuledu.org/URI/5184d345-turtle-moheli-jpg

Tortue marine et poisson rémora

Tortue marine et rémora (Ouallah, Mohéli, Comores). Mauvais nageur, le rémora vit en symbiose avec d'autres poissons plus gros — son partenaire préféré est le requin — des cétacés, des tortues marines ou même des bateaux en se liant à eux par le disque d'accroche puissant placé sur sa tête qui remplace sa nageoire dorsale. Il débarrasse les poissons auxquels il s'attache de leurs parasites puisqu'il se nourrit de ce qu'il trouve sur son hôte et se faufile jusque dans les ouïes.

Tortue verte remontant à la surface. Source : http://data.abuledu.org/URI/5184d22b-tortue-verte-remontant-a-la-surface

Tortue verte remontant à la surface

Tortue verte (Chelonia mydas) remontant à la surface pour respirer à Kona, Hawaii. Elles peuvent nager rapidement et plusieurs espèces sont capables de vitesses pouvant atteindre 35 km/h ; à la différence des tortues d’eau douce, elles avancent par l’action simultanée des membres antérieurs.

Traces des passages de tortue. Source : http://data.abuledu.org/URI/5184c771-traces-des-passages-de-tortue

Traces des passages de tortue

Trace des deux passages d'une tortue marine sur une plage du Japon. Les femelles ne pondent que sur leur lieu de naissance, à quelques mètres ou centaines de mètres près suivant les espèces. C’est en général à la faveur de la nuit (une exposition trop longue au soleil leur serait fatale), au crépuscule, souvent à la marée montante que les femelles sortent pour pondre sur leur plage de sable d'origine.