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Photographie | Biologie | Associations animales | Anémones de mer | Biologie animale | Poissons-clowns | Amphiprion | Dessins et plans | Reproduction biologique | Reproduction | Reptiles | Biologie marine | Accouplement (comportement animal) | Animaux -- Reproduction | Insectes -- Reproduction | Squamates | Coccinelles | Acétabulariacées | Algues | Cycle de la vie | ...
Bouquetins en position de combat. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d5c0e-bouquetins-en-position-de-combat

Bouquetins en position de combat

Bouquetins des Alpes dressés sur leurs pattes arrières, en position de combat, dans un troupeau. Le bouquetin est un animal polygame. La période de rut commence début décembre pour se terminer mi-janvier. Les bouquetins mâles et femelles se regroupent. Au sein de ces troupeaux se crée une hiérarchie. Il y a généralement un mâle dominant par groupe – souvent parmi les plus vieux-, qui s'impose après un combat de cornes, combats rarement violents qui s'échelonnent tout au long de l'année et dont on peut entendre le choc très caractéristique jusqu'à un kilomètre de distance. Le dominant se réserve le droit de saillir la femelle de son choix, de sorte que les mâles plus jeunes ont moins de chance de se reproduire, alors qu'ils se montrent beaucoup plus excités... La maturité sexuelle des mâles est atteinte vers 18 mois, 2 ans pour les étagnes. Pour les femelles, la meilleure productivité se situe entre 3 et 13 ans avec un maximum aux alentours de 8 ou 9 ans. Les mâles peuvent eux se reproduire jusqu'à l'âge de 16-17 ans et les femelles jusque vers 14-15 ans.

Cartographie des lieux de ponte des tortues vertes. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d060d3-cartographie-des-lieux-de-ponte-des-tortues-vertes

Cartographie des lieux de ponte des tortues vertes

Lieux de pontes de tortues vertes (Chelonia mydas) : point rouge = lieux de pontes principaux, point jaune = lieux de pontes secondaires.

Petit d'Alpaga. Source : http://data.abuledu.org/URI/516ae125-petit-d-alpaga

Petit d'Alpaga

Petit d'Alpaga (Vicugna pacos). La majorité des naissances ont lieu en saison chaude et à heures chaudes de la journée pour que le petit puisse sécher. Sa mère ne le lèche pas. La femelle porte 11 mois avant la mise bas. Pendant les 7 à 8 premiers mois, le petit se développe mais ne grossit pas, d'où la difficulté de voir si une femelle est pleine, ensuite il se met à grossir jusqu'au terme. La femelle donne naissance à un seul petit par an. Un bébé alpaga pèse en moyenne 7kg et possède déjà une toison de quelques centimètres. La femelle peut être saillie de nouveau une dizaine de jours après la mise bas. Elle allaite son petit environ 6 mois. Une femelle est adulte à 6 mois mais elle n'a pas encore fini sa croissance. Un mâle est quant à lui adulte entre 2 ans et demi et 3 ans.

Tortue marine creusant un trou. Source : http://data.abuledu.org/URI/5184c871-tortue-marine-creusant-un-trou

Tortue marine creusant un trou

Tortue marine (chelonia mydas) creusant un trou pour y pondre son oeuf à l'île Héron en Australie : quatre épisodes.

Traces des passages de tortue. Source : http://data.abuledu.org/URI/5184c771-traces-des-passages-de-tortue

Traces des passages de tortue

Trace des deux passages d'une tortue marine sur une plage du Japon. Les femelles ne pondent que sur leur lieu de naissance, à quelques mètres ou centaines de mètres près suivant les espèces. C’est en général à la faveur de la nuit (une exposition trop longue au soleil leur serait fatale), au crépuscule, souvent à la marée montante que les femelles sortent pour pondre sur leur plage de sable d'origine.

Accouplement de coléoptères. Source : http://data.abuledu.org/URI/5415544b-accouplement-de-coleopteres

Accouplement de coléoptères

Chlorophores soufrés (Chlorophorus varius), accouplement. Le mâle a les antennes plus longues (milieu des élytres) que la femelle. Pubescence jaune-verdâtre plus rarement grise. Le pronotum est barré d'une bande noire pouvant parfois se limiter à trois points. Sur les élytres mats une tache en forme de C de couleur noire. Les pattes et les antennes sont noires. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chlorophorus_varius

Accouplement de lézards. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cb41b-accouplement-de-lezards

Accouplement de lézards

Acouplement de lézards des murailles (Podarcis liolepis) dans le sud de la France (Hérault).

Accouplement de lézards des souches. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cb564-accouplement-de-lezards-des-souches

Accouplement de lézards des souches

Accouplement de lézards des souches (Lacerta agilis). Les adultes mesurent une dizaine de centimètres du museau au cloaque. C'est un lézard corpulent à pattes courtes et à tête courte et épaisse. Sa coloration est assez variable, tirant sur le vert pour les mâles en période de reproduction. Beaucoup d'individus ont des ocelles et des marques ou marbrures sombres sur les flancs. Les femelles sont en général plus grises ou brunes. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lacerta_agilis

Alose. Source : http://data.abuledu.org/URI/52013ef9-alose

Alose

Alose (Alosa fallax) : L'alose est un poisson anadrome de la famille des Clupeidae, qui comprend également la sardine et le hareng, notamment. On en trouve dans les eaux littorales et continentales des façades de la Manche et de l’Atlantique ainsi que dans les estuaires de la façade atlantique, particulièrement celui de la Gironde. D'avril à juin, l'alose remonte le cours des fleuves côtiers et de leurs affluents de la façade atlantique française pour s'y reproduire. La ponte est dite « active ». La durée de ponte s’étend de 23 heures à 5 heures du matin, mais la période de plus forte activité se situe entre 1 heure et 3 heures du matin, quand la température de l’eau atteint au moins 18°C. Le mâle et la femelle remontent en surface, se positionnent face à face et tournent sur eux-mêmes en frappant violemment la surface de l’eau avec leur nageoire caudale, créant beaucoup de bruit et de remous. C’est pendant cette phase, appelée « bull », que la femelle expulse ses œufs et que le mâle les féconde. Le comptage acoustique des bulls est utilisé pour évaluer l'intensité de la reproduction et son évolution dans le temps.

Circuits neurobiologiques de la motivation sexuelle chez les mammifères. Source : http://data.abuledu.org/URI/534d877c-circuits-neurobiologiques-de-la-motivation-sexuelle-chez-les-mammiferes

Circuits neurobiologiques de la motivation sexuelle chez les mammifères

Description des principaux circuits neurobiologiques innés qui contrôlent l'apprentissage de la motivation sexuelle chez les mammifères femelles non-primates. Synthèse d'après les travaux suivants : Kobayakawa K., Kobayakawa R., Matsumoto H. , Oka Y., Imai T., Ikawa M., Okabe M., Ikeda T., Itohara S., Kikusui T., Mori K., Sakano H. "Innate versus learned odour processing in the mouse olfactory bulb". Nature, 450(7169):503-508, 2007 ; Novejarque A., Gutierrez-Castellanos N., Lanuza E., Martinez-Garcia F. "Amygdaloid projections to the ventral striatum in mice: direct and indirect chemosensory inputs to the brain reward system". Front Neuroanat., 5:54, 2011 ; Flanagan-Cato L.M. "Sex differences in the neural circuit that mediates female sexual receptivity". Frontiers in Neuroendocrinology, 32(2):124-136, 2011 ; Kang N., Baum M.J., Cherry J.A. "Different profiles of main and accessory olfactory bulb mitral/tufted cell projections revealed in mice using an anterograde tracer and a whole-mount, flattened cortex preparation". Chem. Senses, 36(3):251-260, 2011 ; Cibrian-Llanderal T., Tecamachaltzi-Silvaran M., Triana-Del R.R., Pfaus J.G., Manzo J., Coria-Avila G.A. "Clitoral stimulation modulates appetitive sexual behavior and facilitates reproduction in rats". Physiology & Behavior, 100(2):148-153, 2010.

Couple de coccinelles. Source : http://data.abuledu.org/URI/534d5a64-couple-de-coccinelles

Couple de coccinelles

Couple de coccinelles à sept points (Coccinella septempunctata).

Couple de criquets pélerins dans le désert. Source : http://data.abuledu.org/URI/531b26bc-couple-de-criquets-pelerins-dans-le-desert

Couple de criquets pélerins dans le désert

Couple de criquets pélerins (Schistocerca gregaria) dans le désert.

Couple de libellules. Source : http://data.abuledu.org/URI/541544cc-couple-de-libellules

Couple de libellules

Couple de demoiselles (Leste brun, Sympecma fusca) en position de ponte fin mars.

Cycle de l'acétabulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7ad20-cycle-de-l-acetabulaire

Cycle de l'acétabulaire

Cycle de vie de l'acétabulaire, algue verte unicellulaire. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elle utilise pour cela un petit filament qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant.

Cycle de vie d'une algue verte. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df5f30-cycle-de-vie-d-une-algue-verte

Cycle de vie d'une algue verte

Cycle de vie de l'algue verte Acetabularia : Les acétabulaires sont des algues vertes unicellulaires. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elle utilise pour cela un petit filament (5) qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau (6) qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale (7) du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant.

Cycle de vie de l'acétabulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0c91c-cycle-de-vie-de-l-acetabulaire

Cycle de vie de l'acétabulaire

Cycle de vie des acétabulaires (genre Acetabularia), algues vertes unicellulaires. On les rencontre dans les zones rocheuses peu profondes. Leur croissance débute par une cellule minuscule qui se fixe sur un rocher mais aussi sur des substrats comme des cordes ou d'autres algues. Elles utilisent pour cela un petit filament qui se développe verticalement formant un axe (pédicule) de quelques centimètres. Celui-ci se terminera par un chapeau qui contient des sacs assurant la reproduction de l'algue. Durant l'hiver, seule la partie basale du végétal subsiste - celle contenant le noyau. Elle régénère le pédicule et le chapeau au printemps suivant. Source : wikipedia, Acétabulaire_(biologie).

Cycle sexuel de la fécondation. Source : http://data.abuledu.org/URI/534d8653-cycle-sexuel-de-la-fecondation

Cycle sexuel de la fécondation

Cycle sexuel de la reproduction sexuée sur le plan génétique : La reproduction sexuée est un mode de reproduction qui fait intervenir des organismes de sexe complémentaires. Ce mode de reproduction est caractérisé par un cycle de vie alternativement haploïde et diploïde. Les paires de chromosomes parents sont séparés durant la formation des gamètes (méiose) puis recombinés en un nouvel organisme singulier lors de la fécondation. Ce brassage génétique conduit à l'échelle de l'espèce la diversité génétique, multipliant ainsi les possibilités d’adaptation à l'environnement. Dans le règne animal ce brassage génétique est associé à des stratégies comportementales permettant notamment une sélection en fonction de divers critères. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sexualit%C3%A9

Méduses en aquarium. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7c23a-meduses-en-aquarium

Méduses en aquarium

Méduses dans l'aquarium d'Atlanta. Très souvent fuie à cause de ses cellules urticantes, la méduse a néanmoins des prédateurs. Les deux plus grands consommateurs de méduses sont la tortue Luth dont elle est le mets favori, et le poisson lune. Le thon rouge en est aussi très friand. Dans une moindre mesure, des crustacés apprécient le cadavre de certaines espèces. La surpêche ou la disparition des espèces prédatrices des méduses (thons, harengs, anchois, tortues), la disparition de leurs concurrentes telles que les sardines qui augmentent la quantité de nourriture disponible, « la destruction des fonds marins par les chalutiers qui favorise leur reproduction, le réchauffement des eaux, et l'eutrophisation des milieux côtiers » stimulent leur prolifération, au point que les chercheurs Philippe Cury et Daniel Pauly font la conjecture provocatrice qu'« il nous faudra nous contenter de manger des méduses ! » Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9duse_%28animal%29 ; Philippe Cury et Daniel Pauly, Mange tes méduses !, Éditions Odile Jacob,‎ 2013, 224 p.

Mérou au large de la Sicile. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d20c1f-merou-au-large-de-la-sicile

Mérou au large de la Sicile

Mérou (Epinephelus marginatus) dans la Réserve naturelle de Capo Gallo à Palerme en Sicile. Son espérance de vie est d'environ 50 ans. Le mérou n'a pas de sexe déterminé avant l'âge de 4 ans. D'abord femelle, il devient mâle vers l'âge de 9 à 12 ans jusqu'à la fin de sa vie. On parle d'un mode de reproduction protérogynique. Le mérou brun a bien failli disparaître des côtes du Nord de la Méditerranée, victime de sa placidité et de la facilité qu'ont eu les hommes à le pêcher. Néanmoins, en France notamment, suite à un moratoire sur sa pêche (sous-marine et à l'hameçon), le mérou brun est de plus en plus fréquent sur les côtes. Le mérou brun, est probablement le poisson le plus recherché et le plus médiatique de Méditerranée. Il peut vivre jusqu'à 200 mètres de profondeur. Les sites où ce poisson imposant et peu farouche a élu domicile sont particulièrement appréciés des plongeurs et des photographes (voir Jojo le Mérou dans Le Monde du silence de Jacques-Yves Cousteau). Il était autrefois très commun, mais la surpêche a fait des ravages dans l'espèce.

Oeufs de coccinelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/533c0d51-oeufs-de-coccinelle

Oeufs de coccinelle

Oeufs de coccinelle à quatre points (Harmonia quadripunctata).

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed64c-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed668-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed674-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed683-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed68f-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed699-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed6a6-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson clown en mer rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/552ed6b1-poisson-clown-en-mer-rouge

Poisson clown en mer rouge

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu’ils forment avec dix espèces d’anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d’une anémone. L’individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n’interviennent pas dans la reproduction.

Poisson-clown et anémone de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e64079-poisson-clown-et-anemone-de-mer

Poisson-clown et anémone de mer

Les poissons-clowns (Amphiprion ocellaris) sont remarquables à plusieurs titres. Ils sont principalement connus pour la relation mutualiste qu'ils forment avec dix espèces d'anémones de mer (Heteractis magnifica) — normalement mortelles pour les poissons. Ils se distinguent également des autres espèces de demoiselles par leur hermaphrodisme successif protandre quand les autres espèces sont généralement protogynes. Cette particularité définit une structure sociale particulière au sein d'une anémone. L'individu dominant est la femelle, plus grosse que le reste du groupe. Elle forme un couple stable avec un mâle sexuellement actif, un peu plus petit. Les autres individus du groupe sont des mâles immatures qui n'interviennent pas dans la reproduction.

Variations de populations clinales en boucle. Source : http://data.abuledu.org/URI/525a6cd0-variations-de-populations-clinales-en-boucle

Variations de populations clinales en boucle

Les variations des populations interfécondes (ici représentées par des blocs de couleurs) le long d'une cline peuvent suivre une courbe, formant au final un anneau. Une variation clinale (ring species, « espèce en anneau ») est une série de populations voisines connectées dont les populations relativement apparentées peuvent se reproduire entre elles, mais au sein de laquelle il existe au moins deux populations « terminales » qui sont trop peu apparentées pour qu'il y ait inter-reproduction. C'est un cas particulier de cline systématique.