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Dessins et plans | Écologie | Chaînes alimentaires | Paléoenvironnement | Réseaux trophiques | Biologie | Interactions multitrophiques (écologie) | Cambrien | Biochimie | Productivité | Chlorophylle | Mer -- Productivité | Biomasse -- Analyse | Sols -- Productivité | Production primaire (biologie) | Cartes marines | Botanique | Photosynthèse | Eaux côtières | Chaînes alimentaires (écologie) | ...
Chaine alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/588c7bd5-chaine-alimentaire

Chaine alimentaire

Principe des flux et « pertes » d'énergie dans le réseau trophique.

Le krill antarctique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e45ec7-le-krill-antarctique

Le krill antarctique

Photo en gros plan du krill antarctique (Euphausia superba). Le site ecoscope propose un microscope virtuel qui permet d'explorer les divers organes de ce krill. Krill est le nom générique d’origine norvégienne de petites crevettes des eaux froides, de l'ordre des euphausiacés. Le krill est un maillon important du réseau trophique des océans, pour les zones nord et sud de la planète. On regroupe sous ce terme au minimum 85 espèces dont les adultes vivent en « essaims » gigantesques dans les couches supérieures de l'océan, les œufs et larves étant trouvés jusqu'à plus de 1 000 m de profondeur. Les essaims forment parfois des bancs de deux millions de tonnes s'étendant sur 450 km² ; estimations de quelque 650 millions de tonnes au niveau de la planète. Dans l'océan austral, le krill antarctique est principalement constitué d’Euphausia superba, sans courbure dorsale et possédant des yeux noirs de grande taille. Pélagique, il constitue la première source d'alimentation des cétacés à fanons (mysticètes ; dont grands rorquals et baleines franches), avec un rendement très faible pour les cétacés, puisque pour grossir de 1 kg, ils doivent en absorber 100 kg. Les baleines en mangent plusieurs tonnes par jour. Ainsi, le déplacement de ces minuscules crustacés entraîne-t-il à lui seul, la migration des géants des mers. Le krill et d'autres types de crevettes sont à l'origine de la coloration rose des flamands roses, et rose-orange de la chair du saumon sauvage. Il renferme en effet de l’astaxanthine, un caroténoïde rouge, une vitamine A anti-oxydante. Il fait l’objet d'une pêche industrielle, dont en Norvège et autour de l'Antarctique.

Le réseau trophique dans la chaîne alimentaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e29b-le-reseau-trophique-dans-la-chaine-alimentaire

Le réseau trophique dans la chaîne alimentaire

Principes des flux et "pertes" d'énergie dans le réseau trophique (chaîne alimentaire). En écologie, le niveau trophique est le rang qu'occupe un être vivant dans un réseau trophique. Il se mesure en quelque sorte par la distance qui sépare cet être du niveau basique qui est celui de la production primaire autotrophe. Au dessus de ce niveau de base, chaque maillon (ou étage) d'une chaîne alimentaire correspond à un niveau trophique. C'est un concept théorique de l'Écologie qui permet de mieux cerner ou expliquer certaines relations entre espèces (relations prédateur-proie notamment), les cycles et flux d'énergie et de nutriments dans les écosystèmes, les réseaux trophiques ainsi que les phénomènes de bioconcentration dans la pyramide alimentaire, qui ont une grande importance en écotoxicologie.

Producteurs primaires terrestres et océaniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e7c5-producteurs-primaires-terrestres-et-oceaniques

Producteurs primaires terrestres et océaniques

Répartition des producteurs primaires terrestres (de vert à marron) et océaniques (de bleu à violet), de Septembre 1997 au mois d'Août 2000. Estimée en tant que biomasse autotrophe, c'est un indicateur approximatif de la production primaire potentielle. Issu du projet SeaWiFS, de la NASA/Goddard Space Flight Center et de ORBIMAGE. La productivité primaire traduit la vitesse à laquelle se forme par unité de temps, une quantité donnée de matière organique à partir de matière minérale et d'un apport d'énergie. C'est un flux exprimé en masse de carbone assimilé par unité de temps1. Cette production de matière organique s'effectue principalement grâce à la photosynthèse (la chimiosynthèse étant beaucoup moins répandue). Dans un écosystème, la productivité primaire est réalisée par les producteurs primaires également appelés autotrophes. Il s'agit du premier maillon d'une chaine alimentaire dans un réseau trophique. Les producteurs primaires sont principalement des plantes dans les écosystèmes terrestres et des algues dans les écosystèmes aquatiques. On appelle production primaire l'énergie qui est accumulée par la productivité primaire.

Pyramide des étages trophiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/529a51a7-pyramide-des-etages-trophiques

Pyramide des étages trophiques

Schéma vierge de la pramide des étages trophiques (vectorisation Cyrille Largillier, novembre 2013). En écologie, le niveau trophique est le rang qu'occupe un être vivant dans un réseau trophique. Il se mesure en quelque sorte par la distance qui sépare cet être du niveau basique qui est celui de la production primaire autotrophe. Au-dessus de ce niveau de base, chaque maillon (ou étage) d'une chaîne alimentaire correspond à un niveau trophique.

Réseau trophique en eaux côtières. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9d814-reseau-trophique-en-eaux-cotieres

Réseau trophique en eaux côtières

Réseau trophique en eaux côtières. Un réseau trophique (ou chaîne tropho-dynamique) se définit comme un ensemble de chaînes alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent (échanges d'éléments tel que le flux de carbone et d'azote entre les différents niveaux de la chaîne alimentaire, échange de carbone entre les végétaux autotrophes et les hétérotrophes). Le terme trophique se rapporte à tout ce qui est relatif à la nutrition d'un tissu vivant ou d'un organe. Par exemple, une relation trophique est le lien qui unit le prédateur et sa proie dans un écosystème. Dans un écosystème, la structure des réseaux trophiques (les types et réseaux de relations alimentaires entre organismes) influence fortement la quantité, la diversité, la stabilité et la qualité de la biomasse et de la matière organique résiduelle (excrétions, nécromasse) produites par les écosystèmes. La qualité d'un réseau trophique et de ses interactions a un lien direct avec la stabilité et résilience des populations qui en font partie.

Réseaux trophiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/588c7cd2-reseaux-trophiques

Réseaux trophiques

Représentation graphique de réseaux trophiques (chaine alimentaire) et niveaux trophiques pour les paléoenvironnements de Chengjiang et de Burgess (Cambrien). S = nombre d'espèces (nœuds). L= nombre de liens trophiques. C= connectance ; L/S2. MaxTL = niveau trophique max. d'une espèce dans le réseau. Auteurs : Dunne JA, Williams RJ, Martinez ND, Wood RA, Erwin DH, PlosBiol website : http://www.plosbiology.org/static/license.action.

Réseaux trophiques en paléoenvironnements. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e40a-reseaux-trophiques-en-paleoenvironnements

Réseaux trophiques en paléoenvironnements

Représentation graphique de réseaux trophiques (chaine alimentaire) et niveaux trophiques pour les paléoenvironnements de Chengjiang et de Burgess (Cambrien). S = nombre d'espèces (nœuds). L= nombre de liens trophiques. C= connectance ; L/S2. MaxTL = niveau trophique max. d'une espèce dans le réseau. Source : Dunne JA, Williams RJ, Martinez ND, Wood RA, Erwin DH, 2008 Compilation and Network Analyses of Cambrian Food Webs. PLoS Biol 6(4): e102. doi:10.1371/journal.pbio.0060102

Structure de la chlorophylle a, b et d. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e41886-structure-de-la-chlorophylle-a-b-et-d

Structure de la chlorophylle a, b et d

Il existe plusieurs formes de chlorophylle différentiables selon leur structure chimique : 1) La chlorophylle a (symbole : « chla » ) est le pigment photosynthétique le plus commun du règne végétal. La mesure de sa concentration dans l'eau est utilisée comme indicateur de la quantité de plancton végétal (phytoplancton, base principale du réseau trophique aquatique). Les taux de l'eau en chlorophylle sont donnés en µg chla/L. 2) La chlorophylle b se trouve chez les cormophytes (végétaux supérieurs) et les chlorophycées (algues vertes). 3) La chlorophylle d, identifiée en 1943 et retrouvée chez certaines cyanobactéries (parfois dites algues bleues).