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Photographie | Pâturages | moutons | Prairies | Botanique | Dix-neuvième siècle | Camions-remorques | Mammifères herbivores | Bétail | Mammifères sauvages | Pâturages d'été | Champignons comestibles | Peinture | Sahara | Camions | Prés | Agriculture | Ergs | Cols de montagne -- Italie | Afrique du Nord | ...
Moutons dans un pré. Source : http://data.abuledu.org/URI/536b9bad-moutons-dans-un-pre

Moutons dans un pré

Pigeonnier et moutons dans un pré, Saïx (Tarn).

Patou des Pyrénées au milieu des moutons. Source : http://data.abuledu.org/URI/51607e18-patou-des-pyrenees-au-milieu-des-moutons

Patou des Pyrénées au milieu des moutons

Patou des Pyrénées assis au milieu d'un troupeau de moutons, prairie d'Anterne, Sixt-Fer-à-Cheval (Haute-Savoie).

Troupeau de moutons. Source : http://data.abuledu.org/URI/567eb34d-troupeau-de-moutons

Troupeau de moutons

Troupeau de moutons.

Une ferme en Écosse. Source : http://data.abuledu.org/URI/503c7fcd-une-ferme-en-ecosse

Une ferme en Écosse

Photographie d'une ferme en Écosse, quelques moutons dans une prairie au premier plan.

Argousier. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f218c-argousier

Argousier

Planche botanique N°283 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Argousier (Hyppophae rhamnoides). Ligneux très épineux, au port buissonnant, de 1-5 m (noté jusqu'à 18 m dans certaines flores, aux abords de pannes dunaires par exemple, il atteint facilement une dizaine de mètres alors qu'exposé au vent, la plante conserve des proportions moindres). Sa longévité s'étend jusqu'à 80 ans. La plante dioïque est pollinisée par les insectes et dispersée par les oiseaux. C'est une pionnière, héliophile, qui colonise les sols instables des alluvions de cours d'eau et du littoral sableux. En Grèce antique, l'argousier servait de remède aux chevaux : les feuilles et les jeunes rameaux étaient ajoutés à leurs fourrages pour favoriser une prise de poids rapide et rendre le pelage lustré notamment à l'occasion de courses de chevaux. Les Anciens ont maintenu les argousiers dans leurs pâturages. Selon une légende, les feuilles d'argousier ont été l'un des aliments préférés de Pégase.

Bison américain. Source : http://data.abuledu.org/URI/516ae45a-bison-americain

Bison américain

Bison américain. Image prise par Jack Dykinga pour l'USDA. Légende originale de l'USDA : "Les scientifiques aident les utilisateurs des pâturages américains à relever le défi de la gestion multiusage durable." Les bisons forment un genre de grands bovidés ruminants dont il existe deux espèces vivantes : celle d'Amérique du Nord (Bison bison) et celle d'Europe (Bison bonasus). La première vit essentiellement dans les steppes nord-américaines tandis que la seconde est forestière. Le bison a été un animal caractéristique de l'Amérique du Nord et un symbole pour de nombreuses cultures amérindiennes. Les Amérindiens des grandes plaines de l'Amérique du Nord avaient une économie largement basée sur le bison. Les bisons d'Amérique du Nord étaient encore 50 à 70 millions avant l'arrivée des Européens en Amérique, vivant et migrant sur les plaines herbeuses d'Amérique du Nord, du Mexique au Canada. Ils ont frisé l'extinction avec la conquête de l'Ouest, l'introduction des chevaux et la construction du chemin de fer (vers 1870-1880), où le massacre des bisons fut une entreprise économique à très grande échelle, mais aussi une stratégie pour affecter les Amérindiens. Buffalo Bill (William Frederick Cody 1846-1917) fut un des plus grands chasseurs de bisons.

Braconnage de bécasses des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134e979-braconnage-de-becasses-des-bois

Braconnage de bécasses des bois

On chassait ou braconnait autrefois la volontiers la bécasse de nuit, quand elle quitte les fourrés pour partir à la recherche de nourriture, notamment en Bretagne, illustration gravée par Yan Dargent pour les Annales forestières, « Chronique forestière », chapitre "Les oiseaux des forêts" ; année 1868, volume 7. Légende d'époque : Ces oiseaux de passage, dont les chasseurs font le plus grand cas, nous arrivent par un temps sombre, le plus souvent la nuit ; ils s'abattent dans les taillis ou les futaies, et préfèrent les bois où il y a beaucoup de terreau humide et de feuilles mortes ; ils s'y trouvent si bien cachés qu'il faut des chiens pour les faire lever. Ils quittent ces fourrés à rentrée de la nuit pour se répandre dans les clairières en suivant les sentiers. C’est là qu'on les prend facilement au lacet. En Bretagne, on leur fait la chasse d'une singulière façon. Deux hommes se réunissent pour s'embusquer dans les pâturages de la forêt, où, sous les bousards (bouses) de vache, les bécasses trouvent une ample moisson de vers. L'un porte une lanterne et une sorte d'épinette fixée à l’extrêmité d'un long manche ; l'autre une de ces sonnettes qu'on attache au cou des vaches. Les oiseaux se laissent ainsi approcher d'assez près pour les enserrer dans les mailles d'un filet. La bécasse est, comme dit Belon, « une moult grosse bête, » si elle se laisse prendre de la manière qu'il raconte et qu'il nomme folâtrerie. « Un homme couvert d'une cape couleur de feuilles sèches, marchant courbé sur deux courtes béquilles, s'approche doucement, s'arrêtant lorsque la bécasse le fixe, continuant d'aller lorsqu'elle recommence à errer jusqu'à ce qu'il la voie s'arrêter la tête basse ; alors frappant doucement de ses deux bâtons l'un contre l'autre, la bécasse s'y amusera et affolera tellement, que le chasseur l'approchera d'assez près pour lui passer un lacet au cou. » La chair de la bécasse, y compris les excréments, est une friandise pour ceux qui l'aiment. C'est le cas de rappeler le proverbe latin : Degustibus... non est disputandum. Source : Belon, Histoire de la nature des oiseaux, p. S7S /Paris, 1355, in-fol. Jean-Édouard Dargent dit Yan' Dargent (1824-1899) est un peintre et illustrateur français dont la majeure partie de l'œuvre picturale est consacrée à sa région natale, la Bretagne.

Case ronde en terre, au nord du Cameroun. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e51dd4-case-ronde-en-terre-au-nord-du-cameroun

Case ronde en terre, au nord du Cameroun

Photo d'une case comme on peut en trouver dans l'extrême nord du Cameroun. Une case est un type de construction éphémère en bois ou en pierre bâtie dans des champs en jachère ou dans des paturâges, dans les domaines vacants et les pâturages, notamment utilisée par les bergers et chevriers pour y passer une nuit. En Afrique, une case est un bâtiment le plus souvent destiné à l'habitation, traditionnellement couvert de chaume, parfois de tôles. Suivant les régions, elle peut être de forme ronde, carrée ou rectangulaire.

Chamois. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eae918-chamois

Chamois

Le chamois (Rupicapra rupicapra) est une espèce de mammifères de la famille des Bovidés et de la sous-famille des Caprinés. Les six sous-espèces reconnues vivent dans les zones rocheuses, les forêts et pâturages de montagnes, depuis les Alpes françaises jusqu'à l'Anatolie et l'Azerbaïdjan, en passant par les Vosges, le Jura, le Massif central4, les Balkans et les Carpates. L'isard, une espèce voisine appartenant au même genre Rupicapra, vit dans les Pyrénées, la cordillère Cantabrique et les Apennins italiens.

Coulemelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/55cf2fbe-coulemelle

Coulemelle

Chapeau d'une lépiote élevée, ou coulemelle (Macrolepiota procera). C'est un champignon basidiomycète comestible ressemblant à une ombrelle, assez commun sur les sols bien drainés. C'est une espèce que l'on trouve solitaire, grégaire ou encore en rond de sorcière dans les pâturages et, parfois, dans les bois. Globalement, elle est très répandue dans les régions tempérées. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Macrolepiota_procera

Dédicace de F'Murr. Source : http://data.abuledu.org/URI/53681391-dedicace-de-f-murr

Dédicace de F'Murr

Dédicace par Richard Peyzaret, F'Murr, au Salon du livre de 2008 à Paris (18 mars) de son album "Le Génie des Alpages".

Ergs du Sahara. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1b046-ergs-du-sahara

Ergs du Sahara

Carte topographique des ergs et montagnes du Sahara. Un erg (de l'arabe عِرْق `irq) est un désert de dunes, plus précisément des champs de dunes fixes dont seul le sable superficiel est remodelé sans cesse par le vent. Si le mot erg a été adopté dans le langage géographique international, d'autres termes sont utilisés : dans le Sahara, les Touaregs emploient le mot edeyen, les Libyens parlent de ramla. Les ergs occupent environ 20 % de la surface du Sahara. Certains ont commencé à se former au cours du Pléistocène. La plupart se forment dans des cuvettes par accumulation des débris transportés par les oueds. En cas de pluie, ils peuvent accumuler des réserves d'eau et former des zones de pâturages. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Erg_%28dune%29.

Grues au bord du marais de Pinsk en Polésie. Source : http://data.abuledu.org/URI/5139b924-grues-au-bord-du-marais-de-pinsk-en-polesie

Grues au bord du marais de Pinsk en Polésie

Grues au bord d'un étang, 1890, par le peintre paysagiste russe Ivan Shishkin (1831-1898). Le nom slave de la Polésie vient de Pod-lese qui signifie « sous la forêt ». La Polésie est considérée par les historiens slaves comme étant au cœur de la région où les peuples slaves se sont différenciés, avant leur expansion dans toutes les directions aux Ve et VIe siècles. Les marais de Pinsk (en russe : Пинские болота, Pinskie bolota), marais du Pripet ou marais du Pripiat (en russe : Припятские болота, Pripiatskie bolota) sont une vaste zone humide située le long de la rivière Pripiat et de ses affluents. Les marais de Pinsk se trouvent principalement dans les basses terres de Polésie et occupent la plus grande partie du sud de la Biélorussie et du nord-ouest de l'Ukraine. Ils couvrent 98 419 km2 de part et d'autre de la rivière Pripiat. Ils sont couverts par une forêt dense parsemée d'étangs, tourbières et ruisseaux, et s'étendent sur 480 km d'ouest en est et 225 km du nord au sud. L'étendue des marais varie considérablement au cours de l'année, en raison de la fonte des neiges au printemps et des précipitations en automne, qui font déborder la Pripiat et provoquent des inondations. Le drainage de la partie orientale a commencé en 1870 et des zones ont été défrichées et transformées en pâturages et terres agricoles.

Mouflon de Dall. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d6404-mouflon-de-dall

Mouflon de Dall

Mouflon, ou mouton sauvage, des régions montagneuses du nord-ouest de l'Amérique du Nord, allant du blanc au brun ardoise et ayant des cornes recourbées d'un brun jaunâtre. En règle générale, ils habitent les régions montagneuses sub-arctiques sèches de l'Alaska et mangent des graminées subalpines et de petits arbustes. Ils dépendent des zones raides, des falaises abruptes et des affleurements d'accès difficiles, qui leur fournissent des zones de refuge contre les prédateurs. Ils utilisent à proximité de ces zones d'accès difficile, ou la nourriture est rare, des zones plus ouvertes de prairies et de pâturages, pour y trouver leur alimentation. En hiver, ils préfèrent les zones ensoleillées et exposées à des vents forts, lesquels enlèvent la neige et exposent le fourrage qui leur sert de nourriture. Les loups (Canis lupus), mais aussi les lynx (Lynx canadensis), les grizzly (Ursus arctos) les Coyotes (Canis latrans), les ours noirs (Ursus americanus), et les gloutons (Gulo gulo) sont les prédateurs de l'espèce.

Retour d'estive dans les Pyrénées. Source : http://data.abuledu.org/URI/5156b721-retour-d-estive-dans-les-pyrenees

Retour d'estive dans les Pyrénées

Retour d'estive du bétail fin septembre à Bourréac dans les Hautes Pyrénées, par camions.

Rosé des prés. Source : http://data.abuledu.org/URI/532d6269-rose-des-pres

Rosé des prés

Rosé des prés (Agaricus campestris), près de Paris, le 30 août 2005. Au XIXe siècle, il était aussi appelé Souris-rose. Le chapeau est blanc, parfois faiblement jaunissant et recouvert de petites écailles, ou soyeux à fibres rayonnantes. Il mesure 5 à 10 cm de diamètre. D'abord de forme hémisphérique, il s'aplatit à maturité. La chair blanche devient légèrement rougeâtre en cas de meurtrissure. Le goût est doux. Les lames, d'abord roses, puis rouge-brun, deviennent brun foncé à maturité. Les spores sont elles aussi de teinte brun foncé. Le pied qui ne dépasse pas 7 cm de haut est blanc et porte un anneau mince inconstant. On le trouve dans les champs et pâturages, les prés (jamais dans les bois) et les jardins, après la pluie à partir de la fin de l'été et pendant tout l'automne dans le monde entier. Il est largement ramassé et mangé, même par des personnes inexpérimentées. Ce champignon n'est pas cultivé commercialement en raison de sa maturation rapide et de sa courte durée de vie. Il peut être consommé sauté ou frit, en sauce, ou même cru dans les salades. Par sa saveur et sa texture, ce champignon est presque entièrement identique au champignon de Paris (Agaricus bisporus). Il est important de bien le laver pour le débarrasser de tout le sable et des petites larves blanches qui creusent des tunnels dans le pied et le chapeau. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Agaricus_campestris.

Tamarin des hauts. Source : http://data.abuledu.org/URI/521f9792-tamarin-des-hauts

Tamarin des hauts

Tamarin des hauts (Acacia heterophylla) à La Réunion, vieil arbre dans les pâturages de la Plaine des Cafres au mois de septembre. C'est une espèce d'arbre de la famille des Fabaceae, endémique de l'île de La Réunion. Il s'y développe entre 1 200 et 2 200 m d'altitude et peut constituer l'essence dominante de forêts appelés “tamarinaies”. Son bois est utilisé en ameublement et en ébénisterie. Le Tamarin des Hauts est un arbre qui dans de bonnes conditions de fertilité peut atteindre 20 à 25 m de hauteur, mais en raison de son enracinement superficiel, il est facilement renversé par les cyclones tout en ayant souvent la capacité de reprendre son développement, ce qui réduit la hauteur dominante de nombreuses tamarinaies à dix ou quinze mètres avec des arbres en partie couchés. Dans la végétation d'altitude, où l'espèce est présente de manière plus ou moins éparse, le port est celui d'un arbrisseau de quelques mètres de hauteur seulement.

Tête de Gazelle Dama. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c4a44-tete-de-gazelle-dama

Tête de Gazelle Dama

La Gazelle dama (Gazella dama, ou Nanger dama) est une espèce de gazelle africaine devenue rare et menacée. C'est la plus grande gazelle actuelle. Le cou et les pattes sont très allongés. Les cornes assez courtes sont en forme de S dirigé vers l’arrière. Celles des mâles sont en général plus longues et plus robustes que celles des femelles. La tête est de couleur blanche et les femelles présentent une raie noire en travers de l’œil. Le cou, roux, porte une tâche blanche bien visible. Elle se déplace vers la zone saharienne au moment de la saison des pluies, lorsque les pâturages sont abondants et de bonne qualité et redescend dans la zone sahélienne durant la saison sèche. Elle fréquente plutôt les zones de dunes fixes, les steppes et prairies à acacias. Elles s'amusent aussi au « stotting » ou « pronking », qui sont des rebonds, une discipline commune chez toutes les gazelles, plus ou moins développée selon les espèces. Elle fait des petits bonds, c'est un animal paisible. Ses prédateurs naturels, sont les léopards, et autrefois les guépards du Sahara et les lions de l'Atlas dans une moindre mesure.

Transhumance du bétail des cols alpins. Source : http://data.abuledu.org/URI/53687162-transhumance-du-betail-des-cols-alpins

Transhumance du bétail des cols alpins

Transhumance du bétail : col alpin de Sessera en Italie. Le col de Sessera (Bocchetto di Sessera ou simplement Bocchetto Sessera en italien) est un col des Alpes pennines situé dans la province de Biella et reliant le Biellois central, et en particulier la vallée de la Strona di Mosso, et la vallée de la Sessera. mont Rubello, près de la commune de Trivero), par le biais du col de Sessera, c'est là que passe la route que les éleveurs biellois parcouraient durant la transhumance annuelle vers les pâturages de la haute vallée de la Sessera. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Col_de_Sessera