Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Dessins et plans | Gravure | Photographie | Géométrie | Peinture | Dix-septième siècle | François Chauveau (1613-1676) | Constructions géométriques | Compas | Jean de La Fontaine (1621-1695) | Dix-neuvième siècle | Fables | Règles | Faisceaux laser | Parallèles (géométrie) | Symétrie | Lumière | Effet photovoltaïque | Jeux de plateau | Autriche | ...
Abbatiale de Conques. Source : http://data.abuledu.org/URI/53f441fc-abatiale-d-conques

Abbatiale de Conques

Abbatiale Romane du XIIème siècle dans l'Aveyron (12) : tympan polychrome. Le portail occidental de l'abbatiale Sainte-Foy est surmonté d'un tympan décrivant le Jugement dernier. Il représente le Jugement dernier, d'après l'Évangile selon Matthieu. Il comporte 124 personnages, l'ensemble est divisé en trois niveaux. Tout en haut dans les angles on peut voir deux anges sonneurs de cor, au centre trône le Christ en majesté, avec les élus à sa droite, au Paradis, et les damnés à sa gauche, en Enfer. Derrière lui les anges portent la Croix et le fer de lance évoquant la Passion. Au niveau médian le cortège des élus est en marche vers le Christ, on peut reconnaître la Vierge Marie et Saint-Pierre (personnages nimbés), qui sont suivis par les personnages ayant marqué l'histoire de l'abbaye : l'abbé Dadon (son fondateur), Charlemagne (son bienfaiteur). Dessous, Sainte Foy sous la main de Dieu, à côté des menottes des prisonniers qu'elle a libérés. De l'autre côté des anges-chevaliers repoussent les damnés essayant d'échapper à l'Enfer. On peut y voir de mauvais moines, un ivrogne pendu par les pieds. Le troisième niveau est divisé en deux parties. À gauche se trouve le Paradis présidé au centre par Abraham, à sa porte un ange fait entrer les élus. La partie droite est consacrée à l'enfer où préside Satan, et où sont châtiés les péchés capitaux : l'Orgueil, désarçonné d'un cheval, l'Avarice pendue haut et court avec sa bourse, la Médisance dont la langue est arrachée par un démon, l'Adultère représenté par une femme, poitrine dénudée, liée par le cou avec son amant. Sur le linteau on peut lire la phrase suivante : «Pécheurs, si vous ne réformez pas vos mœurs, sachez que vous subirez un jugement redoutable». Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Abbatiale_Sainte-Foy_de_Conques

Abordage du Kent par Surcouf. Source : http://data.abuledu.org/URI/51bee92e-abordage-du-kent-par-surcouf

Abordage du Kent par Surcouf

Abordage du Kent par Surcouf, par Ambroise-Louis Garneray (1783–1857).

Alice et la chenille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cfdced-alice-et-la-chenille

Alice et la chenille

Alice et la chenille sur un champignon, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Près d’elle poussait un large champignon, à peu près haut comme elle. Lorsqu’elle l’eut examiné par-dessous, d’un côté et de l’autre, par-devant et par-derrière, l’idée lui vint qu’elle ferait bien de regarder ce qu’il y avait dessus. Elle se dressa sur la pointe des pieds, et, glissant les yeux par-dessus le bord du champignon, ses regards rencontrèrent ceux d’une grosse chenille bleue assise au sommet, les bras croisés, fumant tranquillement une longue pipe turque sans faire la moindre attention à elle ni à quoi que ce fût.

Armoiries du Chili. Source : http://data.abuledu.org/URI/5379a9ed-armoiries-du-chili

Armoiries du Chili

Le Blason du Chili fut officialisé par la loi du 26 juin 1834, durant le gouvernement du président José Joaquín Prieto, et dessiné par le britannique Carlos Wood Tailor. Il est composé d'un champ divisé en deux parties égales : la partie supérieure d'azur et la partie inférieure de gueules. Le blason est soutenu par deux animaux : un condor et un huemul, qui portent sur leur tête une couronne navale d'or. Le tout est surmonté d'une huppe à trois plumes, de gueules, d'argent et d'azur, qui remonte à une distinction qu'utilisaient les anciens présidents Chiliens. En dessous, on peut voir une ceinture d'argent de laquelle apparaît la devise nationale : "Por la razón o la fuerza" = Par la raison ou par la force. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Armoiries_du_Chili

Carte démographique de la France. Source : http://data.abuledu.org/URI/50787a5c-carte-demographique-de-la-france

Carte démographique de la France

Carte démographique de la France. Sont représentés : par des applats de couleurs, les densités de population par départements français ; par des points, les 18 villes françaises de plus de 400000 habitants (aire urbaine) ; par une ligne noire continue : "ligne Le Havre-Marseille" (60 % des Français habitent à l’Est de cette ligne) ; par deux lignes noires en pointillés : les limites approximatives de la "diagonale du vide".

Carte du Tendre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f58d13-carte-du-tendre

Carte du Tendre

La Carte de Tendre est la carte d’un pays imaginaire appelé « Tendre » imaginé au XVIIe siècle et inspiré par "Clélie, Histoire romaine" de Madeleine de Scudéry, par différentes personnalités dont Catherine de Rambouillet. On y retrouve tracées, sous forme de villages et de chemins, dans cette représentation topographique et allégorique, les différentes étapes de la vie amoureuse selon les Précieuses de l'époque : par grande estime, par reconnaissance et par inclination.

CD-ROM. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6011b-cd-rom

CD-ROM

Un CD-ROM (abréviation de "Compact Disc - Read Only Memory") soit disque compact à mémoire morte (non modifiable) ou cédérom est un disque optique utilisé pour stocker des données sous forme numérique destinées à être lues par un ordinateur ou une console de jeu compatible. Le CD-ROM est une évolution du cd audio original, qui était destiné aux données numériques musicales prévues pour un lecteur de CD de chaîne Hi-fi ou de baladeur. Grâce à leur grande capacité de stockage et leur compacité, les cd-roms ont supplanté les disquettes dans la distribution des logiciels et autres données informatiques. Le terme cédérom, francisation officielle de CD-ROM, provient simplement de la lecture phonétique de ce mot anglais. Depuis lors (1996), cédérom et cd-rom, en minuscules, sont considérés comme des noms communs en français, et prennent donc un s au pluriel. Les données du CD-ROM sont lues sur la surface du disque par un laser, les bits de données étant stockés sous forme de creux et bosses et chaque fichier ayant des coordonnées sur le disque. L’information captée par le laser est transmise à l’ordinateur par une connexion interne de type SCSI, IDE, SATA, ou par un port externe USB ou E-SATA. Un cd-rom ne contient que des données non modifiables : il peut être lu par un lecteur de disque optique (lecteur CD), mais ne peut être écrit que par un graveur.

Certificat signé par un maire en 1871. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d7c92-certificat-signe-par-un-maire-en-1871

Certificat signé par un maire en 1871

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.62 ; manuel scolaire, édition de 1904 : Un certificat visé par le Maire. - Le maire, aidé du conseil municipal, administre la commune, comme le préfet, aidé du conseil général, administre le département. Le maire inscrit les naissances, les mariages et les morts sur les registres de l'état civil. Il est chef de la police dans la commune. Il reçoit les votes des électeurs.

Chevaux de cirque. Source : http://data.abuledu.org/URI/514ea96c-chevaux-de-cirque

Chevaux de cirque

Croquis de chevaux de cirque, 1899, par Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901). Dans son acception moderne, un cirque est une troupe d'artistes, traditionnellement itinérante, qui comporte le plus souvent des acrobates, des numéros de dressage et de domptage d’animaux, des spectacles de clowns, des tours de magie. La première représentation d’un cirque moderne date du 9 janvier 1768 et a été présentée par Philip Astley à Londres. Vétéran de retour d’Amérique, il décide de représenter surtout des spectacles équestres égayés par des bateleurs. Le mariage du monde équestre militaire et du monde forain autour du cercle est établi. Cette nouvelle forme de spectacle, fondée essentiellement sur des exercices équestres, fut ensuite introduite en France par Astley en 1774, puis reprise par Antonio Franconi et ses descendants. C'est seulement au XIXe siècle lors des vagues de colonisation que furent introduits en France et en Allemagne les premiers animaux sauvages.

Clematis mauritiana de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/5227c86c-clematis-mauritiana-de-la-reunion

Clematis mauritiana de La Réunion

La Clématite de Maurice, ou liane arabique (Clematis mauritiana) au Pas des Sables (étage oligotherme), est une espèce de liane de la famille des renonculacées, endémique de la région floristique de Madagascar et des îles de l'océan Indien, naturellement présente sur les îles de Madagascar, de La Réunion et de Maurice. Bien que la plante eût déjà été collectée et répertoriée par Philibert Commerson et figurât dans son herbier, la première description officielle complète fut établie par Lamarck sur la base d'échantillons rapportés par Pierre Sonnerat et parut en 1786 dans le tome second de botanique de l'Encyclopédie méthodique. Les inflorescences, qui naissent à l'aisselle des feuilles, sont des cymes portées par de longs pédoncules. Elles comportent le plus souvent de 3 à 9 fleurs penchées, elles-mêmes portées par de longs pédicelles. Les pétales sont absents. Ce sont les sépales, généralement au nombre de quatre, qui en prennent l'apparence. Ils sont plus ou moins pileux, blancs à jaunâtres, souvent teintés de rose ou de pourpre à la face externe. Les étamines sont nombreuses et s'allongent après l'éclosion du bouton floral pour atteindre, longueurs du filet et de l'anthère cumulées, plus d'un centimètre. Les carpelles sont également nombreux, couverts de poils argentés.

Commanderie des Vieux-joncs. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e8e24-commanderie-des-vieux-joncs

Commanderie des Vieux-joncs

Commanderie des vieux-Joncs à Oude Biesen (Belgique). Source : Bibliotheca regia Monacensis. Une description précise accompagne cette gravure : Entre les villes de Tongres, Bilsen et Maestricht on trouve un terrain inégal et varié, qui ne tient ni de l'aridité de la Campine, ni de l'uniformité de la Hesbaye. Dans cet agréable lieu, les bois n'ont rien de sauvage, et les collines, loin de ressembler aux rochers de la Meuse, ne sont composées que d'une terre douce et fertile, qui, sans attendre les soins de l'habitant, se couvre partout d'une riante verdure dont ce paysage tire son plus grand agrément. Le sommet d'une de ces collines, creusé par les mains de la nature, forme un vaste bassin, au fond duquel est bâti un grand et magnifique château, environné d'un parc fermé de murailles, qui sert de retraite à plusieurs espèces de bêtes fauves. Une longue avenue de haute futaie le traverse de part en part, et mène à une porte d'une belle architecture par où on entre dans une vaste cour, plantée de sapins d'une hauteur étonnante. On y voit à gauche une galerie en portiques, qui communique à une grande chapelle d'une architecture noble et bien entendue; le côté gauche est borné par divers bâtiments qui lui sont communs avec une seconde cour très-vaste, destinée aux usages rustiques. En face on trouve l'accès d'une troisième cour, qui borde un large fossé revêtu de maçonnerie et plein d'eau. Un semblable fossé fait l'enceinte du donjon, qui est carré et flanqué de quatre grosses tours rondes. Ce grand édifice renferme une quatrième cour carrée, belle et spacieuse, où l'on entre par deux ponts-levis, dont l'un regarde les cours et l'autre un parterre et d'autres jardins très agréables situés à l'occident. Les appartements y sont en grand nombre et remarquables, tant par la grandeur et l'élégance qui y brille, que par la richesse des meubles et la commodité des dégagements.

Communication linéaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ee657f-communication-lineaire

Communication linéaire

Le modèle de Claude Shannon et Weaver désigne un modèle linéaire simple de la communication : cette dernière y est réduite à sa plus simple expression, la transmission d'un message. On peut résumer ce modèle en : Un émetteur, grâce à un codage, envoie un message à un récepteur qui effectue le décodage dans un contexte perturbé de bruit. Apparu dans "Théorie mathématique de la communication" (1948), ce schéma sert à deux mathématiciens Claude Shannon (père entre autres de nombreux concepts informatiques modernes) et Warren Weaver (scientifique versé tant dans la vulgarisation que la direction de grands instituts), à illustrer le travail de mesure de l'information entrepris pendant la Seconde Guerre mondiale par Claude Shannon (ce dernier a été embauché par Weaver à l'Office of Scientific Research and Development pour découvrir, dans le code ennemi, les parties chiffrées du signal au milieu du brouillage). À l'origine, les recherches de Shannon ne concernent pas la communication, mais bien le renseignement militaire. C'est Weaver qui a "traduit" la notion de brouillage par celle de "bruit", la notion de signal par "message", la notion de codeur par "émetteur", la notion de décodeur par "récepteur". Jusqu'à la fin de sa vie, Claude Shannon se défendra contre la reprise du soi-disant modèle pour autre chose que des considérations mathématiques. Le modèle dit de Shannon et Weaver n'a en effet de prétention qu'illustrative. Mais il a souvent été pris au pied de la lettre, révélant alors la forte influence béhavioriste du modèle de Pavlov (stimulus-réponse).

Construction au compas du milieu d'un segment. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4fa69-construction-au-compas-du-milieu-d-un-segment

Construction au compas du milieu d'un segment

Construction au compas seul du milieu d'un segment : Le point A' est le symétrique de A par rapport à B. Les cercles de centre A' passant par A et de centre A passant par B se rencontrent en C et D. Le point D' est le symétrique de D par rapport à A. I est le quatrième point du parallélogramme AD'CI.

Construction d'un point symétrique par pliage. Source : http://data.abuledu.org/URI/518f7911-construction-d-un-point-symetrique-par-pliage

Construction d'un point symétrique par pliage

Construction du symétrique d'un point par rapport à une droite par origami : On construit la perpendiculaire à (L) passant par P puis la perpendiculaire à cette perpendiculaire passant par P (autrement dit, la parallèle à (L) passant par P). On construit les deux bissectrices en P à la parallèle à (L) et la perpendiculaire à (L). Ces deux bissectrices vont couper (L) en deux points d'où l'on trace deux nouvelles perpendiculaires à (L). Deux dernières bissectrices vont se couper en le symétrique à P cherché.

Construction d'une parallèle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4f61d-construction-d-une-parallele

Construction d'une parallèle

Construction à la règle et au compas d'une parallèle à une droite passant par un point donné : La parallèle à la droite (AB) passant par un point C se construit à l'aide de la propriété de la droite des milieux. On construit le symétrique C1 du point C par rapport à A puis le symétrique C2 du point C1 par rapport à B. la droite recherchée est la droite (CC2). Le théorème des milieux est un cas particulier de la réciproque du théorème de Thalès.

Construction d'une perpendiculaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c4f6cf-construction-d-une-perpendiculaire

Construction d'une perpendiculaire

Construction à la règle et au compas d'une perpendiculaire à une droite passant par une point extérieur à la droite : La perpendiculaire à la droite (AB) passant par un point C non situé sur (AB) est la droite (CC') joignant le point C à son symétrique par rapport à la droite (AB). Si le point C est situé sur (AB), il suffit de prendre le symétrique A' (ou B') du point A (ou du point B) par rapport à C, la perpendiculaire est alors la médiatrice de [AA'] (ou de [BB']).

Corrosion galvanique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c2652c-corrosion-galvanique

Corrosion galvanique

Corrosion galvanique, exemple d'un assemblage par rivet entre une tôle d'aluminium et de cuivre sans isolation. Une pile électrochimique est créée lorsque deux métaux de natures différentes sont mis en contact. Un des métaux s'oxyde et se dissout (anode), tandis que sur l'autre métal a lieu une réduction (cathode), et éventuellement formation d'une couche de produits de réaction (des espèces chimiques de la solution se réduisent et se déposent, notamment dépôt calco-magnésien). On parle de corrosion galvanique. Ce phénomène explique : le principe de la « protection cathodique par anode sacrificielle » : on crée une pile électrochimique qui impose un sens de parcours aux électrons pour empêcher la réaction de corrosion ; l'anode se dissout (elle est sacrifiée) et la cathode reste stable, elle est de plus parfois protégée par une couche de produits de réaction ; le principe de la « protection cathodique par courant imposé » : à la place de l'anode sacrificielle, on peut imposer le sens de parcours des électrons en établissant une différence de potentiel entre la pièce et le milieu avec un générateur de tension, par exemple alimenté par des panneaux solaires ; ce phénomène explique aussi pourquoi lorsque l'on met deux métaux différents en contact, l'un se corrode très rapidement. C'est exactement le même type de réactions chimiques qui ont lieu dans une pile d'alimentation électrique, une batterie ou un accumulateur.

Créneau médiéval protégé par un volet. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b868c3-creneau-medieval-protege-par-un-volet

Créneau médiéval protégé par un volet

Créneau médiéval protégé par un volet, Carcassonne- Aude . Dessin extrait de l'ouvrage La cité de Carcassonne par Eugène Viollet-le-Duc. Le dessin est intitulé : Figure N°4. Notice Gallica : Type) texte imprimé, monographie ; Auteur(s) : Viollet-le-Duc, Eugène-Emmanuel (1814-1879) ; Titre(s) : La cité de Carcassonne (Aude) [Texte imprimé] / par Viollet Le Duc ; Publication) Paris, Librairie des imprimeries réunies, 1888 ; Description matérielle : 85 p. : ill. ; in-8 ; Sujet(s) : Carcassonne (Aude) -- Cité -- Histoire ; Notice n° : FRBNF36570974.

Crispin par Belleroche. Source : http://data.abuledu.org/URI/51c17447-crispin-par-belleroche

Crispin par Belleroche

Crispin joué par Raymond Poisson (Belleroche), Gravure de Gérard Edelinck, d'après Caspar Netscher (1639-1684). Image CÉSAR. Remarqué par Louis XIV dans un de ses voyages, il intègre la troupe de l'Hôtel de Bourgogne en 1660, afin d'y jouer les premiers rôles comiques. Il y jouera sans discontinuer jusqu'à sa retraite à Pâques 1685. C’est dans le rôle du valet Crispin que Poisson se distingua particulièrement. Il créa pratiquement ce type, lui donna son physique et le fit évoluer, tout au long de sa carrière, par son jeu et la personnalité qu’il lui conféra - grimaces, bredouillement, acrobaties. Le public aimait tant voir Poisson dans ce rôle qu’on vit ce personnage devenir de plus en plus souvent un premier rôle dans les comédies qui s’écrivirent dès le début des années 1660. À partir des années 1670, Le nom de ce valet apparut même dans les titres des pièces. Acteur comique également reconnu par ses pairs, ses talents d’improvisation lui permirent de jouer à plusieurs reprises aux côtés des farceurs italiens, notamment de Scaramouche et Arlequin en 1681.

Cumulonimbus supercellulaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/52340a0a-cumulonimbus-supercellulaire

Cumulonimbus supercellulaire

Vue conceptuelle d'un cumulonimbus supercellulaire légendée en français : 1) Une enclume à la tropopause — laquelle est une barrière au développement vertical du nuage. Elle s'étend loin de la cellule originale poussée par des vents horizontaux très forts. 2) Un sommet en dôme stratosphérique, dit sommet protubérant, qui dépasse l'enclume là où le courant ascendant se trouve et indique qu'il est assez fort pour vaincre l'inversion de température à la tropopause. 3) Des mammatus sous l'enclume, des protubérances nuageuses formées par l'air froid d'altitude descendant par poussée négative d'Archimède dans le nuage. Ils sont signe d'instabilité. 4) Dans le flanc arrière droit, derrière les précipitations, une tornade sous le nuage-mur (Wall-cloud). 5) Une ligne de flanc formée de petits cumulonimbus ou cumulus congestus engendrés par l'ascension de l'air chaud aspiré par l'ascendance principale. Des trombes terrestres le long du front de rafales peuvent se former. Elles sont dues à un phénomène de convergence.

Diagrame de Minkowski. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ad7f14-diagrame-de-minkowski

Diagrame de Minkowski

Diagrame de Minkowski : représentation symétrique, avec les lignes de simultanéité pour chaque observateur. Il existe une représentation symétrique du diagramme de Minkowski (appelée également diagramme de Loedel d'après le physicien Enrique Loedel Palumbo qui a introduit le premier cette représentation symétrique) où aucun référentiel n'est privilégié. Les deux systèmes d'axes sont représentés symétriquement par rapport aux directions orthogonales, et sont séparés par un angle \beta tel que : \sin(\beta) = \frac{v}{c}. Contrairement à la représentation asymétrique, l'échelle et la graduation des axes des deux référentiels est la même, ce qui facilite l'interprétation des figures. Cette représentation apparaît plus proche de l'esprit de la relativité où aucun référentiel n'est privilégié : en effet, dans la représentation asymétrique, le fait de prendre les axes Ot et Ox orthogonaux est arbitraire, alors que dans la représentation symétrique, l'orthogonalité de Ot avec Ox' et de Ot' avec Ox résulte des symétries, et donne immédiatement l'invariance de la distance de Minkowski entre deux événements. Par définition, tous les événements situés sur l'axe (0,x) sont simultanés (possèdent le même temps t = 0). En conséquence, toutes les droites parallèles à (O,x) sont des lignes de simultanéité de l'observateur situé dans le référentiel (x,t). De même, toutes les droites parallèles à (O,x') sont les lignes de simultanéité pour l'observateur situé dans le référentiel (x',t'). Tous les événements situés sur ces droites se passent "au même instant" pour un observateur donné. Cette simultanéité de 2 événements distants spatialement et qui dépendent du référentiel correspond bien à celle proposée par Einstein à l'aide de signaux lumineux. Le diagramme de Minkowski illustre la relativité de la simultanéité. La théorie de la relativité restreinte stipule en effet que deux événements peuvent être vus comme simultanés pour un observateur, et non simultanés pour un autre en déplacement par rapport au premier. Il est même possible, quand les deux événements sont séparés par un intervalle de genre espace que deux événements soient vus dans un certain ordre par un observateur, et dans l'ordre inverse par un autre.

Diffusion de Rayleigh des ondes électromagnétiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be596f-diffusion-de-rayleigh-des-ondes-electromagnetiques

Diffusion de Rayleigh des ondes électromagnétiques

Diffusion Rayleigh (ou diffusion élastique) d'une onde électromagnétique par un atome. Le nuage électronique est déformé par le champ électrique de l'onde. Le barycentre des charges négatives oscille donc par rapport au noyau (positif), il se crée un dipôle électrostatique vibrant qui rayonne dans toutes les directions. L'onde électromagnétique peut être décrite comme un champ électrique oscillant couplé à un champ magnétique oscillant à la même fréquence. Ce champ électrique va déformer le nuage électronique des atomes, le barycentre des charges négatives oscillant ainsi par rapport au noyau (charge positive). Le dipôle électrostatique ainsi créé rayonne, c'est ce rayonnement induit qui constitue la diffusion Rayleigh.

Dix étapes de l'histoire des aérostats. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b04747-dix-etapes-de-l-histoire-des-aerostats

Dix étapes de l'histoire des aérostats

Dix étapes de l'histoire des aérostats, bande du haut : N°. 6 1er essai de direction de ballons, Guyton de Morveau (1784) ; N°. 7 Traversée en ballon du Pas-de-Calais par Blanchard et Jefferies (1785) ; N°. 8 Mort de Pilâtre de Rozier et de Romain (1785) ; N°. 9 Transport de l'Entreprenant de Maubeuge à Charleroi (1794) ; N°. 10 L'Entreprenant, ballon monté par Coutelle, bataille. Bande du bas, de gauche à droite : Les frères Montgolfier (1784), 1ère expérience aérostatique à Annonay (1783), Charles lance à Paris le premier aérostat (1783), Premier voyage aérien de Pilâtre de Rozier et d'Arlandes (1783), Premier voyage aérien par Charles et Robert (1783). N°. 6 1er essai de direction de ballons, Guyton de Morveau (1784) N°. 7 Traversée en ballon du Pas-de-Calais par Blanchard et Jefferies (1785) N°. 8 Mort de Pilâtre de Rozier et de Romain (1785) N°. 9 Transport de l'Entreprenant de Maubeuge à Charleroi (1794) N°. 10 L'Entreprenant, ballon monté par Coutelle, bataille

Drapeau de l'Autriche. Source : http://data.abuledu.org/URI/537a559d-drapeau-de-l-autriche

Drapeau de l'Autriche

Drapeau de l'Autriche : il est composé de trois bandes horizontales rouge (dessus), blanche et rouge (dessous). Ce drapeau a été adopté au XIIIe siècle par Frédéric II d'Autriche en sa qualité de duc d'Autriche. Mais l'origine semble être l'utilisation comme bannière de la chemise ou de la tunique tachée de sang du duc de Babenberg lors d'une bataille contre les Maures. La chemise avait été protégée en partie par la ceinture qui la barrait. Le drapeau a été repris par l'Autriche lors du remplacement de l'empire austro-hongrois (l'empire de Habsbourg) par la République après la Première Guerre mondiale. La période de rattachement à l'Allemagne entre 1938 et 1945 a été marquée par l'utilisation du drapeau nazi. Le retour à ce drapeau bicolore se fait officiellement le 1er mai 1945. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Drapeau_de_l%27Autriche

Échelle de couleur de radar météorologique. Source : http://data.abuledu.org/URI/5232f131-echelle-de-couleur-de-radar-meteorologique

Échelle de couleur de radar météorologique

Expemple d'échelle de couleur associée avec une image de réflectivité pour un radar météorologique. On y retrouve l'intensité taux de précipitation et en correspondance en dBZ. En général, les images de réflectivité utilisent une variation de couleur similaire à celle de l’arc-en-ciel. Les intensités les plus faibles sont indiquée par le bleu pâle (cyan), les intensités modérées par le jaune et les fortes par le rouge puis le magenta. Les intensités peuvent être reliées à la réflectivité en dBZ ou à son équivalent en millimètres/centimètres par heure. Par exemple, les images disponibles sur le site du Service météorologique du Canada utilisent cette échelle : en hiver le violet représente le taux de précipitation le plus élevé (20 cm/h) alors que le bleu-vert du bas de l'échelle représente le taux le plus bas (0,1 cm/h). Durant les mois d'été, l'échelle de réflectivité est remplacée par celle des précipitations pluviales, en mm/h, qui va d'une trace à plus de 100 mm/h. Certains utilisateurs préfèrent cependant des codes numériques plus simples à interpréter. Ainsi, lorsqu'un pilote d'avion ou un contrôleur aérien décrivent l'intensité des échos de précipitations sur leur affichage radar, ils utilisent des niveaux : niveau 1 pour la précipitation faible, niveau 2 pour de la précipitation modérée possiblement reliée avec une basse visibilité et de la turbulence, niveau 3 pour de la pluie/neige forte reliée à des conditions de vol dangereuses. Certains affichages commerciaux indiquent le type de précipitations. Ainsi les images que l'on peut voir aux bulletins télévisés en hiver peuvent séparer les zones de pluie, de pluie verglaçante et de neige. Ceci n'est pas une information venant du radar mais une association avec les informations venant des stations météorologiques de surface. Un programme analyse la température, le point de rosée et le type de précipitation rapportés par les METAR sous une zone d'échos au radar et fait la division des zones. Cet analyse peut être améliorée en utilisant les données des modèles de prévision numérique du temps comme champ d'essai mais le tout reste sujet à des erreurs de lissage et ne tient pas compte des effets de petite échelle dans la distribution des types de précipitations (air froid emprisonné dans une vallée qui donne de la pluie verglaçante au lieu de pluie par exemple). Quand les données de double polarisation seront largement disponibles, une telle analyse sera plus fiable.

Emissions de CO2 par habitant en 2006. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e763af-emissions-de-co2-par-habitant-en-2006

Emissions de CO2 par habitant en 2006

Graphique représentant les émissions de dioxyde de carbone par habitant et par pays en 2006. Source : Energy Information Administration, International Emissions Data. Légende par ordre décroissant : Qatar, Antilles néerlandaises, Trinidad et Tobago, Bahrein, Emirats Arabes Unis, Singapour, Koweït, Brunei, Australie, États-Unis, Canada, Bahamas, Pays-Bas, Arabie Saoudite, Belgique.

Érosion éolienne en Bolivie. Source : http://data.abuledu.org/URI/509e6274-erosion-eolienne-en-bolivie

Érosion éolienne en Bolivie

L'arbre de pierre, formation rocheuse par érosion éolienne sur l'Altiplano, en Bolivie. La désagrégation mécanique se produit sous l'action d'une force physique qui arrache des morceaux de roche plus ou moins volumineux soit par éclatement dû au gel ou à la chaleur ; soit par usure par frottement : glacier ou vent ; ce sont les débris charriés par ces facteurs (rochers, graviers, quartz ou sable) qui sont efficaces dans le processus d'érosion. L'érosion mécanique est particulièrement active dans les milieux froids (gels et dégels) et/ou arides.

Éruption du volcan Etna, vu depuis la station spaciale internationnalle. Source : http://data.abuledu.org/URI/503a485b-eruption-du-volcan-etna-vu-depuis-la-station-spaciale-internationnalle

Éruption du volcan Etna, vu depuis la station spaciale internationnalle

Éruption de l'Etna du 30 octobre 2002, photographiée depuis la Station spatiale internationale. On peut voir le panache éruptif émis par le cratère sommital, ainsi que des incendies causés par des coulées de lave en contrebas. Les poussières du panache sont charriées vers le sud-est par les vents de basse altitudes puis plein sud à plus haute altitude. Des cendres sont ainsi tombées sur la Libye, à plus de 500 km de distance. L'éruption de 2002 est l'une des plus vigoureuses éruptions de l'Etna ces dernières années. Aucun village n'a cependant été détruit par les coulées de lave.

Évolution du vélo, la bicyclette de sécurité. Source : http://data.abuledu.org/URI/50edba5f-evolution-du-velo-la-bicyclette-de-securite

Évolution du vélo, la bicyclette de sécurité

Le Grand-bi est supplanté par les bicylettes de sécurité, ancêtres de la bicyclette contemporaine. En 1884, John K. Starley de la société Société des machines à coudre de Coventry (The Coventry Sewing Machine Company), qui deviendra Rover, invente la bicyclette de sécurité avec des roues de taille raisonnable et une transmission par chaîne. Le cycliste y est installé à l'arrière, ce qui rend presque impossible la chute de type « soleil » où le cycliste est catapulté par-dessus la roue avant (brevet anglais n° 1 341 déposé par John K. Starley le 30 janvier 1885 : "Improvements in roller bearings for velocipedes, carriages, or like light vehicles or light machinery"). Un engrenage plus grand à l'avant (le plateau) qu'à l'arrière (le pignon) fait tourner la roue arrière plus vite que les pédales ne tournent, ce qui permet à ce type d'engin d'aller vite même sans une roue géante. John Boyd Dunlop invente le pneumatique en 1888 (brevet français n° 193 281 déposé par John Boyd Dunlop le 1er octobre 1888 : « Garniture de jante applicable aux roues de véhicules. ») qui contribue à améliorer encore le confort du cycliste. Edouard Michelin perfectionne cette invention en déposant en 1891 un brevet de «pneu démontable» : la chambre à air. Les bicyclettes de sécurité de 1890 ressemblent déjà beaucoup aux bicyclettes actuelles. Elles ont des pneumatiques de taille comparable à celle d'un vélo moderne, des roues à rayons, un cadre en tubes d'acier et une transmission par chaîne. La seule chose qui leur manque est le changement de vitesses. Dans les années 1890 ce nouveau modèle de bicyclette élargit la cible des utilisateurs potentiels. De plus, en lien avec la seconde révolution industrielle, les bicyclettes deviennent un produit industriel (en France les grandes marques sont alors Peugeot, Manufrance, Mercier ...) réduisant leur prix à un point qui les rend abordables aux ouvriers.

Filage de la soie des cocons. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dbede-filage-de-la-soie-des-cocons

Filage de la soie des cocons

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.167 ; manuel scolaire, édition de 1904 : OUVRIÈRE DU DAUPHINÉ FILANT LA SOIE DES COCONS. - A mesure que les fils de soie se déroulent des cocons, ils s'enfilent par deux trous que l'on voit à droite et à gauche, puis ils passent sur deux crochets au-dessus de la tête de la dévideuse, et de là vont s'enrouler sur un dévidoir qu'on ne voit pas dans la gravure. Ce dévidoir est mis en mouvement par les pieds de la fileuse ou par l'aide d'une autre personne.

Fontaine place Georges Mulot à Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/509fde91-fontaine-place-georges-mulot-a-paris

Fontaine place Georges Mulot à Paris

Fontaine du Puits artésien de Grenelle, place Georges Mulot, Paris. Cette fontaine a été construite à l'emplacement du premier forage artésien de Paris réalisé de 1833 à 1841 par l'ingénieur G. Mulot sous les ordres de F. Arago. La fontaine se présente sous la forme d'un massif monumental de pierre de taille de section carrée encadré de colonnes. Sur chacune de ses faces sont apposés des médaillons de pierre représentant des personnalités dont le nom est honoré par les rues qui convergent dans cette partie du 15e arrondissement : Louis-Georges Mulot (place Georges-Mulot), par Paul Waast ; Valentin Haüy (rue Valentin-Haüy), par Hippolyte Lefèbvre ; Rosa Bonheur (rue Rosa-Bonheur), par Georges Loiseau Bailly ; Eugène Bouchut (rue Bouchut), par Firmin Michelet.

Forêt mixte de feuillus et de conifères. Source : http://data.abuledu.org/URI/513a305f-foret-mixte-de-feuillus-et-de-coniferes

Forêt mixte de feuillus et de conifères

Forêt mixte de Sulzberg (Vorarlberg, en Autriche) : hêtre, érable, frêne, peuplier, épinette. Dans la forêt mixte, les feuillus sont majoritaires, ils sont représentés par des espèces telles que le bouleau, le chêne, l’érable, l’hêtre, le frêne, le tilleul et bien d’autres. Selon la région, la présence de conifères sera plus ou moins importante, les précipitations et la température ayant un rôle à jouer à cet effet. Les exemples de conifères qu’on y retrouve sont l’épinette, le pin, le sapin, la pruche, le thuya, etc. Le Vorarlberg est le Land le plus occidental de l'Autriche. Situé « devant l'Arlberg » (en allemand : vor dem Arlberg), sa superficie est de 2 601 kilomètres carrés et sa population était de 372 001 habitants en 2009. Il est bordé à l'ouest par la Suisse et le Liechtenstein, au nord par l'Allemagne, au sud par la Suisse et à l'est par le land du Tyrol. C'est le seul Land alémanique d'Autriche.

Jeu de Focus. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fafc96-jeu-de-focus

Jeu de Focus

Représentation du tablier de Focus par Sid Sackson, position de départ : Focus est un jeu de société créé par Sid Sackson et publié pour la première fois en 1963 par 3M. Le jeu a été réédité plusieurs fois, sous le même nom ou sous celui de Domination ou de Dominio. Focus a été récompensé en 1981 par le "Spiel des Jahres". Le jeu est décrit par Sid Sackson dans son livre "A Gamut of Games". Une partie oppose de 2 à 4 joueurs pour une durée approximative de 30 minutes. Les joueurs déplacent des piles d'une à cinq pièces sur un tablier de jeu. Une pile peut se déplacer d'autant de cases qu'elle comporte de pièces. Les joueurs ne peuvent déplacer une pile que si la pièce au sommet leur appartient. Quand une pile termine sa course sur une autre pile, les deux piles fusionnent ; si la nouvelle pile comporte plus de cinq pièces, on retire les pièces depuis le bas de la pile jusqu'à la réduire à une hauteur de cinq. Le joueur récupère parmi ces pièces retirées les siennes propres qu'il pourra replacer ultérieurement sur le jeu. Par contre, les pièces appartenant aux adversaires sont définitivement capturées.

L'effet photoélectrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b24689-l-effet-photoelectrique

L'effet photoélectrique

L'effet photoélectrique : schéma montrant l'émission d'électrons depuis une plaque métallique. L'émission de chaque électron (ligne bleue) requiert une quantité minimale d'énergie, laquelle est apportée par un photon (ligne rouge). En physique, l'effet photoélectrique (EPE) désigne en premier lieu l'émission d'électrons par un matériau soumis à l'action de la lumière. Par extension, il regroupe parfois l'ensemble des phénomènes électriques d'un matériau provoqués par l'action de la lumière. On distinguera alors deux effets : des électrons sont éjectés du matériau (émission photoélectrique) et une modification de la conductivité du matériau (photoconductivité, effet photovoltaïque lorsqu'il est en œuvre au sein d'une cellule photovoltaïque, effet photoélectrochimique, effet photorésistif).

L'effet photoélectrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b2468a-l-effet-photoelectrique

L'effet photoélectrique

L'effet photoélectrique : schéma montrant l'émission d'électrons depuis une plaque métallique. L'émission de chaque électron (ligne bleue) requiert une quantité minimale d'énergie, laquelle est apportée par un photon (ligne rouge). En physique, l'effet photoélectrique (EPE) désigne en premier lieu l'émission d'électrons par un matériau soumis à l'action de la lumière. Par extension, il regroupe parfois l'ensemble des phénomènes électriques d'un matériau provoqués par l'action de la lumière. On distinguera alors deux effets : des électrons sont éjectés du matériau (émission photoélectrique) et une modification de la conductivité du matériau (photoconductivité, effet photovoltaïque lorsqu'il est en œuvre au sein d'une cellule photovoltaïque, effet photoélectrochimique, effet photorésistif).

L'homme de Calder. Source : http://data.abuledu.org/URI/541db3a7-l-homme-de-calder

L'homme de Calder

L'Homme, sculpture d'Alexander Calder (1967), Parc Jean Drapeau, Montréal, Québec, Canada. Il fait fabriquer la majeure partie de ses stabiles et mobiles aux entreprises Biemont à Tours, dont "L'Homme", tout en acier inoxydable de 24 mètres de haut, commandé par l'International Nickel du Canada (Inco) pour l'Exposition Universelle de Montréal en 1967. Toutes les fabrications sont faites d'après une maquette réalisée par Calder, par le bureau d'étude (dirigé par M. Porcheron, avec Alain Roy, François Lopez et Michel Juigner) pour concevoir à l'échelle réelle, puis par des ouvriers chaudronniers qualifiés pour la fabrication, Calder supervisant toutes les opérations, et modifiant si nécessaire l'œuvre. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alexander_Calder

L'octopode de Hugo. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b4c710-l-octopode-de-hugo

L'octopode de Hugo

L'octopode de Victor-Marie Hugo (1802-1885), 1866 : Le poète Victor Hugo était un amateur averti de la technique du lavis, comme le montre cette illustration contemporaine des "Travailleurs de la mer". Le lavis est une technique picturale consistant à n'utiliser qu'une seule couleur (à l'aquarelle ou à l'encre de Chine) qui sera diluée pour obtenir différentes intensités de couleur. Le blanc est obtenu par la blancheur du support ou parfois par réhaut de blanc (craie, gouache ou encre de chine blanche par exemple). Par extension on utilise le mot « lavis » pour désigner les œuvres réalisées avec cette technique (par exemple « lavis de Victor Hugo »).

L'optique de Képler. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b0ac37-l-optique-de-kepler

L'optique de Képler

Planche de Johannes Kepler "Ad Vitellionem Paralipomena, quibus Astronomiae Pars Optica" (1604), illustrant la structure de l'oeil. Dès 1603, il parcourt divers ouvrages sur le sujet dont celui de l’Arabe Alhazen. Kepler rassemble les connaissances de l’époque dans son livre "Astronomia pars Optica", publié en 1604. Il y explique les principes fondamentaux de l’optique moderne comme la nature de la lumière (rayons, intensité variant avec la surface, vitesse infinie, etc.), la chambre obscure, les miroirs (plans et courbes), les lentilles et la réfraction dont il donne la loi i = n×r, qui est correcte pour de petits angles (la vraie loi — sin i = n×sin r — fut donnée plus tard par Willebrord Snell et René Descartes). Il aborde également le sujet de la vision et la perception des images par l’œil. Il est convaincu que la réception des images est assurée par la rétine et non pas le cristallin comme on le pensait à cette époque, et que le cerveau serait tout à fait capable de remettre à l’endroit l’image inversée qu’il reçoit.

La cité fortifiée de Phalsbourg. Source : http://data.abuledu.org/URI/524d4e42-la-cite-fortifiee-de-phalsbourg

La cité fortifiée de Phalsbourg

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie) : manuel scolaire, édition de 1904 : PORTE FORTIFIÉE, p.05. - Les portes des villes fortifiées sont munies de ponts-levis jetés sur les fossés qui entourent les remparts ; quand on lève les ponts et qu'on ferme les portes, nul ennemi ne peut entrer dans la ville. - Phalsbourg a été fortifiée par Vauban et démantelée par les Allemands. Traversée par la route de Paris à Strasbourg, elle n'a que deux portes : la porte de France à l'ouest et la porte d'Allemagne au sud-est, qui sont des modèles d'architecture militaire.

La désorption-ionisation laser assistée par matrice (MALDI). Source : http://data.abuledu.org/URI/50ac0fbf-la-desorption-ionisation-laser-assistee-par-matrice-maldi-

La désorption-ionisation laser assistée par matrice (MALDI)

Spectrométrie de masse avec désorption-ionisation laser assistée par matrice (MALDI) : Un faisceau laser pulsé est utilisé, généralement dans le domaine des ultraviolets, pour désorber et ioniser un mélange matrice/échantillon cocristallisé sur une surface métallique, la cible. Les molécules de matrice absorbent l'énergie transmise par le laser sous forme de photons UV, s'excitent et s'ionisent. L'énergie absorbée par la matrice provoque sa dissociation et son passage en phase gazeuse. Les molécules de matrice ionisées transfèrent leur charge à l'échantillon. L'expansion de la matrice entraîne l'échantillon au sein de la phase gazeuse dense où il va finir de s'ioniser. L'ionisation de l'échantillon a donc lieu soit dans la phase solide avant la désorption, soit par transfert de charge lors de collisions avec la matrice excitée après désorption. Elle conduit à la formation d'ions monochargés et multichargés de type [M+nH]n+, avec une nette prépondérance pour les monochargés.

La plume de l'oiseau de feu. Source : http://data.abuledu.org/URI/52bbff7d-la-plume-de-l-oiseau-de-feu

La plume de l'oiseau de feu

La plume de l'oiseau de feu par l'artiste russe Elena Konstantinovna Gorokhova, 1979. Dans les contes de fées, l'oiseau de feu est typiquement l'objet difficile à trouver dans une quête. La quête débute habituellement par la découverte par le héros d'une plume perdue (de la queue de l'oiseau), à partir de laquelle le héros se met en route pour trouver et capturer l'oiseau vivant. Le mot russe птица (ptitsa) étant féminin, l'Oiseau de feu est envisagé par les Russes comme un être féminin, raison pour laquelle on traduit parfois par « l'Oiselle de feu ». (Source : wikipedia).

Le geai paré des plumes d'un paon. Source : http://data.abuledu.org/URI/510bec82-le-geai-pare-des-plumes-d-un-paon

Le geai paré des plumes d'un paon

Le geai paré des plumes d'un paon, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil). Numérotation Charpentier (1705).

Le jeu du lièvre et de la tortue. Source : http://data.abuledu.org/URI/50eabf63-le-jeu-du-lievre-et-de-la-tortue

Le jeu du lièvre et de la tortue

Le Lièvre et la Tortue (ici en allemand "Hase und Igel") est un jeu de société créé par David Parlett en 1974 et publié en français par Ravensburger en 1979. C'est un jeu pour 2 à 6 joueurs, à partir de 8 ans. Une partie dure environ 60 minutes. Les joueurs peuvent faire appel au hasard mais on peut également s'en passer totalement. Les joueurs ne tirent pas au hasard la case où ils se rendent mais la choisissent librement. Plus ils veulent aller vite, plus le coût est important. Matériel : un plan de jeu, 120 cartes de jeu, 90 cartes "carottes" : l'énergie pour avancer, 18 cartes "salade" : chaque joueur doit s'arrêter en route pour manger 3 salades, 12 cartes "lièvre" : les cartes de chance ; dans certaines versions, les cartes de chance sont remplacées par un tableau d'évènements déterminés par la place dans la course et un tirage aléatoire ; 6 tablettes de course : indiquant le nombre de carottes nécessaires pour le nombre de cases avancées ; 6 pions de couleur. Pour gagner, il ne faut pas forcément être en tête de la course. Des gains importants sont d'ailleurs réservés aux joueurs se trouvant en fin de peloton. Le jeu n'est régi par aucun hasard... sauf si un joueur décide d'aller sur une case lapin qui lui permettra de tirer une carte chance. On avance en dépensant des carottes. Plus l'avancée est rapide plus la dépense est importante. Pour avancer de N cases, il faut en effet dépenser Nx(N+1)/2 carottes, par exemple 1 carotte pour une case, 15 carottes pour 5 cases, 55 carottes pour 10 cases, etc. Les carottes sont en nombre insuffisant. Il faut en gagner en route, soit en reculant, soit en prévoyant sa place dans la course.

Le lion abattu par l'homme. Source : http://data.abuledu.org/URI/510c1944-le-lion-abattu-par-l-homme

Le lion abattu par l'homme

Le lion abattu par l'homme, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil).

Le loup plaidant contre le renard, par devant le singe. Source : http://data.abuledu.org/URI/510c264b-le-loup-plaidant-contre-le-renard-par-devant-le-singe

Le loup plaidant contre le renard, par devant le singe

Le loup plaidant contre le renard, par devant le singe, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil).

Le Mont Saint-Michel à marée haute et à marée basse. Source : http://data.abuledu.org/URI/524de915-le-mont-saint-michel-a-maree-haute-et-a-maree-basse

Le Mont Saint-Michel à marée haute et à marée basse

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.223 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LA MARÉE BASSE ET LA MARÉE HAUTE. - Le lieu représenté par la gravure est le mont Saint-Michel, près d'Avranches et de Granville. C'est un rocher isolé sur les côtes de Normandie ; à marée haute, il est entouré par les flots ; à marée basse, les flots l'abandonnent et on peut s'y rendre à pied ou en voiture.

Le phoque ou veau marin. Source : http://data.abuledu.org/URI/524eb57a-le-phoque-ou-veau-marin

Le phoque ou veau marin

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.233 ; manuel scolaire, édition de 1904 : LE PHOQUE, OU VEAU MARIN, est un mammifère qui habite les mers septentrionales de l'Europe. Le corps des phoques est couvert de poils ; par devant il ressemble à celui d'un quadrupède ; par derrière il se termine en pointe comme celui des poissons. Ces animaux sont doux, intelligents et s'attachent facilement à l'homme. Ils viennent souvent sur la côte pour y dormir et allaiter leurs petits.

Lumières de nuit émises sur Terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/50db1463-terre-lumieres-de-nuit-jpg

Lumières de nuit émises sur Terre

Lumières de nuit émises par la Terre, Image satellitale composite montrant l'émission nocturne de lumière vers l'espace, essentiellement concentrée dans l'hémisphère nord dans les pays les plus industrialisés ; en Amérique d'une part, en Europe de l'Ouest et dans l'est de la chine et au Japon. L'Inde - où une politique d'éclairage initiée par les Anglais a été poursuivie après l'indépendance - se démarque également. Il s'agit d'une superposition de photographies prises de nuit et par temps clair ; les limites des continents sont produites par l'ajout en couleurs sombres, des photographies équivalentes diurnes. Image composite par la NASA et le NOAA.