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Photographie, Parapente, Vol libre, Aérodynamique, Aérologie, Propriétés thermiques, Altitude -- Influence, Altivariomètre, Pression atmosphérique, Variomètre
L'altimètre indique (grâce à la mesure de la pression atmosphérique) l'altitude à laquelle on se trouve. Souvent couplé avec le variomètre, cela fait un alti-variomètre. Réglé au moment du décollage sur l'altitude locale, ou réglé à 0, il permet de connaître soit l'altitude absolue, soit l'altitude par rapport au point de décollage. C'est particulièrement utile pour mesurer la possibilité de revenir au point de départ pour se poser. Le variomètre indique (grâce à la mesure des différences de pression) la vitesse verticale (en mètres par seconde). Cela permet de savoir si l'on monte ou si on descend et à quelle vitesse. En effet, nous ne percevons que les accélérations, d'après le Principe fondamental de la dynamique. Ainsi, lorsque le pilote s'éloigne du relief ou qu'il traverse une zone turbulente, il discerne difficilement s'il monte ou s'il descend, et l'instrument devient fort utile.
Schématisation du phénomène d'ascendance thermique : Le nuage (A) au-dessus du sol. Le soleil augmente la température du sol qui, à son tour, réchauffe l'air au-dessus (1). La bulle d'air chaud commence à s'élever (2) jusqu'à un certain point. La masse condense et redescend, à cause de sa température inférieure (3). Le vol thermique consiste à utiliser des courants d'air ascendants (appelés « thermiques », « ascendances », « pompes » ou « bulles ») pour monter. L'aérologie fait appel à quelques notions physiques : l'air chaud moins dense est plus léger que l'air froid ; si l'on considère la différence de température moyenne entre celle au niveau de la mer et celle au niveau de la tropopause, divisé par la hauteur, on obtient une diminution moyenne de la température de la masse d'air avec l'élévation de l'altitude de 0,65 °C tous les 100 m ; le soleil réchauffe de manière négligeable l'air directement mais le soleil réchauffe le sol de manière variable selon sa nature qui lui ensuite chauffe l'air au contact du sol par conduction ; lorsque qu'une masse d'air au contact du sol est suffisamment réchauffée, sa densité baisse, elle devient plus légère et s'élève si elle est entourée d'air plus froid ; cette « bulle » d'air s'élève aussi longtemps que l'air environnant est plus froid ; la « bulle » elle-même se refroidit non pas du fait du contact avec de l'air plus frais avec l'altitude mais du fait qu'avec l'altitude, la pression baisse, la bulle se dilate donc, la dilatation d'un gaz provoque son refroidissement à raison de 1 °C tous les 100 m de manière invariable.
Ascendance thermique provoquée par une explosion. Le feu (1) provoque l'élévation d'air chaud (2) ce qui forme des vents violents (3) en direction des sources du feu.
Photographie, Sommeil, Humour, Propriétés thermiques, Produits pour le petit déjeuner, Petit déjeuner, Propriétés thermophysiques des matériaux
Tasse thermochromique qui change de couleur et de "visage" quand on verse un liquide chaud.
Photographie, Phoques, Vêtements, Capuches (vêtements), Anoraks (vêtements), Boyaux de phoques, Imperméabilité
Anorak inuit d'adulte traditionnel en boyau de phoque : Parka (Kamleika). À l'origine le terme anorak désigne un vêtement imperméable ou coupe-vent, s'enfilant par la tête. L'anorak peut se limiter à une coquille coupe vent ou être renforcé par un isolant thermique. La coupe est de forme relativement cintrée et courte afin de permettre les activités physiques, notamment la navigation en kayak, tout en conservant assez de largeur pour pouvoir être porté par-dessus des vêtements isolants. L'anorak comprend généralement une capuche solidaire. Les anoraks les plus anciens étaient réalisés dans les matériaux disponibles aux inuits présentant des propriétés d’imperméabilité, notamment les boyaux d'animaux ou la fourrure. Photographie du "Royal Albert Memorial Museum".
Assortiment de raccords en cuivre pour plomberie : coude à 45° femelle-femelle, T égal, raccord ; bouchon, coude à 90° femelle-femelle, réducteur, coude à 45° mâle-femelle. Environ 98 % du cuivre est utilisé sous forme métallique, profitant de ses propriétés physiques spécifiques - malléabilité et ductilité, bonne conductivité thermique et électrique et du fait qu’il est résistant à la corrosion. Le cuivre s’avère souvent trop mou pour certaines applications, aussi est-il intégré à de nombreux alliages. On compte parmi ceux-ci le laiton, alliage de cuivre et de zinc ou le bronze, alliage de cuivre et d'étain. On peut usiner le cuivre, bien qu’il soit souvent nécessaire de faire appel à un alliage pour les pièces de forme complexe, comme les pièces filetées, afin de conserver des caractéristiques d’usinabilité satisfaisantes. Sa bonne conductivité thermique permet de l’utiliser pour les radiateurs et les échangeurs de chaleur.
Dessins et plans, Incendies, Physique, Gaz -- Liquéfaction, Réservoirs de stockage, Gaz, Dynamique des, Gaz liquéfiés -- Transport, Gaz -- Propriétés thermiques, Citernes, Ébullition, Explosion, Gaz de pétrole liquéfié, Gaz -- Fuite, Méthaniers
Les trois étapes d'une BLEVE ("Boiling Liquid Expanding Vapor Explosion") : 1-une ouverture dans le réservoir entraîne une fuite de gaz (parfois accompagnée d'un "bang"). 2-la fuite de gaz fait chuter la pression, le gaz liquéfié commence à bouillir. 3-l'ébullition provoque une remontée de la pression, le réservoir explose. Les gaz liquéfiés sous pression présentent un risque important en cas de rupture du réservoir lorsqu'ils sont soumis à une source de chaleur importante (cas d'une citerne prise dans un incendie par exemple) : l'ébullition-explosion.
Dessins et plans, Physique, Vapeurs, Gaz -- Liquéfaction, Gaz, Dynamique des, Gaz liquéfiés, Gaz liquéfiés -- Transport, Gaz -- Propriétés thermiques, Transporteurs de gaz liquéfiés
Réservoir de gaz liquéfié : dans le réservoir, le gaz liquéfié est surmonté d'un ciel gazeux sous pression. Lorsque l'on comprime un gaz, à partir d'une certaine pression, il se transforme en liquide ; cette propriété permet de stocker de grandes quantités de gaz dans des réservoirs : butane, propane, GPL (gaz de pétrole liquéfié)… On a au-dessus du liquide un « ciel gazeux » (la plus grande partie du produit est liquide, une petite partie est gazeuse et occupe le volume restant). Lorsque l'on soutire du gaz du réservoir, le liquide bout (à température ambiante) et la vapeur ainsi produite vient compenser le volume retiré ; c'est le fonctionnement normal.