Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Alimentation | Équipement électroménager | Matrices (travail des métaux) | Emboutissage | Physique | Philippe Gengembre (1764-1838) | Presses à main | Poinçons d'étains | Presses mécaniques | Chocolat | Chocolaterie | Industries agroalimentaires | Frameries (Belgique) | Artisanat d'art | Pâtisseries (commerce) | Monnaie -- Frappe -- Histoire -- France | Tours | Tôle, Travail de la | Monnaie -- Frappe | ...
Fabrication de yaourt. Source : http://data.abuledu.org/URI/53601daa-fabrication-de-yaourt

Fabrication de yaourt

Diagramme général de la fabrication des yaourts, à gauche yaourts fermes, à droite yaourts brassés, de l'arrivée du lait au stockage ; d'après Béal et Sodini, "Fabrication des yaourts et des laits fermentés" Techniques de l'ingénieur, 2003.

Musée des santons à Marseille. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e8e8fe-musee-des-santons-a-marseille

Musée des santons à Marseille

Musée des santons de Provence Marcel Carbonel (collection privée marcel Carbonel). Architecte d'intérieur, Maurice Padovani, Marseille : Marcel Carbonel, né à Lyon le 25 juillet 1911, décédé à Marseille le 25 mai 2003 à l'âge de 92 ans, est un santonnier marseillais, doyen de sa profession. Pour fabriquer le moule original d'une nouvelle création appelé « moule-mère », il utilise du plâtre de Paris de couleur jaunâtre; ses particularités sont la finesse de l'empreinte, sa densité et sa solidité. Pour les moules de reproduction, il utilise un plâtre moins dur qui permet de démouler plus facilement le sujet. La forme des moules de reproduction est importante ; elle est arrondie en haut du moule afin de faciliter l'estampage en série. Ensuite, il laisse sécher le santon et le cuit dans un four électrique à une température qui atteint progressivement 980 °C. Il décore ses santons avec des gouaches de sa propre fabrication. Grâce à sa formation de lithographe, il met au point ses propres gouaches en broyant manuellement des pigments avec de la gomme arabique dure, dite « Kitir », qu'il décante lui-même. Il utilise 19 pigments de base (ocre rouge, ocre jaune, terre de sienne, terre de sienne brûlée, rouge hélios, rouge d'alizarine, rose tyrien, vert de chrome, vert valentine, violet d'alizarine, jaune hansa, jaune de chrome, bleu de cobalt, bleu de manganèse, bleu outremer, bleu de prusse, noir d'ivoire, blanc de titane, blanc de lithopone, qu'il mélange pour créer sa propre palette de 124 couleurs répertoriées et dosées. Ce procédé, d'après son expérience, permet en effet d'obtenir des couleurs plus vives et éclatantes que les gouaches en tube du commerce auxquelles ont généralement recours les autres santonniers. En 1961, la discipline santonnière rentre à la Sorbonne où Marcel Carbonel sera le premier santonnier à être distingué Meilleur ouvrier de France ; cette discipline est toujours en vigueur. Le 9 mai 2003, il est fait chevalier de la Légion d'honneur. Sa collection privée est constituée de pièces originales faites d'argile (cuite ou crue), papiers mâchés, bois sculpté et précieux, verre filé de Murano, plâtre, céramique, porcelaine, polychrome, maïs, liège, tissus (santons habillés). En 1997, cette collection est mise en valeur au travers d'un musée permettant aux visiteurs d'explorer cet artisanat. De la collection privée de Marcel Carbonel de plus de quatre mille cinq cents pièces, seules 2 421 pièces sont exposées.

Presse à balancier de 1831. Source : http://data.abuledu.org/URI/538efc65-presse-a-balancier-de-1831

Presse à balancier de 1831

Presse à balancier de 1831 en fer, bronze et acier, installée à l'hôtel des monnaies royal de Madrid en 1832. Invention de 1803 par Philippe Gengembre (1764-1838), fabriquée en 1831 par J.F. Saulnier d'après les inscriptions. Ce modèle porte le nom d'Austerlitz parce que les premières presses ont été fabriquées en fondant les canons russes capturés après cette bataille. Hauteur 77cm, Largeur 40cm. Lieu de conservation : Musée archéologique de Madrid. La frappe au balancier ou frappe au moulin est une technique utilisée pour frapper les monnaies par pression, inventée au XVIe siècle : le balancier se présentait comme une presse agissant par percussion du flan par les coins au moyen d'un arbre posé sur un socle, portant une vis et muni de deux bras d'acier, qui étaient prolongés par de lourdes boules de plomb et actionnés par 8 à 12 hommes au moyen de courroies attachées à des anneaux à l'extrémité des barres. La vis portait le coin mobile qui venait frapper le flan posé sur le coin fixe. Les équipes se relayaient tous les quarts d'heure tant le travail était pénible et fatigant. Le rendement du procédé était de 30 monnaies à la minute. Le procédé a permis la fabrication des monnaies françaises entre 1640 et 1830 environ, avant d'être remplacé par la frappe au levier. Il a produit les plus beaux documents de la numismatique française : en particulier les louis d'or et les écus et divisionnaires d'argent de Jean Warin et Isaac Briot produits entre 1640 et 1645. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Frappe_au_balancier

Presse à emboutir. Source : http://data.abuledu.org/URI/5120cd16-presse-a-emboutir

Presse à emboutir

Presse à emboutir (en gris) pour fabriquer des baignoires (en bleu). L’emboutissage est une technique de fabrication permettant d’obtenir, à partir d’une feuille de tôle plane et mince, un objet dont la forme n’est pas développable. La température de déformation se situe entre le tiers et la moitié de la température de fusion du matériau. L’emboutissage est un procédé de fabrication très utilisé dans l’industrie automobile, dans l’électroménager, etc. L’emboutissage se pratique à l’aide de presses à emboutir de forte puissance munies d’outillages spéciaux qui comportent, dans le principe, trois pièces : 1) une matrice, en creux, épouse la forme extérieure de la pièce ; 2) un poinçon, en relief, épouse sa forme intérieure en réservant l’épaisseur de la tôle ; 3) un serre-flan entoure le poinçon, s’applique contre le pourtour de la matrice et sert à coincer la tôle pendant l’application du poinçon.

Tour en chocolat. Source : http://data.abuledu.org/URI/51989a04-tour-en-chocolat

Tour en chocolat

L'artisan chocolatier de la boulangerie-pâtisserie Godefroid à Frameries (Belgique) procédant à la fabrication d'une tour en chocolat.