Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

France (Empire) (1804-1814) | Dessins et plans | Premier Empire | Géographie | Gravure | Peinture | Photographie | Dix-neuvième siècle | Histoire | Ile accessible à marée basse | Ile inhabitée | Île face à Saint-Malo | Chantier de Vauban | Bastions | Forts | Marées | Sébastien Le Prestre Vauban (marquis de, 1633-1707) | Monuments historiques | Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) | Monument historique de Saint-Malo | ...
Costumes civils français et allemands du début du dix-neuvième siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/530afa01-costumes-civils-francais-et-allemands-du-debut-du-dix-neuvieme-siecle

Costumes civils français et allemands du début du dix-neuvième siècle

Planche 102, Costumes civils français et allemands du début du dix-neuvième siècle, in Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1, Impératrice Joséphine ; 2, Napoléon I en 1804 ; 3, ministre en 1806 ; 4-22, dames et messieurs entre 1807 et 1829.

Départements en 1811. Source : http://data.abuledu.org/URI/51ccb6d9-departements-en-1811

Départements en 1811

Les départements du 1er Empire français (1811).

Désaffectation d'une église. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc8196-desaffectation-d-une-eglise

Désaffectation d'une église

Désaffectation d'une église pendant la Révolution, 1794, Musée Carnavalet à Paris. Jacques François Joseph Swebach-Desfontaines (1769-1823) est un peintre et dessinateur du Premier Empire.

Blason de la ville de Nice. Source : http://data.abuledu.org/URI/51df0dcb-blason-de-la-ville-de-nice

Blason de la ville de Nice

Blason de Nice sous le premier Empire : D'argent au lion passant de gueules, surmonté d'un soleil rayonnant du même, adextré d'un olivier et sénéstré d'un oranger de sinople, le dernier fruité d'or, au chef de gueules chargé de trois abeilles d'or.

Carte de Cassini Lourdes Est. Source : http://data.abuledu.org/URI/5156a4da-carte-de-cassini-lourdes-est

Carte de Cassini Lourdes Est

Extrait d'une carte de Cassini : César-François Cassini (1714-1784) et Jean-Dominique Cassini (1748-1845) ; version établie sous le premier Empire, vers 1810. Elle recouvre le territoire de la Baronnie des Angles et correspond en partie à l'actuel canton de Lourdes Est. Elle livre les noms des paroisses, des succursales de paroisse avec église (succ) telle que Bourréac et des noms de hameaux sans église. L'orthographe des noms peut avoir changé par rapport à celle que l'on note dans des documents du siècle précédent. On notera que Bourréac, écrit Bourriac dans le siècle précédent, a son orthographe d'aujourd'hui et que le hameau de Récahorts est alors appelé Réquehor qui est une forme de transition succèdant à Roquehort du siècle précédent.

Clés en bronze doré de la ville de Lyon. Source : http://data.abuledu.org/URI/5330713a-cles-en-bronze-dore-de-la-ville-de-lyon

Clés en bronze doré de la ville de Lyon

Les trois clés en bronze doré de la ville de Lyon qui représentent les trois divisions (ouest, midi, nord) de la ville sous le premier Empire (1804-1814). Elles ont été réalisées pour la venue à Lyon de l’Empereur Napoléon Ier et de l’Impératrice Joséphine.

Fort National Saint-Malo en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5357db40-fort-national-saint-malo-

Fort National Saint-Malo en Bretagne

Le Fort National est un bastion situé sur une île de Saint-Malo. L'île est accessible à marée basse. Le fort fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis mai 1906. Anciennement appelé "Fort Royal" et aussi "Fort Impérial" (durant les années du Premier et du Second Empire), l'actuel Fort National a été construit en 1689 par l’ingénieur Siméon Garangeau d’après les plans de Vauban et sur les ordres du Roi Louis XIV, en même temps que les remparts de Saint-Malo étaient renforcés, dont il assurait la défense. Bastion avancé de la cité corsaire, il s’inscrit dans l’ensemble des fortifications qui allaient du fort La Latte jusqu'à la pointe de la Varde. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_National

Soliman le Magnifique et Jean Sigismund de Hongrie en 1556. Source : http://data.abuledu.org/URI/53087dc4-soliman-le-magnifique-et-jean-sigismund-de-hongrie-en-1556

Soliman le Magnifique et Jean Sigismund de Hongrie en 1556

Soliman le Magnifique et Jean II Sigismund, roi de Hongrie en 1556. Convoquée et dirigée par le sultan, la Diète de Transylvanie rappelle en 1556 Jean II et sa mère. Il gouverne alors sous tutelle turque, se convertit au protestantisme, et passe l’Édit de Torda, considéré comme le premier décret de liberté religieuse en Europe. Il encourage également l’établissement de l’unitarisme en Transylvanie. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_II_de_Hongrie.

Visite des Catacombes en 1860. Source : http://data.abuledu.org/URI/5142f543-visite-des-catacombes-en-1860

Visite des Catacombes en 1860

Visite des catacombes en 1860 : Un arrêt du Conseil d'État du 9 novembre 1785 décide la suppression du cimetière des Innocents avec évacuation des ossements, puis son réaménagement en marché public. Le nom de Catacombes est donné aux carrières aménagées, par analogie avec les anciennes nécropoles souterraines de Rome, même si les lieux n'ont jamais servi de sépulture directe et n'ont aucun caractère sacré. Durant toute son existence, plus de deux millions de parisiens sont inhumés au cimetière des Innocents. Dès leur création, les Catacombes suscitent la curiosité. En 1787, le premier visiteur, le comte d'Artois, futur Charles X, y descend en compagnie de dames de la Cour. L'année suivante, on mentionne la visite de Madame de Polignac et Madame de Guiche. Mais il faut attendre 1806 pour que les premières visites publiques soient organisées ; celles-ci ne s'opèrent qu'à des dates irrégulières pour de rares privilégiés. C'est le successeur de Guillaumot, Louis-Étienne Héricart de Thury, alors responsable du service des carrières de la Ville de Paris, qui organise les premières visites régulières dès sa prise de fonction. Il fait tracer au plafond un trait noir, servant de fil d'Ariane aux visiteurs. En 1810 et 1811, il fait aménager l'ossuaire avec la réalisation d'alignements d'ossements décorés de motifs macabres ou artistiques, et placer des plaques portant des citations gravées dans la pierre, tirées de textes sacrés, littéraires, philosophiques ou poétiques célèbres, avec un goût propre au Premier Empire. Les ouvrages de consolidation sont transformés en monuments à la pompe funéraire. Par ailleurs, l'ossuaire est isolé du reste des carrières souterraines, donnant un aspect proche de celui qu'on observe au XXIe siècle. Héricart de Thury (1776-1854) publie en 1815 la "Description des Catacombes de Paris", qui devint la base sur laquelle toutes les études postérieures s'appuient.