Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Dessins et plans | Peinture | Gerasa (ville ancienne) | Antiquités grecques | Djarach (Jordanie) | Musées -- Signalisation | Ports -- France | Architecture -- Dessins et plans | Massilia (ville ancienne) | Plans d'architecture | Remparts | Marseille (Bouches-du-Rhône) | Murs de villes | Trajan (empereur romain, 0053-0117) | Faïence de Wedgwood | Art anglais | Heures | Homère | Céramique à décor imprimé | ...
Simonide préservé par les dieux. Source : http://data.abuledu.org/URI/510c43d5-simonide-preserve-par-les-dieux

Simonide préservé par les dieux

Simonide préservé des dieux, illustration par François Chauveau (1613-1676), pour les « Fables choisies mises en vers par M. de la Fontaine », Claude Barbin et Denys Thierry, Paris, 1668 (premier recueil) 1678-79 (deuxième recueil) 1694 (troisième recueil).

Argousier. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f218c-argousier

Argousier

Planche botanique N°283 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Argousier (Hyppophae rhamnoides). Ligneux très épineux, au port buissonnant, de 1-5 m (noté jusqu'à 18 m dans certaines flores, aux abords de pannes dunaires par exemple, il atteint facilement une dizaine de mètres alors qu'exposé au vent, la plante conserve des proportions moindres). Sa longévité s'étend jusqu'à 80 ans. La plante dioïque est pollinisée par les insectes et dispersée par les oiseaux. C'est une pionnière, héliophile, qui colonise les sols instables des alluvions de cours d'eau et du littoral sableux. En Grèce antique, l'argousier servait de remède aux chevaux : les feuilles et les jeunes rameaux étaient ajoutés à leurs fourrages pour favoriser une prise de poids rapide et rendre le pelage lustré notamment à l'occasion de courses de chevaux. Les Anciens ont maintenu les argousiers dans leurs pâturages. Selon une légende, les feuilles d'argousier ont été l'un des aliments préférés de Pégase.

Carte de l'Asie Mineure. Source : http://data.abuledu.org/URI/505ebc51-carte-de-l-asie-mineure

Carte de l'Asie Mineure

Carte de l'Asie Mineure antique et de Milet, la ville des "Sept Sages" présocratiques : Stilpon, Chilon, Thalès, Pythagore, Empédocle, Phérécyde, Anacharsis. Voici leur devise traduite : Thalès de Milet : Ἐγγύα, πάρα δ᾽ ἄτα. « Ne te porte jamais caution. » Solon d'Athènes : Μηδὲν ἄγαν. « Rien de trop. » Chilon de Sparte : Γνῶθι σεαυτόν. « Connais-toi toi-même. » Pittacos de Mytilène : Γίγνωσκε καιρόν. « Reconnais l'occasion favorable. » Bias de Priène : Οἱ πλεῖστοι κακοί. « Les plus nombreux sont les méchants. » ou « La plupart des hommes sont mauvais. » Cléobule de Lindos : Μέτρον ἄριστον. « La modération est le plus grand bien. » Périandre de Corinthe : « Prudence en toute chose. »

Guerrier grec. Source : http://data.abuledu.org/URI/50634b73-guerrier-grec

Guerrier grec

Bas-relief rerpésentant un jeune guerrier portant une cuirasse sur une tunique courte et tenant de la main gauche un bouclier : de l'autre, main il reçoit (ou donne) un casque à cimier de la part d'un personnage barbu et assis, portant tunique et manteau et muni d'un long bâton. Sous le trône, un animal. Panneau central du côté nord de la tombe de Kybernis sur l'Acropole de Xanthos, vers 480 av. J.-C.

La Corne d'or et Les Minarets. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b8a8d2-la-corne-d-or-et-les-minarets

La Corne d'or et Les Minarets

La Corne d'or. Les Minarets par Paul Signac (1863-1935). La Corne d’Or (en Turc Haliç, en grec ancien Χρυσόν Κέρας / Khrusón Kéras) est un estuaire se jetant dans le Bosphore à Istanbul. Cet emplacement qui forme un port naturel fut aménagé par les colons grecs pour former la ville de Byzance. Sous l’empire byzantin les chantiers navals y étaient installés et un mur d'enceinte le long de la berge protégeait la ville des attaques navales.

Le périple de la Mer Érythrée. Source : http://data.abuledu.org/URI/505f4f70-le-periple-de-la-mer-erythree

Le périple de la Mer Érythrée

Carte de 1597 d'Abraham Ortelius, (1527-1598) pour le Périple de la Mer Érythrée c'est-à-dire rouge (''Periplus Maris Erythraei'' Περίπλους τὴς Ἐρυθράς Θαλάσσης) attribué à Arrian : récit maritime rédigé en grec décrivant la navigation et les opportunités commerciales depuis les ports romano-égyptiens le long de la côte de la mer Rouge, alors appelée mer Érythrée (Ἐρυθρος, « rouge » en grec ancien), et d'autres le long de l'Afrique orientale et de l'Inde.

Lithophanie de Wedgwood. Source : http://data.abuledu.org/URI/5230bee5-lithophanie-de-wedgwood

Lithophanie de Wedgwood

Lithophanie de Wedgwood représentant la danse des trois Heures, filles de Zeus (allégories des saisons). Étymologie : du grec lithos, « pierre » et phanes et phaneia, de phainein « paraître », plaque de biscuit de porcelaine non émaillée et non vitrifiée ou d'albâtre, incisée et gravée de sorte à ce qu’elle permette de faire apparaître une image par translucidité devant une source de lumière, plus l’épaisseur de la plaque étant fine, plus la translucidité étant marquée. Par le mot Heures (en latin Horae et en grec ancien Ὧραι / Hōrai), les Grecs, primitivement, désignèrent, non pas les divisions du jour, mais celles de l'année. Les Heures étaient filles de Zeus et de Thémis. Hésiode en compte trois : Eunomie, Dicé et Eiréné, c'est-à-dire le Bon Ordre ou la Législation, la Justice et la Paix, noms indiquant leur rôle moral. Homère les nomme les portières du ciel, et leur confie le soin d'ouvrir et de fermer les portes éternelles de l'Olympe. Elles sont aussi les régulatrices de la vie humaine. La mythologie grecque ne reconnut donc d'abord que trois Heures ou trois Saisons : le Printemps, l’Été et l'Hiver.

Panneau informatif sur la porte nord et l'extrémité nord du Cardo à Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b52845-panneau-informatif-sur-la-porte-nord-et-l-extremite-nord-du-cardo-a-jerash

Panneau informatif sur la porte nord et l'extrémité nord du Cardo à Jerash

Panneau informatif trilingue sur la porte nord et l'extrémité nord du Cardo à Jerash en Jordanie (cliché du 3 novembre 2014) : inscription de dédicace à l'empereur Trajan et plan de la porte Nord et du rempart.

Plan du Jardin des vestiges à Marseille. Source : http://data.abuledu.org/URI/547746d5-plan-du-jardin-des-vestiges-a-marseille

Plan du Jardin des vestiges à Marseille

Jardin des vestiges de la bourse à Marseille. Schéma représentant l'ancien rivage de la mer et les remparts grecs : 1a: Corne du port, 1b: Quai de pierres, 1c: Plate-forme de décharge, 2a: Tracé des fortifications grecques de la deuxième moitié du IIe siècle avant J.C., 2b: mur de Crinas, 2c: Tour carrée, 2d: Tour penchée, 2e: Courtine, 2f: Tour sud, 3: avant-mur du Ve siècle, 4: Bassin d'eau douce (début du IIe siècle), 5: Terrasse funéraire à triglyphes bas (IVe siècle avant J.C.), 6a: Puits public (détruit), 6b: Terrasse funéraire (détruite), 7: Voie dallée (IVe siècle), 8: Centre commercial de la bourse.

Punaise rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/514cacd5-punaise-rouge

Punaise rouge

Insecte nommé gendarme, Pyrrhocoris apterus, (du grec πύρρος(ο), « rouge » et κόρις, « punaise »), appelé aussi « suisse », « cordonnier », « soldat » ou encore « diable cherche-midi » en raison de son attirance pour le soleil au zénith : c'est un insecte hémiptère hétéroptère de la famille des Pyrrhocoridae. Il porte le nom scientifique français de pyrrhocore, soit « punaise rouge ». C'est la punaise d'Europe la plus commune et la plus répandue : on la rencontre dans les zones tempérées d'Europe et dans la zone méditerranéenne, jusqu'à l'Inde, partout sauf en haute montagne. Cet insecte ne sent pas mauvais comme bien d'autres espèces de punaises. L'origine du nom « gendarme » vient de ses couleurs caractéristiques rappelant les anciens uniformes des gendarmes qui étaient rouge et noir. La taille est d'environ 10 mm, de 9 mm à 11,5 mm de longueur. L'animal est, comme tous les insectes, doté d'un squelette externe. La cuticule présente des dessins en rouge orangé et noir évoquant un masque de style africain, et qui découragerait certains prédateurs (coloration aposématique). La teinte et la forme des taches sont conditionnées par des éléments extérieurs : l'étendue des pigments noirs par exemple est influencée par la température. Ils vivent souvent en grands groupes.

Statuette Tanagra. Source : http://data.abuledu.org/URI/530f039b-statuette-tanagra

Statuette Tanagra

La mode féminine grecque antique : statuette Tanagra en terre cuite colorée par application d'argile et dorée, tenant un éventail et portant un chapeau. Puis les artisans ont moulé la partie antérieure des statuettes qui seront évidées, à partir du milieu du Ve siècle av. J.-C., afin d'obtenir une meilleure cuisson. Les moules permettent aussi une fabrication en nombre. À partir du IVe siècle av. J.-C., les statuettes représentent des patriciennes, des danseuses, des éphèbes et des enfants dans un style de plus en plus réaliste. Les œuvres produites sont peintes.

Tétrapyle Nord de Jerash. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b43e96-tetrapyle-nord-de-jerash

Tétrapyle Nord de Jerash

Vue au niveau du sol du carrefour sous le Tétrapyle Nord, en regardant vers le sud du cardo, en venant de la Porte Nord ; on devine le croisement à angle droit avec le decumanus. Le terme "tétrapyle" provient du grec "tetrapylum" signifiant littéralement "quatre portes" (préfixe grec τετρα- (tetra-) = quatre, et du suffixe -πυλον (-pylon) = porte monumentale ». Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A9trapyle