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Nuage de mots clés

Photographie | Peinture | Plantes | Botanique | Astéracées | Animaux sauvages | Plantes sauvages | Plantes sauvages endémiques | Afrique | Printemps | Australie | Seizième siècle | Jules Eudes (1856-1938) | Aquarelles | Aquarellistes | Alimentation | Flore | Fleurs dans l'art | Plantes des jardins | Végétation et climat | ...
Épinard sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50700634-epinard-sauvage-

Épinard sauvage

Épinard sauvage (Chenopodium bonus henricus) du Mont Orjen, massif situé dans la chaîne des Alpes dinariques, à la frontière entre le Monténégro et la Bosnie-Herzégovine qui garde de nombreuses traces des glaciers du Pléistocène.

Fleur rouge. Source : http://data.abuledu.org/URI/47f582b4-fleur-rouge
Pavot somnifère. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a03ec-pavot-somnifere

Pavot somnifère

Photographie de fleurs de pavot somnifère (Papaver somniferum).

Touffe d'anis sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ecd699-touffe-d-anis-sauvage

Touffe d'anis sauvage

Touffe d'anis sauvage.

Ail en fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/59097d22-ail-en-fleur

Ail en fleur

Ail en fleur, 19-05-2013.

Alphabet du XVIème siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/53e7616d-alphabet-du-xvieme-siecle

Alphabet du XVIème siècle

Alphabet du XVIème siècle (manquent le J, O, W, X et Z). A : Tête d'oiseau et deux serpents, B : Roi et diable, C : Oiseau chevauchant un sanglier sauvage, D : Plante, E : Dragon, F : Oiseau et fleur, G : Chien, H : Marcheur, I : Chien ailé et lézard, K : Masques grotesques, L : Flûtiste portant un chapeau en forme d'oiseau, M : Lion et chardon, N : Poisson en habit de roi, P : Pélican, Q : Oiseau ou dragon, R : Masques et grimaces, S : Lézard en habit de roi, T : Deux griffons, V : Fou du roi, U : Soleil, Y : Petits animaux et plantes. Source : F. Delamotte, “Ornamental Alphabets, Ancient and Mediæval” (1879).

Angélique sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/504f5a92-angelique-sauvage

Angélique sauvage

Planche botanique d'angélique sauvage (Angelica silvestris), Atlas des Plantes de France, 1891. Elle était considérée comme une plante magique qui protège les enfants, combat la peste, guérit des morsures des bêtes enragées. Les feuilles peuvent être utilisées en salade et les graines en pâtisserie. Elle entre dans la composition de l'eau de mélisse.

Archipel des Sanguinaires en Corse. Source : http://data.abuledu.org/URI/51cbea79-archipel-des-sanguinaires-en-corse

Archipel des Sanguinaires en Corse

Archipel des Îles Sanguinaires en Corse. Site Natura 2000 : caractéristiques par leur aspect austère et hostile, les quatre îlots sont un site maritime classé, havre de paix pour des espèces d'oiseaux marins comme le goéland leucophée et le puffin, ainsi qu'une réserve naturelle pour une flore riche d'espèces rares et endémiques. Il est rare de trouver une telle diversité sur une surface aussi petite : plus de 150 espèces poussent sur Mezzu Mare. Les îles hébergent certaines plantes rares ou même absentes du reste de la Corse, parmi lesquelles le spectaculaire arum mange mouche. La végétation arborescente, dominée par le lentisque, est basse et adaptée à la proximité de la mer. Parmi de nombreuses espèces halophiles, la plus répandue est le poireau sauvage, qui a donné son nom à l’île d'i Porri.

Armérie maritime sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad28f6-armerie-maritime-sauvage

Armérie maritime sauvage

Oeillets marins, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'armérie maritime (Armeria maritima), œillet marin, gazon d'Olympe ou gazon d'Espagne, est une espèce de plantes herbacées vivaces de la famille des Plumbaginaceae. Sa répartition est au niveau du littoral de l'hémisphère nord. En France, elle est rencontrée sur les côtes de la Manche et de l'Atlantique (Vendée, Bretagne), sur les rochers et pelouses de bords de mer, battus par les embruns. C'est une plante basse à souche ramifiée, formant des coussinets, à feuilles linéaires, à fleurs roses en têtes denses, arrondies. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9rie_maritime

Arnica des montagnes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5056bdc6-arnica-des-montagnes

Arnica des montagnes

Planche botanique d'Arnica des Montagnes (Arnica montana), Atlas des Plantes de France, 1891. Fortement malmenée par l'agriculture intensive, elle devient de plus en plus rare. Cette situation lui vaut d'ailleurs d'être nommée dans de nombreux textes de loi la protégeant et particulièrement dans la Directive habitats européenne. En médecine traditionnelle, l'arnica des montagnes est décrite dans des pharmacopées européennes pour son usage dans le traitement de petits traumatismes comme les hématomes. Afin de fournir les laboratoires pharmaceutiques, dont la demande européenne annuelle est estimée à 50 tonnes de capitules secs, l'arnica est cueillie à l'état sauvage.

Bergénie ou oreille-d'éléphant. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adbcdd-bergenie-ou-oreille-d-elephant

Bergénie ou oreille-d'éléphant

Saxifrage crassifolia, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'épithète spécifique crassifolia se compose des étymons latins crassus "épais" et folium "feuilles". La floraison s'étale sur les mois de février-mars-avril. Les plantes cultivées sont plus vigoureuses que le type sauvage et atteignent 40-50 cm de haut. Elle apprécie les sols humifères et frais, à la mi-ombre ou à l'ombre. Elle vient en plein soleil dans un sol frais. Elle résiste bien au gel, puisqu'elle peut supporter -15 °C. Elle constitue un excellent couvre-sol, notamment en sous-bois de feuillus et aux bords des bassins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bergenia_crassifolia

Bilby de Pâques en Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2b2b3-bilby-de-paques-en-australie

Bilby de Pâques en Australie

Bilby (Macrotis lagotis), aussi appelé bandicoot lapin est une espèce de marsupial du désert. En langage aborigène : le Yuwaalaraay signifie « rat à long nez ». Il a la taille d'un chat ou d'un lapin. La longueur du corps est de 55 cm, celle de la queue de 29 cm. Sa fourrure gris-bleu, très douce, possède des taches brun clair. La queue est blanche et noire. Il a un museau pointu, de grandes oreilles dépourvues de poils, une ouïe fine, un odorat perçant mais une vue basse. Ses pattes avant, très puissantes, munies de griffes lui servent à déterrer ses aliments ou creuser son terrier. Il se nourrit de plantes (fruits, bulbes ou graines) et d'insectes ou d'araignées, accessoirement de souris, d'oiseaux ou de lézards.

Bosquet d'aloès en Namibie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d95fb5-bosquet-d-aloes-en-namibie

Bosquet d'aloès en Namibie

Bosquet d'aloès (Aloe dichotoma), près de Keetmanshop dans la zone semi-aride de Karas, Namibie.

Bugle rampante. Source : http://data.abuledu.org/URI/5070430d-bugle-rampante

Bugle rampante

Planche botanique N°268 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Bugle rampante (Ajuga reptans). L'espèce sauvage est envahissante, mais des variétés horticoles sont cultivées, qui forment un excellent couvre-sol. Leurs feuilles et fleurs sont de diverses couleurs.

Camomille sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/505782a1-camomille-sauvage

Camomille sauvage

Planche botanique de camomille sauvage (Matricaria chamomilla), Atlas des Plantes de France, 1891. Le terme "Chamomilla" vient du grec chamai : « à terre », et melon : « pomme », les fleurs rappelant l'odeur de pomme. Elle s'utilise en tisane, seule ou en mélange, et on lui attribue à dose modérée une certaine efficacité contre l'insomnie.

Chicorée sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50578a3e-chicoree-sauvage

Chicorée sauvage

Planche botanique de la chicorée sauvage (Cichorium intybus), Atlas des Plantes de France, 1891. Il y a cinquante ans, dans les campagnes françaises, le "café" était souvent de la chicorée ou un mélange chicorée café. Au Moyen Äge, elle faisait partie des plantes magiques : voir le jardin médiéval des neuf carrés de l'abbaye de Royaumont.

Cigüe vénéneuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50502e53-cigue-veneneuse

Cigüe vénéneuse

Planche botanique de la cigüe aquatique (Cicuta virosa), Atlas des Plantes de France de 1891, qui porte aussi le nom de ciguë vénéneuse, ciguë vireuse, persil des marais ou bien cicutaire du Nord. Le poison est surtout concentré dans le rhizome, qui peut être confondu avec celui d'une carotte sauvage. Cette plante est l'un des poisons végétaux les plus puissants. Elle fut notamment employée dans l'Antiquité pour commettre des crimes ou se donner la mort (suicide sur ordre du philosophe grec Socrate).

Cornouiller sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050b7a0-cornouiller-sauvage

Cornouiller sauvage

Planche botanique du cornouiller sauvage (Cornus mas), Atlas des Plantes de France, 1891. L'espèce doit son nom latin (cornu = corne) au fait que son bois est dur comme la corne : il était autrefois prisé pour la fabrication de flèches et de javelots, d'engrenages, de rayons de roues ou de manches d'outils. L'espèce est utile à la faune car lièvres et cerfs apprécient son feuillage, tout comme les abeilles apprécient ses fleurs précoces à la fin de l'hiver, et les oiseaux ses fruits en été.

Crabe violoniste et son reflet dans l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e50bd8-crabe-violoniste-et-son-reflet-dans-l-eau

Crabe violoniste et son reflet dans l'eau

Crabe violoniste (Uca pugilator) au refuge de la vie sauvage de Pinckney Island, Caroline du Sud. Le crabe violoniste reste sous la mangrove en marée haute et en sort à marée basse pour se nourrir de cadavres et de plantes en décomposition, qu'il filtre dans la boue. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crabe_violoniste.

Émeu australien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e26a89-emeu-australien

Émeu australien

Émeu d'Australie, c'est la deuxième plus grande espèce d'oiseaux du monde derrière l'autruche. Il apparaît sur les armes de l'Australie, au côté du kangourou. Il peut voyager sur de grandes distances d'un bon pas et si besoin courir à 55 km/h. Ce sont des oiseaux nomades capables de parcourir de nombreux kilomètres à la recherche d'une nourriture variée à base de plantes et d'insectes.

Épinard sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/5070040b-epinard-sauvage

Épinard sauvage

Planche botanique N°277 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Chénopode bon-henri, ou Épinard sauvage (Chenopodium bonus-henricus). Il pousse dans les endroits où sont déposées des déjections azotées des animaux, et les reposoirs à bestiaux.

Fenouil officinal. Source : http://data.abuledu.org/URI/504fa5fd-fenouil-officinal

Fenouil officinal

Planche botanique du fenouil (Foeniculum vulgare). Dans la civilisation grecque le fenouil sauvage était associé à la claire vision. Dans la civilisation romaine, c'était la plante sacrée de Bacchus. Les fleurs apparaissent généralement en août - septembre. Leur parfum est très anisé. En cuisine, c'est un légume dont toutes les parties, racines, feuilles et graines, sont comestibles. Son goût est proche de celui de l'anis et souvent associé au poisson. On peut le consommer cru (en salade) ou cuit. Il entre également dans la fabrication de certaines liqueurs, conservateurs ou aromates d'usage domestique.

Feuilles de laitue sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/505793bc-feuilles-de-laitue-sauvage

Feuilles de laitue sauvage

Photographie de feuilles de laitue sauvage.

Fraisier de Hieronymus Bock. Source : http://data.abuledu.org/URI/50983772-fraisier-de-hieronymus-bock

Fraisier de Hieronymus Bock

Jérôme Bock ou de son nom de plume Hieronymus Bock, surnommé Tragus, né en 1498 et mort le 21 février 1554 à Hornbach (Palatinat), est un pasteur luthérien et un botaniste allemand. Il est considéré comme l'un des pères allemands de la botanique. L'œuvre la plus importante de Bock est son "Nouvel Herbier" (New Kreütter Büch) qui paraît à Strasbourg en 1539. Si la première édition n'est pas illustrée, les suivantes le sont de 165 gravures sur bois. Les gravures originelles sont l'œuvre de David Kandel (1520-1592) mais d'autres sont extraites des livres de Brunfels et de Fuchs. Il donne, en allemand, des descriptions originales des plantes. Même si celles-ci ne sont pas très longues, Bock essaie de fournir des informations utiles à leur reconnaissance. Le premier depuis Théophraste, il tente de classer les 800 espèces qu'il cite. Il renonce ainsi à l'ordre alphabétique et classe les plantes suivant qu'elles sont sauvages ou cultivées, que ce soient des arbres, des arbustes ou des herbes. Son livre débute par la description de l'ortie. Habituellement, les ouvrages commençaient toujours par les espèces les plus rares, le fait que Bock débute sa flore par une espèce extrêmement commune constitue donc une petite révolution.

Fritillaire impériale. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ad673d-fritillaire-imperiale

Fritillaire impériale

Fritillaire impériale, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. La fritillaire impériale (Fritillaria imperialis) encore appelée couronne impériale est une plante herbacée vivace de la famille des Liliacées. Le nom ancien de la couronne impériale était Larmes de Marie. Son nom persan (gole achke) signifie la fleur qui pleure. L'inflorescence est composée d'un verticille de fleurs en forme de clochettes disposées au sommet de la tige et tournées vers le bas, surmontée d'une houppe de bractées constituant la « couronne » (d'où le nom vernaculaire de la plante). La variété sauvage possède des fleurs orangées, alors que les couleurs des variétés cultivées varient du rouge écarlate au jaune. Elle possède une odeur particulière qui éloigne souris, taupes et autres rongeurs. Dans l'hémisphère nord, la floraison a lieu aux mois d'avril et de mai. Au XVIIe siècle, cette fleur faisait l'objet de compétitions acharnées entre collectionneurs, tous cherchant à multiplier le nombre des fleurs ou celui des étages de clochettes. Chacun des six tépales porte à sa base, une petite tache. Il s'agit de nectaires sécrétant des gouttes de nectar. Elle fut découverte en 1580 par le botaniste français Charles de L'Écluse. Mais l'on dit qu’elle était déjà cultivée dans les jardins du sultan ottoman Soliman le Magnifique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fritillaire_imp%C3%A9riale

Fruits à graines du Sénégal. Source : http://data.abuledu.org/URI/5487317a-fruits-a-graines-du-senegal

Fruits à graines du Sénégal

Un maad, fruit à graines du Sénégal. Saba senegalensis est une espèce de plantes de la famille des Apocynaceae. C'est une espèce de lianes sauvages qui pousse dans les savanes africaines et qui est cultivée comme un arbuste. Son fruit est appelé zaban (en bambara ou dioula), malombo (dans le bassin du Congo), maad (en wolof) ou wedga (en moré). C'est une coque globuleuse qui contient des graines enrobées de pulpes jaunes très moelleuses et juteuses. Elles sont acidulées et sucrées. On peut déguster le fruit tel quel ou l'assaisonner avec du sucre, du sel et du piment. Mélangées avec de l’eau et du sucre, les pulpes donnent un délicieux jus. Il n’est pas conseillé d’avaler les graines. Mais l’intérieur de la coque est couverte d’une peau superficielle que l’on peut consommer. Le fruit est riche en vitamine C, en thiamine, en riboflavine, en niacine, et en vitamine B6. La saison est en Afrique de l'Ouest celle des pluies, c'est-à-dire de mai à août. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saba_senegalensis

Gargouillou de légumes. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb842-gargouillou-de-legumes

Gargouillou de légumes

Photographie de "Gargouillou de légumes". Il s'agit d'une salade réalisée avec des légumes cuits et agrémentés d'herbes et de fleurs sauvages. Recette originale de Michel Bras réalisée ici par Éric Sapet, La Petite Maison - Cucuron en Luberon (France)

Gazelle des sables. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c47e5-gazelle-des-sables

Gazelle des sables

Gazelle (Gazella leptoceros mâle). La gazelle leptocère, aussi appelée gazelle de Rhim, gazelle des sables ou gazelle à cornes fines, se rencontre dans les régions quasi désertiques d'Égypte, d'Algérie, du Tchad, du Mali, du Niger, du Soudan, de Tunisie et de Libye. Elle mesure environ 95 à 115 cm de long pour 58 à 72 cm au garrot, et a un poids de 14 à 30 kg (selon les individus). Elle arbore une robe pâle, de couleur sable qui se confond avec les milieux où elle vit. Son ventre est blanc et son dos beige fauve pâle. Sa tête est blanche avec quelques marques noires, les cornes, plus fines chez la femelle, sont presque droites, mesurant de 21 à 43 cm. et le bout de la queue est noir. En raison de la chaleur extrême de son environnement, elle s'alimente surtout la nuit et au petit matin. Elle peut alors exploiter la rosée qui s'est formée sur les feuilles et le contenu d'eau dans les plantes. Comme elle boit rarement, toute l'eau nécessaire est obtenue de cette façon. La gazelle des sables est une espèce nomade, errant dans les dunes à la recherche de végétation. Les mécanismes de rafraîchissement principaux sont dans son pelage blanc/sable réfléchissant et un passage nasal particulièrement adapté qui tient compte du rafraîchissement du sang. Malgré leurs apparences douces, les gazelles des sables deviennent agressives en captivité et les mâles luttent souvent avec acharnement en défendant les territoires qu'ils établissent. Très rapide à la course, sa vitesse atteint 72 km/h sur 700 mètres avec des pointes à 100 km/h sur de courtes distances.

Gestion des déchets en créole. Source : http://data.abuledu.org/URI/582e848b-gestion-des-dechets-en-creole

Gestion des déchets en créole

Avertissement en créole sur l'île de Rodrigues à Port-Mathurin : pas zet salte ici, interdiction de jeter des déchets ici. La plante protégée est "Psiadia retusa", plante de la famille des Asteracées, endémique de l'île de La Réunion.

Hôtel à abeilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103f1d2-hotel-a-abeilles

Hôtel à abeilles

Paris 5e arrondissement - Jardin des plantes - Hôtel à abeilles, vue de face. Le Muséum a installé en 2011 deux « hôtels à abeilles » en vue de préserver la biodiversité des insectes pollinisateurs, et notamment des abeilles sauvages.

Houblon grimpant. Source : http://data.abuledu.org/URI/506dfaeb-houblon-grimpant

Houblon grimpant

Planche botanique n°294 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Houblon grimpant (Humulus lupulus). Le houblon grimpant est une plante herbacée vivace grimpante de la famille des Cannabaceae. Elle est parfois appelée couleuvrée ou vigne du Nord. Humulus provient du nom slave khmel' (хмель) (utilisation du houblon pour la préparation des bières dans le Caucase). Les Romains, croyant que le houblon suçait la sève des arbres sur lesquels il grimpait, l'appelèrent lupulus (« petit loup »). Le houblon sauvage semble avoir eu autrefois une certaine importance pour les forestiers. Les archives conservent en effet des témoignages d'amendes données à des personnes ayant coupé du houblon en forêt sans « licence » (sans autorisation). Hildegarde de Bingen (1098-1179) découvrit les vertus aseptisantes et conservatrices du houblon (ainsi que son amertume). Il permettait ainsi à la bière de se conserver mieux et plus longtemps. Auparavant, un mélange d'herbes et d'épices était utilisé pour fabriquer ce que l'on appelait alors la cervoise.

Laitue sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50579006-laitue-sauvage

Laitue sauvage

Planche botanique de la laitue sauvage (Lactuca virosa), Atlas des Plantes de France, 1891. La laitue vireuse compte parmi les plantes sédatives, analgésiques, antispasmodiques et psychotropes les plus illustres qui soient connues depuis l'antiquité. Le latex recueilli par incision sur la plante a des propriétés hypnotiques et narcotiques. Il fut longtemps soupçonné d'entrer dans la composition des onguents de sorcières.

Lettrines du XVI° siècle. Source : http://data.abuledu.org/URI/506d622a-lettrines-du-xvi-siecle

Lettrines du XVI° siècle

Lettrines de l'alphabet latin du VI° siècle (manquent J, O, W, X et Z) de F. Delamotte, “Ornamental Alphabets, Ancient and Mediæval” (1879), avec descriptif des illustrations. A : Tête d'oiseau et deux serpents ; B : Roi et diable ; C : Oiseau chevauchant un sanglier sauvage ; D : Plante ; E : Dragon ; F : Oiseau et fleur ; G : Chien ; H : Personne en train de marcher ; I : Chien aîlé et lézard ; K : masques grotesques ; L : Joueur de flûte portant un chapeau en forme d'oiseau ; M : Lion et chardon ; N : Poisson en costume de roi ; P : Pélican ; Q : Oiseau ou dragon ; R : Masques et visages ; S : Lézard en costume de roi ; T : Deux griffons ; V : Bouffon ; U : Soleil ; Y : Petit animal et plantes.

Oies cendrées. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134dc71-oies-cendrees

Oies cendrées

Tableau de Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. L’Oie cendrée (Anser anser) est une espèce d'oiseau appartenant à la famille des Anatidae et à la sous-famille des Anserinae. Elle est, avec l'oie cygnoïde, un des ancêtres des oies domestiques ; sa domestication remonte à plusieurs milliers d'années. Les variétés sauvages présentent un plumage gris-beige, plus sombre et brun sur la nuque, les flancs, le dessus des ailes et le dessus de la queue. Ces plumes brunes sont veinées du même gris-beige que le dessous de l'oiseau. Les flancs sont nuancés de brunâtre. Le ventre peut être parsemé de quelques taches noires mais cette coloration n'est jamais aussi étendue que chez l'Oie rieuse. Le croupion est blanc, tout comme l'arrière du ventre et les sous-caudales. Le bord d'attaque des ailes est bordé d'une ligne gris bleuté pâle. Les pattes sont rose chair, fortes et palmées. L'œil noir est cerclé de blanc. On observe, chez les populations centrées autour de la mer Baltique, que leur bec est terminé par un onglet corné, ce qui permet à ces individus une extraction plus facile des tubercules, bulbes et racines, tandis que les populations centrée sur la Norvège ont un bec plus court, ce qui facilite le cisaillage des plantes herbacées. L'oie est un oiseau peu bruyant sur les lieux de gagnage, mais bien davantage en vol. Le cri de contact se compose de trois à cinq éléments : ga ga ga, ang ang ang ou ong ong ong. Le passage des oiseaux migrateurs est souvent repéré grâce aux cris fréquents, aigus et puissants émis par cet oiseau.

Onagre bisannuelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e5508-onagre-bisannuelle

Onagre bisannuelle

Planche botanique de l'Onagre bisannuelle (Oenothera biennis), Atlas des Plantes de France, 1901. Etymologie : du grec oinos (vin) et thêr (animaux sauvages) ; on disait que la racine d’onagre trempée dans du vin était apte à apprivoiser les animaux sauvages. Est aussi appelée communément "Belle de nuit", "Herbe aux ânes", "Primevère du Soir", ou bien "Jambon de Saint Antoine" et "Jambon du jardinier" car la racine une fois cuite ressemble à du jambon cuit. Les Anglais appellent l'onagre « King’s cure-all » ou panacée royale à cause de son efficacité contre les rhumes en faisant infuser 5 ml (1 c. à thé) de feuilles et de tiges finement hachées et séchées dans 250 ml (1 tasse) d’eau bouillante. Son huile est utilisée par l’industrie cosmétique.

Palmiste noir de La Réunion. Source : http://data.abuledu.org/URI/52db2de0-palmiste-noir-de-la-reunion

Palmiste noir de La Réunion

Palmiste noir de La Réunion, Louis van Houtte (1810–1876), in Flore des serres et des jardins de l'Europe ou descriptions et figures des plantes les plus rares et les plus méritantes, nouvellement introduites sur le continent ou en Angleterre, vol. 16, 1862-65. Le Palmiste noir ou Palmiste noir des hauts (Acanthophoenix crinita) est une espèce de plantes de la famille des arécacées. Elle est endémique de l'île de La Réunion, département d'outre-mer français dans le sud-ouest de l’océan Indien. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Acanthophoenix_crinita

Peintres animaliers au Jardin des Plantes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103e217-peintres-animaliers-au-jardin-des-plantes

Peintres animaliers au Jardin des Plantes

Les artistes animaliers au Jardin des Plantes. Magazine « L'Illustration » du 7 août 1902. La ménagerie est le second plus ancien parc zoologique du monde. Elle fut créée en 1793 à l'initiative de Bernardin de Saint-Pierre, par le transfert des animaux de la ménagerie royale de Versailles et les ménageries privées et foraines. Lors de la commune de Paris, les animaux furent mangés par les Parisiens assiégés. Au cours de son histoire, elle a présenté d'innombrables espèces animales, dont la première girafe présentée en France (1827), des éléphants, des ours bruns et blancs, des phoques. Beaucoup de constructions, parfois sophistiquées pour l'époque, ont été édifiées à cet effet au XIXe et au début du XXe siècle, succédant aux enclos et cages sommaires du début.

Pensée sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/503a5f2d-violette-tricolore

Pensée sauvage

Pensée sauvage (Viola tricolor)

Pied d'aloès en Namibie. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d961f4-pied-d-aloes-en-namibie

Pied d'aloès en Namibie

Pied d'aloès (Aloe dichotoma) près de Keetmanshoop, en Namibie. L'Aloe dichotoma, ou Kokerboom est un aloès indigène d'Afrique du Sud et plus particulièrement de la province Cap-du-Nord et de Namibie. Son nom vernaculaire Kokerboom (des mots afrikaans koker signifiant « carquois », et boom signifiant « arbre ») vient du fait que ses branches et son écorce sont utilisées par les bushmen pour faire des carquois. Cet arbre peut atteindre jusqu'à 9 mètres de hauteur.

Pinson mâle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc07cb-pinson-male

Pinson mâle

Pinson mâle (Fringilla coelebs) : Il est inféodé globalement aux bois de conifères, décidus ou mixtes en plaine et en moyenne montagne. Mais il fréquente aussi les forêts claires avec leurs lisières et leurs clairières, les landes, les taillis, les vergers, les bosquets, les cultures, les parcs et les jardins des villes et des villages, autant de zones boisées pourvu qu’il dispose d’espace libre entre les arbres d’où sa rareté en forêt dense. Son bec, à la fois large à la base et pointu, traduit une adaptation alimentaire mixte de graines et d’invertébrés. Les graines d’arbres les plus prisées sont celles de hêtres (Fagus), d’érables (Acer), de bouleaux (Betula), d’aulnes (Alnus) et de résineux. Les bourgeons, baies et fruits sauvages et cultivés ainsi que les graines des plantes herbacées et céréalières (surtout le colza) sont aussi consommés mais en période de reproduction le régime devient nettement insectivore à l'opposé de la majorité des passereaux. Les pinsons des arbres capturent des insectes dans les branches et sur les feuilles, voire au cours de petits vols vifs et acrobatiques.

Romarin en fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/50acddfb-romarin-en-fleur

Romarin en fleur

Le Romarin ou Romarin officinal (Rosmarinus officinalis), est un arbrisseau de la famille des Lamiacées (ou labiées), poussant à l’état sauvage sur le pourtour méditerranéen, en particulier dans les garrigues arides et rocailleuses, sur terrains calcaires. Fraîche ou séchée, cette herbe condimentaire se retrouve dans la cuisine méditerranéenne, et une variété améliorée se cultive dans les jardins. C'est une plante mellifère ; le miel de romarin, ou « miel de Narbonne » est réputé. C'est également un produit fréquemment utilisé en parfumerie. Enfin, on lui attribue de nombreuses vertus phytothérapeutiques.

Salade de pissenlit et lardons. Source : http://data.abuledu.org/URI/514cb45e-salade-de-pissenlit-et-lardons

Salade de pissenlit et lardons

Salade de pissenlit et lardons. Les feuilles de pissenlit comme la racine sont comestibles en salade, en soupe, infusion ou pour un usage pharmaceutique.

Tortue à nez de cochon d'Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2b9a1-tortue-a-nez-de-cochon-d-australie

Tortue à nez de cochon d'Australie

La tortue à nez de cochon est une espèce unique en son genre pour une tortue d'eau douce. Elle mesure environ 55 cm de long pour un poids de 22 5 kg pour les plus grandes. Leur carapace est uniformément grise sur le dos avec une texture rappelant le cuir tandis que le plastron est couleur crème. Les pattes sont transformées en nageoires comme chez les tortues de mer. Le nez ressemble au groin du cochon d'où son nom. C'est un animal omnivore consommant une grande variété de plantes et d'animaux mais son alimentation préférée semble être les feuilles et les fruits d'un figuier australien. Ce sont des tortues uniquement aquatiques et seules les femelles sortent de l'eau pour pondre dans le sable. C'est la seule tortue dont les œufs n'éclosent que dans l'eau. Elle les pond très haut sur les berges, ainsi ils éclosent lors des grandes crues, le meilleur moment pour les petits.

Volcan Izzeguerit. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1ce76-volcan-izzeguerit

Volcan Izzeguerit

Alentours du volcan Izzeguerit, sur le Bagzane, Aïr (Niger). Aux alentours des sommets, et plus particulièrement dans le massif des Bagzan, un petit nombre d'espèces à affinité méditerranéenne a été identifié. Ces espèces constituent un enjeu important de conservation car elles sont isolées aux plus hautes altitudes. Il s'agit notamment de l'olivier sauvage Aleou (Olea europaea subsp. laperrinei), d'une lavande, Alan'n'adragh (Lavandula antinae), de Rumex vesicarius ou des Asteraceae Senecio hoggariensis et Senecio flavus. Trois fougères absentes au Niger ont été identifiées en 2005 aux alentours du sommet des Bagzan : Actiniopteris radiata, Ophioglossum polyphyllum, et Cheilanthes coriacea, ce qui montre que les montagnes de l'Aïr offrent des refuges remarquables pour la biodiversité face à l'aridité du désert et permettent la persistance d'espèces ayant colonisé cette région lors de phases climatiques plus clémentes.

Yak sauvage. Source : http://data.abuledu.org/URI/516c720b-yak-sauvage

Yak sauvage

Yak sauvage (Bos grunniens) à Letdar (Circuit de l'Annapurna au Népal). Le yak vit dans et autour de la chaine de l'Himalaya ; Népal et au Bhoutan, en Chine (Tibet, Xinjiang, Gansu, Mongolie intérieure), ainsi qu'en Mongolie, Russie, Kirghizstan, Kazakhstan, Pakistan, Tadjikistan, Afghanistan, jusqu'à des altitudes de 5 400 mètres. Les yaks vivent quinze ans en haute altitude au-dessus de 3 000 mètres. Le yak sauvage, uniquement présent au Tibet, est plus grand que le yak domestique, pouvant peser jusqu'à une tonne. Il vit habituellement en groupes de 10 à 30 individus. Son habitat est composé de hauts-plateaux dégarnis, de collines et de montagnes à des altitudes comprises entre 3 200 et 5 400 mètres. Il se nourrit d'herbes, de lichens et d'autres plantes. Durant la saison chaude, il vit dans les régions proches des neiges éternelles ; puis descend vers des terres au climat plus clément lorsque la saison froide approche. Le yak peut affronter le froid jusqu'à - 40 °C aussi bien grâce à son sous-poil très dense que par son long et épais pelage de surface. Par ailleurs, il secrète une substance visqueuse dans sa transpiration qui agit comme un isolant au froid. Cette substance est utilisée en médecine traditionnelle au Népal. Le yak sauvage a la vue très faible mais compense ce handicap par un odorat particulièrement développé et surtout une ouïe incroyable qui lui permet d'entendre à plusieurs kilomètres de distance. Le yak sauvage n'existe plus que dans les chaînes de montagnes du Kunlun, de Thangla et de Nyenchen Thangla, ainsi que sur le plateau du Tibet. L'espèce est menacée : la population totale actuelle est estimée à 15 000 animaux.