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Plantes médicinales | Photographie | Plantes | Peinture | Botanique | Afrique | Paris (France) -- Quartier du Jardin des Plantes | Polygalacées | Burkina Faso | Dessins et plans | Mercurialis | Grande gentiane | Scrophularia | Persil | Scrophulariacées | Mercuriales (plantes) | Purgatifs | Mercure | Gentianacées | Fleurs | ...
Agripaume cardiaque. Source : http://data.abuledu.org/URI/50704c8b-agripaume-cardiaque

Agripaume cardiaque

Planche botanique N°263 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Agripaume cardiaque (Leonurus cardiaca). Agripaume vient du latin "acer, acris", qui signifie "pointu" et "palma", désignant la paume de la main. Ceci fait référence à la forme des feuilles aux lobes aigus. La tige est raide, à section carrée, très ramifiée et feuillée. Les feuilles sont vert foncé dessus et cendré dessous. Les fleurs sont rose pourpré, serrées sur toute la longueur de la tige. L'agripaume est surtout utilisé comme antispasmodique dans les troubles nerveux et les palpitations, ainsi que dans le traitement des diarrhées, bronchites et ballonnements.

Arbuste de Securidaca longepedunculata. Source : http://data.abuledu.org/URI/54870624-arbuste-de-securidaca-longepedunculata

Arbuste de Securidaca longepedunculata

Arbuste de Securidaca longepedunculata : Récolte des racines par arrachage, pour les besoins de la médecine traditionnelle. Image prise près de Fada N'Gourma, au Burkina Faso.

Bourrache officinale. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb78a-bourrache-officinale

Bourrache officinale

Gros plan sur une fleur bleue de Bourrache officinale (Borago officinalis, Boraginaceae), Atlas des Plantes de France, 1891.

Echinacea purpurea à Munich. Source : http://data.abuledu.org/URI/54cbf893-echinacea-purpurea-jard-n-bot-nico-m-nich-alemania-2013-09-08-dd-01-jpg

Echinacea purpurea à Munich

Echinacea purpurea, Jardin botanique de Nymphenburg à Munich : espèce très connue pour sa réputation en herboristerie et son usage ethnobotanique. Le centre de la fleur est recouvert de pointes piquantes. Le rhizome de l’Echinacea était utilisé par les Indiens des plaines d'Amérique du Nord dans l'élaboration de remèdes médicinaux.

Fleurs de plante médicinale sénégalaise. Source : http://data.abuledu.org/URI/5487056d-fleurs-de-plante-medicinale-senegalaise

Fleurs de plante médicinale sénégalaise

Fleurs de Securidaca longipedunculata, Forêt Classée de Patako (Foundiougne), Sénégal, notamment utilisée pour ses vertus cosmétiques et médicinales, en médecine traditionnelle africaine. On la trouve principalement sous des biotopes de type sahélien, au Burkina Faso et au Soudan, dans les zones sableuses où la pluviométrie se situe entre 500 et 1000 mm par an. Elle se présente comme un arbre isolé, atteignant jusqu'à 5 mètres de haut. Elle fleurit d'octobre à novembre, les fleurs sont d'un violet intense et dégagent une odeur forte et sucrée. Le fruit peut rester sur l'arbre durant plusieurs mois. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Securidaca_longipedunculata

Fruits de Securidaca longipedunculata. Source : http://data.abuledu.org/URI/548706dd-fruits-de-securidaca-longipedunculata

Fruits de Securidaca longipedunculata

Fruits de Securidaca longipedunculata au Burkina Faso.

Gentiane jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb018-gentiane-jaune

Gentiane jaune

Planche botanique de la Gentiane jaune ou grande gentiane (Gentiana lutea), Atlas des Plantes de France, 1891. Noms locaux : gentiane officinale, jouvansanne, quinquina d'Europe, quinquina des pauvres, lève-toi-et-marche, jansonna et quinquina indigène. Le rhizome et les racines sont utilisés en phytothérapie comme le laissent supposer ses nombreux noms vernaculaires. Il faut attendre sept à dix ans avant de pouvoir les récolter. La récolte est réalisée essentiellement dans le Massif Central par les Gençanaïres. À l'aide d'une fourche spéciale appelée « fourche du diable », ils peuvent extraire plus de 200 kg de racines par jour. C'est un travail pénible qui s'effectue de mai à octobre. Ce sont près de 1 000 à 1 500 tonnes qui sont utilisées chaque année pour satisfaire les besoins de l'artisanat et l'industrie. En volume, la gentiane est une des trois premières plantes médicinales et aromatiques utilisées en France et ses applications sont nombreuses (pharmacie et médecine humaine et vétérinaire, boissons et spiritueux, cosmétique, fabrication d'arômes et d'extraits, gastronomie…).

Gentiane jaune en montagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/505cb0ff-gentiane-jaune-en-montagne

Gentiane jaune en montagne

Photographie de gentiane jaune (Gentiana lutea) dans les Monts du Cantal ; à l'arrière-plan, le Puy Mary.

Gingembre officinal. Source : http://data.abuledu.org/URI/51a65f8a-gingembre-officinal

Gingembre officinal

Planche botanique du gingembre officinal du guide des plantes médicinales de Franz Eugen Köhler, 1887. Le gingembre, Zingiber officinale, est une espèce de plantes originaire d'Asie, du genre des Zingiber et de la famille des Zingiberaceae dont on utilise le rhizome en cuisine et en médecine traditionnelle. Ce rhizome est une épice très employée dans un grand nombre de cuisines asiatiques, et en particulier dans la cuisine indienne. Il est aussi utilisé en Occident dans la confection de la ginger ale et de desserts comme le pain d'épices.

Julienne des dames. Source : http://data.abuledu.org/URI/506e7967-julienne-des-dames

Julienne des dames

Planche botanique N°29 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : La julienne des dames (Hesperis matronalis). C'est une plante à fleurs pourpres, parfois blanches, de la famille des Brassicaceae . Elle est connue aussi sous les noms de girarde, giroflée des dames, violette de Damas, cassolette beurrée, aragone. Les feuilles sont oblongues ou lancéolées, dentées, couvertes de pois courts qui les rendent rugueuses. Les fleurs de 15–20 mm de diamètre sont de couleur lilas, blanches ou panachées, odorantes. Les sépales sont à peu près de même longueur que le pédicelle. La floraison a lieu de mai à juillet. La julienne des dames croît spontanément dans les lieux frais et ombragés, fourrés et forêts ripicoles, lisières forestières, chemins, coupes. C'est une plante mellifère, médicinale considérée comme stimulante, antiscorbutique, diurétique, sudorifique, expectorante, rubéfiante et ornementale. Le terme Hesperis vient du grec hesperos "soir", en raison de l'agréable parfum que diffusent ses fleurs en fin de journée. Le terme matronalis signifie en latin "dames'

Kinkeliba au Burkina Faso. Source : http://data.abuledu.org/URI/548a07ef-kinkeliba-au-burkina-faso

Kinkeliba au Burkina Faso

Kinkeliba (Combretum micranthum), utilisé en médecine traditionnelle contre la malaria, près de Bobo-Dioulasso, Burkina Faso. Les fleurs sont petites et blanches, groupées en épis. Le fruit est une samare à quatre ailes membraneuses de 1,5 cm de long sur 1,5 cm de large. Ses feuilles sêchées sont consommées en tisane. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kinkeliba

Mercuriale vivace. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1c10-mercuriale-vivace

Mercuriale vivace

Planche botanique N°286 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Marcuriale vivace (Mercurialis perennis) ou Mercuriale pérenne, Chou de chien ou Cynocrambe. C'est une plante herbacée des lieux plutôt frais sur sols alcalino-calcaires de la famille des Euphorbiaceae. Son nom en latin vient de Mercure, le dieu qui découvrit les propriétés médicinales des mercuriales et Perennis pour pérenne. Elle se développe à l'ombre des arbres à feuilles caduques des régions tempérées d'Europe. Elle forme grâce à son rhizome souterrain de vastes colonies en sous-bois (plante sociale). L'ensemble de la plante est un purgatif énergique, elle est vénéneuse pour les bêtes.

Plant de mercuriale vivace en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1cd5-plant-de-mercuriale-vivace-en-fleurs

Plant de mercuriale vivace en fleurs

Plant de mercuriale vivace (Mercurialis perennis) en fleurs.

Sac à bétel de Nouvelle-Guinée. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b2cf40-sac-a-betel-de-nouvelle-guinee

Sac à bétel de Nouvelle-Guinée

Sac à bétel. De forme oblongue, dans la partie haute les anses regroupent les fibres par deux. Le sac présente une fente sur le côté. Population : Nouvelle-Guinée ; Collecteur et collection : Théophile Savès ; Date de collecte : XIX ème siècle (4 ème Quart) ; Matériaux : Fibres végétales ; Taille: 18x10x2 cm. Lieu de conservation : Museum de Toulouse. Les substances actives de l'huile de bétel, obtenue à partir des feuilles ont des propriétés psychostimulantes et tonifiantes.

Scrophulaire noueuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e0097-scrophulaire-noueuse

Scrophulaire noueuse

Planche botanique de la Scrophulaire noueuse (Scrophularia nodosa), Atlas des Plantes de France, 1891. Plante herbacée haute (jusqu'à 1,5m) à petites fleurs brunes qui pousse dans les berges des fossés et dans l'eau. Pharmacopée : laxatif léger, traitement des maladies cutanées, plus particulièrement l'eczéma.

Scrophulaire noueuse en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e016b-scrophulaire-noueuse-en-fleurs

Scrophulaire noueuse en fleurs

Photographie d'une scrophulaire noueuse en fleurs (Scrophularia_nodosa).

Tapis de mouron des champs rouge en fleurs en mai. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ed3bab-tapis-de-mouron-des-champs-rouge-en-fleurs-en-mai

Tapis de mouron des champs rouge en fleurs en mai

Tapis de Mouron des champs rouge (Anagallis arvensis) à Saint-Fuscien (Somme) le 19/05/2007. C'est une plante rampante à fleurs rouges, ou parfois bleues, qui pousse dans les cultures, les jardins... Les fruits sont des Pyxides produisant de nombreuses graines. Le nom latin du genre de cette plante Anagallis vient du grec anagelaô, « je ris », en raison de son utilisation ancienne dans le traitement de l'hypochondrie. Cette utilisation n'a plus cours aujourd'hui mais le mouron rouge est encore parfois utilisé comme expectorante pour le traitement de certaines maladies respiratoires. La plante présente aussi une certaine toxicité — en particulier pour les petits herbivores. Il était recommandé de ne pas en donner aux animaux d'élevage, en particulier aux lapins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mouron_rouge_%28plante%29

Angélique à Coulon. Source : http://data.abuledu.org/URI/544ea7a8-angelique-a-coulon-

Angélique à Coulon

Angélique (Angelica Archangelica) à Coulon (Deux-Sèvres) au bord de la Sèvre niortaise dans le Marais poitevin : cultivée comme plante condimentaire et médicinale pour ses pétioles, tiges et graines très aromatiques et stimulantes et pour sa racine utilisée en phytothérapie. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ang%C3%A9lique_officinale

Baies d'argousier. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f23a5-baies-d-argousier

Baies d'argousier

Baies d'argousier (Hippophae rhamnoides). Les usages sont alimentaires, médicinaux, horticoles et écologiques ; ils sont reconnus depuis au moins 1 200 ans. Le genre est donc cultivé : Russie, Chine, vallée de la Durance, etc. En Hautes Alpes et dans l'ensemble des Alpes du Sud, nombre de producteurs fabriquent des spécialités locales à base d'argousier (confitures, pâtes, sirops, jus,etc.), Dans la vallée de la Durance (Alpes-de-Haute-Provence), les productions à base d'argousier font partie des produits du terroir au même titre que la lavande.

Capsicum annuum. Source : http://data.abuledu.org/URI/529f0bd4-capsicum-annuum

Capsicum annuum

Köhler, Plantes médicinales, planche 27 : Capsicum annuum est le nom scientifique de différentes variétés de poivrons et piments. Il appartient à la famille des Solanaceae. Les Plantes médicinales de Köhler sont un rare guide médicinal allemand en trois volumes publié en 1887. Son auteur est Franz Eugen Köhler et son éditeur Gustav Pabst. Il contient quelque 300 illustrations pleine page en chromolithographie.

Coriandre. Source : http://data.abuledu.org/URI/511e417b-coriandre

Coriandre

La Coriandre ou Coriandre cultivée (Coriandrum sativum) est une plante herbacée annuelle de la famille des Apiacées (Ombellifères). C'est une plante aromatique cultivée dans les zones tempérées du monde entier et employée pour de nombreuses préparations culinaires, particulièrement en Asie, en Amérique latine et dans la cuisine méditerranéenne. Les feuilles sont généralement utilisées fraîches en accompagnement ou comme condiment.

Digitale pourpre. Source : http://data.abuledu.org/URI/505e1f5d-digitale-pourpre

Digitale pourpre

Planche botanique de Digitale pourpre ou grande digitale (Digitalis purpurea), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une grande digitale bisannuelle ou vivace, cultivée comme plante ornementale. Elle est appelée parfois Doigtier, Gant-de-Notre-Dame, Gant-de-bergère, Gantelée, Gantière ou Gantillier. "Digitale" provient du latin digitus qui signifie « doigt » car on peut enfoncer son doigt dans la fleur. En vieux pays celte, les femmes badigeonnaient les interstices du dallage de leurs chaumières avec une préparation à base de gants-de-Notre-Dame. Les forces souterraines néfastes ne pouvaient plus faire irruption. Plante médicinale des pathologies cardiaques la digitale pourpre est plus prisée que la digitale jaune parce qu'elle contient plus de principes actifs que cette dernière. La digitale est une plante extrêmement toxique dont on extrait la digitaline ou digitoxine, utilisée comme tonicardiaque.

Grande absinthe. Source : http://data.abuledu.org/URI/5056c641-grande-absinthe

Grande absinthe

Planche botanique de Grande absinthe (Artemisia absinthium), Atlas des Plantes de France, 1891. Propriétés médicinales : Utilisée comme vermifuge, dans les maladies de l'estomac, dans le combat contre la paresse, contre le mal de mer et ses nausées, cette plante peut être utilisée en infusion avec du vin, de la bière en poudre ainsi qu'en décoction. En usage externe, on recourt à un cataplasme chaud, mais également à la décoction. L'absinthe était la plante d'Artémis, déesse grecque responsable des morts violentes. Dans l'Antiquité gréco-romaine, on l'utilisa en infusion comme antidote du poison (ciguë). Au XVIIe siècle, l'absinthe servait d'insecticide. L'absinthe est surtout connue pour avoir été l'ingrédient de base d'une boisson populaire au XIXe siècle. Rimbaud et Verlaine étaient des buveurs d'absinthe.

Grande aulnée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50578567-grande-aulnee

Grande aulnée

Planche botanique de Grande aulnée (Inula helenium), Atlas des Plantes de France, 1891. "helenium vient du fait qu'Hélène aurait eu une branche d'Aunée dans la main lorsqu'elle fut enlevée par Pâris. La Grande Aunée fait partie des plantes comestibles. On apprécie en particulier sa racine très aromatique, utilisée fraîche ou séchée pour parfumer certains desserts. Cette racine riche en inuline est à la fois amère et tonique (d'où le nom de quinquina français parfois donné à la plante). Elle possède également diverses vertus médicinales : elle est notamment recommandée pour son action sur les bronches.

Le Jardin du roi en 1636. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103e5d5-le-jardin-du-roi-en-1636

Le Jardin du roi en 1636

"Vue cavalière du Jardin du Roi", aquarelle de Frédéric Scalberge (1542-1640) : Source : Bibliothèque du Muséum national d'histoire naturelle. Publiée en frontispice de la "Description du Jardin royal des Plantes médicinales" par Guy de La Brosse, médecin ordinaire de Louis XIII et fondateur du Jardin des Plantes. Créé en 1635, le Jardin du roi présente dès le début le dessin général de l'actuel jardin. Il sera à la Révolution rebaptisé Jardin des plantes de Paris. C’est l’un des plus anciens organismes scientifiques officiels français puisqu’il a ouvert un siècle après le Collège royal (1530) mais avant l’Académie des sciences (1666) et l’Observatoire de Paris (1672). C’est dès 1633 que Guy de la Brosse (1586-1641), par son insistance auprès de Louis XIII dont il est le médecin, et grâce au soutien de Jean Héroard (1550-1628), et de Richelieu (1585-1642), obtient la création d’un jardin botanique à vocation médicale à Paris. Le roi acquiert un terrain dans ce que l'on appelle alors le faubourg St-Victor et de la Brosse commence les premiers travaux et ensemencements. Mais l’Édit qui l’instaure n’est publié qu’en 1635 et le jardin n’est officiellement inauguré qu’en 1640 sous le nom de Jardin royal des plantes médicinales. Le projet suscite de nombreuses oppositions notamment de la part de la faculté de médecine de l’Université de Paris qui y voit un concurrent à son propre enseignement, d’autant que les cours sont ouverts à tous et donnés non en latin, mais en français. Ce n’est pas la seule nouveauté : certains sujets, comme la circulation du sang, y sont enseignés alors qu’ils sont encore critiqués par la faculté. Des enseignants viennent de l’Université de Montpellier, grande rivale de l’Université de Paris. Pour apaiser un peu les tensions, Louis XIII décide d’autoriser l’enseignement mais ne permet pas au Jardin d’y dispenser de diplômes, et le Jardin ne comptera, à la Révolution, que trois postes de professeurs : botanique, anatomie et chimie.

Persil cultivé. Source : http://data.abuledu.org/URI/504fb443-persil-cultive

Persil cultivé

Planche botanique du persil (Petroselinum crispum), Atlas des Plantes de France, 1891 ; utilisé en cuisine pour ses feuilles très divisées. C'est également une plante médicinale. Le persil frais est à la fois un assaisonnement et une garniture. Comme condiment, il s'emploie entier (pour une marinade) ou le plus souvent haché.

Persil vert. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a1119a-persil-vert

Persil vert

Le persil (Petroselinum crispum) est une espèce du genre Petroselinum. C'est une plante herbacée de la famille des Apiacées (Ombellifères), couramment utilisée en cuisine pour ses feuilles très divisées, et en Europe centrale pour sa racine pivot1,2. C'est également une plante médicinale.

Pistacia vera en 1702. Source : http://data.abuledu.org/URI/534a6fbf-pistacia-vera-en-1702

Pistacia vera en 1702

Plaque concernant le pistachier du Jardin des Plantes (Pistacia vera) en 1702. Le pistachier permit à Sébastien Vaillant d’étudier et de démontrer scientifiquement la sexualité des végétaux en 1716. En 1702, Joseph Pitton de Tournefort rapporta quelques pistaches de Chine et les sema au jardin des semis du Jardin royal des plantes médicinales. Un pistachier mâle poussa. Arbre historique, il se trouve au jardin alpin du Jardin des plantes de Paris. Sébastien Vaillant remarqua que ce pistachier esseulé fleurissait tous les ans sans fructifier comme un autre spécimen aux fleurs différentes situé dans un autre quartier de Paris. Vaillant apporta une branche fleurie du Jardin du roi et la secoua près de l'autre pistachier en fleurs. Des fruits apparurent pour la première fois. Cette expérience démontra la sexualité des plantes et la pollinisation. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pistacia_vera

Plan du Jardin des plantes de Paris. Source : http://data.abuledu.org/URI/588e0ef1-plan-du-jardin-des-plantes-de-paris

Plan du Jardin des plantes de Paris

Plan détaillé du Jardin des Plantes, Muséum d'histoire naturelle de Paris. Fiche data-bnf : Héritier du Jardin royal des plantes médicinales. - Le décret Lakanal du 10 juin 1793 a instauré la direction par une assemblée des professeurs. - Changement de statut en 1985 et 2001. - Regroupe des galeries d'exposition, des laboratoires, des bibliothèques, des jardins et 26 chaires magistrales.

Planche botanique de la papaye. Source : http://data.abuledu.org/URI/503c86d7-planche-botanique-de-la-papaye

Planche botanique de la papaye

Franz Eugen Köhler,'' les plantes médicinales Koehler'', guide de 1887 : 1 fleur, 2 grandeur nature, 3 coupe du fruit, 4 graines, 5 coupe longitudinale.

Primevère officinale. Source : http://data.abuledu.org/URI/505a065c-primevere-officinale

Primevère officinale

Planche botanique de la primevère officinale (Primula officinalis), Atlas des Plantes de France, 1891. Elle est parfois appelée la Brérelle, le Coqueluchon, le Coucou, l’Herbe à la paralysie, l’Herbe de saint Paul, la Primerolle, la Primevère de printemps ou la Printanière. Ce sont des plantes de pleine lumière des prés, des talus et des bois clairs. Elle doit son nom à "Primula" du latin "primulus", "tout premier", allusion aux fleurs précoces ; "veris" signifie "du printemps"; "officinalis", médicinal. Les fleurs, adoucissantes et calmantes, sont utilisées dans des mélanges pectoraux. Les feuilles sont anti-ecchymotiques. Toute la plante et particulièrement la racine ont des propriétés analgésiques, anti-spasmodiques, diurétiques et pectorales et expectorantes.

Renouée bistorte. Source : http://data.abuledu.org/URI/506ffc35-renouee-bistorte

Renouée bistorte

Planche botanique N°279 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Renouée bistorte (Polygonum bistorta) à fleurs roses en épi unique terminant la tige et larges de 1 à 3 cm. Polygonum : du grec "polus" = beaucoup, et "gonu" = genou : tiges très noueuses ; Bistorta : du latin "bistortus" = deux fois tordu (forme de la racine). Appellations populaires en France : Feuillotte, Serpentaire rouge, Bistorte, Andresse, Couleuvrée, Langue de bœuf, Faux épinard. Cette plante est comestible : le rhizome a fréquemment été consommé cuit (ou cru, bien qu'il soit souvent amer) en Russie, Sibérie et Alaska1 : après l'avoir fait macérer, on le faisait cuire sous la braise. Pour éliminer son amertume, il peut être nécessaire de le cuire dans plusieurs eaux. Comme pour la plupart des renouées, les jeunes pousses et feuilles sont également comestibles. En vieillissant, elles deviennent amères, il conviendra donc, comme pour le rhizome, de les faire bouillir à plusieurs eaux. L'usage médicinal de la bistorte est ancien, comme l'atteste sa présence dans le Capitulaire De Villis, ordonnance émanant de Charlemagne, qui réclame de la part de ses domaines de cultiver un certain nombre de plantes médicinales et condimentaires dont la "dragantea" identifiée actuellement comme la bistorte renouée. Plante mellifère.

Végétation de la caldeira de Kilauea. Source : http://data.abuledu.org/URI/508d2221-vegetation-de-la-caldeira-de-kilauea

Végétation de la caldeira de Kilauea

Forêt tropicale humide sur les pentes orientales du Kīlauea au Puʻu Huluhulu : d'une grande importance culturelle et économique pour les Hawaïens, cette forêt, demeure des dieux, constituait le principal lieu de ressource en plumes décoratives, herbes médicinales, plantes à tisser et bois de construction