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Plantes aquatiques | Photographie | Dessins et plans | Peinture | Botanique | Plantes | Herbiers | Bordeaux (Gironde) | Jardins botaniques -- France | automne | Ornithologie | Cycle de l'azote | Pièges à insectes | Utriculariaceae | Azote | Nénuphars | Lapins | Géographie | Légendes mayas | Danaus plexippus | ...
Élan sortant de son repas aquatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/511568da-elan-sortant-de-son-repas-aquatique

Élan sortant de son repas aquatique

Élan/orignal sortant, après y avoir mangé sous l'eau des plantes aquatiques, d'un étang créé par des castors en Amérique du Nord, dans le Parc national de Grand Teton, situé au nord-ouest de l'État du Wyoming. Ce sont des castors qui, par leur barrage, ont ici entretenu l'habitat de l'Orignal, seul grand herbivore capable de brouter, tête sous l'eau. Les clairières humides et ensoleillées créées par les castors sont également propices à une haute strate herbacée appréciée des grands herbivores. Castor et élan limitent ici conjointement l'eutrophisation et les risques de sécheresse, d'incendie de forêt et d'inondation en aval. Le Castor est une « espèce facilitatrice »

Herbier de posidonies en méditerranée. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e46a05-herbier-de-posidonies-en-mediterranee

Herbier de posidonies en méditerranée

Herbier de posidonies (Posidonia oceanica) en Méditerranée. Les posidonies (du genre Posidonia) sont des plantes aquatiques de la famille des Posidoniaceae. Bien qu'elles vivent sous l'eau, ce ne sont pas des algues, mais des plantes à fleurs (angiospermes) monocotylédones sous-marines. Comme toutes les plantes à fleurs, elles ont des racines, et se reproduisent grâce aux fruits qu'elles produisent. Dans les eaux moins chaudes de l'Atlantique nord européen elles sont remplacées par les zostères qui constituent des herbiers jouant les mêmes fonctions écologiques. Le nom générique "Posidonia" dérive de "Poséidon" (dieu des Mers et des Océans dans la mythologie grecque). Les fibres des feuilles de posidonies, difficilement dégradables, sont rassemblées par les mouvements de la mer en boule feutrées, appelées aégagropiles, souvent rejetées sur les plages de Méditerranée. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu.

Jacinthes d'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/54351329-jacinthes-d-eau

Jacinthes d'eau

Jacinthes d'eau.

Jardin botanique de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/580aa46e-jardin-botanique-de-bordeaux

Jardin botanique de Bordeaux

Jardin botanique rive droite, Bordeaux-33, octobre 2016. .

Jardin botanique de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/580aa496-jardin-botanique-de-bordeaux

Jardin botanique de Bordeaux

Jardin botanique rive droite, Bordeaux-33, octobre 2016. .

Jardin botanique de Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/580aa4f0-jardin-botanique-de-bordeaux

Jardin botanique de Bordeaux

Jardin botanique rive droite, Bordeaux-33, octobre 2016 : marsilea quadrifolia. .

Joncs. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f288dd-joncs-

Joncs

Jonc diffus (Juncus effusus) poussant sur les bords des plans d'eau. La paille tressée issue de cette plante appelé Igusa au Japon, est utilisée notamment comme enveloppe de couverture dans la fabrication des tatamis ou de la semelle des sandales. traditionnelles, les zoris.

La légende du lapin-scribe maya. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a6635-la-legende-du-lapin-scribe-maya

La légende du lapin-scribe maya

"Papalotochtli" en couleur par Piolinfax, avatar pour le wiki en langue Nahuatl. Représentation du dieu lapin-scribe sur un vase Maya. Comme les japonais, les Aztèques croyaient que les tâches de la lune représentaient un lapin : une légende dit que les dieux, furieux de sa lâcheté, giflèrent Tecuciztecatl avec un lapin avant qu'il ne se transforme en lune et perde sa luminosité. Sur cette image, le lapin a des ailes de monarque (Danaus plexippus), et il est posé sur une fleur aquatique de Xochimilco au Mexique.

La légende maya du lapin-scribe. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a6798-la-legende-maya-du-lapin-scribe

La légende maya du lapin-scribe

"Papalotochtli" par Piolinfax, avatar pour le wiki en langue Nahuatl. Représentation du dieu lapin-scribe sur un vase Maya. Comme les japonais, les Aztèques croyaient que les tâches de la lune représentaient un lapin : une légende dit que les dieux, furieux de sa lâcheté, giflèrent Tecuciztecatl avec un lapin avant qu'il ne se transforme en lune et perde sa luminosité. Sur cette image, le lapin a des ailes de monarque (Danaus plexippus), et il est posé sur une fleur aquatique de Xochimilco au Mexique.

Lamantin. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fa726f-lamantin

Lamantin

Lamantin (Trichechus manatus) se nourrissant dans un herbier. le Lamantin est un mammifère herbivore se nourrissant exclusivement de plantes aquatiques (50 kg par nuit environ), jouant ainsi un rôle écologique important pour la pénétration de la lumière dans l'eau. Vivent en eaux littorales peu profondes, dans l'embouchure des fleuves et les marais côtiers de la zone tropicale de l'Atlantique. Leur faciès large et leur mode d'alimentation leur vaut parfois le surnom de « vaches de mer » ou « vaches marines ».

Mangrove à Cayo Levisa, Cuba. Source : http://data.abuledu.org/URI/52e50a6b-mangrove-a-cayo-levisa-cuba

Mangrove à Cayo Levisa, Cuba

Mangrove (Rhizophora) à Cayo Levisa, Cuba, 2004 : élément avancé d'une mangrove cubaine ; les palétuviers donnent parfois l'impression d'avancer sur leurs racines. Ils ont un comportement d'espèces pionnières, contribuant souvent à fixer le trait de côte. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mangrove.

Nénuphars blancs en 1836. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ed3df1-nenuphars-blancs-en-1836

Nénuphars blancs en 1836

Illustration de "Nature et romance", 1836, par Louisa Anne Meredith (1812–1895), poète australienne : THE WHITE WATER LILY. THE QUEEN OF FLOWERS, Nénuphars blancs (Nymphæa alba).

Pièges d'Utriculaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5059fde2-pieges-d-utriculaire

Pièges d'Utriculaire

Photographie de détail des pièges se fermant par un clapet entouré de longs poils sensitifs d'Utriculaire (Utricularia vulgaris), plante carnivore aquatique.

Plante aquatique invasive des marais. Source : http://data.abuledu.org/URI/55abf00c-plante-aquatique-invasive-des-marais

Plante aquatique invasive des marais

Plante aquatique des marais (Elodea densa), Balade en barque à Biscarrosse-Landes, juillet 2015.

Plantes de la mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dea3b-plantes-de-la-mer

Plantes de la mer

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.228 ; manuel scolaire, édition de 1904 : PLANTES DE LA MER. - Sous la mer, il existe des montagnes et des vallées, des vallées impénétrables, de vastes prairies où viennent brouter les animaux marins. Les principales plantes de la mer sont les algues et les varechs. On y trouve aussi un grand nombre d'animaux-plantes, comme le corail et la méduse représentés dans la gravure.

Aulne glutineux ou verne. Source : http://data.abuledu.org/URI/509841f1-aulne-glutineux-ou-verne

Aulne glutineux ou verne

Planche N°307 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Aulne glutineux (Alnus glutinosa). Porte parfois le nom de aulne noir, aulne poisseux, vergne ou verne. La verne est une essence hygrophile, comme nombre de Bétulacées, et affectionne particulièrement les sources d'eau, y compris domestiques. Il n'est pas rare de constater l'obstruction de canalisation par ses racines. L'arbre possède un système racinaire extrêmement développé (jusqu'à 4 m de profondeur) qui lui permet de bien résister aux vents forts. Ses racines sont le refuge d’une importante faune aquatique lorsqu'il pousse au bord d'un cours d'eau. Autrefois, lorsqu'on voulait se débarrasser de la vermine dans une maison, un poulailler ou une écurie, on épandait sur le sol des feuilles de verne encore bien humides de rosée le matin et toute la vermine venait s'y mettre. Ensuite on jetait les feuilles au feu et le lieu était vidé de ces parasites.

Cigüe vénéneuse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50502e53-cigue-veneneuse

Cigüe vénéneuse

Planche botanique de la cigüe aquatique (Cicuta virosa), Atlas des Plantes de France de 1891, qui porte aussi le nom de ciguë vénéneuse, ciguë vireuse, persil des marais ou bien cicutaire du Nord. Le poison est surtout concentré dans le rhizome, qui peut être confondu avec celui d'une carotte sauvage. Cette plante est l'un des poisons végétaux les plus puissants. Elle fut notamment employée dans l'Antiquité pour commettre des crimes ou se donner la mort (suicide sur ordre du philosophe grec Socrate).

Cycle de l'azote dans le sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c7c336-cycle-de-l-azote-dans-le-sol

Cycle de l'azote dans le sol

Le cycle de l'azote est un cycle biogéochimique qui décrit la succession des modifications subies par les différentes formes de l'azote (diazote, nitrate, nitrite, ammoniaque, azote organique). L'atmosphère est la principale source d'azote, sous forme de diazote, puisqu'elle en contient 79 % en volume. L'azote, composé essentiel à de nombreux processus biologiques, se retrouve entre autres dans les acides aminés constituant les protéines, et dans les bases azotées présentes dans l'ADN. Des processus sont nécessaires pour transformer l'azote atmosphérique en une forme assimilable par les organismes. L'azote atmosphérique est fixé par des bactéries présentes dans le sol, telles que Azotobacter vinelandii, grâce à une enzyme, la nitrogénase. Celles-ci produisent de l'ammoniaque (NH4OH) à partir de l'azote atmosphérique et de l'hydrogène de l'eau (l'ammoniaque est le nom de la forme soluble dans l'eau du gaz ammoniac). Certaines de ces bactéries, comme Rhizobium, vivent en symbiose avec des plantes, produisant de l'ammoniaque nécessaire aux plantes, en contrepartie des glucides de la plante dans la rhizosphère. L'ammoniaque peut aussi provenir de la décomposition d'organismes morts par des bactéries saprophytes sous forme d'ions ammonium (NH4+). Dans les sols bien oxygénés, mais aussi en milieu aquatique oxygéné, des bactéries transforment l'ammoniac (NH3) en nitrite (NO2-), puis en nitrates (NO3-), au cours du processus de nitrification. On peut décomposer cette transformation en nitritation et nitratation.

Cycle de l'azote dans le sol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148a2e0-cycle-de-l-azote-dans-le-sol

Cycle de l'azote dans le sol

Le cycle de l'azote est un cycle biogéochimique qui décrit la succession des modifications subies par les différentes formes de l'azote (diazote, nitrate, nitrite, ammoniaque, azote organique). L'atmosphère est la principale source d'azote, sous forme de diazote, puisqu'elle en contient 79 % en volume. L'azote, composé essentiel à de nombreux processus biologiques, se retrouve entre autres dans les acides aminés constituant les protéines, et dans les bases azotées présentes dans l'ADN. Des processus sont nécessaires pour transformer l'azote atmosphérique en une forme assimilable par les organismes. L'azote atmosphérique est fixé par des bactéries présentes dans le sol, telles que Azotobacter vinelandii, grâce à une enzyme, la nitrogénase. Celles-ci produisent de l'ammoniaque (NH4OH) à partir de l'azote atmosphérique et de l'hydrogène de l'eau (l'ammoniaque est le nom de la forme soluble dans l'eau du gaz ammoniac). Certaines de ces bactéries, comme Rhizobium, vivent en symbiose avec des plantes, produisant de l'ammoniaque nécessaire aux plantes, en contrepartie des glucides de la plante dans la rhizosphère. L'ammoniaque peut aussi provenir de la décomposition d'organismes morts par des bactéries saprophytes sous forme d'ions ammonium (NH4+). Dans les sols bien oxygénés, mais aussi en milieu aquatique oxygéné, des bactéries transforment l'ammoniac (NH3) en nitrite (NO2-), puis en nitrates (NO3-), au cours du processus de nitrification. On peut décomposer cette transformation en nitritation et nitratation. Les végétaux absorbent grâce à leurs racines les ions nitrate (NO3-) et, dans une moindre mesure, l'ammonium présent dans le sol, et les incorporent dans les acides aminés et les protéines. Les végétaux constituent ainsi la source primaire d'azote assimilable par les animaux. En milieu anoxique (sol ou milieu aquatique non oxygéné), des bactéries dites dénitrifiantes transforment les nitrates en gaz diazote, c'est la dénitrification.

Cycle de l'azote dans un aquarium. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148a1e5-cycle-de-l-azote-dans-un-aquarium

Cycle de l'azote dans un aquarium

Cycle de l'azote dans un aquarium : 1 - Nourriture et nutriments, 2 - Production d'urée et d'ammoniac, 3 - Ammoniac → nitrites, 4 - Nitrites → nitrates (Nitrospira), 5 - Evaporation, 6 - Lumière, 7 - Sol, 8 - Oxygène, 9 - Gaz carbonique. Dans un aquarium, ce sont les déjections des poissons et la nourriture non consommée qui sont à l'origine de la formation d'ammoniac. Ce produit extrêmement toxique pour les animaux aquatiques est transformé en nitrates beaucoup moins toxiques et bénéfiques pour les plantes par des bactéries présentes naturellement ou artificiellement (plantées) dans l'aquarium. Les bactéries nitrosomonas transforment l'ammoniac en nitrites, eux-mêmes très toxiques pour les animaux aquatiques. Et les bactéries nitrobacter transforment les nitrites en nitrates. Nitrates qui sont alors absorbés par les plantes présentes dans l'aquarium.

Cycle de vie des Angiospermes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6199-cycle-de-vie-des-angiospermes

Cycle de vie des Angiospermes

Cycle de vie d'une Angiosperme. La division Magnoliophyta, ou angiospermes, regroupe les plantes à fleurs, et donc les végétaux qui portent des fruits. Angiosperme signifie « graine dans un récipient » en grec par opposition aux gymnospermes (graine nue). Ils représentent la plus grande partie des espèces végétales terrestres, avec de 250 000 à 300 000 espèces. Les angiospermes diffèrent cependant des autres plantes à graines par la présence des caractères suivants : 1) la condensation des organes reproducteurs en une fleur ; 2) la présence d'un ovaire enveloppant les ovules, et qui se développera pour donner un fruit ; 3) la double fécondation de l'ovule, qui donnera l'embryon et son tissu nourricier, l'albumen. La fleur et le fruit, qui sont propres à ce groupe, entraînent, pour de nombreuses espèces, une interaction avec les animaux dans la reproduction (pollinisation par les insectes, zoochorie...). Les angiospermes dominent les paysages naturels terrestres tropicaux et tempérés, comme la savane ou la forêt. Ils laissent la place aux résineux (Pinophytes) et aux lichens dans les biotopes les plus froids. Ils sont aussi présents dans les milieux aquatiques (Zoostère...).

Diatomées vues au microscope. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e92d-diatomees-vues-au-microscope

Diatomées vues au microscope

Diatomées, groupe phytoplanctonique le plus répandu. Les Bacillariophyta (diatomées) sont des microalgues unicellulaires planctoniques (de 2 μm à 1 mm) présentes dans tous les milieux aquatiques (avec une préférence pour les eaux froides) et enveloppées par un squelette externe siliceux. Elles peuvent vivre isolées ou en colonie, être libres ou fixées. Les formes pélagiques appartiennent au phytoplancton, les formes benthiques appartiennent au microphytobenthos. Les diatomées sont un constituant majeur du phytoplancton et jouent donc un rôle primordial dans la vie des écosystèmes marins, à l'origine des réseaux alimentaires de nombreuses espèces. Environ 100 000 espèces sont répertoriées, mais elles pourraient être bien plus nombreuses. À l'inverse des écosystèmes terrestres, la productivité des écosystèmes océaniques est principalement assurée par les algues avec une faible contribution des plantes vasculaires. Les algues englobent une grande variété d'organismes allant de simples organismes unicellulaires à des organismes plus complexes comme les macroalgues. Les plantes vasculaires se limitent aux herbiers. La majorité de la productivité océanique est assurée par le phytoplancton. On estime qu'il est à lui seul responsable de 75% de la production primaire océanique3, les autres autotrophes (herbiers et macroalgues) étant souvent limités à des zones restreintes de l'océan : les zones côtières où les eaux sont peu profondes et suffisamment lumineuses.

Fenouil aquatique. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e485c-fenouil-aquatique

Fenouil aquatique

Planche botanique de fenouil aquatique (Oenanthe phellandrium), Atlas des Plantes de France, 1891 : plantes herbacées de la famille des Apiaceae.

Fuligule de Madagascar. Source : http://data.abuledu.org/URI/529b602c-fuligule-de-madagascar

Fuligule de Madagascar

Fuligule mâle de Madagascar (Aythya innotata). C'est un canard de plongée extrêmement rare du genre Aythya, qu'on a cru éteint. Avant sa redécouverte en 2006, la dernière observation confirmée de l'espèce a été faite au bord du lac Alaotra sur le plateau central de Madagascar en 1991. Ce canard plongeur est confiné aux lacs et marais d'eau douce peu profonds qui combinent des eaux libres et des secteurs de végétation dense. Il se nourrit d'invertébrés et de graines de plantes aquatiques en plongeant fréquemment dans les eaux peu profondes. Il est vu généralement seul, parfois en couple. La taille de la couvée est de deux en moyenne et la couvaison a été observée en mars-avril.

Myriophylle en épi. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e59ec-myriophylle-en-epi

Myriophylle en épi

Planche botanique du myriophylle en épi (Myriophyllum spicatum), Atlas des Plantes de France, 1891 : plante aquatique vivace qui croit dans les herbiers aquatiques ; envahissante, difficile d'en contrôler la prolifération, notamment dans les lacs.

Nymphéa blanc. Source : http://data.abuledu.org/URI/50578d14-nymphea-blanc

Nymphéa blanc

Planche botanique de Nymphéa blanc (Nymphaea alba), Atlas des Plantes de France, 1891. Plante aquatique pouvant atteindre deux mètres de haut, qui se développe dans les eaux dormantes, les bras morts des rivières et sur les lacs. À partir d'une forte souche, enracinée dans le fond, poussent les longs pétioles des feuilles dont les limbes flottent à la surface. Le Rapport de 1990 sur les rectifications orthographiques (Liste H) préconise de revenir à la graphie "Nénufar".

Oies cendrées en vol. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134dfc4-oies-cendrees-en-vol

Oies cendrées en vol

Oies cendrées (Anser anser) en vol. L'oie cendrée est une espèce aquatique qui nage plus souvent que les autres oies. À terre, elle marche avec moins de dandinements que les canards et elle est capable de courir avec vélocité. Lors des migrations, les troupes d'oies volent généralement en formation en V. Le vol est puissant, rapide, régulier, avec des battements d'ailes assez lents. Cette espèce plane avant de se poser et, à la fin, chute brusquement. Le régime alimentaire des oies peut dépendre de leurs habitudes sur leur lieu de nidification. Les Oies cendrées qui nichent en Norvège s’alimentent surtout des parties aériennes de graminées et d’autres plantes prairiales comme Festuca, Agropyron, Lolium, Poa, Taraxacum, Sonchus et Chenopodium. Le régime alimentaire dépend aussi des zones où elles stationnent. Dans l'ouest de la France, l’oie cendrée se nourrit surtout sur les prairies pâturées, consommant les ivraies et puccinellie maritime (Puccinellia maritima) sur les prés à Pâturin maritime (Poa maritima) de la baie de l'Aiguillon, glanant dans les chaumes de maïs et plus occasionnellement sur les céréales d’hiver. Dans les marais d'Orx, les hivernants consomment les pousses de jonc épars et de baldingère faux-roseau et même de la jussie rampante.

Pesse vulgaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/504e5aa0-pesse-vulgaire

Pesse vulgaire

Planche botanique d'Hippuris vulgaris, Atlas des Plantes de France de 1891 : plante aquatique.

Producteurs primaires terrestres et océaniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e7c5-producteurs-primaires-terrestres-et-oceaniques

Producteurs primaires terrestres et océaniques

Répartition des producteurs primaires terrestres (de vert à marron) et océaniques (de bleu à violet), de Septembre 1997 au mois d'Août 2000. Estimée en tant que biomasse autotrophe, c'est un indicateur approximatif de la production primaire potentielle. Issu du projet SeaWiFS, de la NASA/Goddard Space Flight Center et de ORBIMAGE. La productivité primaire traduit la vitesse à laquelle se forme par unité de temps, une quantité donnée de matière organique à partir de matière minérale et d'un apport d'énergie. C'est un flux exprimé en masse de carbone assimilé par unité de temps1. Cette production de matière organique s'effectue principalement grâce à la photosynthèse (la chimiosynthèse étant beaucoup moins répandue). Dans un écosystème, la productivité primaire est réalisée par les producteurs primaires également appelés autotrophes. Il s'agit du premier maillon d'une chaine alimentaire dans un réseau trophique. Les producteurs primaires sont principalement des plantes dans les écosystèmes terrestres et des algues dans les écosystèmes aquatiques. On appelle production primaire l'énergie qui est accumulée par la productivité primaire.

Spatule d'Afrique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d55185-spatule-d-afrique

Spatule d'Afrique

Spatule d'Afrique (Platalea alba) cherchant sa nourriture. Volière africaine, ménagerie du Jardin des Plantes de Paris. Elle se nourrit de poissons, de grenouilles et autres animaux aquatiques. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Spatule_d%27Afrique

Tortue à nez de cochon d'Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2b9a1-tortue-a-nez-de-cochon-d-australie

Tortue à nez de cochon d'Australie

La tortue à nez de cochon est une espèce unique en son genre pour une tortue d'eau douce. Elle mesure environ 55 cm de long pour un poids de 22 5 kg pour les plus grandes. Leur carapace est uniformément grise sur le dos avec une texture rappelant le cuir tandis que le plastron est couleur crème. Les pattes sont transformées en nageoires comme chez les tortues de mer. Le nez ressemble au groin du cochon d'où son nom. C'est un animal omnivore consommant une grande variété de plantes et d'animaux mais son alimentation préférée semble être les feuilles et les fruits d'un figuier australien. Ce sont des tortues uniquement aquatiques et seules les femelles sortent de l'eau pour pondre dans le sable. C'est la seule tortue dont les œufs n'éclosent que dans l'eau. Elle les pond très haut sur les berges, ainsi ils éclosent lors des grandes crues, le meilleur moment pour les petits.

Utriculaire commune. Source : http://data.abuledu.org/URI/5059e852-utriculaire-commune

Utriculaire commune

Planche botanique de l'utriculaire commune (Utricularia vulgaris), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une plante carnivore aquatique vivace qui vit dans les zones marécageuses. Elle fait 15-35 cm de haut, elle fleurit en juin-août. La tige fleurie est dressée au-dessus de l'eau et les fleurs sont jaune d'or. Les utricules sont des pièges actifs à succion. Les outres des pièges sont fermées par un clapet entouré de longs poils sensitifs. Lorsqu'une proie aquatique comme un petit crustacé touche ces filaments, l'outre se remplit d'eau brusquement ce qui aspire la proie. Le clapet se referme aussitôt et la digestion se fait grâce à des enzymes.

Zones pélagiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7ec8d-zones-pelagiques

Zones pélagiques

Couches de la zone pélagique. La zone photique, aussi nommée zone euphotique ou zone épipélagique, est la zone aquatique comprise entre la surface et la profondeur maximale d’un lac ou d’un océan, exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse se produise. La profondeur de la zone photique peut être grandement affectée par la turbidité saisonnière. La zone pélagique est divisée en sous-zones, suivant des différences dans leurs caractéristiques écologiques (qui est sensiblement fonction de la profondeur marine) : 1) Épipélagique (de la surface jusqu'à 200 mètres) - Espace où la lumière est suffisante pour permettre la photosynthèse, les plantes et animaux étant largement concentrés dans cette zone. Cet espace est aussi appelé zone photique. Attention toutefois, la zone photique ne concerne que les 100 premiers mètres de la zone épipélagique. En dessous, il ne reste plus que 1 % du rayonnement global (le bleu va plus profondément, le rouge beaucoup moins), ce qui est insuffisant pour la photosynthèse. 2) Mésopélagique (entre 200 et 1 000 mètres) - La lumière arrivant à pénétrer ces profondeurs est insuffisante pour la photosynthèse. Le nom vient du grec μέσον (meson), « milieu ». Cet espace est aussi appelé zone aphotique. 3) Bathypélagique (entre 1 000 mètres et 4 000 mètres) - À cette profondeur, l'océan est presque entièrement sombre (avec simplement les organismes bioluminescents). Il n'y a pas de plantes vivantes et la plupart des animaux survivent en consommant la neige marine des détritus tombant des zones au-dessus, ou par la chasse d'autres organismes. Les calmars géants vivent à cette profondeur, où ils sont chassés par le cachalot. Le nom vient du grec βαθύς (bathys), « profond ». 4) Abyssopélagique (de 4 000 mètres jusqu'à la croûte océanique) - Aucune lumière quelle qu'elle soit ne pénètre à cette profondeur. La plupart des êtres vivants sont aveugles et albinos. Le nom vient du grec άβυσσος (abyssos), « abysse », signifiant « sans fond » (dans les temps anciens, on croyait que l'océan était sans fond). 5) Hadopélagique (les profondeurs des failles océaniques, jusqu'à 11 000 mètres) - Le nom dérive de Hadès, dieu de la mythologie grecque régnant sur le monde souterrain. Cette zone est en très grande partie inconnue et très peu d'espèces y ont été répertoriées.