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Photographie | Plantes à tubercules | Botanique | Peinture | Pommes de terre | Dessins et plans | Plantes | Pomme de terre -- Cultures | Colocasia esculenta | Taro | Racines (botanique) | Maui (Hawaii. - île) | Herpestidae | Kalahari (désert) | Carnivores | Botanistes | Répartition géographique | hiver | Bourgeons (botanique) | Danois | ...
Dessin de pomme de terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/505da941-dessin-de-pomme-de-terre

Dessin de pomme de terre

Croquis de la partie basse de la plante (tiges aériennes, stolons, tubercules et racines souterraines) : en noir le tubercule "mère".

Patates douces. Source : http://data.abuledu.org/URI/53a1cf20-patates-douces

Patates douces

Huit tubercules de patates douces (Ipomoea batatas). Cette plante produit des tubercules de forme plus ou moins allongée, voire arrondie, à la peau fine. Suivant la variété, la couleur de la peau est beige, brune, jaune, orange, rouge, violette. La chair du tubercule varie également blanc, beige, jaune, orange, rouge, rose, violette. Presque toutes les combinaisons de peau et de chair peuvent se rencontrer. Les tubercules avec la chair blanche ou jaune pâle sont moins sucrées et ont un taux d'humidité inférieur à celles qui sont rouges, roses et orange. Ils sont très riches en amidon. Leur saveur sucrée et leur texture farineuse rappellent un peu celle de la châtaigne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Patate_douce

Pomme de terre. Source : http://data.abuledu.org/URI/505da80e-pomme-de-terre

Pomme de terre

Planche botanique de la Pomme de terre (Solanum tuberosum), Atlas des Plantes de France, 1891. La Pomme de terre, ou Patate (langage familier, canadianisme et français régional), est un tubercule comestible. Elle est originaire de la cordillère des Andes dans le sud-ouest de l'Amérique du Sud où son utilisation remonte à environ 8 000 ans. Introduite en Europe vers la fin du XVIe siècle à la suite de la découverte de l’Amérique par les conquistadors espagnols, elle s'est rapidement diffusée dans le monde et est aujourd’hui cultivée dans plus de 150 pays sous pratiquement toutes les latitudes habitées. C'est une source importante de glucides, qui se présentent principalement sous forme de fécule, mais aussi de protéines et de vitamines. Ses qualités nutritives et sa facilité de culture font qu’elle est devenue l'un des aliments de base de l’humanité. La fécule de pomme de terre a donné naissance à une industrie de transformation aux multiples débouchés dans les secteurs agro-alimentaire, cosmétique, pharmaceutique et industriel.

Pomme de terre germant. Source : http://data.abuledu.org/URI/505daa65-pomme-de-terre-germant

Pomme de terre germant

Gros-plan sur germes de pomme de terre (Solanum Tuberosum), croissant sur le tubercule. On peut observer à leur base de petites racines adventives.

Portrait d'Antoine Parmentier. Source : http://data.abuledu.org/URI/505dc453-portrait-d-antoine-parmentier

Portrait d'Antoine Parmentier

Portrait d'Antoine Parmentier (1737-1813) par François Dumont (1751-1831) : De retour d'un séjour en captivité en Prusse, il fait la promotion de la pomme de terre comme aliment humain mais il ne parvient pas réellement à développer son usage dans toutes les couches de la société française, les famines sévissant en France pendant encore un siècle et les gens ne sachant pas comment les cuisiner (des recettes aux pommes de terre n'apparaissent dans les livres de cuisine qu'au XIXe siècle). Il avait été capturé par les Prussiens pendant la guerre de Sept Ans (1756-1763) et avait découvert à cette occasion la pomme de terre, principale nourriture fournie aux prisonniers. À la suite d'une terrible disette survenue en 1769, l'académie de Besançon lance en 1771 un concours sur le thème suivant : « Indiquez les végétaux qui pourraient suppléer en cas de disette à ceux que l'on emploie communément à la nourriture des hommes et quelle en devrait être la préparation. » Parmentier remporte le premier prix, devant d'autres concurrents qui avaient eux aussi rédigé un mémoire sur la pomme de terre, preuve que l'usage de ce tubercule était vraiment à l'ordre du jour.

Carte de répartition du cyclamen. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f733cc-carte-de-repartition-du-cyclamen

Carte de répartition du cyclamen

Carte de répartition des Cyclamens : 1. C. balearicum ; 2. C. repandum ; 3. C. purpurascens ; 4. C. hederifolium ; 5. C. rhodium ; 6. C. creticum ; 7. C. graecum ; 8. C. coum ; 9. C. colchicum ; 10. C. parviflorum ; C. abchasicum ; 11. C. elegans ; 12. C. alpinum ; C. intaminatum ; C. cilicium ; C. mirabile ; C. pseudibericum ; 13. C. cyprium ; 14. C. libanoticum ; 15. C. persicum ; 16. C. rohlfsianum ; 17. C. africanum. Le nom Cyclamen est la transposition du mot grec κυκλἀμινος, dérivé de κυκλος (cercle ou couronne). Les cyclamens sont des géophytes, à gros tubercule arrondi et aplati, en forme de petit pain. Dans certaines régions, la croyance populaire veut que les cochons les déterrent : d’où leur nom vernaculaire « pain de pourceau » (Sow bread en anglais, Pan porcino en italien, varkensbrood en néerlandais). À la page 223 du tome XIV du "Répertoire de pharmacie" on peut ainsi lire : "Son nom vulgaire de Pain-de-pourceau a été donné, dit-on, aux cyclamens, à cause de l'avidité avec laquelle les porcs recherchent leurs racines tuberculeuses", et à la page 225 de ce même répertoire : "les porcs se nourrissent de ses tubercules, sans qu’il en résulte pour eux d’inconvénient". Les feuilles se développent en rosette basilaire de laquelle émergent les fleurs gracieuses portées par une tige mince. Leur face supérieure est souvent marbrée de blanc avec, dans sa partie centrale, un motif en « sapin de Noël ». La face inférieure des feuilles de plusieurs espèces est pourprée. On suppose que cette couleur, servant de calorifère, capte la lumière qui traverse la feuille et la transforme en chaleur.

Classification des végétaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e6b9e1-classification-des-vegetaux

Classification des végétaux

Types biologiques de Raunkiær : 1. Phanérophyte 2-3. Chamaephytes 4. Hémicryptophyte 5-9. Cryptophytes 5-6. Géophytes 7. Hélophyte 8-9. Hydrophytes. (thérophyte, aérophyte ou épiphyte non montrés). Christen Christiansen Raunkiær (1860–1938) est un botaniste danois, connu surtout pour son système de classification écologique des plantes, le système de Raunkiær, classification fondée sur la position hivernale des bourgeons.Persistance d'une partie de l'appareil végétatif pendant la mauvaise saison : Phanérophytes (du grec phaneros : apparent ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à plus de 50 cm de la surface du sol. Plante affrontant l'hiver en exposant à ses rigueurs des tiges porteuses de bourgeons (ex. le pin, le hêtre, l'abricotier, le noisetier) Chamaephytes (du grec khamai : à terre ; phuton : plante) : bourgeons dormants aériens à moins de 50 cm de la surface du sol. On distingue les chamaephytes frutescents (buissonnants, plus ou moins dressés) et les chamaephytes herbacés (beaucoup plus proches du sol) (ex. le myrtiller). Hémicryptophytes (du grec hemi : à demi ; kryptos : caché ; phuton : plante) : bourgeons dormants à la surface du sol. À la « belle saison », un hémicryptophyte développe une touffe de pousses s'il est cespiteux, une rosette de feuilles, plus ou moins prostrées s'il est à rosettes, une tige érigée qui prend appui sur des supports variés s'il est grimpant (ex. la pâquerette est un hémicryptophyte à rosette). Géophytes (du grec gê : terre, phuton : plante) ou cryptophytes : bourgeons dormants sous la surface du sol (distinguer selon la nature de l'organe de conservation souterrain : géophyte à bulbe, à tubercule, à rhizome) (ex. Crocus sativus). Hydrophytes : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles immergées. Hélophytes (du grec halos : sel, phuton : plante) : bourgeons dormants sous l'eau, feuilles émergées au moins en partie. Végétaux capables de prospérer en milieux saumâtres et eaux douces. (bords de mer, estuaires, chotts, marais, rivière). (ex. salicornes, spartine).

Culture du Taro. Source : http://data.abuledu.org/URI/529bba76-culture-du-taro-

Culture du Taro

Culture du Taro (Colocasia esculenta) à Keanae, Maui, Hawaii (août 2002). La plantation doit être faite au début de la saison des pluies. On l'associe avec d'autres plantes telles que l'igname et l'aubergine. Son cycle végétatif s'étend de 8 à 18 mois. La plante exige une humidité suffisante du sol. On récolte les jeunes feuilles dès que le besoin se fait sentir. La récolte des tubercules peut s'effectuer dès que les feuilles les plus âgées dépérissent : 6 à 7 mois après plantation pour le taro. La production est très souvent vivrière, assez rarement commercialisée.

Groupe de suricates. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1b4db-groupe-de-suricates

Groupe de suricates

Groupe de suricates (Suricata suricatta) dans le désert de Kalahari en Afrique du sud. Le suricate (Suricata suricatta) est une espèce de mammifère diurne de la famille des Herpestidae (mangoustes) et la seule du genre Suricata. Ce petit carnivore vit dans le sud-ouest de l'Afrique. Mesurant de 26 à 38 centimètres, le suricate mange entre autres des insectes, des souris, des rats, des oiseaux, des petits reptiles et des tubercules ou bulbes de plantes en fouillant dans le sol avec ses pattes munies de fortes griffes non rétractiles de deux centimètres de longueur. Ils sont ainsi capables de déplacer leur propre poids de terre en 20 secondes. Une paupière transparente protège leurs yeux lorsqu'ils creusent le sable. Les suricates vivent dans les plaines semi-désertiques du sud-ouest de l’Afrique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Suricate.

Oies cendrées. Source : http://data.abuledu.org/URI/5134dc71-oies-cendrees

Oies cendrées

Tableau de Archibald Thorburn (1860-1935), illustrateur écossais spécialiste des oiseaux et de leur environnement naturel. L’Oie cendrée (Anser anser) est une espèce d'oiseau appartenant à la famille des Anatidae et à la sous-famille des Anserinae. Elle est, avec l'oie cygnoïde, un des ancêtres des oies domestiques ; sa domestication remonte à plusieurs milliers d'années. Les variétés sauvages présentent un plumage gris-beige, plus sombre et brun sur la nuque, les flancs, le dessus des ailes et le dessus de la queue. Ces plumes brunes sont veinées du même gris-beige que le dessous de l'oiseau. Les flancs sont nuancés de brunâtre. Le ventre peut être parsemé de quelques taches noires mais cette coloration n'est jamais aussi étendue que chez l'Oie rieuse. Le croupion est blanc, tout comme l'arrière du ventre et les sous-caudales. Le bord d'attaque des ailes est bordé d'une ligne gris bleuté pâle. Les pattes sont rose chair, fortes et palmées. L'œil noir est cerclé de blanc. On observe, chez les populations centrées autour de la mer Baltique, que leur bec est terminé par un onglet corné, ce qui permet à ces individus une extraction plus facile des tubercules, bulbes et racines, tandis que les populations centrée sur la Norvège ont un bec plus court, ce qui facilite le cisaillage des plantes herbacées. L'oie est un oiseau peu bruyant sur les lieux de gagnage, mais bien davantage en vol. Le cri de contact se compose de trois à cinq éléments : ga ga ga, ang ang ang ou ong ong ong. Le passage des oiseaux migrateurs est souvent repéré grâce aux cris fréquents, aigus et puissants émis par cet oiseau.

Taro et gouttes d'eau à Kadavoor en Inde. Source : http://data.abuledu.org/URI/55088b42-taro-et-gouttes-d-eau-a-kadavoor-en-inde

Taro et gouttes d'eau à Kadavoor en Inde

Colocasia esculenta est une plante de la famille des Aracées, généralement connue sous le nom vernaculaire générique de taro et cultivée dans les régions tropicales pour sa racine épaissie en gros tubercule farineux, à la chair de couleur crème à rose, de texture sèche et goût proche de celui de la patate douce. Les feuilles se préparent comme des épinards. Le terme désigne aussi le tubercule lui-même. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Colocasia_esculenta