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Dessins et plans | Plans inclinés | Pyramides -- Égypte | Pyramides | Antiquités | Architecture égyptienne | Néotectonique | Tectonique des plaques | Énergie mécanique -- Transmission | Dix-huitième siècle | Isaac Newton (1642-1727) | Galilée (1564-1642) | Communication visuelle | Communication et culture | Ailes | Communication | Arts du langage | Communication non-verbale | Chute libre | Génie mécanique | ...
Rampe enveloppante d'accès à une pyramide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aeaa25-rampe-enveloppante-d-acces-a-une-pyramide

Rampe enveloppante d'accès à une pyramide

Rampe hélicoïdale (ou enveloppante) préconisée par Georges Goyon et N. Wheeler. Cette théorie s'appuie sur une construction de la pyramide avec des rampes de brique crue parallèles aux faces et permettant de tirer les blocs de pierre d'un étage à l'autre. Enveloppant entièrement la construction, cette rampe aurait permis l'élaboration de chaque assise, pierres de parement incluses, offrant une explication plausible à la finition des pierres de revêtement à partir du sommet de la pyramide. En effet, une fois le pyramidion posé, il ne restait plus qu'à démanteler la rampe à partir du sommet, dévoilant les blocs de parement qu'il suffisait de ravaler.

Rampe frontale d'accès à une pyramide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea8eb-rampe-frontale-d-acces-a-une-pyramide

Rampe frontale d'accès à une pyramide

Rampe frontale en brique crue préconisée par Ludwig Borchardt pour l'édification d'une pyramide. Cette théorie fut développée pour la première fois par l'égyptologue allemand Ludwig Borchardt, interprétant ainsi la présence des vestiges de rampes aux abords de la pyramide de Meïdoum. Elle consiste en une rampe unique, perpendiculaire à une face de la pyramide, dont la pente est constante quelle que soit l'élévation. Cela implique que la longueur de celle-ci croisse proportionnellement avec le nombre d'assises de la pyramide. Les blocs, posés sur des traîneaux, étaient alors charriés sur la rampe à la force des bras. De l'huile, déposée sur le sol, aidait à faire glisser les traîneaux.

Rampe frontale d'accès à une pyramide de Lauer. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea97e-rampe-frontale-d-acces-a-une-pyramide-de-lauer

Rampe frontale d'accès à une pyramide de Lauer

Rampe frontale préconisée par Jean-Philippe Lauer pour l'édification d'une pyramide : Jean-Philippe Lauer propose une rampe linéaire unique en brique crue, perpendiculaire à la face orientée vers le Nil, de longueur variable jusqu'à une faible hauteur puis de longueur constante avec inclinaison variable.

Rampes d'accès à une pyramide. Source : http://data.abuledu.org/URI/50aea835-rampes-d-acces-a-une-pyramide

Rampes d'accès à une pyramide

Rampes de la pyramide de Sésostris Ier à Licht. Le problème de l'élévation des pierres sur les assises des pyramides est celui qui retient le plus l'attention du public. Les égyptologues ont souvent opté pour des solutions fondées sur des rampes, dont les formes et les dimensions restent à définir, tandis que des spécialistes d'autres disciplines s'attachent à donner leurs propres explications. Pourtant, quelques vestiges de rampes subsistent, notamment à la pyramide de Meïdoum, à la pyramide de Sekhemkhet et à celle de Khéphren, ainsi qu'à la pyramide de Sinki, et surtout à celle de Sésostris Ier, à Licht. Toutes sont des rampes frontales, c'est-à-dire perpendiculaires aux faces. Si elles furent effectivement employées, elles ne pouvaient suffire à achever l'édifice, particulièrement dans la phase de la pose des pierres de parement si parfaitement ajustées, comme à la pyramide de Khéops.

Automobile sur plan incliné. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d5bd64-automobile-sur-plan-incline

Automobile sur plan incliné

Forces s'appliquant sur une voiture penchée latéralement.

Circulation de l'air atmosphérique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50be4541-circulation-de-l-air-atmospherique

Circulation de l'air atmosphérique

Circulation atmosphérique générale : cellule de Hadley, cellule de Ferrel, cellule polaire. La circulation atmosphérique est le mouvement à l'échelle planétaire de la couche d'air entourant la Terre qui redistribue la chaleur provenant du Soleil en conjonction avec la circulation océanique. En effet, comme la Terre est un sphéroïde, la radiation solaire incidente au sol varie entre un maximum aux régions faisant face directement au Soleil, situé selon les saisons plus ou moins loin de l'équateur, et un minimum à celles très inclinés par rapport à ce dernier proches des Pôles. La radiation réémise par le sol est liée à la quantité d'énergie reçue. Il s'ensuit un réchauffement différentiel entre les deux régions. Le déséquilibre ainsi créé a pour conséquence des différences de pression, qui sont à l'origine des circulations atmosphériques. Celle-ci, combinée aux courants marins, est le moyen qui permet de redistribuer la chaleur sur la surface de la Terre. Les détails de la circulation atmosphérique varient continuellement, mais la structure de base reste assez constante.

Dièse en solfège. Source : http://data.abuledu.org/URI/53452273-diese

Dièse en solfège

Le dièse est l’altération qui élève la note d'un demi-ton chromatique. Le mot dièse provient du grec diesis qui, à l’époque de la Grèce antique, avait à peu près le même sens. Jusqu'au XVIe siècle, le dièse et le bécarre étaient confondus sous la même appellation "bécarre". Le dièse est issu du bécarre par prolongement partiel des deux hampes verticales. Il était alors plus incliné qu'aujourd'hui. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Alt%C3%A9ration_%28solf%C3%A8ge%29

Faille normale. Source : http://data.abuledu.org/URI/50a00879-faille-normale

Faille normale

Schéma 3D d'une Faille Normale (Géologie, Tectonique) : en géologie, une faille normale est un plan incliné (le plus souvent d'environ 60°) séparant deux compartiments rocheux. Le glissement sur ce plan de faille se traduit par un écartement des deux compartiments, et par l'abaissement du bloc supérieur par rapport au bloc inférieur. Les failles normales caractérisent donc une déformation extensive. Elles se trouvent généralement dans les régions où la croûte continentale ou océanique est étirée et amincie en réponse à un écartement des plaques tectoniques en présence.

Langage d'ailes de moulin à vent. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb6008-langage-d-ailes-de-moulin-a-vent

Langage d'ailes de moulin à vent

Langage des ailes de moulin à vent : en quartier, en bout de pied, en jambe de chien gauche, en jambe de chien droite. Les moulins étaient aussi des postes de surveillance avec leurs messages codés : les ailes arrêtées en croix de saint André (en quartier) signalaient un heureux évènement chez le meunier, que le moulin était au repos ou le retour au calme dans un conflit militaire ; les ailes en croix grecque (en bout de pied) signalaient que le moulin était prêt à travailler ou appelaient au rassemblement ; inclinées à gauche, position « venante », elles annonçaient un heureux événement comme un mariage ou une naissance ou alertaient d'un danger militaire ; inclinées à droite, elles annonçaient un deuil chez le meunier ou dans le village ou un danger militaire écarté. Les ailes étaient toujours orientées vers le lieu de l'événement.

Machine d'Atwood. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c74c39-machine-d-atwood

Machine d'Atwood

Machine d'Atwood (surcharge à gauche, masse à droite) : Atwood (1746-1807) est surtout célèbre chez les élèves de terminales math. élém. des années 1945-1972, par sa « machine » hautement didactique qui permettait de s'entraîner sur la bonne application de la « relation fondamentale de la dynamique » (deuxième loi de Newton) et/ou la conservation de l'énergie mécanique. Tous les grands lycées de France possèdent sans doute encore, dans leurs placards, une machine d'Atwood. Du point de vue expérimental, l'appareil fut l'objet d'un travail soutenu durant au moins un siècle, ce qui permit de tenir compte de beaucoup de correctifs. Néanmoins, pouvoir placer l'appareil dans un grand tube de Newton est resté l'apanage des très grands lycées. La chute libre est difficile à étudier quantitativement, car les temps de parcours sont très courts. Galilée est le premier à chercher comment la ralentir, sans la « dénaturer » : il pensa au plan incliné d'angle α (où intervient seulement g⋅sinα), puis à la succession de plans inclinés. La difficulté pour Galilée restait la mesure du temps… Atwood proposa « sa » machine pour diminuer l'accélération des masses.

Schéma de faille inverse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50957579-schema-de-faille-inverse

Schéma de faille inverse

Schéma 3D d'une Faille Inverse (Géologie, Tectonique). Source : 2005 R. Lacassin. En géologie, une faille inverse est un plan incliné (le plus souvent d'environ 30°) séparant deux compartiments rocheux. Le glissement sur ce plan se traduit par le rapprochement des deux compartiments et par le soulèvement du compartiment supérieur par rapport au compartiment inférieur. Ce mouvement relatif accommode un raccourcissement horizontal. La spécificité des failles inverses est qu'elles provoquent une superposition anormale et un redoublement des couches sédimentaires.

Subduction (Andes). Source : http://data.abuledu.org/URI/50a01102-subduction-andes-

Subduction (Andes)

Schéma vierge d'illustration du mécanisme de subduction. Il se produit au niveau d'une zone de subduction deux types de séismes : des séismes interplaques sont produits au contact entre la plaque plongeante et la plaque supérieure. Des séismes « intraplaques » se produisent au sein de la plaque plongeante, car celle-ci se déforme en s'enfonçant dans le manteau. Les foyers sismiques sont de plus en plus profonds sous la plaque chevauchante en s'éloignant de la fosse de subduction. Ils s'alignent sur un plan incliné (le plan de Wadati-Benioff), dont l’angle peut varier selon la zone de subduction entre la verticale (ex. subduction des îles Mariannes) et un angle très faible (plan de subduction proche de l'horizontale, comme par exemple sous certains secteurs de la Cordillère des Andes : Nord du Pérou, centre-nord du Chili).

Une bicyclette. Source : http://data.abuledu.org/URI/50d58c87-une-bicyclette

Une bicyclette

Une bicyclette, ou un vélo, est un véhicule terrestre composé de deux roues alignées (d'où le nom « bicyclette »). La force motrice est fournie par son conducteur (appelé « cycliste »), en position le plus souvent assise, par l'intermédiaire de deux pédales entraînant la roue arrière par une chaîne. La bicyclette est l'un des principaux moyens de transport dans de nombreuses parties du monde. Sa pratique, le cyclisme, constitue à la fois un usage quotidien, un loisir populaire et un sport. Par rapport à la marche, le vélo est trois fois plus efficace à effort égal et entre trois et quatre fois plus rapide. Il a été également calculé qu'en termes de conversion en mouvement de l'énergie issue de la nourriture, il s'agit d'une forme de locomotion plus efficace que celle de n'importe quel organisme biologique. La bicyclette ne dispose que de deux points d'appui au sol : elle se trouve nécessairement en équilibre instable. On parle d'équilibre métastable, car le passage de la position d'équilibre temporaire à une position de déséquilibre perceptible est relativement lent. Les principales forces en action sont : la gravité, qui tend à attirer le vélo vers le sol ; la force centrifuge, qui lorsque le vélo vire, tend à le redresser vers l'extérieur du virage. L'équilibre est maintenu dynamiquement par les actions du cycliste, qui s'emploie à toujours redresser sa machine en la faisant tourner légèrement dans la direction où elle commence à tomber. Le cycliste jongle donc en permanence entre ces deux forces pour compenser les effets de l'une avec l'autre et réciproquement. Il est aidé en cela par la chasse du vélo : il s'agit de la distance entre l'intersection de l'axe de la fourche avec le sol et du point de contact de la roue avant au sol. En effet, l'axe de la fourche est incliné de manière à ce que son intersection avec le sol se trouve en avant du point de contact de la roue avec le sol. Ainsi, si le vélo est penché d'un côté, la roue avant va être forcée à se placer de manière à faire tourner le vélo du même côté, engageant ainsi un virage tendant à équilibrer cette inclinaison. Enfin, on peut noter que lorsque le vélo roule, l'effet gyroscopique lié à la rotation des roues vient contrarier toute variation de la position de leurs axes. Ce phénomène est proportionnel à la vitesse de rotation des roues et à leur masse. Cet effet reste habituellement négligeable et est normalement imperceptible par le cycliste. En effet, la masse et donc l'inertie du vélo et de son pilote sont d'un ordre de grandeur supérieur à celle des roues, ce qui réduit considérablement l'influence de l'effet gyroscopique. Lorsque la vitesse augmente, l'effet gyroscopique augmente en proportion et devient plus perceptible.