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Dessins et plans, Chat domestique, Balais et brosses, souris, Albums pour enfants, Proies et prédateurs, Fromages, Trous, Peter Newell (1862-1924), Humour dans l'éducation, Planchers en bois
Illustration de l'album The Hole Book, 1908, par Peter Newell (1862-1924), téléversée par Cyrille Largillier.
Aire de stockage de merrains en extérieur pour la période de séchage. En France, le bois de merrain et la tranche de chêne représentent aujourd’hui environ 15 % du volume de bois de chêne sorti des forêts de France (35 % en valeur), sachant que selon le « Comité des forêts », le volume de chêne commercialisé en France dans ces qualités a triplé depuis 1980 et que le marché du merrain a quintuplé depuis 1980, devenant dans les années 2000 le premier débouché - en valeur - du chêne français. La merranderie est l'activité du merrandier, qui consiste à produire des merrains, c'est-à-dire des pièces de bois, généralement de chêne, fendus en menues planches, dont on fait des panneaux, des douves de tonneaux et d’autres ouvrages.
Gravure, Boissons, Alice au pays des merveilles - Lewis Carroll (1832-1898), Fillettes, Dix-neuvième siècle, Littérature pour la jeunesse, Lewis Carroll (1832-1898), Croissance, Croissance, Troubles de la
Alice grandit encore, illustration d'origine (1865), par John Tenniel (1820 – 1914), du roman de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles : Tout en causant ainsi, Alice était entrée dans une petite chambre bien rangée, et, comme elle s’y attendait, sur une petite table dans l’embrasure de la fenêtre, elle vit un éventail et deux ou trois paires de gants de chevreau tout petits. Elle en prit une paire, ainsi que l’éventail, et allait quitter la chambre lorsqu’elle aperçut, près du miroir, une petite bouteille. Cette fois il n’y avait pas l’inscription BUVEZ-MOI — ce qui n’empêcha pas Alice de la déboucher et de la porter à ses lèvres. « Il m’arrive toujours quelque chose d’intéressant, » se dit-elle, « lorsque je mange ou que je bois. Je vais voir un peu l’effet de cette bouteille. J’espère bien qu’elle me fera regrandir, car je suis vraiment fatiguée de n’être qu’une petite nabote ! » C’est ce qui arriva en effet, et bien plus tôt qu’elle ne s’y attendait. Elle n’avait pas bu la moitié de la bouteille, que sa tête touchait au plafond et qu’elle fut forcée de se baisser pour ne pas se casser le cou. Elle remit bien vite la bouteille sur la table en se disant : « En voilà assez ; j’espère ne pas grandir davantage. Je ne puis déjà plus passer par la porte. Oh ! je voudrais bien n’avoir pas tant bu ! » Hélas ! il était trop tard ; elle grandissait, grandissait, et eut bientôt à se mettre à genoux sur le plancher. Mais un instant après, il n’y avait même plus assez de place pour rester dans cette position, et elle essaya de se tenir étendue par terre, un coude contre la porte et l’autre bras passé autour de sa tête. Cependant, comme elle grandissait toujours, elle fut obligée, comme dernière ressource, de laisser pendre un de ses bras par la fenêtre et d’enfoncer un pied dans la cheminée en disant : « À présent c’est tout ce que je peux faire, quoi qu’il arrive. Que vais-je devenir ? »
Planche N°3 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Anémone des bois (Anemone nemorosa). Du grec anemos : « vent » et du latin nemorosus : « des bois »), c' est une plante herbacée pérenne de la famille des renonculacées, typique des sous-bois dans les zones tempérées et fraiches de l'hémisphère nord (holarctique). L'anémone des bois forme des tapis qui peuvent être denses en sous-bois, en fleurs en mars-avril. Cette plante à un cycle végétatif précoce, qui lui permet de profiter de la lumière avant que les feuillages des arbres obscurcissent les sous-bois. Les fleurs blanches à blanc-rose suivent la course du soleil, ce qui lui permet probablement de mieux réfléchir les UV solaires et d'être mieux vues par les insectes pollinisateurs. Par temps humide, elles referment leur calice pétaloïde pour protéger leur pollen. Elle est est utilisée en friction locale, contre les rhumatismes. Comme les autres anémones, elle est toxique, en effet 200 mg d'anémonine suffisent à provoquer la mort d'un animal de 10 kg.
Planche botanique d'angélique sauvage (Angelica silvestris), Atlas des Plantes de France, 1891. Elle était considérée comme une plante magique qui protège les enfants, combat la peste, guérit des morsures des bêtes enragées. Les feuilles peuvent être utilisées en salade et les graines en pâtisserie. Elle entre dans la composition de l'eau de mélisse.
Planche botanique de l'aubépine épineuse (Crataegus oxyacantha), Atlas de plantes de France, 1891 : utilisée comme plante ornementale et pour la constitution de haies vives. Utilisée comme porte-greffe du Néflier et des Poiriers. Utilisée autrefois pour les pièces mécaniques (bois très résistant aux frottements), en petite menuiserie et tournerie (robinets de tonneaux) ; les épines était comme clous à cause de leur rigidité.
Barrière en planches de chêne le long d'une ruelle pavée, à Århus au Danemark.
Peinture, Poussins, Ornithologie, Bécasse des bois, Scolopax rusticola, Johann Friedrich Naumann (1780–1857), Ornithologues allemands
Planche représentant un couple de bécasses de bois (Scolopax rusticola) avec poussin dans le sous-bois, par Johann Friedrich Naumann (1780–1857), ornithologue allemand.
Planche botanique N°281 de l'Atlas des Plantes de France, 1894 : Bois-joli (Daphne mezereum). Les fleurs rouges ou roses apparaissent en février, avant les feuilles, et exhalent une délicieuse odeur. Les drupes rouges mûrissent entre juillet et septembre. Elles sont toxiques pour les mammifères mais sont mangées par de nombreux oiseaux qui permettent leur dissémination.
Planche botanique N°267 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Brunelle commune (Prunella vulgaris). C'est une plante qui se plait en bordure de route et de bois, et dans les prés. On la nomme également petite consoude, charbonnière, prunelle, herbe au charpentier et brunette ; elle se multiplie par semis ou par division de la racine. On collecte les parties aériennes en été quand elle est en fleur. Elle est utilisée pour réduire la fièvre, soulager les maux de gorge, la toux et les malaises dus au rhume. Ses qualités stomachiques la font aussi utiliser pour soulager les crampes d'estomac et les aigreurs et réduire la diarrhée et les vomissements.
Peinture, Agriculture -- Outillage, Cybèle -- Culte, Plantes, Plantes mellifères, Buis, Buxacées, Éternité (philosophie), Stoïcisme
Planche botanique N°287 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Buis toujours vert (Buxus sempervirens). espèce d'arbustes à feuilles persistantes à l'odeur caractéristique, de la famille des Buxacées, qui peut atteindre une hauteur de 5 à 6 mètres. Il produit au printemps des fleurs axillaires de petite taille, sans intérêt décoratif. Les abeilles aiment visiter ses fruits au suc très sucré à l'automne. Son bois est particulièrement dur, ce qui lui valut d'être utilisé comme matériau pour fabriquer des outils durant la préhistoire avant la maîtrise du métal. C'est un végétal particulièrement tenace et robuste, qui peut croître spontanément sur des zones importantes. Il représente le stoïcisme en langage des fleurs. Il était symbole d'éternité chez les Gaulois, etla fleur d'Hadès et Cybèle chez les Grecs.
Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France de 1891 : le chêne pédonculé (Quercus robur subsp. ''robur'', syn. ''Quercus pedonculata''). C'est un grand arbre de 25 à 35 mètres de haut environ. Son feuillage est caducifolié. Il a une longévité de 500 à 1000 ans. C'est une espèce monoïque et postpionnière. Les glands mesurent de 1 à 5 centimètres et sont portés par un long pédoncule (de 2 à 10 cm). Parmi les chênes européens, le pédonculé et le chêne sessile sont les principales essences à vocation économique. La France, avec 4,5 millions d’hectares, possède 30 à 40 % de la superficie couverte par ces deux essences en Europe. Elle est ainsi le premier pays producteur de chênes en Europe et deuxième dans le monde, après les États-Unis. La France est donc par excellence, le pays des chênes. Les glands tombent lors de la glandée en automne. Ils nourrissent les porcs mais aussi les sangliers. Le bois de Quercus robur, de structure poreuse, possède beaucoup de tanins et apporte au vin des arômes d'amandes grillées et de caramel. Les tonneaux de chêne contribuent à la saveur vanillée de ces boissons. Les copeaux de bois de chêne sont utilisés pour le fumage du poisson, de la viande, du fromage et d'autres produits alimentaires. Aujourd'hui le bois de chêne reste couramment utilisé dans la menuiserie, la parquèterie, et la production de plaquage.
Planche de "Clematis vitalba" (Atlas des plantes de France, 1891) : arbuste de la famille des Renonculacées. Elle est parfois appelée aubavis, aubervigne, bois à fumer, bois de pipe, cranquillier, vigne de Salomon ou viorne des pauvres. La dénomination "herbe aux gueux" provient de l'utilisation de ses feuilles irritantes par les mendiants pour s'infliger volontairement des ulcères afin de susciter la pitié. Appelée "virgouène" en Berry. (Wikipedia)
bois, Peinture, Roues, Arts du bois, Engrenages, Plantes, Cornouillers, Cornus, Flèches -- Fabrication
Planche botanique du cornouiller sauvage (Cornus mas), Atlas des Plantes de France, 1891. L'espèce doit son nom latin (cornu = corne) au fait que son bois est dur comme la corne : il était autrefois prisé pour la fabrication de flèches et de javelots, d'engrenages, de rayons de roues ou de manches d'outils. L'espèce est utile à la faune car lièvres et cerfs apprécient son feuillage, tout comme les abeilles apprécient ses fleurs précoces à la fin de l'hiver, et les oiseaux ses fruits en été.
Photographie, Couteaux, cuillères, Vaisselle d'acier inoxydable, Ustensiles de cuisine, Acier inoxydable, Équipement ménager
Couteau de cuisine et petite cuillère en inox posés sur une planche circulaire en bois.
Photographie, Fenêtres, Planches, Architecture, Charpentes en bois, Mauléon-Licharre (Pyrénées-Atlantiques)
Dessous de toit et liteaux dans les Pyrénées, à Mauléon-Licharre (Pyrénées-Atlantiques).
Gravure, Caroline du Nord (États-Unis), Indiens d'Amérique, Seizième siècle, Latin (langue), Canoës, North Carolina (États-Unis)
Fabrication des canoés indiens en Virginia en 1590 : technique dite du "bois fouillé" sans outillage en fer, en brûlant le tronc d'arbre et le grattant avec des coquillages. John White (vers 1540 - après 1593), dessinateur et géomètre anglais, prit part aux toutes premières tentatives de colonisation anglaise en Amérique du Nord. Ses dessins de la faune et des hommes peuplant les côtes de Caroline du Nord comptent au nombre des plus anciennes sources iconographiques relatives à l'Amérique du Nord. Planche légendée en latin.
Planche botanique de la fraise des bois, Prof. Dr. Otto Wilhelm Thomé, "Flora von Deutschland, Österreich und der Schweiz" 1885, Gera, Allemagne.
Planche botanique du frêne commun (Fraxinus excelsior), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est un grand arbre, jusqu'à 40 m de hauteur et 1 m de diamètre, à tronc droit à écorce lisse et grisâtre, se crevassant avec l'âge. Le bois est assez dur, tenace, élastique, couleur blanc nacré, sans aubier distinct. Essence de lumière, à croissance rapide, très résistant au froid mais sensible aux gelées tardives, qui peuvent tuer les bourgeons terminaux et à la sécheresse. Son bois est recherché pour certains usages en raison de sa résistance à la flexion et aux chocs : manches d'outils, outils en bois (râteaux), cannes et bâtons (de hockey notamment), charronnage, carrosserie... les meilleurs exemplaires fournissent un bois de déroulage utilisé en placage. À défaut, c'est un excellent bois de chauffage. Les feuilles sont inscrites à la pharmacopée française.
Planche botanique de gui (Viscum album), Atlas des Plantes de France, 1891 : plante traditionnelle, qui avec le houx, sert d'ornementation pour les fêtes de Noël et de fin d'année. Les francophones l'appellent aussi Bois de Sainte Croix ou Glu (sert de piège pour les oiseaux). Les Grecs associaient le gui à Hermès, grand messager de l'Olympe. En Europe du Nord, il est d'usage de s'embrasser sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie au moment des fêtes de Noël et du jour de l'an (à minuit précisément) : « Au gui l'an neuf ».
Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891 : Hêtre des bois (Fagus sylvatica). Il est l'une des principales essences constitutives des forêts tempérées caducifoliées d'Europe où on peut le trouver en peuplements exclusifs de hêtraies pures ou le plus souvent associé à d'autres espèces majeures dans des forêts feuillues, principalement avec le Chêne rouvre, ou dans des forêts mixtes avec le Sapin pectiné ou l'Épicéa commun. C'est une essence bioindicatrice d'un climat tempéré humide. Les forestiers en pratiquent de longue date la sylviculture pour produire du bois de futaie principalement destiné à l'ameublement. Il est également utilisé comme source de bois de chauffage, surtout en zone de montagne.
Jeu de palet breton sur planche en bois : Le palet breton se joue en 12 points. Chaque palet placé sur la planche, sans avoir rebondi sur le sol, le plus près du maître fait marquer un point à son équipe. Lorsqu'un joueur place son palet au-dessus du maître, on dit qu'il fait un chapeau et alors le palet se trouvant au-dessus est gagnant s'il y a possibilité de point. Deux joueurs touchant le maître sont mis à égalité et on recommence le lancé. Une partie se joue en général en deux manches gagnantes. Le palet en fonte mesure 56 mm de diamètre. Le joueur se place à 5 m du bord de la planche avec des palets de 120 grammes environ.
Gravure, Graveurs, Dix-neuvième siècle, Albrecht Dürer (1471-1528), Batailles, Artistes anglais, Arts plastiques, George Cruikshank (1792-1878), Caricaturistes, Graveurs sur bois, William Hogarth (1697-1764)
"La bataille des graveurs", 1828, par George Cruikshank (1792-1878). Source : Thomas Wilson "Catalogue Raisonné de la sélection de graveurs d'un amateur." (Planche 44). Cette gravure montre une mêlée entre trois paires de combattants, célèbres graveurs : William Hogarth (1697-1764) ; Antoine Masson ; William Woollett ; J. J. Baléchou ; Albrecht Dürer (1471-1528) et Marcantonio Raimondi. (British Museum, Londres).
Planche botanique du lilas (Syringa vulgaris), L. Deutschlands Flora in Abbildungen, Johann Georg Sturm (Peintre Jacob Sturm), 1786.
Il habite au bord d'un petit ruisseau sur lequel est posé une planche en bois en guise de pont, scène 3, Max und Moritz - Wilhelm Busch (1832-1908).
Peinture, Plantes, Botanique, Plantes médicinales, Euphorbiacées, Latin (langue), Mercure, Mercuriales (plantes), Mercurialis, Purgatifs, Substances vénéneuses
Planche botanique N°286 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Marcuriale vivace (Mercurialis perennis) ou Mercuriale pérenne, Chou de chien ou Cynocrambe. C'est une plante herbacée des lieux plutôt frais sur sols alcalino-calcaires de la famille des Euphorbiaceae. Son nom en latin vient de Mercure, le dieu qui découvrit les propriétés médicinales des mercuriales et Perennis pour pérenne. Elle se développe à l'ombre des arbres à feuilles caduques des régions tempérées d'Europe. Elle forme grâce à son rhizome souterrain de vastes colonies en sous-bois (plante sociale). L'ensemble de la plante est un purgatif énergique, elle est vénéneuse pour les bêtes.
Planche botanique de Mélampyre des prés (Melampyrum pratense), Atlas des Plantes de France, 1891. Autrefois également appelé Millet des bois, Cochelet, Sarriette jaune c'est une plante herbacée annuelle de la famille des Orobanchacées (anciennement Scrophulariacées) qui pousse dans les sous-bois, dans les clairières de mi-ombre, ou dans les taches de lumières au sol dans une forêt localement moins dense.
Gravure, Instruments de musique, Lits, Coffres, Tables (meubles), Plats (vaisselle), Chaises, Berceaux, Histoire, Seizième siècle, Épées, Pichets, Armes, Encriers, Plumes à écrire, Couronnes, Mobilier, Casques militaires, Sacs à main
Planche 79, Mobilier du seizième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-7, casques ; 8, couronne anglaise ; 9, couronne impériale germanique ; 10, couronne française ; 11, couronne espagnole ; 12-16, épées ; 17-23, hallebardes, lances et massue ; 24, insigne de l'ordre de la Toison d'Or ; 25, ordre du Saint-Esprit ; 26, insigne de l'ordre de la jarretière ; 27, jarretière ; 28, mousquet ; 29-35, instruments de musique ; 36-39, encrier, plumes et matériel d'écriture ; 40-45, objets pour boire ; 46, plat ; 47, sac de dame ; 48, coffre en bois ; 49-51, chaises ; 52-54, tables ; 55, lit ; 56, berceau.
Gravure, Instruments de musique, Meubles, Armes médiévales, Histoire médiévale, Onzième siècle, Antiquités médiévales, Art chrétien médiéval -- Europe, Civilisation chrétienne médiévale
Planche 35, XIème siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1 à 12, instruments de musique ; 13, arbalète normande ; 14-13, anneaux et crosse d'évêque ; 16-18, boucliers ; 19-20, dague et épée ; 21, bannière ; 22, fourchettes et couteau ; 23, carafe ; 24, seau en bois ; 25-28, sceptres ; 29-32, sièges ; 33-34, pupitres ; 35, table avec nappe et couverts ; 36, lit.
Gravure, Instruments de musique, Armes de guerre, Quinzième siècle, Mobilier, Ordre de la Toison d'Or
Planche 61, mobilier du quinzième siècle, Costumes of All Nations (Londres, 1882) par Albert Kretschmer, peintre du théâtre de la Cour Royale de Berlin, et Dr. Carl Rohrbach : 1-7, casques ; 8-15, armes ; 16, arbalète ; 17-19, épées ; 20-22, boucliers ; 23, éperon ; 24-29, instruments de musique ; 30, Ordre de la Toison d'Or en 1430, 31, vases à boire ; 32, berceau ; 33, lit ; 34-35, chaises ; 36, table ; 37, trône ; 38, coffre en bois.
Peinture, Pins, Luminosité, Monotropaceae, Photosynthèse, Plantes parasites, Relations hôte-parasite
Planche botanique du monotrope (Monotropa hipopitys), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une plante vivant en symbiose avec des champignons ; contrairement à la plupart des plantes, elle ne contient pas de chlorophylle et n'utilise donc pas la photosynthèse. Ceci lui permet de vivre dans des conditions de très faible luminosité, par exemple dans le sous-bois de forêts denses. Elle parasite les arbres, notamment les pins.
Planche botanique de la myrtille (Vaccinium myrtillus), Atlas des Plantes de France, 1891. La myrtille commune porte de nombreux autres noms vernaculaires régionaux : airelle myrtille, gueule noire, mauret, mouret, brimbelle, raisin des bois, bleuet ou bluet. Dans le langage des fleurs, la myrtille signifie que l'on recherche la solitude. En Ardenne belge, la cueillette et le commerce des myrtilles étaient couramment pratiqués aux XIXe et XXe siècles (HOYOIS, 1949-1953). Les myrtilles étaient destinées à la vente au détail, à la distillerie, à la coloration des vins, à la fabrication de confitures et de pâtisseries.
bois, Peinture, Noix (fruits du noyer), Plantes, Botanique -- Nomenclature, Ébénisterie, Huile de noix, Noyer commun
Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. Le noyer commun, ou noyer royal (Juglans regia L.), est un arbre assez commun, originaire d'Eurasie, cultivé pour son bois recherché en ébénisterie et ses fruits, les noix, riches en huile. C'est le seul représentant subspontané en France de la famille des Juglandacées.
Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891 : L'Ophrys abeille (Ophrys apifera) est une orchidée terrestre européenne. Cette espèce se rencontre en pleine lumière ou à mi-ombre, sur sols surtout calcaires, dans les pelouses, les garrigues, les broussailles, les bois clairs, les prés ras, rocailles, talus, dunes au bord des routes également. Elle ne se retrouve pas au-dessus de 1000 mètres d'altitude. L'Ophrys apifera est pollinisée par des abeilles solitaires (dont plusieurs espèces d'eucère) mais pas par les abeilles sociales (comme l'abeille domestique). La plante attire l'insecte en produisant une odeur qui imite l'odeur de l'abeille femelle1. De plus, le labelle se comporte comme un leurre que l'abeille mâle confond avec une femelle. Le transfert de pollen se produit pendant la pseudocopulation qui s'ensuit.
Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. L'Ophrys mouche (Ophrys insectifera) est une orchidée terrestre européenne qui doit son nom à l'apparence de sa fleur (qui ressemble à une mouche sombre). Etymologie : Ophrus signifie sourcil. Insectifera: du latin insecta (insecte) et fero (je porte). Cette espèce se rencontre en pleine lumière ou à mi-ombre, sur sols surtout calcaires, dans les pelouses, les bois clairs.
Planche botanique N° 265 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Ortie puante ou épiaire des bois (Stachys silvatica). Les feuilles froissées dégagent une odeur désagréable évoluant vers un arôme proche du champignon. Elle pousse dans les bois frais à humide, haies, talus et chemins forestiers.
Planche N° 305 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Peuplier noir (Populus nigra). La floraison a lieu de mars à avril ; la pollinisation ainsi que la dispersion du pollen se fait par le vent (anémophile). L’arbre atteint sa maturité sexuelle vers six ans, en produisant des chatons pendants ; les chatons mâles mesurent 8 à 10 cm de long à maturité et sont rouges/pourpres ; les chatons femelles sont vert-jaunâtre et longs de 6 à 8 cm à maturité. Les graines de cette espèce pionnière sont pauvres en réserves et ont une durée de vie plutôt courte, ce qui peut rendre l'espèce vulnérable à l'insularisation écologique ou à la fragmentation écopaysagère. Elles colonisent des sols riches et dénués de végétation tel que les grèves et bancs de sable humides abandonnés par l'eau durant l'été, en compagnie d'autres essences de bois tendre, comme les saules. Dans de bonnes conditions (soleil, sol riche, humidité) l'arbre pousse vite, avec de larges cernes de croissance, mais avec un houppier relativement sensible à la casse en cas de tempêtes. C'est une espèce caractéristique des ripisylves arborescentes ourlant les berges alluvionnaires d'un certain nombre de cours d'eau (en évolution dynamique). Il est encore présent près de la mer (notamment près de l'embouchure de la Loire) et est assez résistant aux embruns. Il semble avoir été autrefois présent très près de la mer dans le nord, par exemple avec des peupliers blancs et trembles dans les pannes dunaires de Dunkerque à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, signalé par l'Abbé Arthur Labeau dans une note sur la « flore maritime du littoral français de la mer du nord ».
Planche N°304 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, Peuplier tremble (Populus tremula). Il doit son nom au fait que ses feuilles s'agitent au moindre souffle de vent, le pétiole aplati transversalement étant souple et flexible. Arbre au port étalé à croissance vigoureuse, de taille moyenne, de 20 à 30 m de haut. Le système racinaire est traçant. Feuilles petites, glabres, alternes, arrondies, crénelées, cordées et acuminées, à couleur variable (rouge bronze, puis vert foncé, enfin jaune en automne), à pétiole allongé et aplati, très souple. Fleurs groupées en chatons pendants mâles (gris argentés à rouges) et femelles (verts) sur des pieds séparés (espèce dioïque). Pollinisation par le vent. Écorce lisse, parsemée de lenticelles en losange, se crevassant avec l'âge. Bois blanc crème, très homogène, de bonne résistance mécanique, mais de faible durabilité. Floraison vers mars-avril (avant l'apparition des feuilles). Arbre de croissance rapide, à longévité limitée de 70 à 80 ans. C'est une essence de pleine lumière, qui se trouve disséminé dans les espaces libres : coupes, clairières, lisières des bois. Ne forme pas de peuplements denses, mais des bouquets, car il drageonne beaucoup. C'est une espèce pionnière, pouvant pousser sur des terres brûlées.
Une planche à découper est un ustensile de cuisine, en bois, en bambou, en verre, en métal ou en plastique dur. Solide et durable, il permet d'épargner le support (table ou plat) pour la découpe des aliments. Certaines planches permettent de découper et de verser les aliments coupés directement dans le récipient.
Photographie d'un chantier de restauration navale à BOSTON, Mass. (May 13, 2009) : planche de chêne blanc.
Planches brutes de tamarin (Acacia heterophylla) destinées aux ébénistes. Le bois de tamarin est particulièrement recherché en ébénisterie, il permet des finitions soignées.
Planche botanique du poirier commun (Pyrus communis), Atlas des plantes de France. 1891 : La poire, fruit du poirier, est comestible. Son bois très homogène, compact et qui peut acquérir un beau poli, est recherché pour l'ébénisterie, la gravure et la sculpture. Il constitue un excellent bois de chauffage.
Planche botanique de la primevère officinale (Primula officinalis), Atlas des Plantes de France, 1891. Elle est parfois appelée la Brérelle, le Coqueluchon, le Coucou, l’Herbe à la paralysie, l’Herbe de saint Paul, la Primerolle, la Primevère de printemps ou la Printanière. Ce sont des plantes de pleine lumière des prés, des talus et des bois clairs. Elle doit son nom à "Primula" du latin "primulus", "tout premier", allusion aux fleurs précoces ; "veris" signifie "du printemps"; "officinalis", médicinal. Les fleurs, adoucissantes et calmantes, sont utilisées dans des mélanges pectoraux. Les feuilles sont anti-ecchymotiques. Toute la plante et particulièrement la racine ont des propriétés analgésiques, anti-spasmodiques, diurétiques et pectorales et expectorantes.
Photographie, Cuisine -- Appareils et matériel, Légumes, Alimentation, Planches, Plantes potagères, Quatre (le nombre), Agriculture, Aubergines (légumes), Cuisine (aubergines)
Quatre variétés d'aubergines posées sur une planche à découper en bois. La variété qui ressemble de près à l'œuf d'une poule aussi bien en forme qu'en dimension est appelée de nos jours aubergine indienne. La variété cultivée en Occident a une forme similaire mais est beaucoup plus grande et sombre. La chinoise a la forme d'un concombre. Aussi bien la chinoise que l'indienne ont des couleurs qui varient du blanc à la tige jusqu'au pourpre brillant au pourpre profond, mais il existe des variétés albinos. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Aubergine