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Absorption de la chlorophylle. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e41760-absorption-de-la-chlorophylle

Absorption de la chlorophylle

Grahique du spectre d'absorption de la chlorophylle : en vert le spectre d'absorption de la chlorophylle a et en rouge le spectre d'absorption de la chlorophylle b. Le spectre visible se situe approximativement entre 380 nm à 780 nm bien qu'une gamme de 400 nm à 700 nm soit plus commune. La lumière perçue comme « verte » par l’œil et le cerveau humain a une longueur d'onde, selon les notions de la couleur « verte », approximativement entre 490 et 570 nanomètres. On remarque sur le graphique que l’absorbance de la chlorophylle est moindre pour cette plage du spectre électromagnétique. La chlorophylle absorbe donc la majeure partie du spectre visible sauf la lumière verte. La lumière rouge a une longueur d'onde de 620-750nm et une fréquence de 400-484THz. La région du rouge atteint un maximum de 660-670 nm pour la Chlorophylle A et aux alentours de 635-645 nm pour la Chlorophylle B. Les plantes ont un grande besoin des ondes rouges sauf celles beaucoup plus longues que 670 nm. La lumière bleue a une longueur d'onde de 450-495nm et une fréquence de 606-668THz. La photosynthèse fonctionne le mieux grâce aux ondes de la couleur rouge, et à moindre degré à celles de la couleur bleue. Mais certaines plantes ont un plus grand besoin de bleu que d'autres pour une croissance saine - notamment pour que les fleurs éclosent et pour que les fruits poussent.

Corail corne de cerf. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549ff5-corail-corne-de-cerf

Corail corne de cerf

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes telles que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Lichen et symbiose. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543d839-lichen-et-symbiose

Lichen et symbiose

Lichen et symbiose. Le lichen est un exemple d'association symbiotique de deux espèces de règnes différents : une algue unicellulaire ou une cyanobactérie, et un champignon. L'algue retire de la relation un apport important en eau et en sels minéraux ainsi qu'un gîte. Le champignon, hétérotrophe, retire le glucose nécessaire à sa croissance que produit l'algue par la photosynthèse. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Symbiose

Monotrope. Source : http://data.abuledu.org/URI/5058dd77-monotrope

Monotrope

Planche botanique du monotrope (Monotropa hipopitys), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une plante vivant en symbiose avec des champignons ; contrairement à la plupart des plantes, elle ne contient pas de chlorophylle et n'utilise donc pas la photosynthèse. Ceci lui permet de vivre dans des conditions de très faible luminosité, par exemple dans le sous-bois de forêts denses. Elle parasite les arbres, notamment les pins.

Structure de la chlorophylle a, b et d. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e41886-structure-de-la-chlorophylle-a-b-et-d

Structure de la chlorophylle a, b et d

Il existe plusieurs formes de chlorophylle différentiables selon leur structure chimique : 1) La chlorophylle a (symbole : « chla » ) est le pigment photosynthétique le plus commun du règne végétal. La mesure de sa concentration dans l'eau est utilisée comme indicateur de la quantité de plancton végétal (phytoplancton, base principale du réseau trophique aquatique). Les taux de l'eau en chlorophylle sont donnés en µg chla/L. 2) La chlorophylle b se trouve chez les cormophytes (végétaux supérieurs) et les chlorophycées (algues vertes). 3) La chlorophylle d, identifiée en 1943 et retrouvée chez certaines cyanobactéries (parfois dites algues bleues).

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549d89-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549da0-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55381fe1-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55381ff3-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/5538200b-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55382018-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/5538202d-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55382049-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/55382061-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Bénitier géant ou Tridacna maxima. Source : http://data.abuledu.org/URI/5538207d-benitier-geant-ou-tridacna-maxima

Bénitier géant ou Tridacna maxima

Le bénitier géant ou Tridacna maxima est un bivalve sessile qui peut atteindre des dimensions colossales. Durant la journée, il laisse dépasser son épais manteau souvent très coloré (bleu, vert, violet...) pour assurer la photosynthèse de ses algues symbiotiques, qui contribuent à le nourrir ; il est cependant capable de le rétracter très rapidement et de se refermer d'un coup, brisant net tout objet qui pourrait se trouver entre ses deux solides valves réunies par un muscle extrêmement puissant.

Corail corne de cerf. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549fdd-corail-corne-de-cerf

Corail corne de cerf

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Producteurs primaires terrestres et océaniques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7e7c5-producteurs-primaires-terrestres-et-oceaniques

Producteurs primaires terrestres et océaniques

Répartition des producteurs primaires terrestres (de vert à marron) et océaniques (de bleu à violet), de Septembre 1997 au mois d'Août 2000. Estimée en tant que biomasse autotrophe, c'est un indicateur approximatif de la production primaire potentielle. Issu du projet SeaWiFS, de la NASA/Goddard Space Flight Center et de ORBIMAGE. La productivité primaire traduit la vitesse à laquelle se forme par unité de temps, une quantité donnée de matière organique à partir de matière minérale et d'un apport d'énergie. C'est un flux exprimé en masse de carbone assimilé par unité de temps1. Cette production de matière organique s'effectue principalement grâce à la photosynthèse (la chimiosynthèse étant beaucoup moins répandue). Dans un écosystème, la productivité primaire est réalisée par les producteurs primaires également appelés autotrophes. Il s'agit du premier maillon d'une chaine alimentaire dans un réseau trophique. Les producteurs primaires sont principalement des plantes dans les écosystèmes terrestres et des algues dans les écosystèmes aquatiques. On appelle production primaire l'énergie qui est accumulée par la productivité primaire.

Pyramide trophique. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9dc66-pyramide-trophique

Pyramide trophique

Pyramide trophique légendée en anglais. 1) Sols, décomposeurs ; 2) Photosynthèse, producteurs primaires ; 3) Herbivores, consommateurs primaires ; 4) Carnivores, consommateurs secondaires, Omnivores ; 5) Grands carnivores, consommateurs tertiaires.

Schéma d'un Chloroplaste. Source : http://data.abuledu.org/URI/5214c92a-schema-d-un-chloroplaste

Schéma d'un Chloroplaste

Schème de chloroplaste d'une plante supérieure. Les chloroplastes sont des organites présents dans le cytoplasme des cellules eucaryotes photosynthètique (plantes, algues). Ils sont sensibles aux expositions des différentes ondes du spectre lumineux. Ils jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement d'une cellule végétale car ils permettent de capter la lumière à l'origine de la photosynthèse. Par l'intermédiaire de la chlorophylle qu'ils possèdent et de leurs ultrastructures, ces organites sont capables de transférer l'énergie véhiculée par les photons à des molécules chimiques (eau). Les chloroplastes jouent un rôle important dans le cycle du carbone, par la transformation du carbone atmosphérique en carbone organique. Les chloroplastes appartiennent à une famille d'organites appelés les plastes ; ceux-ci sont le fruit de l'endosymbiose d'une cyanobactérie, il y a environ 1,5 milliard d'années.

Sources d'énergie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cb92bd-sources-d-energie

Sources d'énergie

Sources d'énergie : nucléaire (par fusion et fission), profondeurs de la Terre (géothermie), rayonnement solaire passé, rayonnement solaire présent (précipitations, vent, rayonnement direct, photosynthèse), gravitation lune et soleil.

Une table d'Acropore. Source : http://data.abuledu.org/URI/55549d6a-une-table-d-acropore

Une table d'Acropore

Les Acropora sont des coraux durs, constructeurs de récifs. Ils font partie des espèces responsables de la formation de barrières de corail, qui abritent la plus grande biodiversité de notre planète. Comme tous les coraux durs, les Acropora vivent en endosymbiose avec de minuscules algues appelées zooxanthelles, qui leur fournissent des hydrates de carbone complexes tels que des sucres grâce à la photosynthèse, en échange d'azote organique et de dioxyde de carbone. Outre la photosynthèse, ces coraux se nourrissent aussi selon un régime carnivore. Ils le font la nuit, en attrapant le zooplancton par leurs polypes. Ceux-ci sont rétractés pendant la journée. Les Acropora ont une forme complexe offrant de nombreuses cachettes à un extraordinaire cortège d'espèces associées, comme les poissons des genres Chromis et Dascyllus. Ce sont donc des espèces fondatrices d'une importance capitale pour l'équilibre de l'écosystème. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acropora

Zones pélagiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7ec8d-zones-pelagiques

Zones pélagiques

Couches de la zone pélagique. La zone photique, aussi nommée zone euphotique ou zone épipélagique, est la zone aquatique comprise entre la surface et la profondeur maximale d’un lac ou d’un océan, exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse se produise. La profondeur de la zone photique peut être grandement affectée par la turbidité saisonnière. La zone pélagique est divisée en sous-zones, suivant des différences dans leurs caractéristiques écologiques (qui est sensiblement fonction de la profondeur marine) : 1) Épipélagique (de la surface jusqu'à 200 mètres) - Espace où la lumière est suffisante pour permettre la photosynthèse, les plantes et animaux étant largement concentrés dans cette zone. Cet espace est aussi appelé zone photique. Attention toutefois, la zone photique ne concerne que les 100 premiers mètres de la zone épipélagique. En dessous, il ne reste plus que 1 % du rayonnement global (le bleu va plus profondément, le rouge beaucoup moins), ce qui est insuffisant pour la photosynthèse. 2) Mésopélagique (entre 200 et 1 000 mètres) - La lumière arrivant à pénétrer ces profondeurs est insuffisante pour la photosynthèse. Le nom vient du grec μέσον (meson), « milieu ». Cet espace est aussi appelé zone aphotique. 3) Bathypélagique (entre 1 000 mètres et 4 000 mètres) - À cette profondeur, l'océan est presque entièrement sombre (avec simplement les organismes bioluminescents). Il n'y a pas de plantes vivantes et la plupart des animaux survivent en consommant la neige marine des détritus tombant des zones au-dessus, ou par la chasse d'autres organismes. Les calmars géants vivent à cette profondeur, où ils sont chassés par le cachalot. Le nom vient du grec βαθύς (bathys), « profond ». 4) Abyssopélagique (de 4 000 mètres jusqu'à la croûte océanique) - Aucune lumière quelle qu'elle soit ne pénètre à cette profondeur. La plupart des êtres vivants sont aveugles et albinos. Le nom vient du grec άβυσσος (abyssos), « abysse », signifiant « sans fond » (dans les temps anciens, on croyait que l'océan était sans fond). 5) Hadopélagique (les profondeurs des failles océaniques, jusqu'à 11 000 mètres) - Le nom dérive de Hadès, dieu de la mythologie grecque régnant sur le monde souterrain. Cette zone est en très grande partie inconnue et très peu d'espèces y ont été répertoriées.